COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (2/3)
La soirée semble tourner au cauchemar, je suis agenouillée dans ma cuisine la bite de la poutre en main la léchant faute de pouvoir la faire entrer dans ma bouche.
La poutre, Bruno, le meilleur copain de Serge, mon mari, Bruno qui porte bien son surnom de « la poutre » lorsque je m’abandonne en m’agenouillant et en la suçant faute de pouvoir la faire entrer dans ma bouche.
Dans le salon, j’ignore pourquoi les autres cris, il doit se passer des choses pendant le match qu’ils regardent en buvant leur bière, mais de mon côté, je sais très bien ce qui se passe.
Bruno s’est allongé sur le carrelage, malgré sa froideur me permettant de littéralement m’empaler sur ce que certaines appelleraient cette monstruosité.
Ma bouche a pu simplement fait entrer le gland après bien des efforts.
Avec mon mari, il m’arrive souvent de me faire baiser en m’empalant sur sa verge, mes fesses reposant sur ses cuisses.
À ce moment lorsque mes jambes reposent sur le sol de chaque côté de lui, je suis obligé de freiner des quatre fers pour éviter de me trouver pourfendue en deux.
Mon utérus est compressé, mais cette sensation est divine, rapidement je pars dans les tours.
• Bruno, Serge veut une canette, merde, qu’est-ce que vous faites !
Sandrine si j’avais pu imaginer avec mon frère que tu étais une salope baisant avec le meilleur ami de ton mari alors qu’il est dans la pièce voisine !
J’aurais traité celui qui m’aurait dit ça de taré.
J’avais bien cru entendre une femme geindre en me trouvant près de la porte de la cuisine, tu aimes ça salope, tiens fait moi une sucette.
À moitié dans les vapes, je franchis l’infranchissable.
Pour faire cours, l’un des jumeaux a sorti sa verge, heureusement moins grosse que celle de la poutre et il me la présente à ma bouche.
Ma main la saisit, j’entends de nouveau hurler dans le salon et étant prise par ma chatte, je me retrouve avec une verge dans ma bouche.
Ai-je fait autant de bruit, à ma droite, une verge, de l’autre son pendant que je masturbe en cadence avec la verge que je suce.
Inutile de chercher à qui ses deux verges appartiennent, évidemment aux jumeaux, vu leur similitude.
Trois sur cinq, je suis en train d’en satisfaire trois sur cinq, lorsque ce que je redoutais arrive, mais pas dans le sens que je le pensais.
• Eh bien, les mecs, elle arrive cette bière, ils en ont encore pris un autre, l’arbitre nous a encore enculés !
Tiens vous baiser Sandrine, si vous saviez le nombre de fois que je la bourre cette salope et qu’elle veut me mettre sur le dos ma soi-disant infertilité.
Vous vous rendez compte qu’ils veulent compter le nombre de mes spermatozoïdes au mètre carré.
Et dire qu’il m’avait promis de rester modéré sur la bibine, il est de nouveau bourré.
Un orgasme me rattrape et la verge dans ma bouche change sans que la première ait déchargé.
Quel con, son nombre de spermatozoïde au mètre carré, si j’arrive à lui en faire mettre quelques centilitres dans un flacon, on arrivera peut-être à comprendre pourquoi nous avons tant de mal à avoir un enfant.
• Attendez, on est là pour voir le match, joignons l’utile à l’agréable, amener là dans le salon, je rêve de la prendre sur son joli tapis persan.
Encore dans les vapes après l’orgasme que la poutre m’a procuré, je me relève sentant un liquide chaud couler le long de mes cuisses.
Bruno dans la coupure de courant que j’ai ressenti, a dû me remplir de litres de sperme.
Quand je l’ai léché, j’ai aussi passé ma langue sur ses couilles, de vraies balles de tennis alors qu’à ce jour, j’avais seulement connu des balles de golf.
