COLLECTION ZONE ROUGE. Le père Noël est un niqueur (1/1) - histoire érotique

- Entrez père Noël, on vous attendait.

Ça fait plusieurs années que je fais le père Noël moyennant finance.
J’ai créé un site « Père Noël à la demande » et je viens récompenser les enfants sages.
Ma femme Lia m’a confectionné une tenue de père Noël et j’ai acheté les éléments supplémentaires comme la barbe et les cheveux ainsi que le ceinturon.

Ce soir j’interviens dans le 16ème.
La semaine dernière s’était dans le 3ème chez des personnes de la moyenne bourgeoisie.
Les familles recomposées me permettent de me faire un treizième mois, moi qui suis fonctionnaire.
Une semaine chez l’un, une semaine chez l’autre et des fêtes étalées dans le temps, ajoutez les anniversaires où je fais Bobo le clown avec mon nez rouge.
Aujourd’hui donc, c’est une dame du 16ème un peu maniéré que j’ai eu au téléphone il y a plus de trois semaines.
À sa demande et à sa voix, j’ai su que ce soir sera moins cool que la semaine dernière où j’ai passé un bon moment à jouer avec de véritables chérubins.

Près du parc des Princes, j’ai trouvé à garer ma vieille Citroën.
C’est en partie pour la changer que je fais ces heures supplémentaires.
Dans son coffre j’ai récupéré le dernier objet complétant ma panoplie.
Ma hotte.
Les passants me saluts, j’aime ce moment où je suis la vedette même si c'est l’homme à barbe blanche qui est la leur.
102, Digicode 22A5 la porte s’ouvre.
Je prends l’ascenseur jusqu’au 5ème.
C’est à ce moment que la cliente m’ouvre pour me faire enter.

- Vous êtes en avance père Noël, je vous avais dit 22 heures.
- J’avais noté 20 heures.
Je peux revenir.
- Non, restez, nous avons commencé à 17 heures.
Vous resterez moins longtemps pour la somme convenue.
Dommage vous êtes magnifique.

Dès que la porte s’est ouverte, je me suis demandé où j’étais tombé.
La femme qui était devant moi a pour seul vêtement des lanières de cuir avec un collier de chien.
Sa chatte épilée, m’interpelle.
Je vais pour lui dire qu’il doit y avoir mal donne, mais elle me tend une enveloppe.

- 5 000 € en liquide, c’est bien ce que l’on avait convenu avec votre agence.
Mais avant d’aller retrouver nos amis, je voudrais être la première à vous sucer.
Le reste de la soirée je risque d’être prise par l’organisation.

Pas le temps de répondre, elle s’agenouille, tire sur mon pantalon sortant ma verge.
La situation est tellement exceptionnelle et la femme tellement bandante que lorsque sa bouche commence à me sucer, je me laisse faire.
On verra bien.
Chaque moment mérite sa peine.

- J’arrête, père Noël, mes amis seraient frustrés si je vous pompais intégralement.
Venez avec moi.

J’étais à deux doigts de décharger dans la bouche de cette belle salope.
Je la suis ma bite toujours sortie de mon pantalon.
La musique vient de la salle.
Nous entrons.
Une vraie partouze.
Ils sont tous soit à poil soit avec des tenues de soumises comme la maîtresse de maison.

- Marie, tu as déjà sucé notre père Noël, tu peux nous le prêter.

La femme qui parle danse avec un beau blond.
Elle lui tient la bite dans la main.

- Père Noël, venez me sucer la chatte, votre barbe doit gratter et amplifier ma jouissance.

Je rejoins cette jeune femme, elle s’est assise sur un des nombreux canapés.
Ils sont tous occupés.
Alors ma barbe vient se plaquer sur sa chatte qu’elle écarte avec ses mains et ma langue lui titille le clito.
Lia mon épouse en a un que j’ai du mal à trouver.
Là, une vraie petite bite que j’aspire la faisant frissonner.

- Prête-moi le père Noël, venez me baiser papa Noël.

C’est une magnifique noire qui vient de m’interpeller.
Ma tête dans la foune de sa copine, je me redresse l’empoigne par les hanches et d’un grand coup en avant, je la pénètre.
Avec ma femme, je sais être patient pour qu’elle prenne son pied avant de lui remplir la chatte.
J’ai compris que notre hôtesse attendait un hardeur déguisé en père Noël et qui va arriver vers 22 heures.
Avant de filer pour éviter de le rencontrer et surtout rendre les 5 000 € placés au fond de ma hotte que j’ai posé à la porte de la salle, je veux satisfaire toutes ces salopes même la vieille qui vient vers moi et qui fait sortir ma queue de la chatte pour la sucer avant de la mettre dans l’anus de la négresse qui m’accepte sans se plaindre.
Les hommes sont nombreux dont un vieux du même genre que la vieille.
Je le rejoins à la table où une collation est servie.

- Je vous offre une coupe de champagne, ma femme, la mère de Marie qui vous a accueilli est une libertine depuis notre jeunesse.
Jusqu’à il y a peu, je tringlais tout ce qui bougeait mais à mon âge, j’ai du mal à tendre le bras.
Pour Arlette ma femme, c’est plus facile, comme toutes les femelles présentent ici, il leur suffit d’écarter les cuisses ou d’ouvrir la bouche.
Bien sûr sans parler de leur anus, je vous ai vu défoncé le cul de miss Guadeloupe, c’est une des nouvelles recrues de ma fille.
Vous faite toujours le père Noël, avez-vous d’autres personnages à votre actif.

