COLLECTION ZONE ROUGE. Lait maternel (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Lait maternel (1/1)
• Bonjour Lucette, je m’excuse de passer de si bonne heure, mais tu sais entre la pharmacie et le temps que je passe à la mairie, c’était le seul moment que j’avais de libre.
• Entrez monsieur le maire, vous êtes le bienvenu, avec mon fils à nourrir à changer, vous êtes l’un des premiers à venir voir mon bébé.
• Un premier c’est émouvant surtout le fils de Louis mon cantonnier, dire que c'est moi qui vous ai mariés.
Mais dit moi, je sais que vous l’avez appelé Pierre, c’est beau Pierre, est-il vrai que c’est le nom de ton beau-père ?
• Oui monsieur le maire, mais assayez-vous à côté de moi, j’allais lui donner la téter.
• Fait, Lucette, il faut que ton premier rejeton devienne fort pour devenir un bon footballeur comme son père.
• Arrêtez monsieur le maire, j’en ai marre qu’il me laisse seule, trois soirs et le dimanche tout l’après-midi.
• Oui, mais il t’a fait un beau bébé bien joufflu.
Tu dois avoir du bon lait bien gras.
Pierre tête le droit, permet moi de goûter le gauche
Regarde quand je le sors de ton peignoir, j’ai largement ma place de mettre ma tête.
• Oh, monsieur le maire, mais vous me tétez plus fort que Pierre.
• Téter, c’est comme faire du vélo, tu reprends et tu retrouves le rythme de comment tes lèvres doivent appuyer sur le téton.
Je vais t’avouer une chose que je garde pour moi, j’ai tété maman jusqu’à l’âge de huit ans.
Quand elle m’a quitté pour suivre un beau gitan qui passait avec sa caravane, je me suis senti frustré.
• Si ça vous permet de recouvrer votre jeunesse, continuez, Pierre dort sur mon sein droit et le gauche est si gorgé de lait qu’il me fait mal.
J’ai dit à Louis de m’acheter un tire-lait, mais il oublie toujours.
• Arrête de lui demander, si tu acceptes, je viendrais tous les jours vers 9 heures te téter et te soulager, ce sera un vrai plaisir.
Il va de soi que l’on gardera ça pour nous.
À cette heure-là, Louis sera au café, il me serinait depuis des mois pour que je les autorise à faire cette pause.
Lui aura sa pause-café et moi ma pause lait maternel.
Voilà comment depuis quelques jours, je viens tous les jours satisfaire ma phobie du lait maternel tiré directement du sein de ma belle administrée.
• Buvez, monsieur le maire, maman est contente de t’apporter tes vitamines, tu es un bon gros bébé.
Et que faite vous monsieur le maire, pourquoi posez-vous votre main sur ma cuisse ?
• Pierre est encore couché et il dort à poing fermé, j’ai envie d’un peu plus, as-tu eu ton retour de couches ?
Ton lait diminue, si nous en faisions un deuxième.
• Monsieur le maire, mais Louis.
• Demain tu me diras ce que tu penses de ce que je vais proposer à ton mari tout à l’heure.
Tu lui as dit que je venais te téter, il est venu me voir il y a quinze jours.
• C’est vrai que je lui ai dit, on se dit tout et surtout après qu’un matin il soit passé devant l’immeuble avec la camionnette de notre commune et qu’il vous a vu sortir, monsieur le maire.
• Je sais, il est venu me voir.
Pourquoi crois-tu que je l’ai nommé au poste d’entraîneur de nos équipes de foot séniors ?
Il rêvait de l’avoir, toi aussi tu es gagnante, il a eu le poste s’il arrêtait de jouer.
Ça évite qu’il ait de nouveau un pied dans le plâtre.
• Caresse-moi et suce-moi, je veux te téter la queue toi aussi comme tu me tètes.
Du sein à ma queue, tout baigne.
• Monsieur le maire, je veux bien pour le bébé, mais Louis après-avoir eut son fils, il m’a toujours dit que ce serait le seul.
• Et toi Lucette te souviens-tu ce que tu me disais lors de la remise des prix à l’école pour tes douze ans ?
Je vois à ton regard que tu as oublié.
Je te demandais ce que tu voulais faire comme travail lorsque tu serais grande !
• Non, j’ai oublié.
• Tu voulais être maman avec une chiée de bébé.