Elles devaient être remplies de ce bon liquide qui m’a aidé à avoir mon orgasme lorsqu’il a dû m’arroser.
Mais lorsque je rentre dans mon salon, un autre problème motive ma soumission à tous ses hommes.
Mon mari...
Pas celui qui a peur de se faire diagnostiquer, celui-là je peux le comprendre.
Apprendre que l’on peut être un sous-homme, c’est trop fort, plutôt une moitié d’homme étant la risée de ceux qui sans forcer simplement en tirant un coup voient un enfant piailler dans leur foyer.
Nous et surtout Serge, nous baisons à couilles rabattues, tendre sa queue à tout moment pour un résultat nul, je lui pardonne.
Mais, quand il saute de son fauteuil en levant les bras en hurlant, voyant un ballon frôler les poteaux de ces putains d’Espagnol, faisant sortir et tomber de la bière de sa énième canette, c’est impardonnable.
Frôler les poteaux, je l’interprète, un jour pour lui faire plaisir, je me suis lové dans ses bras.
J’étais nue, nous venions de revenir de notre chambre ou nous venions une nouvelle fois de copuler, car pour avoir cet enfant nous finissons simplement par.copuler.
Copuler, mot fort, mais tellement vrai, je finis par écarter mes cuisses, par habitude même si de temps en temps ça me permet d’avoir un orgasme.
Dans ses bras, un jour où il était sobre, je lui ai demandé de m’expliciter les règles.
Je me demande s’il m’a pris pour une conne en me disant que les Belges tiraient toujours à côté des poteaux, car un but à l’extérieur, ça comptait double.
« Putain d’Espagnol, » ça je l’entends de mes propres oreilles, et ça me choc, j’ai horreur des mots orduriers dans ma maison.
• Mettez là à quatre pattes, vous verrez, elle aime ça la salope !
Un instant, j’ai un moment de lucidité, je suis à deux doigts de me retirer dans notre chambre.
Hélas, l’état d’ébriété où il se trouve, alors qu’il m’avait promis de rester sobre lorsque j’ai accepté qu’il réunisse ses copains, je me sens trahi.
Au moment où mes genoux rejoignent mon tapis persan, je me retrouve avec une petite bite dans ma bouche, certainement ayant une jumelle, une autre me prenant en levrette par ma chatte.
Du coin de l’œil regardant à droite, je vois Albert certainement aussi saoul que mon mari, dormant dans mon fauteuil une canette un doigt dans le goulot, ce con, il a dû le coincé.
Ce qui me rassure, c’est qu’il dort ignorant que je suis une chienne à baiser, dans ma main, la poutre vient se faire masturber ce que je m’empresse de faire.
Mon vagin est arrosé et je suis pris par des bras pour m’empaler sur la poutre de Bruno.
Dans l’orgie sexuelle que je subis très volontairement, sans l’avoir cherché, je sens qu’une bite cherche son chemin.
J’ai déjà vu des films pornographiques et moi qui suis vierge de l’anus, je me laisse prendre en double péné.
C’est à ce moment que mes oreilles entendent, dit par le commentateur, le terme ou le mot de « Remontada ».
J’ai fait Espagnol deuxième langue, « remontada », « remonté », plutôt « revenir » en Français.
Remontada, ce mot va hanter les jours qui suivent l’orgie que j’accepte de subor devant celui que je considère comme un sous-homme et, pourtant moi je suis sobre.
• Vous voulez bien le croire, malgré le quatre zéro à l’aller, ils ont fini par nous éliminer.
Ce sera les derniers mots qu’il prononcera s’écroulant dans son fauteuil me laissant seule avec mes turpitudes.
Mais que je prolonge ma soirée jusqu’à ce que je sois repu de sexe et que les couilles de mes visiteurs soient complètement vidées.
• Sandrine merci pour cette bonne soirée, je fantasmais sur toi, avec l’aide des jumeaux tu m’as offert la meilleure soirée ainsi que la nuit de ma vie.
