COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Saison I (2/3)
Alors que j’ai essayé de m’assagir en m’habillant bon chic bon genre, pour plaire à mon père et tenir pendant mes vacances l’accueil de notre banque privé, papa nous quitte certainement victime d’abus sexuelle avec Jennifer, sa secrétaire.
Il faut dire qu’il a bon goût le paternel, jolie blonde, le sein avenant, mais présentement c’est moi qui me retrouve sur les genoux de mon oncle Rodolph lui montrant que je suis une salope.
Nous venons de passer un contrat, il me baise et je lui apporte ma part dans la gestion de notre banque privée.
Je connais, maman et si j’avais laissé faire les dessins à mon oncle, il aurait rapidement spolié de ses biens, me baisant par la même occasion.
Alors baiser pour baiser, autant l’être réellement.
C’est comme cela qu’après mettre assis sur ses genoux pour l’embrasser, me tortillant, je sens son sexe se redresser sous mon fessier.
Je le quitte pour mieux la dégager de ses entraves et le sucer sans pour autant le faire décharger.
Je l’enjambe et le fais coulisser en montant puis descendant pendant qu’il me suce les seins que j’ai sortis de mon corsage.
Dans ma tête, je fais un comparatif avec mes amants, largement en sa faveur.
En sa faveur, parce qu’il me fait jouir deux fois avant de jouir lui-même.
Pendant trois quarts d’heure, il me lime à m’en faire péter la chatte.
• Je suis un chanceux, jamais au plus profond de mes souvenirs, avoir eu une petite maîtresse comme toi.
Tu vas voir, je vais faire fructifier notre affaire et te rendre heureuse.
Tient, voilà les clefs d’un studio que ton père et moi possédions.
Tu sais que je suis divorcé et il m’arrivait d’y emmener mes conquêtes.
Je te promets qu’à partir de ce jour la seule à franchir la porte de ce studio, c’est toi.
Il nous faut être prudent, si nos rapports se savaient, ça pourrait entraîner un scandale.
Le patron baisant dans son bureau avec sa nièce, je vois d’ici le tableau.
Autre chose, je préfère que tu arrêtes de travailler dans notre banque.
J’aurais trop envie de te sauter chaque fois que je te verrais.
Je préfère que tu m’attendes dans l’appartement à te pomponner et te faire belle pour moi.
• Tu m’as dit que vous étiez propriétaire de cet appartement avec papa !
Je veux que tu partages tous tes secrets avec moi.
Pour lui, à quoi et pour qui cela lui servait.
• Cela remonte au début de notre prise de fonction quand mon père nous a passé la main à ta mère et à moi.
Nous savions que c’était ton père qui serait en charge de la fortune de ta maman qui est nul en chiffres à part ce qu’elle dépense avec sa carte bleue.
Les dispositions de mon père envers ton père lui étaient apparues rapidement dans le temps où nous avons été tous les trois à gérer avant sa retraite et, hélas, sa disparition.
Ton père était fourmi malgré les dépenses de ta mère, moi j’étais flambeur.
Je jouais à des tables de poker et j’y aurais laissé ma chemise, jusqu’à ce que je prenne conscience que le jeu était une merde.
En attendant, j’ai été obligé de laisser 10% de mes parts à ton père qui a renfloué une dette qui risquait de très mal se finir.
À cette époque, il était fidèle à ta mère, mais la vue de Jennifer, notre jeune secrétaire lui a fait retrouver ses élans de jeunesse comme moi pour toi.
Je bossais, mais pour épater mes conquêtes, je me suis entiché du nouveau modèle de Ferrari, je l’aime comme j’aime une femme.
Excuse la comparaison entre une voiture et une femme, mais j’ignorais que nous puissions devenir amant.
Cette voiture était la propriété d’un garçon qui s’est présenté chez nous, car lui aussi flambait, il était hors eau.
Il voulait emprunter pour survivre, les banques classiques avaient toutes refusé ce prêt.
