COLLECTION ZONE ROUGE. La queue de poisson (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La queue de poisson (2/3)
Bénédicte et moi nous nous rendons à notre soirée hebdomadaire dans une boîte de la région quand cette aventure nous est survenue.
Je roulais dans ma Porche Carrera à la bonne vitesse quand un gros cul nous oblige à nous arrêter sur l’aire de repos du Tapioca.
Il est vrai que je lui ai fait une légère queue de poisson.
C’est là que ma vie bascule.
Bénédicte, ma fiancée que je pensais être une oie blanche, du moins c’est ainsi que maman me l’avait vendu, après l’avoir sortie d’une école de filles de bonne famille suisse.
Une fille de bonne famille sachant sucer la bite du jumeau de celui qui nous a fait monter dans son camion pour nous punir, c’est loin d’être banale.
Mieux, c’est étrange.
Ça m’excite tellement qu’ayant sorti ma queue, quand elle avale le sperme de cette brute, j’arrose le tableau de bord.
Changeant de place, le deuxième se prépare à sexer cette jeune vierge.
Du moins celle que je prenais pour une jeune vierge.
• Regardez-moi ça, il m’a pourri mon tableau de bord.
Aller suce, nettoie avec ta langue.
Je l’ai dit, je suis une fiote aussi, je lèche le cuir du tableau de bord m’empêchant de voir ce qu’il se passe derrière moi.
Voir est impossible, mais entendre ça c’est possible.
• En levrette ou en missionnaire ma jolie petite pute.
Regarde ton mâle dominant, on lui demande de lécher, il lèche.
Polo, je suis sûr que si tu lui demandes gentiment tu pourras l’enculer.
C’est dans un rétro que je vois la suite de mon calvaire.
Bénédicte s’est placée sur le dos vu l’endroit exigu où elle va se faire mettre.
Bon sang de cuissardes, elles me cachent le moment ou le sexe polonais entre en elle.
Si je la garde près de moi, cette image de ces bottes blanche et de ce sexe qui commence à bouger en elle, m’empêchera de dormir.
Au dernier moment sans se déboiter de la verge du porc polonais , ils se retournent venant sur l’homme.
• Putain, Polo, cette pute est loin d’être vierge, je suis rentré comme dans du beurre.
C’est là que je la vois faire quelque chose d’improbable.
Elle glisse ses doigts dans sa cuissarde et avant que j’aie le temps de comprendre, sort une petite lame, une espèce de stilet et d’un geste précis tranche la gorge du dénommé Manu.
Le sang gicle jusque sur Polo qui sentant un liquide sur sa nuque porte sa main et comprend ce qui est arrivé à son frère.
• Salope, je vais te crever.
Placer comme elle est, elle vient s’agripper à son cou tentant de lui mettre la tête en arrière.
L’homme est fort et Bénédicte est à deux doigts de le lâcher.
• Hubert, aide-moi, il faut le crever, lui aussi.
Première fois que j’entends sa voix depuis que le camion a réussi à nous faire arrêter.
Toujours dans un brouillard, mes mains agissent seules, hors de mon cerveau.
J’empoigne la batte et comme un fou, je tape, je tape, je tape.
Ma rage s’arrête aussi vite qu’elle est venue.
Polo git dans son sang au niveau du cou béant certainement tranché pendant que je tapais.
Si Polo veut respirer, il aura du mal vu sa gorge tranchée et il sera impossible de baiser pour ce salopard.
Ses couilles, du moins ce qui a été ses couilles gisent en compote au bas de son ventre.
• Hubert, il faut bouger, inutile de nous faire prendre pour ces deux fumiers.
Prends mes affaires et fuyons.
• Et nos traces, nous avons notre ADN partout ainsi que mon sperme.
• As-tu déjà donné tes empruntes et ton ADN à la police.
• Dieu m’en garde, mère en mourrait !
• Alors, viens, reprenons notre voiture et rentrons chez tes parents.
J’empoigne sa mini, son chemisier blanc ainsi que son soutien nichon et je saute du camion.
Bénédicte me rejoint, juste couverte de ses cuissardes.
La lumière de la cabine, la portière passagère étant ouverte, me montre celle qui est bien différente de celle que mère est allée chercher en Suisse.
• Donne-moi les clefs, je conduis, tu trembles comme une feuille.
• Elles sont restées au volant.
• Attends, je reviens.
Je vois la jeune femme froide comme la lame qui a égorgé les deux Polonais, retourné au camion, montée et quelques secondes après ressauter au sol.
Ses seins libres tressautent recommençant à me faire bander.
• Je suis allée chercher leur portable, la police aurait ton nom et notre photo.