Va te coucher, je récupère Albert et je les rentre faire dodo.
Albert, ce con, lorsque je laisse Serge cuvée dans son fauteuil et les jumeaux récupérer leurs affaires, je sais que demain, je vais devoir affronter mon mari et certainement divorcer.
Je suis dans mon bain lorsque j’entends la porte palière claquer, ils sont partis.
De ma chatte sortent des filaments de sperme, personne peu le croire, surtout les dames patronnesses de ce site, je prends conscience que dans cette boulimie de sexe, nous avons baisée sans capote.
De toute façon, j’en aurais cherché, il m’aurait été impossible d’en trouver dans ma maison.
Pourtant, je dore comme une masse, dans l’eau et je me réveille l’eau étant froide.
Remontada, par ci, ou par là, pendant des jours ce mot hante mon esprit, télé, boulangerie, boucherie et même à la pharmacie où je viens récupérer des tests de grossesse.
Demain, Serge à rendez-vous pour son test de fertilité, bizarrement en se réveillant a-t-il pris conscience de la connerie qu’il a faite en se bourrant la gueule malgré sa promesse.
Lorsqu’il est rentré dans la cuisine, était-il déjà trop bourré pour se souvenir des ordres qu’il a donnés à ses copains de m’emmener sur mon tapis persan ?
A-t-il vu que je me faisais bourrer comme la salope que cette remontada a faite de moi sur mon tapis persan ?
Tapis persan que je frotte délicatement, des traces suspectes le jonchant là ou je me suis comportée comme une chienne.
• Sandrine, je confirme, les deux barres de ton test tu es enfin enceinte, Serge, j’annule ton test de virilité, tu as prouvé à ta femme que tu étais en parfaite santé tes spermatozoïdes aussi.
Ces mots prononcés par la gynéco elle les dit la première fois où nous venons la consulter mes règles pour une fois ayant du retard.
La suite va se trouver moins marante surtout pour moi...
La poutre, Bruno, le meilleur copain de Serge, mon mari, Bruno qui porte bien son surnom de « la poutre » lorsque je m’abandonne en m’agenouillant et en la suçant faute de pouvoir la faire entrer dans ma bouche.
Dans le salon, j’ignore pourquoi les autres cris, il doit se passer des choses pendant le match qu’ils regardent en buvant leur bière, mais de mon côté, je sais très bien ce qui se passe.
Bruno s’est allongé sur le carrelage, malgré sa froideur me permettant de littéralement m’empaler sur ce que certaines appelleraient cette monstruosité.
Ma bouche a pu simplement fait entrer le gland après bien des efforts.
Avec mon mari, il m’arrive souvent de me faire baiser en m’empalant sur sa verge, mes fesses reposant sur ses cuisses.
À ce moment lorsque mes jambes reposent sur le sol de chaque côté de lui, je suis obligé de freiner des quatre fers pour éviter de me trouver pourfendue en deux.
Mon utérus est compressé, mais cette sensation est divine, rapidement je pars dans les tours.
• Bruno, Serge veut une canette, merde, qu’est-ce que vous faites !
Sandrine si j’avais pu imaginer avec mon frère que tu étais une salope baisant avec le meilleur ami de ton mari alors qu’il est dans la pièce voisine !
J’aurais traité celui qui m’aurait dit ça de taré.
J’avais bien cru entendre une femme geindre en me trouvant près de la porte de la cuisine, tu aimes ça salope, tiens fait moi une sucette.
À moitié dans les vapes, je franchis l’infranchissable.
Pour faire cours, l’un des jumeaux a sorti sa verge, heureusement moins grosse que celle de la poutre et il me la présente à ma bouche.
Ma main la saisit, j’entends de nouveau hurler dans le salon et étant prise par ma chatte, je me retrouve avec une verge dans ma bouche.
Ai-je fait autant de bruit, à ma droite, une verge, de l’autre son pendant que je masturbe en cadence avec la verge que je suce.