Il faut toujours assouvir ses envies d’enfant, on le regrette toujours quand on est vieille si on se laisse dicter sa vie par un mari.
Une femme, un homme même vieillissant et tout est dit.
• Oh, monsieur le maire, elle est grosse et vous me remplissez bien.
C’est la première fois que je fais l’amour à quatre pattes sur la moquette.
• En levrette Lucette en levrette, je suis satisfait d’être le premier à te prendre dans cette position et te faire découvrir les plaisirs de la levrette.
Quelques heures plus tard à la mairie.
• Monsieur le maire, je vais vous casser la gueule.
• Assieds-toi et calme-toi, je sais, je baise ta femme et je veux lui faire un bébé ou toi d’ailleurs pour qu’elle ait toujours du lait à me donner.
• Un fils c’est tout, un deuxième me poserait trop de problèmes.
• Regarde ta mère la salope de Mauricette, elle en a eu cinq, toi l’aîné, tes deux sœurs et après tes deux frères.
Tu t’es posé la question pourquoi aucune ressemblance avec toi ?
• Oui.
• Ce sont mes quatre enfants, je tétais ta mère en même temps que toi et je lui aie fait ses enfants afin que comme pour ta femme sa source reste en service.
Tu es né dans une ferme, ton père le cocu pratiquait de même avec vos vaches, il les faisait porter pour qu’elle continue à vous donner du lait.
Il va en être de même pour ta femme, en contrepartie Paul le chef cantonnier partant à la retraite, j’ai à choisir entre toi et Jean.
Si tu acceptes que je lui fasse un enfant, tu auras le poste.
En plus, pour prévoir l’avenir, nous construisons avec les services de l'État un immeuble.
La commune aura deux cinq pièces, trois-quatre pièces et six deux pièces.
Lucette et toi à trois personnes vous pouvez prétendre à un trois-pièces.
Tu auras l'un des cinq pièces et nous ferons trois enfants à Lucette dans les mois prochains afin que je continue à avoir du lait maternel.
• Bien monsieur le maire, mais c’est moi qui aurais à les élever !
• C’est vrai, je vois que tu hésites, je t’ai presque convaincu.
Accepte, les enfants auront la cantine gratuite comme ça a été le cas pour toi et tes frères et sœurs.
Et comme pour eux, je vais ouvrir un livret dès leur naissance pour prévoir leurs études.
Voilà, c’est vrai, je profite d’une position dominante pour me payer des salopes.
Ces femmes et ces hommes prêts à faire la carpette devant moi pour ces petits avantages.
Boire le lait maternisé j’ai essayé celui pour les nourrissons que les femmes tirent, mais j’ai moins de plaisir que celui but à la source.
Mon vice me posant de temps en temps des scrupules, j’ai essayé le lait maternisé au biberon.
Je me demande comment nos chères petites tête, surtout lorsque je les ai faits avec ma queue, peuvent boire cette merde, j’ai failli dégueuler.
• Alors Lucette, il t’a dit, je fais un gros effort pour vous.
• Oui, monsieur le maire, je vous attendais.
C’est ainsi que je me fais sucer par Lucette et que je la baise lui faisant un premier bébé.
Dans les mois suivants Louis aura sa fille, car chacun de ces enfants a ma marque familiale, une tache en forme d’étoile.
Louis baisait sa femme mais mes spermatozoïdes étaient plus rapides.
J’ai respecté ma parole, je baise sa femme mais dans le cinq pièces où je les ai aidés à emménager.
Tout le monde dans notre petite ville de presque 4 000 habitants loue mon abnégation à m’occuper de mes administrés, surtout lorsqu’elles ont une chatte bien baveuse, c’est le cas de celle de Lucette.
Lucette, comme la mère de Louis, je vais les baiser même sans leur faire d’enfants en vieux célibataire que je suis.
Pourquoi, m’emmerder avec une femme, la mairie m’offre toutes celles dont j’ai besoin, surtout que depuis que je suis maire, je suis réélu avec un score de dictateur au premier tour ?
Aujourd’hui dans la presse locale et national, une information vient de tomber...
« Dans la petite ville de Trifouilly les Oies, le maire vient d’être arrêté.
C’est grâce à Marie, la fille de la préparatrice de la pharmacie que la police l’a menottée.
Il lui a proposé de la téter contre une promotion dans son commerce.
Elle venait d’avoir un bébé et il semble que monsieur le maire soit accro à ce lait maternel.