Demain, ils nous arrêteront sans aucun problème.
Monte.
Je me retrouve à ses côtés, elle démarre faisant crisser mes pneus.
Elle conduit nerveusement, mais précisément.
En quelques minutes, nous sommes chez moi.
Au moment de quitter le parking, elle passe sous le nez d’un van, le chauffeur nous faisant les phares.
C’est vrai mes parents sont chez ma tante maternelle pour la semaine.
À peine entrée, Bénédicte fait tomber ses affaires et me sautes au cou.
• Baise-moi, putain de pousser d’adrénaline, ma chatte va exploser !
Adrénaline pour elle et adrénaline pour moi, malgré ma branlette dans le camion je bande comme un fou.
Je fais tomber mon pantalon.
C’est collé le long de la grosse porte en bois que je la pénètre, ses jambes toujours gainées de ses cuissardes qui viennent s’accrocher à mes hanches.
J’ai eu quelques maîtresses dont Huguette la copine de mère, qui m’a tout appris, mais classiquement dans un lit.
Ma force semble décuplée bien que je sois loin d’être chétif, la bite de Polo peut en témoigner sur le parking Tapioca.
Je la porte jusqu’au guéridon de mère, merveille des merveilles d’après elle.
Si elle apprenait que j’ai sauté ma fiancée dessus, elle en ferait une jaunisse.
Nos bouches se soudent dans un baiser qui décuple mes coups de reins.
Elle jouit jusqu’à l’orgasme alors que je décharge dans sa grotte pour la première fois par de longs traits de foutre.
• Repose-moi, allons prendre une douche, nous sommes couverts de sang.
Après tu m’offriras un verre et je t’expliquerais, tu dois te poser bien des questions.
• Un verre avant, le sang on s’en fiche, il a séché !
Salle à manger, bar de mon père.
Whisky, trente ans d’âges.
Un verre, deux verres.
Le deuxième assis elle avec juste ses cuissardes et moi en chemise de soie et en chaussettes.
• Tu te demandes qui je suis, on avait vendu à ta mère une jeune fille de bonne famille alors que tu as eu devant toi une vraie salope.
• Je le conçois.
• Cette jeune pucelle dont j’ai essayé de jouer le rôle, c’est ma jumelle Hélène.
Quand nous nous sommes rencontrés avec elle et qu’elle m’a dit qu’elle allait venir se marier en France, immédiatement j’ai vu la solution à tous mes problèmes.
• Tu l’as tuée avec ton stylet pour prendre sa place.
• Moi, tuer ma sœur, je l’aime trop pour ça.
• Non, une fois ta mère passée et le contrat de noce accepté, j’ai pris sa place au moment où vous êtes venue me chercher.
Pendant quelques jours, je lui ai payé l’hôtel, car il lui était impossible de rester chez moi en ville, non loin de l’institut, elle aurait pris trop de risques vus les relations douteuses que je m’étais faites.
Je l’ai eu sur mon portable, hier, elle a rejoint l’institut en disant aux bonnes sœurs qu’elle revenait, car le cadre ici, elle avait eu du mal à s’y faire.
• Et toi, ce cadre, il te va, mais dit moi tu as dû vivre dans un cadre difficile pour avoir une arme dans ta botte.
• J’étais comme Hélène dans cette école de culs pincés.
Hélène s’y trouvait à l’aise, moi loin de là.
À 18 ans, je lui ai demandé de partir avec moi, mais elle voulait apprendre les bonnes manières alors que moi, j’ai préféré retrouver la rue et ses difficultés.
Attention aucune méprise, si j’ai perdu mon pucelage, mais je suis restée près d’elle pour le protégé de ce que j’avais découvert de la vraie vie.
Je travaillais dans un bar et il m’arrivait de finir dans le lit d’un de nos clients quand il était beau comme toi et que mes hormones me travaillaient.
À l’œil bien sûr, je suis une salope, car j’aime le sexe, mais sans faire la pute mon salaire et l’argent que nous ont laissés nos parents avant de disparaître nous suffisant largement.
Je la reprends dans mes bras, elle se couche en écartant ses cuisses.
Je commence un nouveau crime contre mère en lui enlevant une à une ses cuissardes.
Ma bouche vient en contact de sa chatte et surtout de son clito que je sors de son capuchon le faisant bander, lui aussi.
C’est tantine qui m’a appris où il se trouvait et comment le stimuler.
Ma bouche sait être douce, mais aussi très persuasive quand la femme me plait.
Et pour ça, Bénédicte me plait.