Inutile de chercher à qui ses deux verges appartiennent, évidemment aux jumeaux, vu leur similitude.
Trois sur cinq, je suis en train d’en satisfaire trois sur cinq, lorsque ce que je redoutais arrive, mais pas dans le sens que je le pensais.
• Eh bien, les mecs, elle arrive cette bière, ils en ont encore pris un autre, l’arbitre nous a encore enculés !
Tiens vous baiser Sandrine, si vous saviez le nombre de fois que je la bourre cette salope et qu’elle veut me mettre sur le dos ma soi-disant infertilité.
Vous vous rendez compte qu’ils veulent compter le nombre de mes spermatozoïdes au mètre carré.
Et dire qu’il m’avait promis de rester modéré sur la bibine, il est de nouveau bourré.
Un orgasme me rattrape et la verge dans ma bouche change sans que la première ait déchargé.
Quel con, son nombre de spermatozoïde au mètre carré, si j’arrive à lui en faire mettre quelques centilitres dans un flacon, on arrivera peut-être à comprendre pourquoi nous avons tant de mal à avoir un enfant.
• Attendez, on est là pour voir le match, joignons l’utile à l’agréable, amener là dans le salon, je rêve de la prendre sur son joli tapis persan.
Encore dans les vapes après l’orgasme que la poutre m’a procuré, je me relève sentant un liquide chaud couler le long de mes cuisses.
Bruno dans la coupure de courant que j’ai ressenti, a dû me remplir de litres de sperme.
Quand je l’ai léché, j’ai aussi passé ma langue sur ses couilles, de vraies balles de tennis alors qu’à ce jour, j’avais seulement connu des balles de golf.
Elles devaient être remplies de ce bon liquide qui m’a aidé à avoir mon orgasme lorsqu’il a dû m’arroser.
Mais lorsque je rentre dans mon salon, un autre problème motive ma soumission à tous ses hommes.
Mon mari...
Pas celui qui a peur de se faire diagnostiquer, celui-là je peux le comprendre.
Apprendre que l’on peut être un sous-homme, c’est trop fort, plutôt une moitié d’homme étant la risée de ceux qui sans forcer simplement en tirant un coup voient un enfant piailler dans leur foyer.
Nous et surtout Serge, nous baisons à couilles rabattues, tendre sa queue à tout moment pour un résultat nul, je lui pardonne.
Mais, quand il saute de son fauteuil en levant les bras en hurlant, voyant un ballon frôler les poteaux de ces putains d’Espagnol, faisant sortir et tomber de la bière de sa énième canette, c’est impardonnable.
Frôler les poteaux, je l’interprète, un jour pour lui faire plaisir, je me suis lové dans ses bras.
J’étais nue, nous venions de revenir de notre chambre ou nous venions une nouvelle fois de copuler, car pour avoir cet enfant nous finissons simplement par.copuler.
Copuler, mot fort, mais tellement vrai, je finis par écarter mes cuisses, par habitude même si de temps en temps ça me permet d’avoir un orgasme.
Dans ses bras, un jour où il était sobre, je lui ai demandé de m’expliciter les règles.
Je me demande s’il m’a pris pour une conne en me disant que les Belges tiraient toujours à côté des poteaux, car un but à l’extérieur, ça comptait double.
« Putain d’Espagnol, » ça je l’entends de mes propres oreilles, et ça me choc, j’ai horreur des mots orduriers dans ma maison.
• Mettez là à quatre pattes, vous verrez, elle aime ça la salope !
Un instant, j’ai un moment de lucidité, je suis à deux doigts de me retirer dans notre chambre.
Hélas, l’état d’ébriété où il se trouve, alors qu’il m’avait promis de rester sobre lorsque j’ai accepté qu’il réunisse ses copains, je me sens trahi.
Au moment où mes genoux rejoignent mon tapis persan, je me retrouve avec une petite bite dans ma bouche, certainement ayant une jumelle, une autre me prenant en levrette par ma chatte.
