COLLECTION ZONE ROUGE. La queue de poisson (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La queue de poisson (3/3)
Bénédicte ou Hélène, d’un seul coup, ce que m’elle m’a dit concernant la Suisse, me revient en mémoire.
La partie de sexe intense que nous venons de faire sur le guéridon de mère a dû remettre mon cerveau à l’endroit.
• Si ta sœur est retournée à l’institut de jeune fille, c’est sous le nom de Bénédicte, tu es donc Hélène !
• Perspicace Hubert, oui je suis Hélène, mais j’ai toujours préféré le nom de ma sœur.
Appelle moi comme bon te souhaite.
Tais-toi et suce.
J’ai lu ça sur Internet dans une histoire sur le site HDS ou de nombreux auteurs écrivent des cochonneries.
Je repense à la bite de Polo que j’ai été à deux doigts de sucer si ma fiancée était restée sagement à se faire baiser.
Suis-je vraiment hétéro ou suis-je homo refoulé ?
Est-ce dans ma jeunesse que j’ai déjà eu des déviances.
Mère voulant une fille m’achetait des robes qu’elle me revêtait dès que père était parti pour quelques jours à des salons de vins ou à des conférences.
Tais-toi et suce, Huguette la copine de mère, m’a remis dans le droit chemin et je sens que la petite salope dans la bouche de laquelle je rentre va m’aider à y voir plus claire.
Du moins si dans les heures prochaines, la police nous laisse tranquilles vus les preuves laissées derrière nous.
Rebandant de nouveau, exploit pour moi, en temps normal je suis un fusil à un coup, je la prends en levrette position que j’aimais beaucoup avec Huguette.
Elle jouit, je jouis, seulement quelques gouttes et enfin je l’emmène prendre une douche avant de la porter dans mon lit.
Ça sonne à la porte après quelques coups de Klaxons m’ayant à peine réveillé.
La bonne va ouvrir, j’ai mal à la tête.
Merde, mère lui a donné son week-end, je me lève, je passe mon peignoir de soie et je descends.
• On a amené les croissants, on est venu voir la malade.
La malade, elle arrive en déshabillé vaporeux.
Je le connais, c’est celui de mère, elle a dû le prendre dans la salle de bains commune à nos deux chambres.
Là encore, je dois donner un petit détail, quand je suis seul et que je suis dans notre salle de bains, je m’amuse à le revêtir.
Sur moi, mes poils de poitrine peuvent faire bizarre.
Sur Béné, pardon Hélène, il est magnifique.
Négligemment fermé, montrant une partie de sa gorge.
• Hubert, je comprends que tu m’es téléphoné, votre impossibilité de venir.
Serge, mon copain d’enfance, le seul que j’avais, arrive de la boîte de nuit la Caverne avec Olga, sa femme et Tristan et Violette leurs amis.
• Devine ce que l’on vient de voir !
• Tu vois que nous nous levons, qu’avez-vous vu !
• Le parking de l’ancien restaurant le Tapioca, tu sais où nous arrêtions chaque fois, mais qui, hélas, a fermé !
• Et alors !
• La police était près d’un camion.
Il y avait une ambulance des pompiers et une civile.
Deux brancards et deux sacs à viande.
Il y avait aussi un van avec une grosse femme qu’une gendarmette interrogeait.
Le camion était ouvert, un gendarme en sautait, c’est tout ce que l’on a eu le temps de voir, tu nous connais inutiles de prendre des risques de souffler et de perdre mon permisNous avons mis la radio France beu Bourgogne.
Ils ont donné un scoop.
Deux conducteurs frères et Franco-Polonais auraient été tués.
Met, la télé, nous avons croisé une voiture de BFM, ces fouilles merdes, nous en dirons peut-être plus.
« Petite culotte, dans la cabine.
Le couple qui a tué les deux chauffeurs se trouvant à bord d’une voiture de sport. »
Le froid du boulet me passe très près.
Je regarde Hélène, la petite culotte se doit être la sienne !
« Madame, dite-nous ce que vous avez vu !
Mon mari étant fatigué, nous avons vu ce grand parking sur notre droite.
Je lui ai demandé de s’arrêter, mais au moment où nous manœuvrions, une voiture de sport noir est démarrée sous notre nez. »« Avez-vous reconnu la marque ? »« Sans hésitation, j’en ai vu des rouges, mais c’était une Ferrari, mon neveu a un garage de voiture miniature et c’était la même. »
Je l’aime cette femme, elle nous met du baume au cœur, sans le faire exprès, elle envoie les gendarmes sur une autre piste que la nôtre.