Je me redresse pour la prendre une nouvelle fois, disons qu’avant je lui présente ma verge pour qu’elle la suce et que je rebande à fond.
• Dis-moi, tu es Bénédicte ou Hélène ?...
Je roulais dans ma Porche Carrera à la bonne vitesse quand un gros cul nous oblige à nous arrêter sur l’aire de repos du Tapioca.
Il est vrai que je lui ai fait une légère queue de poisson.
C’est là que ma vie bascule.
Bénédicte, ma fiancée que je pensais être une oie blanche, du moins c’est ainsi que maman me l’avait vendu, après l’avoir sortie d’une école de filles de bonne famille suisse.
Une fille de bonne famille sachant sucer la bite du jumeau de celui qui nous a fait monter dans son camion pour nous punir, c’est loin d’être banale.
Mieux, c’est étrange.
Ça m’excite tellement qu’ayant sorti ma queue, quand elle avale le sperme de cette brute, j’arrose le tableau de bord.
Changeant de place, le deuxième se prépare à sexer cette jeune vierge.
Du moins celle que je prenais pour une jeune vierge.
• Regardez-moi ça, il m’a pourri mon tableau de bord.
Aller suce, nettoie avec ta langue.
Je l’ai dit, je suis une fiote aussi, je lèche le cuir du tableau de bord m’empêchant de voir ce qu’il se passe derrière moi.
Voir est impossible, mais entendre ça c’est possible.
• En levrette ou en missionnaire ma jolie petite pute.
Regarde ton mâle dominant, on lui demande de lécher, il lèche.
Polo, je suis sûr que si tu lui demandes gentiment tu pourras l’enculer.
C’est dans un rétro que je vois la suite de mon calvaire.
Bénédicte s’est placée sur le dos vu l’endroit exigu où elle va se faire mettre.
Bon sang de cuissardes, elles me cachent le moment ou le sexe polonais entre en elle.
Si je la garde près de moi, cette image de ces bottes blanche et de ce sexe qui commence à bouger en elle, m’empêchera de dormir.
Au dernier moment sans se déboiter de la verge du porc polonais , ils se retournent venant sur l’homme.
• Putain, Polo, cette pute est loin d’être vierge, je suis rentré comme dans du beurre.
C’est là que je la vois faire quelque chose d’improbable.
Elle glisse ses doigts dans sa cuissarde et avant que j’aie le temps de comprendre, sort une petite lame, une espèce de stilet et d’un geste précis tranche la gorge du dénommé Manu.
Le sang gicle jusque sur Polo qui sentant un liquide sur sa nuque porte sa main et comprend ce qui est arrivé à son frère.
• Salope, je vais te crever.
Placer comme elle est, elle vient s’agripper à son cou tentant de lui mettre la tête en arrière.
L’homme est fort et Bénédicte est à deux doigts de le lâcher.
• Hubert, aide-moi, il faut le crever, lui aussi.
Première fois que j’entends sa voix depuis que le camion a réussi à nous faire arrêter.
Toujours dans un brouillard, mes mains agissent seules, hors de mon cerveau.
J’empoigne la batte et comme un fou, je tape, je tape, je tape.
Ma rage s’arrête aussi vite qu’elle est venue.
Polo git dans son sang au niveau du cou béant certainement tranché pendant que je tapais.
Si Polo veut respirer, il aura du mal vu sa gorge tranchée et il sera impossible de baiser pour ce salopard.
Ses couilles, du moins ce qui a été ses couilles gisent en compote au bas de son ventre.
• Hubert, il faut bouger, inutile de nous faire prendre pour ces deux fumiers.
Prends mes affaires et fuyons.
• Et nos traces, nous avons notre ADN partout ainsi que mon sperme.
• As-tu déjà donné tes empruntes et ton ADN à la police.
• Dieu m’en garde, mère en mourrait !
• Alors, viens, reprenons notre voiture et rentrons chez tes parents.
J’empoigne sa mini, son chemisier blanc ainsi que son soutien nichon et je saute du camion.
Bénédicte me rejoint, juste couverte de ses cuissardes.
La lumière de la cabine, la portière passagère étant ouverte, me montre celle qui est bien différente de celle que mère est allée chercher en Suisse.
• Donne-moi les clefs, je conduis, tu trembles comme une feuille.
• Elles sont restées au volant.
• Attends, je reviens.
Je vois la jeune femme froide comme la lame qui a égorgé les deux Polonais, retourné au camion, montée et quelques secondes après ressauter au sol.
Ses seins libres tressautent recommençant à me faire bander.
• Je suis allée chercher leur portable, la police aurait ton nom et notre photo.
Demain, ils nous arrêteront sans aucun problème.