Du coin de l’œil regardant à droite, je vois Albert certainement aussi saoul que mon mari, dormant dans mon fauteuil une canette un doigt dans le goulot, ce con, il a dû le coincé.
Ce qui me rassure, c’est qu’il dort ignorant que je suis une chienne à baiser, dans ma main, la poutre vient se faire masturber ce que je m’empresse de faire.
Mon vagin est arrosé et je suis pris par des bras pour m’empaler sur la poutre de Bruno.
Dans l’orgie sexuelle que je subis très volontairement, sans l’avoir cherché, je sens qu’une bite cherche son chemin.
J’ai déjà vu des films pornographiques et moi qui suis vierge de l’anus, je me laisse prendre en double péné.
C’est à ce moment que mes oreilles entendent, dit par le commentateur, le terme ou le mot de « Remontada ».
J’ai fait Espagnol deuxième langue, « remontada », « remonté », plutôt « revenir » en Français.
Remontada, ce mot va hanter les jours qui suivent l’orgie que j’accepte de subor devant celui que je considère comme un sous-homme et, pourtant moi je suis sobre.
• Vous voulez bien le croire, malgré le quatre zéro à l’aller, ils ont fini par nous éliminer.
Ce sera les derniers mots qu’il prononcera s’écroulant dans son fauteuil me laissant seule avec mes turpitudes.
Mais que je prolonge ma soirée jusqu’à ce que je sois repu de sexe et que les couilles de mes visiteurs soient complètement vidées.
• Sandrine merci pour cette bonne soirée, je fantasmais sur toi, avec l’aide des jumeaux tu m’as offert la meilleure soirée ainsi que la nuit de ma vie.
Va te coucher, je récupère Albert et je les rentre faire dodo.
Albert, ce con, lorsque je laisse Serge cuvée dans son fauteuil et les jumeaux récupérer leurs affaires, je sais que demain, je vais devoir affronter mon mari et certainement divorcer.
Je suis dans mon bain lorsque j’entends la porte palière claquer, ils sont partis.
De ma chatte sortent des filaments de sperme, personne peu le croire, surtout les dames patronnesses de ce site, je prends conscience que dans cette boulimie de sexe, nous avons baisée sans capote.
De toute façon, j’en aurais cherché, il m’aurait été impossible d’en trouver dans ma maison.
Pourtant, je dore comme une masse, dans l’eau et je me réveille l’eau étant froide.
Remontada, par ci, ou par là, pendant des jours ce mot hante mon esprit, télé, boulangerie, boucherie et même à la pharmacie où je viens récupérer des tests de grossesse.
Demain, Serge à rendez-vous pour son test de fertilité, bizarrement en se réveillant a-t-il pris conscience de la connerie qu’il a faite en se bourrant la gueule malgré sa promesse.
Lorsqu’il est rentré dans la cuisine, était-il déjà trop bourré pour se souvenir des ordres qu’il a donnés à ses copains de m’emmener sur mon tapis persan ?
A-t-il vu que je me faisais bourrer comme la salope que cette remontada a faite de moi sur mon tapis persan ?
Tapis persan que je frotte délicatement, des traces suspectes le jonchant là ou je me suis comportée comme une chienne.
• Sandrine, je confirme, les deux barres de ton test tu es enfin enceinte, Serge, j’annule ton test de virilité, tu as prouvé à ta femme que tu étais en parfaite santé tes spermatozoïdes aussi.
Ces mots prononcés par la gynéco elle les dit la première fois où nous venons la consulter mes règles pour une fois ayant du retard.
La suite va se trouver moins marante surtout pour moi...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cyrille, tu serais une demoiselle, je t'aimerais
C'est les tests de paternité qui vont coûter chers?
Merci Chris pour ce récit très excitant
Cyrille
Merci Chris pour ce récit très excitant
Cyrille