COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (1/3)
3 mars 2017, avec Serge nous venons de faire l’amour.
Nous faisons l’amour le plus souvent possible, nous aimons ça depuis trois ans que nous sommes mariés, mais trois ans où j’attends désespérément d’être enceintes.
Avec l’aide de la gynéco, j’ai enfin obtenu que Serge fasse des examens de ses spermatozoïdes si le 20 de ce mois, j’ai de nouveau mes règles.
Hélas, j’ai mes règles rubis sur l’ongle et ça finit par devenir déprimant, j’espère chaque fois qu’elles vont s’abstenir d’arriver.
De mon côté, Geneviève, ma copine gynéco a tout contrôlé, j’ai de bonnes ovulations et elle pense de plus en plus que le problème vient de Serge.

• Chérie, mercredi 8 mars, le PSG joue son match retour à Barcelone après notre victoire à l’allée 4 à 0.
• Je m’en souviens, tu es rentré bourré comme un coin, tu as dégueulé sur la carpette de notre chambre.
• Bébé, c’est la première fois où j’ai eu du mal à tenir la bouteille.
Inutile de me rappeler cet accident jusqu’à la fin de notre vie.
Pour ce match retour tu pourras me surveiller, c’est chez nous que les potes viendront voir le match sur notre maxi écran que tu m’as offert pour mon Noël.
• Faute de cadeaux pour nos enfants, nous avions les moyens de t’offrir ce rêve de ta vie depuis que ces écrans existent.
Il va falloir que je prépare à manger !
• Non, juste quelques chips et des tranches de ton cake aux olives ta spécialité familiale lorsque nous étions à Bordeaux.

Je m’appelle Sandrine, je suis prof des écoles dans le 92, avec Serge, mon mari prof de fac lui aussi à Nanterre.
Pour avoir des postes dans la même région, nous avons accepté de nous expatrier pour vivre ensemble, mais nous nous sommes empressés de demander au mammouth un rapprochement dans notre région.
Nous sommes bordelais, du moins moi, lui est de Biscarrosse, ou ses parents ont une maison non loin de la plage.
Je l’ai rencontré un été où j’étais sur la plager non loin de chez lui.

• Après la pâtée que nous leur avons mis à l’aller, on va chez eux les achever et passer au tour suivant.
• Vous serez combien ?
• Quatre, non cinq avec moi, pour les boissons, ils s’occupent de tout.
• Ça, je vous fais confiance, je sais, je dois éviter de te rappeler ce qui s’est passé, je les connais !
• Deux sur, les jumeaux non, ils sont nouveaux à notre club de vétérans où nous jouons tous les vendredis, ce sera la première fois que tu les rencontreras.
Albert sera là, il était à notre mariage.
• Pot de colle, s’il m’emmerde, il se prend ma main dans la gueule et je suis polie.
• Il avait un peu bu lorsqu’il t’a proposé la botte dans ta robe blanche à notre mariage.
• Je pense que vous avez l’habitude de trop boire dès que vous en trouvez l’occasion entre vous !
• Chérie, arrête avec l’alcool, la poutre lui aussi tu le connais !
Pardon, « la poutre », c’est Bruno, le collègue de ton école, tu sais qu’il est amoureux de toi.
• Pourquoi « la poudre » ?
• As-tu déjà regardé à la hauteur de sa braguette à la récré ?
• Chérie, j’ai beaucoup de sollicitation surtout dans le métro, alors que tu me satisfais pleinement, sauf pour me faire un enfant, mais je crois que, rapidement nous allons régler le problème, tu me l’as promis.
• Pour le contrôle, on verra, mais la poutre, pardon Bruno il en a une comme ton avant-bras.
• Mon avant-bras regarde, au moins trente-cinq centimètres, tu déconnes, je sais que cela existe, mais chez les Africains et non chez les blancs !
• Chérie, les grosses verges noires c’est une idée reçue, il en existe des blanches aussi, regarde dans les années 80 Rocco l’italien, il était monté comme un taureau.
Dis-moi que comme toutes ces salopes, tu fantasmes sur les grosses et grandes verges noires !
• Arrête de dire des conneries, pour le 8, c’est d’accord, pour les bites noires, je préfère me contenter de la tienne.
Au moins depuis le temps que nous faisons l’amour ensemble, je sais m’en servir et je suis sûr que la longueur est sans la moindre influence.
• Viens que je te fasse l’amour, j’ignore pourquoi je sens que ça va marcher.

Nous sommes vite au 8, ils arrivent tous ensemble.
Il fait chaud dans notre appartement, j’ai mis mon petit short mettant mes fesses en valeur, je sais que ça fait travailler la libido de Serge.
Après le match si comme il me le dit, le PSG se qualifie, nous aurons de nouveau un petit tête-à-tête, car les victoires le mettent en bonnes formes.
Bien sûrs, au match aller, ils étaient justement tous chez la poutre, voilà que je m’y mets, moi aussi, je devrais dire « Bruno », mon collègue.
Au moment où je les embrasses, même les jumeaux alors que c’est la première fois que je les vois, je suis incapable de dire qui est qui tellement ils se ressemblent.
Adrien et Laurent, qui est Adrien et qui est Laurent, comme je le dis, au moment où ils se présentent, je sais qui est qui.
Mais dès qu’ils se déplacent dans la pièce, je suis dans l’impossibilité de dire qui est qui.
Albert, égal à lui-même, se colle à moi.