Je navigue à vue surtout que ma queue est de nouveau au fond de la bouche d’une des participantes.
Je pose mon verre et je saisis cette jolie petite Chinoise, Japonaise ou Vietnamienne pour la mettre en levrette sur la peau de bête devant la fausse cheminée avec un faux feu.
Les deux trous que je pénètre semblent très ouverts, ces femmes doivent avoir l’habitude d’être défoncées dans des partouzes même le jour de Noël.

- Excusez, de vous avoir abandonné quelques minutes, vous me parliez de personnages.
Oui, je fais Batman, Arsène Lupin et bien d’autres.
Sans oublier Bob L’éponge ça plait beaucoup.
- Je vais demander à ma fille de vous inviter à chacune de nos soirées.
De grand professionnel comme vous c’est rare.
- Charles, je t’emprunte le père Noël.
Venez dans ma chambre, depuis ma prime jeunesse, j’ai tout fait pour coincer le père Noël et je crois que je vais réaliser mon fantasme.

Elle me prend par la main.
Je parlais de tous accueillant !
Quel âge à cette chatte que je suce dès qu’elle a écarté ses cuisses.
Elle dégouline de cyprine m’envoyant des petits jets dans la figure.
Mouiller le couvre lit, laissé pour aller plus vite, ça semble la satisfaire car ma langue la fait partir.
J’entre en elle en levrette, ça m’évite de voir les rides de son visage et une nouvelle fois je la fais monter au rideau comme les autres avant de sortir à deux doigts d’éjaculer.
Elle s’affaisse, elle ronfle, je remonte mon pantalon et je la quitte.
Derrière la porte le mari a dû écouter quand je tringlais celle qui est la mère de Marie.

- Vous avez un numéro de téléphone personnel pour que je vous joigne à notre prochaine soirée ?

5 000 € la soirée pour niquer des salopes qui ont le feu au cul, ça mérite bien quelques risques même si lorsque nous entrons dans la cuisine la pendule marque 21 heures 30.
Je lui donne, il arrache une feuille pense-bête pour les courses et le note.
Ceci en présence de Marie qui débouche une bouteille de vin blanc avec du mal.

- Je vous laisse père Noël, je vois que ma fille semble s’intéresser à vous.
- Vous me connaissez bien père.

Il nous quitte, Marie vient se coller à moi mettant sa main dans mon pantalon.

- 06 22 .. .., j'ai la mémoire des chiffres, j’avais le numéro de l’agence que je contacte pour nos sexe boys et que j’ai appelé pour qu’ils nous fournissent un père Noël.
J’aime partouzer, mais j’aime les tête-à-tête, vous serez disponible quand je vous appellerais.
- Oui, mais avant de partir, j’ai quelques réserves pour te baiser.
Embrasse-moi.

J’aime la demande directe, je sais je suis marié, mais j’ai besoin de changer cette putain de bagnole.

- Je vois que tu as sucé maman, je reconnais le goût de sa cyprine.
- Arrête de parler de ta mère, je vais te baiser.

Un pied sur le plan de travail, une dernière fois mais la première avec elle, j’entre dans sa chatte accueillante.
Bingo, elle crie son plaisir et je décharge pour la première fois de la soirée.

- Je peux avoir ton vrai nom.
- Louis, je m’appelle Louis.

Pour faire ma tenue Lia s’est servi d’un pantalon de survêtement rouge.
Vite baissé, vite remonté ce qui me permet de quitter Marie et de retrouver mon rôle de père Noël.

Hotte ramassée au passage, un dernier regard pour les partouzeurs déchaînés et je quitte le 5ème étage pour prendre l’ascenseur récupérant mon enveloppe.
À la porte d’entrée, je regarde, les noms sur les plaques pour appeler.
Mélissa 5ème, Mélina 6ème, je comprends ma méprise.

- Les enfants ont été sages !
- Comme des images.
- Moi, j’arrive, je pense que mes clients, plutôt mes clientes seront plus bougeantes.
- Excuse, tu ne peux pas comprendre, bonne soirée.
- Bonne soirée.

Je vois le père Noël entrer dans l’immeuble.
20 heures, 22 heures, 5 000 € que j’ai mis dans ma poche ou 200 € pour l’autre prestation avec le risque de me faire engueuler par cette Mélina dont les bambins sont certainement déjà couchés.
Je rejoins ma voiture, elle a du mal à démarrer mais fait un dernier effort avant que je n’aie gagné assez d’argent pour qu’elle puisse partir à la retraite.
06 22, il me reste à attendre l’appel des sens de Mélissa ou de son père qui invitera Bob l’éponge à les rejoindre.
L’autre père Noël, ils ont dû le virer après ma prestation avec madame mère de Mélissa et Mélissa elle-même.
Je ressortirais ma tenue de père Noël l’an prochain mais pour le plaisir de partouzeurs et non de gamins ayant peur de moi et de ma barbe.
Lia, non seulement elle sera cocue mais depuis que je parle de changer la voiture, elle me parle de Mercedes impossible à acheter pour notre budget actuel.
Après qu’elle m’a confectionné ma tenue Bob l’éponge, je trouverais bien un motif tel qu’une grosse promotion par l’administration moi qui classe des papiers au ministère de l’Intérieur pour justifier cet achat.
Mélissa, je t’en supplie, appelle-moi vite.