Je lui ai accordé contre la volonté de ton père avec en gage sa voiture.
Je savais qu’il dilapiderait cet argent, j’ai eu raison et j’ai eu la possibilité de récupérer la voiture.
Pour ce faire, j’ai moi-même même empruntée cette somme à ton père qui m’a aidé à l’acquérir à un prix défiant toute concurrence.
Je faisais tomber à zéro le temps d’attente pour la fabrication d’une telle voiture.
Pour réaliser cette opération sans toucher à mes parts, j’ai vendu à ton père la moitié de l’appartement.
Il amenait celle qui est devenue sa maîtresse.
J’ai toujours séparé travail et plaisir, bien que je vienne de te faire l’amour dans mon bureau.
Lui, il la prenait sur son bureau de temps en temps.
Il faut dire que lors de très rares confidences, la petite était une chaude du cul et il avait peur de la perdre.
Il lui donnait du plaisir chaque fois qu’elle le sollicitait.
On sait comment cela s’est terminé, hélas pour eux deux.
• Il est bien beau de discuter, mais pour le moment, je vois que ta queue est prête à repartir, veux-tu que je te suce de nouveau.
• Nous sommes fous, mais vas-y !
Je crois que je viens de trouver en ma nièce celle qui saura satisfaire tous mes désirs.
Dire que je t’avais à porter de main et que je l’ignorais.
Je le suce une nouvelle fois, le goût de sa bite est légèrement différent des copains dans les toilettes.
Je l’ai déjà maculée de ma cyprine, je le nettoie pour la première fois, très consciencieusement.
Je dois dire que j’ai bon goût, même si le sperme que Rodolph propulse dans ma bouche est un peu fade.
Je crois que je vais bien aimer le pomper régulièrement surtout quand je me serais empalée sur lui.
Au lieu de le quitter, je lui demande de m’emmener visiter sa garçonnière.
Je sens qu’elle va me permettre de trouver dès maintenant mon indépendance.
Il va falloir que je rencontre le notaire, l’existence de ce bien nous ayant été cachée à maman et à moi.
Qui y a-t-il que Rodolphe nous cache, comme toutes les femmes, je suis curieuse et ces mystères m’intriguent.
C’est une vraie bonbonnière, on sent qu’une femme a mis sa patte sur la déco et qu’une femme l’entretient.
Je vois mal mon père refaire le lit comme il est fait presque au carré comme à l’armée.
Une chambre un lit, une salle d’eau et une mini-cuisine.
Le lieu idéal pour baiser dans le confort, c’est ce que je fais dès que nous sommes entrées.
Pour la première fois, Rodolph et moi sommes dénudés.
Il porte bien son âge, j’avais déjà remarqué que les personnes sur le retour avaient les mains et le visage qui se ridaient et que des taches marron apparaissaient.
Mon amant est dans la règle, m’apportant la preuve que j’accepte de baiser avec un vieux.
Il faut toujours garder à l’esprit que c’est par intérêt dans la succession de mon père.
Pendant qu’il va dans la cuisine chercher une bouteille de champagne dans le frigo, je respecte le travail de celui ou celle qui nettoie la pièce en repliant le dessus de lit et le posant sur la chaise sur le côté.
Revenu, il fait sauter le bouchon et je bois une coupe de champagne pour la première fois de ma vie.
Mon verre reposé, je viens au centre du lit et j’écarte mes cuisses, offrant mon sexe à mon amant.
Il est peut-être plus âgé que moi, mais il a de beaux restes, sa queue se tend, mais c’est sa bouche qui vient me sucer.
Il me fait partir à ce que certains appellent le septième ciel, m^me si je garde la tête froide.
J’aime bien ce petit baise en ville, cette bonbonnière, mais s’il croit qu’il va m’attacher et faire en douce tous ses coups, il se met le doigt dans l’œil jusqu’à son trou du cul.