Monte.
Je me retrouve à ses côtés, elle démarre faisant crisser mes pneus.
Elle conduit nerveusement, mais précisément.
En quelques minutes, nous sommes chez moi.
Au moment de quitter le parking, elle passe sous le nez d’un van, le chauffeur nous faisant les phares.
C’est vrai mes parents sont chez ma tante maternelle pour la semaine.
À peine entrée, Bénédicte fait tomber ses affaires et me sautes au cou.
• Baise-moi, putain de pousser d’adrénaline, ma chatte va exploser !
Adrénaline pour elle et adrénaline pour moi, malgré ma branlette dans le camion je bande comme un fou.
Je fais tomber mon pantalon.
C’est collé le long de la grosse porte en bois que je la pénètre, ses jambes toujours gainées de ses cuissardes qui viennent s’accrocher à mes hanches.
J’ai eu quelques maîtresses dont Huguette la copine de mère, qui m’a tout appris, mais classiquement dans un lit.
Ma force semble décuplée bien que je sois loin d’être chétif, la bite de Polo peut en témoigner sur le parking Tapioca.
Je la porte jusqu’au guéridon de mère, merveille des merveilles d’après elle.
Si elle apprenait que j’ai sauté ma fiancée dessus, elle en ferait une jaunisse.
Nos bouches se soudent dans un baiser qui décuple mes coups de reins.
Elle jouit jusqu’à l’orgasme alors que je décharge dans sa grotte pour la première fois par de longs traits de foutre.
• Repose-moi, allons prendre une douche, nous sommes couverts de sang.
Après tu m’offriras un verre et je t’expliquerais, tu dois te poser bien des questions.
• Un verre avant, le sang on s’en fiche, il a séché !
Salle à manger, bar de mon père.
Whisky, trente ans d’âges.
Un verre, deux verres.
Le deuxième assis elle avec juste ses cuissardes et moi en chemise de soie et en chaussettes.
• Tu te demandes qui je suis, on avait vendu à ta mère une jeune fille de bonne famille alors que tu as eu devant toi une vraie salope.
• Je le conçois.
• Cette jeune pucelle dont j’ai essayé de jouer le rôle, c’est ma jumelle Hélène.
Quand nous nous sommes rencontrés avec elle et qu’elle m’a dit qu’elle allait venir se marier en France, immédiatement j’ai vu la solution à tous mes problèmes.
• Tu l’as tuée avec ton stylet pour prendre sa place.
• Moi, tuer ma sœur, je l’aime trop pour ça.
• Non, une fois ta mère passée et le contrat de noce accepté, j’ai pris sa place au moment où vous êtes venue me chercher.
Pendant quelques jours, je lui ai payé l’hôtel, car il lui était impossible de rester chez moi en ville, non loin de l’institut, elle aurait pris trop de risques vus les relations douteuses que je m’étais faites.
Je l’ai eu sur mon portable, hier, elle a rejoint l’institut en disant aux bonnes sœurs qu’elle revenait, car le cadre ici, elle avait eu du mal à s’y faire.
• Et toi, ce cadre, il te va, mais dit moi tu as dû vivre dans un cadre difficile pour avoir une arme dans ta botte.
• J’étais comme Hélène dans cette école de culs pincés.
Hélène s’y trouvait à l’aise, moi loin de là.
À 18 ans, je lui ai demandé de partir avec moi, mais elle voulait apprendre les bonnes manières alors que moi, j’ai préféré retrouver la rue et ses difficultés.
Attention aucune méprise, si j’ai perdu mon pucelage, mais je suis restée près d’elle pour le protégé de ce que j’avais découvert de la vraie vie.
Je travaillais dans un bar et il m’arrivait de finir dans le lit d’un de nos clients quand il était beau comme toi et que mes hormones me travaillaient.
À l’œil bien sûr, je suis une salope, car j’aime le sexe, mais sans faire la pute mon salaire et l’argent que nous ont laissés nos parents avant de disparaître nous suffisant largement.
Je la reprends dans mes bras, elle se couche en écartant ses cuisses.
Je commence un nouveau crime contre mère en lui enlevant une à une ses cuissardes.
Ma bouche vient en contact de sa chatte et surtout de son clito que je sors de son capuchon le faisant bander, lui aussi.
C’est tantine qui m’a appris où il se trouvait et comment le stimuler.
Ma bouche sait être douce, mais aussi très persuasive quand la femme me plait.
Et pour ça, Bénédicte me plait.
Je me redresse pour la prendre une nouvelle fois, disons qu’avant je lui présente ma verge pour qu’elle la suce et que je rebande à fond.
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