Le reporter suivi de son caméraman se déplace et se rapproche de la gendarmette.
« Bonjour, pouvez-vous me dire ! »« Circulez, nous attendons la brigade d’investigation, nous sommes tenues au secret. »
Quelle petite conne.
« On me signale dans mon oreillette que le procureur de la République est attendu sur les lieux et qu’un communiqué serait fait vers onze heures. »
Nous éteignons la télé, nous savons que ce genre de chaîne va blablater sur les informations qu’elles ignorent.
Les femmes vont préparer le café pendant que nous nous installons pour le boire.
C’est fait, ils sont partis.
Sept heures, ils ont sommeil.
C’est dans les bras l’un l’autre que nous nous rendormons.
Je l’ai rassurée, l’erreur de la grosse sur la marque de la voiture risque d’être primordiale.
Un seul point me pose problème, impossible à régler avant la fin du week-end.
Le coup de batte sur ma portière l’ayant endommagé.
Si je suis toujours libre, lundi matin je m’en occuperais.
La police scientifique est si précise, qu’ils seraient capables de démontrer que c’est la batte laissée dans le camion qui a frappé ma portière.
La conférence du procureur débute, je suis tendu.
Je vais réaccourir ce qu’il dit, car nous connaissons une partie de l’histoire.
Un dénommé Duga qui passait dans le coin a pu leur donner des renseignements.
Il a vu les infos dans un routier à quelques kilomètres et les as contactés pour leur parler d’une affaire de queue de poisson qui aurait été faite par un couple.
L’homme s’appellerait Ducon de mes couilles.
Même pas mon titre de noblesse.
Ducon était accompagné d’une certaine Clara Morgane, arrêté en Allemagne pour racolage, ses empreintes digitales ayant été enregistré et correspondait à celles trouvés dans la cabine.
• Hélène, en Allemagne pour racolage.
C’est toi qui me demandais si j’étais fiché.
• Pardon, j’aurais dû te le dire, mais comprends que ce passage de ma vie, je suis auprès de toi pour l’oublier.
• Tu as donc fait la pute, si mère savait que celle qu’elle a ramenée avec sa voiture allait tapiner en Allemagne.
Ils ont donc ta photo !
Ils ont donc ta photo !
• Non, mais écoute, je t’expliquerais après.
Je me suis tu, le procureur parlais du camion que la gendarmerie attendait le camion à un petit poste-frontière où nous savions qu’ils passeraient.
Ils sont morts avant, près de Tavaux.
Quand une dame s’étant arrêtée avec son camping-car a trouvé bizarre ce camion arrêter la portière du passager ouverte, ce qu’elle a découvert la glacé d’effroi.
Au stade de l’enquête, ils semblent que les deux frères soient morts la gorge tranchée par une lame non retrouvée et une batte encore présente, mais sur laquelle les empreintes ont été effacées.
• Tu vois, rien à craindre, j’ai essuyé la batte avec le morceau de tissu qui se trouvait sur la couchette sans me rendre compte que c’était ma petite culotte.
Je l’ai fait quand je suis revenu prendre le téléphone.
Dans le camion, comme nous le suspections, nous avons découvert sous des cagots de fruit et légumes dans ce camion-frigo, 200 kilos de résines de cannabis et 90 kilos de cocaïne.
Ce chargement était prévu pour alimenter le marché de Munich.
Les recherches s’orientent sur la guerre des réseaux de drogues allemandes et espagnoles, la France étant la plaque tournante.
Je ferme la télé, Hélène vient se blottir dans mes bras.
• Ça t’ennuie que j’aie gagné de l’argent comme tu as compris que je l’ai fait.
Pour l’Allemagne, quand ils m’ont arrêté, j’ai été emmené dans un commissariat, j’étais blonde avec des lentilles de contact me permettant d’avoir des yeux bleus.
Ils ont amené un voyou qu’ils traquaient depuis des jours, j’en ai profité pour m’éclipser et repartir vers la Suisse, c’est à ce moment que ma sœur m’a parlé de son mariage avec toi.
Ils ont juste mes emprunts sans ma photo.
Je l’ai embrassé, sans elle, c’est moi qui aurais été dans le sac que ma décrit mon copain et surtout je me souviens, ces touts frais, de la partie de baise que j’ai faite avec elle à mon retour.
Ce plan cul, je le reproduis de nouveau sur le canapé quand mère entre dans la pièce.