Je sais, la jeune bourge que je deviens de plus en plus devrait avoir un langage plus châtié.
• Bonjour, maître, merci de me recevoir.
• À votre service mademoiselle, j’espère être à votre service comme je l’ai été avec votre père et votre oncle.
• C’est justement d’eux que je viens vous parler.
À l’ouverture du testament que papa avait déposé dans votre étude, comme le père de maman l’avait fait avant lui.
• Mademoiselle, le père de votre mère, c’était mon père qui gérait les affaires en ce temps-là !
Suis-je si décrépi que cela malgré ma calvitie ?
• Loin, d’être un vieux beau, vous avancez en âge si je me compare à moi.
Mais parlons de ce qui motive ma visite, vous nous avez parlé de la société et la répartition qui en a été faite.
Je viens d’apprendre que mon père avait d’autres biens non inscrits dans ce testament, pouvez-vous m’en dire plus ?
• C’est exact, j’ai dans mon coffre une lettre de votre père que je devrais ouvrir à la mort de votre mère en votre présence.
Chez les notaires, les biens sont gardés de père en fils, hélas, pour ma part, je vais devoir trouver un successeur étant sans enfants.
Il se lève et sors de son coffre, une enveloppe graff avec l’écriture de mon père.
• Certaines choses qu’il souhaitait lui cacher doivent être à l’intérieur.
• Maître et si nous l’ouvrions et après avoir lu, nous la recollerions.
• Que faite-vous de ma déontologie.
Je me lève, je sais qu’une nouvelle fois, je vais faire la pute.
Je commence à avoir l’habitude.
Je recule son siège sur roulettes comme celui de tonton.
• Tu es vieux, tu es presque chauve, mais si tu la décolles pour me faire lire, tu auras ma chatte.
• Mon honneur pour un coup de bite, il m’en faudrait plus que ça !
• Je vais vivre dans une garçonnière que possédaient mon oncle et mon père.
Je pourrais devenir votre maîtresse chaque fois que tes couilles bouillonneront d’envie !
Il prend son coupe-papier et fait sauter la languette, d’un geste précis.
Ça sent l’habitude...
Il faut dire qu’il a bon goût le paternel, jolie blonde, le sein avenant, mais présentement c’est moi qui me retrouve sur les genoux de mon oncle Rodolph lui montrant que je suis une salope.
Nous venons de passer un contrat, il me baise et je lui apporte ma part dans la gestion de notre banque privée.
Je connais, maman et si j’avais laissé faire les dessins à mon oncle, il aurait rapidement spolié de ses biens, me baisant par la même occasion.
Alors baiser pour baiser, autant l’être réellement.
C’est comme cela qu’après mettre assis sur ses genoux pour l’embrasser, me tortillant, je sens son sexe se redresser sous mon fessier.
Je le quitte pour mieux la dégager de ses entraves et le sucer sans pour autant le faire décharger.
Je l’enjambe et le fais coulisser en montant puis descendant pendant qu’il me suce les seins que j’ai sortis de mon corsage.
Dans ma tête, je fais un comparatif avec mes amants, largement en sa faveur.
En sa faveur, parce qu’il me fait jouir deux fois avant de jouir lui-même.
Pendant trois quarts d’heure, il me lime à m’en faire péter la chatte.
• Je suis un chanceux, jamais au plus profond de mes souvenirs, avoir eu une petite maîtresse comme toi.
Tu vas voir, je vais faire fructifier notre affaire et te rendre heureuse.
Tient, voilà les clefs d’un studio que ton père et moi possédions.
Tu sais que je suis divorcé et il m’arrivait d’y emmener mes conquêtes.
Je te promets qu’à partir de ce jour la seule à franchir la porte de ce studio, c’est toi.
Il nous faut être prudent, si nos rapports se savaient, ça pourrait entraîner un scandale.
Le patron baisant dans son bureau avec sa nièce, je vois d’ici le tableau.