Les premières investigations ont fait apparaître que monsieur le maire a commencé ses propositions malsaines dans les premiers jours après sa première élection.
Si monsieur le maire s’était contenté de sucer les seins de ces femmes, le problème aurait été minimisé.
L’enquête auprès de certaines d’entre elles, a fait apparaître qu’il faisait des propositions sur le compte de sa commune contre des rapports sexuels ayant pour but de garder sa source de lait maternel plus longtemps.
Ces enfants seraient sous le nombre de 58 qui nous a été donné par une source fiable.
Parmi eux, trois fois des jumeaux et jumelles, sa mère ayant, elle aussi, donné naissance à des jumeaux, hélas, son frère Lucien est mort à sa venue au monde.
Un problème pour les investigations, la consanguinité aux files des années.
Ils sont déjà sûrs que le chef cantonnier a accepté son poste contre les deux enfants que monsieur le maire a faits à son épouse.
Louis, seraient son fils et Josette la fille qu’il a eu avec Gabrielle la femme du quincailler du village.
Les deux jeunes gens seraient donc demi-frère et sœur et le maire c’est bien gardé de leur dire.
Qu’en est-il des enfants du couple et peut être d’autres couples dans la commune.
L’inceste pour monsieur le maire semble être loin d’avoir traversé son esprit et sa morale.
Seul le lait maternel, véritable fantasme pour lui l’intéressait.
Attendons de nouvelles découverte par la police. »
Quelques jours plus tard.
« Nouvelle divulgation dans l’affaire des bébés et du lait venant de seins de femmes acceptant que monsieur le maire leur fasse des enfants.
L’avocat du maire de Trifouilly les Oies demande sa relaxe.
Il a la preuve qu’à aucun moment, monsieur le maire pour assouvir ce que nous avons appelé un fantasme, ait contraint ces couples à avoir des rapports entre eux.
Même les soi-disant cadeaux offerts aux couples sont improuvables.
Le cantonnier a gagné sa promotion par son travail, c’est ce qu’il dit pour sa défense.
Un seul point aurait pu lui être reproché.
Le couple était en attente d’un appartement plus grand.
Quand l’appartement de cinq pièces leur a été attribué c’est sur proposition de la commission d’attribution sans que le maire en fasse partie.
Enfin la plainte de sa préparatrice, une personne dont nous tairons le nom a déclaré à la police que monsieur le pharmacien l’avait remise en place devant témoin, car elle le harcelait.
Il semble que monsieur le maire étant célibataire, elle ait essayé d’avoir un enfant avec lui pour que sa progéniture hérite de la pharmacie. »
« Monsieur le maire de Trifouilly les Oies est libéré sans inculpation.
Il vient de faire une déclaration. »
• Chers concitoyens, toutes les calomnies crachées sur ma personne étaient autant de fakes news pour me forcer à quitter ma mairie.
Je suis soutenu par mon parti qui connaît ce genre de calomnies, d’autres maires de la couronne parisienne ayant subi ce même genre d’attaque.
Je serais mon propre successeur à mon poste de maire pour le bien de mes concitoyens !
Je sais, je suis un salopard, mais je connais mes administrés, plus on m’attaque et plus je suis élu au premier tour des élections municipales.
Une dernière chose que vous serez les seuls à connaître.
Dans la commission d’obtention des locations d’appartements, trois femmes deux hommes.
Deux des femmes, je suce leur lait et les deux hommes ont accepté que je le fasse contre des postes d'adjoints importants à la mairie.
Quant à la pharmacie, c’est ma petite pharmacienne qui prendra ma place dans quelques années qui a témoigné contre une grosse ristourne sur la session de mon officine à mon décès.
Un peu comme un viager.
La mairie, j’avais décidé de lâcher, mais je veux faire voir à ces petits joueurs qui commandent à Trifoully les Oies.
Enfin, pourri pour être pourri autant l’être jusqu’au bout.
Mon notaire à ma mort pourra donner la liste de mes 58 enfants, qui devra faire la répartition à part égale de ma pharmacie et de ma villa sur la côte ayant une vue magnifique.
Je vais encore m’amuser de la crédulité de mes administrés pendant quelques années.
Je vous laisse, la maman qui vient d’avoir des jumeaux sortis de ma bite avant tous ce pataquès, m’attend, c’est plus difficile de partager leur lait, la maman ayant une chatte baveuse et hélas seulement deux seins.