Je m’attends à des engueulades, mais elle vient s’assoir devant nous alors que je suis encore ma verge dans la chatte de ma future.
• Je vois que vous vous entendez bien, je voulais vous dire que dès que vous vous serez marié, avec ton père, nous vous laisserons le domaine.
Nous avons acheté un petit cottage près de chez ma sœur qui t’embrasse bien fort.
Nous nous y retirerons pour notre retraite.
Elle s’est levée et en grande dame a quitté la pièce.
Rien sur son canapé et le fait que nous baisions.
Le lundi, nous sommes allées chez Mercedes, nous avons acheté une berline, la Porche devenant trop étroite pour trois personnes et nos futurs enfants.
Ils m’ont déduit ma portière, mais c’était un moindre mal.
• Oui, je le veux, d’être fidèle...
Et tout le tralala.
On peut penser que j’ai épousé Hélène.
Eh bien, non, c’est Bénédicte que j’ai épousée.
J’ai fait comprendre à mère que ma future avait une jumelle en Suisse qui était prête à venir vivre avec nous.
Replaçant les sœurs dans la bonne situation, nous évitons des problèmes dans le futur.
Bénédicte va s’occuper de la compta et les ventes.
Hélène avec son sens de la liberté va m’aider dans les villes et au chai, elle est tombée amoureuse de nos vignes.
Au lit, je dois reconnaître avoir la chance de me partager les deux sœurs depuis que mes parents m’ont laissé seul.
Mère était restée stoïque quand je pointais ma compagne sur son canapé.
Mais une baise à trois, j’ignore comment aurait été sa réaction, et je préfère l’ignorer.
En ce moment, je suis un camion à deux pas du parking Tapioca.
Un camion y est arrêté.
J’évite de doubler avec mes deux femmes, car sur le côté une voiture est arrêtée.
J’ai bien fait, elle redémarre.
Nous sommes en route pour rejoindre nos copains à la Caverne.
Hélène vie sa vie comme elle l’a toujours fait, ce soir comme d’autres fois, si un beau mâle passe par là, elle reviendra avec lui.
Jaloux, hors de question, je sais que lorsque nous rentrerons, je prendrai ma femme le long de la porte d’entrée et sur le guéridon que mère nous a laissée.
L’affaire, à ce jour, aucune nouvelle, mais nos vies sont très droites.
La partie de sexe intense que nous venons de faire sur le guéridon de mère a dû remettre mon cerveau à l’endroit.
• Si ta sœur est retournée à l’institut de jeune fille, c’est sous le nom de Bénédicte, tu es donc Hélène !
• Perspicace Hubert, oui je suis Hélène, mais j’ai toujours préféré le nom de ma sœur.
Appelle moi comme bon te souhaite.
Tais-toi et suce.
J’ai lu ça sur Internet dans une histoire sur le site HDS ou de nombreux auteurs écrivent des cochonneries.
Je repense à la bite de Polo que j’ai été à deux doigts de sucer si ma fiancée était restée sagement à se faire baiser.
Suis-je vraiment hétéro ou suis-je homo refoulé ?
Est-ce dans ma jeunesse que j’ai déjà eu des déviances.
Mère voulant une fille m’achetait des robes qu’elle me revêtait dès que père était parti pour quelques jours à des salons de vins ou à des conférences.
Tais-toi et suce, Huguette la copine de mère, m’a remis dans le droit chemin et je sens que la petite salope dans la bouche de laquelle je rentre va m’aider à y voir plus claire.
Du moins si dans les heures prochaines, la police nous laisse tranquilles vus les preuves laissées derrière nous.
Rebandant de nouveau, exploit pour moi, en temps normal je suis un fusil à un coup, je la prends en levrette position que j’aimais beaucoup avec Huguette.
Elle jouit, je jouis, seulement quelques gouttes et enfin je l’emmène prendre une douche avant de la porter dans mon lit.
Ça sonne à la porte après quelques coups de Klaxons m’ayant à peine réveillé.
La bonne va ouvrir, j’ai mal à la tête.
Merde, mère lui a donné son week-end, je me lève, je passe mon peignoir de soie et je descends.
• On a amené les croissants, on est venu voir la malade.
La malade, elle arrive en déshabillé vaporeux.
Je le connais, c’est celui de mère, elle a dû le prendre dans la salle de bains commune à nos deux chambres.
Là encore, je dois donner un petit détail, quand je suis seul et que je suis dans notre salle de bains, je m’amuse à le revêtir.