Autre chose, je préfère que tu arrêtes de travailler dans notre banque.
J’aurais trop envie de te sauter chaque fois que je te verrais.
Je préfère que tu m’attendes dans l’appartement à te pomponner et te faire belle pour moi.
• Tu m’as dit que vous étiez propriétaire de cet appartement avec papa !
Je veux que tu partages tous tes secrets avec moi.
Pour lui, à quoi et pour qui cela lui servait.
• Cela remonte au début de notre prise de fonction quand mon père nous a passé la main à ta mère et à moi.
Nous savions que c’était ton père qui serait en charge de la fortune de ta maman qui est nul en chiffres à part ce qu’elle dépense avec sa carte bleue.
Les dispositions de mon père envers ton père lui étaient apparues rapidement dans le temps où nous avons été tous les trois à gérer avant sa retraite et, hélas, sa disparition.
Ton père était fourmi malgré les dépenses de ta mère, moi j’étais flambeur.
Je jouais à des tables de poker et j’y aurais laissé ma chemise, jusqu’à ce que je prenne conscience que le jeu était une merde.
En attendant, j’ai été obligé de laisser 10% de mes parts à ton père qui a renfloué une dette qui risquait de très mal se finir.
À cette époque, il était fidèle à ta mère, mais la vue de Jennifer, notre jeune secrétaire lui a fait retrouver ses élans de jeunesse comme moi pour toi.
Je bossais, mais pour épater mes conquêtes, je me suis entiché du nouveau modèle de Ferrari, je l’aime comme j’aime une femme.
Excuse la comparaison entre une voiture et une femme, mais j’ignorais que nous puissions devenir amant.
Cette voiture était la propriété d’un garçon qui s’est présenté chez nous, car lui aussi flambait, il était hors eau.
Il voulait emprunter pour survivre, les banques classiques avaient toutes refusé ce prêt.
Je lui ai accordé contre la volonté de ton père avec en gage sa voiture.
Je savais qu’il dilapiderait cet argent, j’ai eu raison et j’ai eu la possibilité de récupérer la voiture.
Pour ce faire, j’ai moi-même même empruntée cette somme à ton père qui m’a aidé à l’acquérir à un prix défiant toute concurrence.
Je faisais tomber à zéro le temps d’attente pour la fabrication d’une telle voiture.
Pour réaliser cette opération sans toucher à mes parts, j’ai vendu à ton père la moitié de l’appartement.
Il amenait celle qui est devenue sa maîtresse.
J’ai toujours séparé travail et plaisir, bien que je vienne de te faire l’amour dans mon bureau.
Lui, il la prenait sur son bureau de temps en temps.
Il faut dire que lors de très rares confidences, la petite était une chaude du cul et il avait peur de la perdre.
Il lui donnait du plaisir chaque fois qu’elle le sollicitait.
On sait comment cela s’est terminé, hélas pour eux deux.
• Il est bien beau de discuter, mais pour le moment, je vois que ta queue est prête à repartir, veux-tu que je te suce de nouveau.
• Nous sommes fous, mais vas-y !
Je crois que je viens de trouver en ma nièce celle qui saura satisfaire tous mes désirs.
Dire que je t’avais à porter de main et que je l’ignorais.
Je le suce une nouvelle fois, le goût de sa bite est légèrement différent des copains dans les toilettes.
Je l’ai déjà maculée de ma cyprine, je le nettoie pour la première fois, très consciencieusement.
Je dois dire que j’ai bon goût, même si le sperme que Rodolph propulse dans ma bouche est un peu fade.
Je crois que je vais bien aimer le pomper régulièrement surtout quand je me serais empalée sur lui.
Au lieu de le quitter, je lui demande de m’emmener visiter sa garçonnière.
Je sens qu’elle va me permettre de trouver dès maintenant mon indépendance.
Il va falloir que je rencontre le notaire, l’existence de ce bien nous ayant été cachée à maman et à moi.