• Entrez monsieur le maire, vous êtes le bienvenu, avec mon fils à nourrir à changer, vous êtes l’un des premiers à venir voir mon bébé.
• Un premier c’est émouvant surtout le fils de Louis mon cantonnier, dire que c'est moi qui vous ai mariés.
Mais dit moi, je sais que vous l’avez appelé Pierre, c’est beau Pierre, est-il vrai que c’est le nom de ton beau-père ?
• Oui monsieur le maire, mais assayez-vous à côté de moi, j’allais lui donner la téter.
• Fait, Lucette, il faut que ton premier rejeton devienne fort pour devenir un bon footballeur comme son père.
• Arrêtez monsieur le maire, j’en ai marre qu’il me laisse seule, trois soirs et le dimanche tout l’après-midi.
• Oui, mais il t’a fait un beau bébé bien joufflu.
Tu dois avoir du bon lait bien gras.
Pierre tête le droit, permet moi de goûter le gauche
Regarde quand je le sors de ton peignoir, j’ai largement ma place de mettre ma tête.
• Oh, monsieur le maire, mais vous me tétez plus fort que Pierre.
• Téter, c’est comme faire du vélo, tu reprends et tu retrouves le rythme de comment tes lèvres doivent appuyer sur le téton.
Je vais t’avouer une chose que je garde pour moi, j’ai tété maman jusqu’à l’âge de huit ans.
Quand elle m’a quitté pour suivre un beau gitan qui passait avec sa caravane, je me suis senti frustré.
• Si ça vous permet de recouvrer votre jeunesse, continuez, Pierre dort sur mon sein droit et le gauche est si gorgé de lait qu’il me fait mal.
J’ai dit à Louis de m’acheter un tire-lait, mais il oublie toujours.
• Arrête de lui demander, si tu acceptes, je viendrais tous les jours vers 9 heures te téter et te soulager, ce sera un vrai plaisir.
Il va de soi que l’on gardera ça pour nous.
À cette heure-là, Louis sera au café, il me serinait depuis des mois pour que je les autorise à faire cette pause.
Lui aura sa pause-café et moi ma pause lait maternel.
Voilà comment depuis quelques jours, je viens tous les jours satisfaire ma phobie du lait maternel tiré directement du sein de ma belle administrée.
• Buvez, monsieur le maire, maman est contente de t’apporter tes vitamines, tu es un bon gros bébé.
Et que faite vous monsieur le maire, pourquoi posez-vous votre main sur ma cuisse ?
• Pierre est encore couché et il dort à poing fermé, j’ai envie d’un peu plus, as-tu eu ton retour de couches ?
Ton lait diminue, si nous en faisions un deuxième.
• Monsieur le maire, mais Louis.
• Demain tu me diras ce que tu penses de ce que je vais proposer à ton mari tout à l’heure.
Tu lui as dit que je venais te téter, il est venu me voir il y a quinze jours.
• C’est vrai que je lui ai dit, on se dit tout et surtout après qu’un matin il soit passé devant l’immeuble avec la camionnette de notre commune et qu’il vous a vu sortir, monsieur le maire.
• Je sais, il est venu me voir.
Pourquoi crois-tu que je l’ai nommé au poste d’entraîneur de nos équipes de foot séniors ?
Il rêvait de l’avoir, toi aussi tu es gagnante, il a eu le poste s’il arrêtait de jouer.
Ça évite qu’il ait de nouveau un pied dans le plâtre.
• Caresse-moi et suce-moi, je veux te téter la queue toi aussi comme tu me tètes.
Du sein à ma queue, tout baigne.
• Monsieur le maire, je veux bien pour le bébé, mais Louis après-avoir eut son fils, il m’a toujours dit que ce serait le seul.
• Et toi Lucette te souviens-tu ce que tu me disais lors de la remise des prix à l’école pour tes douze ans ?
Je vois à ton regard que tu as oublié.
Je te demandais ce que tu voulais faire comme travail lorsque tu serais grande !
• Non, j’ai oublié.
• Tu voulais être maman avec une chiée de bébé.
Il faut toujours assouvir ses envies d’enfant, on le regrette toujours quand on est vieille si on se laisse dicter sa vie par un mari.
Une femme, un homme même vieillissant et tout est dit.
• Oh, monsieur le maire, elle est grosse et vous me remplissez bien.