Sur moi, mes poils de poitrine peuvent faire bizarre.
Sur Béné, pardon Hélène, il est magnifique.
Négligemment fermé, montrant une partie de sa gorge.
• Hubert, je comprends que tu m’es téléphoné, votre impossibilité de venir.
Serge, mon copain d’enfance, le seul que j’avais, arrive de la boîte de nuit la Caverne avec Olga, sa femme et Tristan et Violette leurs amis.
• Devine ce que l’on vient de voir !
• Tu vois que nous nous levons, qu’avez-vous vu !
• Le parking de l’ancien restaurant le Tapioca, tu sais où nous arrêtions chaque fois, mais qui, hélas, a fermé !
• Et alors !
• La police était près d’un camion.
Il y avait une ambulance des pompiers et une civile.
Deux brancards et deux sacs à viande.
Il y avait aussi un van avec une grosse femme qu’une gendarmette interrogeait.
Le camion était ouvert, un gendarme en sautait, c’est tout ce que l’on a eu le temps de voir, tu nous connais inutiles de prendre des risques de souffler et de perdre mon permisNous avons mis la radio France beu Bourgogne.
Ils ont donné un scoop.
Deux conducteurs frères et Franco-Polonais auraient été tués.
Met, la télé, nous avons croisé une voiture de BFM, ces fouilles merdes, nous en dirons peut-être plus.
« Petite culotte, dans la cabine.
Le couple qui a tué les deux chauffeurs se trouvant à bord d’une voiture de sport. »
Le froid du boulet me passe très près.
Je regarde Hélène, la petite culotte se doit être la sienne !
« Madame, dite-nous ce que vous avez vu !
Mon mari étant fatigué, nous avons vu ce grand parking sur notre droite.
Je lui ai demandé de s’arrêter, mais au moment où nous manœuvrions, une voiture de sport noir est démarrée sous notre nez. »« Avez-vous reconnu la marque ? »« Sans hésitation, j’en ai vu des rouges, mais c’était une Ferrari, mon neveu a un garage de voiture miniature et c’était la même. »
Je l’aime cette femme, elle nous met du baume au cœur, sans le faire exprès, elle envoie les gendarmes sur une autre piste que la nôtre.
Le reporter suivi de son caméraman se déplace et se rapproche de la gendarmette.
« Bonjour, pouvez-vous me dire ! »« Circulez, nous attendons la brigade d’investigation, nous sommes tenues au secret. »
Quelle petite conne.
« On me signale dans mon oreillette que le procureur de la République est attendu sur les lieux et qu’un communiqué serait fait vers onze heures. »
Nous éteignons la télé, nous savons que ce genre de chaîne va blablater sur les informations qu’elles ignorent.
Les femmes vont préparer le café pendant que nous nous installons pour le boire.
C’est fait, ils sont partis.
Sept heures, ils ont sommeil.
C’est dans les bras l’un l’autre que nous nous rendormons.
Je l’ai rassurée, l’erreur de la grosse sur la marque de la voiture risque d’être primordiale.
Un seul point me pose problème, impossible à régler avant la fin du week-end.
Le coup de batte sur ma portière l’ayant endommagé.
Si je suis toujours libre, lundi matin je m’en occuperais.
La police scientifique est si précise, qu’ils seraient capables de démontrer que c’est la batte laissée dans le camion qui a frappé ma portière.
La conférence du procureur débute, je suis tendu.
Je vais réaccourir ce qu’il dit, car nous connaissons une partie de l’histoire.
Un dénommé Duga qui passait dans le coin a pu leur donner des renseignements.
Il a vu les infos dans un routier à quelques kilomètres et les as contactés pour leur parler d’une affaire de queue de poisson qui aurait été faite par un couple.
L’homme s’appellerait Ducon de mes couilles.
Même pas mon titre de noblesse.
Ducon était accompagné d’une certaine Clara Morgane, arrêté en Allemagne pour racolage, ses empreintes digitales ayant été enregistré et correspondait à celles trouvés dans la cabine.
• Hélène, en Allemagne pour racolage.
C’est toi qui me demandais si j’étais fiché.
• Pardon, j’aurais dû te le dire, mais comprends que ce passage de ma vie, je suis auprès de toi pour l’oublier.
• Tu as donc fait la pute, si mère savait que celle qu’elle a ramenée avec sa voiture allait tapiner en Allemagne.
Ils ont donc ta photo !
Ils ont donc ta photo !