Qui y a-t-il que Rodolphe nous cache, comme toutes les femmes, je suis curieuse et ces mystères m’intriguent.
C’est une vraie bonbonnière, on sent qu’une femme a mis sa patte sur la déco et qu’une femme l’entretient.
Je vois mal mon père refaire le lit comme il est fait presque au carré comme à l’armée.
Une chambre un lit, une salle d’eau et une mini-cuisine.
Le lieu idéal pour baiser dans le confort, c’est ce que je fais dès que nous sommes entrées.
Pour la première fois, Rodolph et moi sommes dénudés.
Il porte bien son âge, j’avais déjà remarqué que les personnes sur le retour avaient les mains et le visage qui se ridaient et que des taches marron apparaissaient.
Mon amant est dans la règle, m’apportant la preuve que j’accepte de baiser avec un vieux.
Il faut toujours garder à l’esprit que c’est par intérêt dans la succession de mon père.
Pendant qu’il va dans la cuisine chercher une bouteille de champagne dans le frigo, je respecte le travail de celui ou celle qui nettoie la pièce en repliant le dessus de lit et le posant sur la chaise sur le côté.
Revenu, il fait sauter le bouchon et je bois une coupe de champagne pour la première fois de ma vie.
Mon verre reposé, je viens au centre du lit et j’écarte mes cuisses, offrant mon sexe à mon amant.
Il est peut-être plus âgé que moi, mais il a de beaux restes, sa queue se tend, mais c’est sa bouche qui vient me sucer.
Il me fait partir à ce que certains appellent le septième ciel, m^me si je garde la tête froide.
J’aime bien ce petit baise en ville, cette bonbonnière, mais s’il croit qu’il va m’attacher et faire en douce tous ses coups, il se met le doigt dans l’œil jusqu’à son trou du cul.
Je sais, la jeune bourge que je deviens de plus en plus devrait avoir un langage plus châtié.
• Bonjour, maître, merci de me recevoir.
• À votre service mademoiselle, j’espère être à votre service comme je l’ai été avec votre père et votre oncle.
• C’est justement d’eux que je viens vous parler.
À l’ouverture du testament que papa avait déposé dans votre étude, comme le père de maman l’avait fait avant lui.
• Mademoiselle, le père de votre mère, c’était mon père qui gérait les affaires en ce temps-là !
Suis-je si décrépi que cela malgré ma calvitie ?
• Loin, d’être un vieux beau, vous avancez en âge si je me compare à moi.
Mais parlons de ce qui motive ma visite, vous nous avez parlé de la société et la répartition qui en a été faite.
Je viens d’apprendre que mon père avait d’autres biens non inscrits dans ce testament, pouvez-vous m’en dire plus ?
• C’est exact, j’ai dans mon coffre une lettre de votre père que je devrais ouvrir à la mort de votre mère en votre présence.
Chez les notaires, les biens sont gardés de père en fils, hélas, pour ma part, je vais devoir trouver un successeur étant sans enfants.
Il se lève et sors de son coffre, une enveloppe graff avec l’écriture de mon père.
• Certaines choses qu’il souhaitait lui cacher doivent être à l’intérieur.
• Maître et si nous l’ouvrions et après avoir lu, nous la recollerions.
• Que faite-vous de ma déontologie.
Je me lève, je sais qu’une nouvelle fois, je vais faire la pute.
Je commence à avoir l’habitude.
Je recule son siège sur roulettes comme celui de tonton.
• Tu es vieux, tu es presque chauve, mais si tu la décolles pour me faire lire, tu auras ma chatte.
• Mon honneur pour un coup de bite, il m’en faudrait plus que ça !
• Je vais vivre dans une garçonnière que possédaient mon oncle et mon père.
Je pourrais devenir votre maîtresse chaque fois que tes couilles bouillonneront d’envie !
Il prend son coupe-papier et fait sauter la languette, d’un geste précis.
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