C’est la première fois que je fais l’amour à quatre pattes sur la moquette.
• En levrette Lucette en levrette, je suis satisfait d’être le premier à te prendre dans cette position et te faire découvrir les plaisirs de la levrette.
Quelques heures plus tard à la mairie.
• Monsieur le maire, je vais vous casser la gueule.
• Assieds-toi et calme-toi, je sais, je baise ta femme et je veux lui faire un bébé ou toi d’ailleurs pour qu’elle ait toujours du lait à me donner.
• Un fils c’est tout, un deuxième me poserait trop de problèmes.
• Regarde ta mère la salope de Mauricette, elle en a eu cinq, toi l’aîné, tes deux sœurs et après tes deux frères.
Tu t’es posé la question pourquoi aucune ressemblance avec toi ?
• Oui.
• Ce sont mes quatre enfants, je tétais ta mère en même temps que toi et je lui aie fait ses enfants afin que comme pour ta femme sa source reste en service.
Tu es né dans une ferme, ton père le cocu pratiquait de même avec vos vaches, il les faisait porter pour qu’elle continue à vous donner du lait.
Il va en être de même pour ta femme, en contrepartie Paul le chef cantonnier partant à la retraite, j’ai à choisir entre toi et Jean.
Si tu acceptes que je lui fasse un enfant, tu auras le poste.
En plus, pour prévoir l’avenir, nous construisons avec les services de l'État un immeuble.
La commune aura deux cinq pièces, trois-quatre pièces et six deux pièces.
Lucette et toi à trois personnes vous pouvez prétendre à un trois-pièces.
Tu auras l'un des cinq pièces et nous ferons trois enfants à Lucette dans les mois prochains afin que je continue à avoir du lait maternel.
• Bien monsieur le maire, mais c’est moi qui aurais à les élever !
• C’est vrai, je vois que tu hésites, je t’ai presque convaincu.
Accepte, les enfants auront la cantine gratuite comme ça a été le cas pour toi et tes frères et sœurs.
Et comme pour eux, je vais ouvrir un livret dès leur naissance pour prévoir leurs études.
Voilà, c’est vrai, je profite d’une position dominante pour me payer des salopes.
Ces femmes et ces hommes prêts à faire la carpette devant moi pour ces petits avantages.
Boire le lait maternisé j’ai essayé celui pour les nourrissons que les femmes tirent, mais j’ai moins de plaisir que celui but à la source.
Mon vice me posant de temps en temps des scrupules, j’ai essayé le lait maternisé au biberon.
Je me demande comment nos chères petites tête, surtout lorsque je les ai faits avec ma queue, peuvent boire cette merde, j’ai failli dégueuler.
• Alors Lucette, il t’a dit, je fais un gros effort pour vous.
• Oui, monsieur le maire, je vous attendais.
C’est ainsi que je me fais sucer par Lucette et que je la baise lui faisant un premier bébé.
Dans les mois suivants Louis aura sa fille, car chacun de ces enfants a ma marque familiale, une tache en forme d’étoile.
Louis baisait sa femme mais mes spermatozoïdes étaient plus rapides.
J’ai respecté ma parole, je baise sa femme mais dans le cinq pièces où je les ai aidés à emménager.
Tout le monde dans notre petite ville de presque 4 000 habitants loue mon abnégation à m’occuper de mes administrés, surtout lorsqu’elles ont une chatte bien baveuse, c’est le cas de celle de Lucette.
Lucette, comme la mère de Louis, je vais les baiser même sans leur faire d’enfants en vieux célibataire que je suis.
Pourquoi, m’emmerder avec une femme, la mairie m’offre toutes celles dont j’ai besoin, surtout que depuis que je suis maire, je suis réélu avec un score de dictateur au premier tour ?
Aujourd’hui dans la presse locale et national, une information vient de tomber...
« Dans la petite ville de Trifouilly les Oies, le maire vient d’être arrêté.
C’est grâce à Marie, la fille de la préparatrice de la pharmacie que la police l’a menottée.
Il lui a proposé de la téter contre une promotion dans son commerce.
Elle venait d’avoir un bébé et il semble que monsieur le maire soit accro à ce lait maternel.
Les premières investigations ont fait apparaître que monsieur le maire a commencé ses propositions malsaines dans les premiers jours après sa première élection.