• Non, mais écoute, je t’expliquerais après.
Je me suis tu, le procureur parlais du camion que la gendarmerie attendait le camion à un petit poste-frontière où nous savions qu’ils passeraient.
Ils sont morts avant, près de Tavaux.
Quand une dame s’étant arrêtée avec son camping-car a trouvé bizarre ce camion arrêter la portière du passager ouverte, ce qu’elle a découvert la glacé d’effroi.
Au stade de l’enquête, ils semblent que les deux frères soient morts la gorge tranchée par une lame non retrouvée et une batte encore présente, mais sur laquelle les empreintes ont été effacées.
• Tu vois, rien à craindre, j’ai essuyé la batte avec le morceau de tissu qui se trouvait sur la couchette sans me rendre compte que c’était ma petite culotte.
Je l’ai fait quand je suis revenu prendre le téléphone.
Dans le camion, comme nous le suspections, nous avons découvert sous des cagots de fruit et légumes dans ce camion-frigo, 200 kilos de résines de cannabis et 90 kilos de cocaïne.
Ce chargement était prévu pour alimenter le marché de Munich.
Les recherches s’orientent sur la guerre des réseaux de drogues allemandes et espagnoles, la France étant la plaque tournante.
Je ferme la télé, Hélène vient se blottir dans mes bras.
• Ça t’ennuie que j’aie gagné de l’argent comme tu as compris que je l’ai fait.
Pour l’Allemagne, quand ils m’ont arrêté, j’ai été emmené dans un commissariat, j’étais blonde avec des lentilles de contact me permettant d’avoir des yeux bleus.
Ils ont amené un voyou qu’ils traquaient depuis des jours, j’en ai profité pour m’éclipser et repartir vers la Suisse, c’est à ce moment que ma sœur m’a parlé de son mariage avec toi.
Ils ont juste mes emprunts sans ma photo.
Je l’ai embrassé, sans elle, c’est moi qui aurais été dans le sac que ma décrit mon copain et surtout je me souviens, ces touts frais, de la partie de baise que j’ai faite avec elle à mon retour.
Ce plan cul, je le reproduis de nouveau sur le canapé quand mère entre dans la pièce.
Je m’attends à des engueulades, mais elle vient s’assoir devant nous alors que je suis encore ma verge dans la chatte de ma future.
• Je vois que vous vous entendez bien, je voulais vous dire que dès que vous vous serez marié, avec ton père, nous vous laisserons le domaine.
Nous avons acheté un petit cottage près de chez ma sœur qui t’embrasse bien fort.
Nous nous y retirerons pour notre retraite.
Elle s’est levée et en grande dame a quitté la pièce.
Rien sur son canapé et le fait que nous baisions.
Le lundi, nous sommes allées chez Mercedes, nous avons acheté une berline, la Porche devenant trop étroite pour trois personnes et nos futurs enfants.
Ils m’ont déduit ma portière, mais c’était un moindre mal.
• Oui, je le veux, d’être fidèle...
Et tout le tralala.
On peut penser que j’ai épousé Hélène.
Eh bien, non, c’est Bénédicte que j’ai épousée.
J’ai fait comprendre à mère que ma future avait une jumelle en Suisse qui était prête à venir vivre avec nous.
Replaçant les sœurs dans la bonne situation, nous évitons des problèmes dans le futur.
Bénédicte va s’occuper de la compta et les ventes.
Hélène avec son sens de la liberté va m’aider dans les villes et au chai, elle est tombée amoureuse de nos vignes.
Au lit, je dois reconnaître avoir la chance de me partager les deux sœurs depuis que mes parents m’ont laissé seul.
Mère était restée stoïque quand je pointais ma compagne sur son canapé.
Mais une baise à trois, j’ignore comment aurait été sa réaction, et je préfère l’ignorer.
En ce moment, je suis un camion à deux pas du parking Tapioca.
Un camion y est arrêté.
J’évite de doubler avec mes deux femmes, car sur le côté une voiture est arrêtée.
J’ai bien fait, elle redémarre.
Nous sommes en route pour rejoindre nos copains à la Caverne.
Hélène vie sa vie comme elle l’a toujours fait, ce soir comme d’autres fois, si un beau mâle passe par là, elle reviendra avec lui.
Jaloux, hors de question, je sais que lorsque nous rentrerons, je prendrai ma femme le long de la porte d’entrée et sur le guéridon que mère nous a laissée.
L’affaire, à ce jour, aucune nouvelle, mais nos vies sont très droites.
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