• Ma chérie, tu es de plus en plus belle, Serge lorsque tu en auras assez de Sandrine prévient moi, je la prendrais pour épouse.

Beurk, beurk, comme dans le sketch de Guy Bedos et Sophie Daumier, ou ils dansent ensemble, Guy croyant emballer écoeure Sophie qui doit le subir.

• Sandrine, on vient t’envahir, je te promets que ton mari se tiendra mieux que la semaine dernière où j’ai été obligé de le reconduire et où je le reconnais je te l’ai laissé devant ta porte.

Je dois reconnaitre que lorsque Bruno, j’ai réussi à éviter de penser à « la poutre, » mais mon œil se porte vers son jean et plus particulièrement sa braguette.
Je dis un œil, parlons franc, mes deux yeux, mon mari avait raison, il semble qu’il y ait du matériel derrière le morceau de tissu qui la couvre, la bosse est caractéristique.

• Bon, buvons un verre, avant le match où nous boirons les packs de bières que vous avez amenés, je vous propose un petit whisky comme entrée en matière avant notre victoire.

Je le regarde, mais il semble me dire, parle toujours, bien qu’il me fasse un compliment.

• Mangez le cake aux olives de Sandrine, c’est sa spécialité, vous allez vous régaler, elle la tient de sa maman ma belle-mère.

Un, deux, trois whiskys, le match commence, très vite, Serge s’enflamme sa première canette de bière à la main.

• Fumier d’arbitre allemand, il est là pour nous faire perdre, regardez, le tacle de Piquet, il aurait dû mettre le rouge, même pas un jaune.
Il est là pour se venger de 14-18 et 39-45 !
• Je dois reconnaitre que tu as raison Serge, mais pour autant crois-tu qu’avec 4 à 0 dans la musette à l’aller, nous avons quelque chose à craindre de ces putains d’Espagnol !

Je suis dans la cuisine à couper un troisième cake, j’en ai fait cinq, lorsque j’entends ces propos, pleines de sagesse, je parle de ceux de la poutre.
Ça recommence, étant obnubilé par le mot « poutre », bien que je sache qu’étant mariée et fidèle, ce mot restera un simple fantasme surtout une poutre blanche.
Il serait martiniquais, guadeloupéen ou réunionnais, il y en a beaucoup dans l’enseignement, pourquoi pas, mais blanc, bref pensons à autre chose.

Le match et moi, ça fait deux, je sens que je suis la poupée de service pour Serge qui boit bouteille après bouteille.
Je suis incapable de dire qui gagne ou qui perd, tous ce que je sans c’est que les noms d’oiseaux fusent en travers de notre salon.
J’ai d’autres sources d’anxiétés, mon tapis persan, si Serge s’est vu offrir un écran géant, j’ai demandé au père Noël un tapis persan bien épais.
Je le regarde, je crains d’être obligée de lui faire suivre le même chemin que la carpette, bien qu’elle soit encore au nettoyage, je dois la récupérer demain.
Il y a deux jours, Serge me chauffant sur le canapé, voulant me baiser, j’ai résisté et j’ai réussi à l’entrainer dans notre chambre.
Un jour peut être, nous baiserons dessus, il est assez épais pour que mon dos soit à l’aise ou mes genoux s’il me prend en levrette.
En attendant, je retourne en cuisine, il est temps de leur ramener des chips, ils boivent autant qu’ils en mangent.

• La poutre qu’est-ce que tu fais, pourquoi te colles-tu à moi ?
• Je vois que ton mari t’a donné mon surnom, ils croient que je l’ignore, mais c’est plutôt flatteur, sens-tu comme tu lui fais de l’effet ?
• Arrête, oui je la sens, mais je suis mariée et mon mari est de l’autre côté.
• Prends-la en main, tu m’excites depuis que je suis arrivé dans ton petit short ras ta touffe, si tu as une touffe, j’aime les femmes qui se rasent.
• Oui, je me rase...
Tu me fais dire des conneries, si je suis rasée, ça regarde Serge et seulement Serge.
• Alors pourquoi tu l’as prise dans ta main, essaye de la sucer ?

Il faut être folle, je suis folle, je me surprends à m’agenouiller pour arriver la hauteur, de, de, de...
Une vraie monstruosité pourtant ma main est rejointe par ma langue, le bâton rempli de sang est bien incapable de rentrer même si j’ai une large bouche.
Vais-je accomplir m’adultère avec mon mari dans la pièce voisine, c’est impensable.
Surtout que, certes, elle est grosse, mais elle est blanche...

Les avis des lecteurs

Merci cher lecteur et toi Sucette
ça donne l'envie d'aller faire des crèpes... Sucette...
Elle était facile et tentante celle là...

Comme toujours, des textes bien écrits, une présentation des personnages sans lieu commun, du ressentis, un scénario crédible où l'on peut se retrouver dans les personnes.

Histoire Erotique
Un beau souvenir qui se transforme en histoire de cul, j'adore...

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (1/3)
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