Si monsieur le maire s’était contenté de sucer les seins de ces femmes, le problème aurait été minimisé.
L’enquête auprès de certaines d’entre elles, a fait apparaître qu’il faisait des propositions sur le compte de sa commune contre des rapports sexuels ayant pour but de garder sa source de lait maternel plus longtemps.
Ces enfants seraient sous le nombre de 58 qui nous a été donné par une source fiable.
Parmi eux, trois fois des jumeaux et jumelles, sa mère ayant, elle aussi, donné naissance à des jumeaux, hélas, son frère Lucien est mort à sa venue au monde.
Un problème pour les investigations, la consanguinité aux files des années.
Ils sont déjà sûrs que le chef cantonnier a accepté son poste contre les deux enfants que monsieur le maire a faits à son épouse.
Louis, seraient son fils et Josette la fille qu’il a eu avec Gabrielle la femme du quincailler du village.
Les deux jeunes gens seraient donc demi-frère et sœur et le maire c’est bien gardé de leur dire.
Qu’en est-il des enfants du couple et peut être d’autres couples dans la commune.
L’inceste pour monsieur le maire semble être loin d’avoir traversé son esprit et sa morale.
Seul le lait maternel, véritable fantasme pour lui l’intéressait.
Attendons de nouvelles découverte par la police. »
Quelques jours plus tard.
« Nouvelle divulgation dans l’affaire des bébés et du lait venant de seins de femmes acceptant que monsieur le maire leur fasse des enfants.
L’avocat du maire de Trifouilly les Oies demande sa relaxe.
Il a la preuve qu’à aucun moment, monsieur le maire pour assouvir ce que nous avons appelé un fantasme, ait contraint ces couples à avoir des rapports entre eux.
Même les soi-disant cadeaux offerts aux couples sont improuvables.
Le cantonnier a gagné sa promotion par son travail, c’est ce qu’il dit pour sa défense.
Un seul point aurait pu lui être reproché.
Le couple était en attente d’un appartement plus grand.
Quand l’appartement de cinq pièces leur a été attribué c’est sur proposition de la commission d’attribution sans que le maire en fasse partie.
Enfin la plainte de sa préparatrice, une personne dont nous tairons le nom a déclaré à la police que monsieur le pharmacien l’avait remise en place devant témoin, car elle le harcelait.
Il semble que monsieur le maire étant célibataire, elle ait essayé d’avoir un enfant avec lui pour que sa progéniture hérite de la pharmacie. »
« Monsieur le maire de Trifouilly les Oies est libéré sans inculpation.
Il vient de faire une déclaration. »
• Chers concitoyens, toutes les calomnies crachées sur ma personne étaient autant de fakes news pour me forcer à quitter ma mairie.
Je suis soutenu par mon parti qui connaît ce genre de calomnies, d’autres maires de la couronne parisienne ayant subi ce même genre d’attaque.
Je serais mon propre successeur à mon poste de maire pour le bien de mes concitoyens !
Je sais, je suis un salopard, mais je connais mes administrés, plus on m’attaque et plus je suis élu au premier tour des élections municipales.
Une dernière chose que vous serez les seuls à connaître.
Dans la commission d’obtention des locations d’appartements, trois femmes deux hommes.
Deux des femmes, je suce leur lait et les deux hommes ont accepté que je le fasse contre des postes d'adjoints importants à la mairie.
Quant à la pharmacie, c’est ma petite pharmacienne qui prendra ma place dans quelques années qui a témoigné contre une grosse ristourne sur la session de mon officine à mon décès.
Un peu comme un viager.
La mairie, j’avais décidé de lâcher, mais je veux faire voir à ces petits joueurs qui commandent à Trifoully les Oies.
Enfin, pourri pour être pourri autant l’être jusqu’au bout.
Mon notaire à ma mort pourra donner la liste de mes 58 enfants, qui devra faire la répartition à part égale de ma pharmacie et de ma villa sur la côte ayant une vue magnifique.
Je vais encore m’amuser de la crédulité de mes administrés pendant quelques années.
Je vous laisse, la maman qui vient d’avoir des jumeaux sortis de ma bite avant tous ce pataquès, m’attend, c’est plus difficile de partager leur lait, la maman ayant une chatte baveuse et hélas seulement deux seins.
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Quelle histoire fantasque...
Tu es génial mon cher Chris...
Cyrille
Tu es génial mon cher Chris...
Cyrille