COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (1/2)
À deux pas de chez moi, une maison cossue est de plus en plus délabrée.
À ce qu’il se dit, la mémé qui habitait là étant décédé, c’est le bordel entre les héritiers.
Principalement l’un des fils qui veut garder cette maison n’ayant aucun problème d’argent.
La valeur du terrain est son seul intérêt, il joue la hausse du mètre carré au fil du temps.
Pendant plusieurs mois, il a même fait installer une famille venue de l’Est.
Sa sœur et son autre frère ont dû aller jusqu’en justice pour les faire expulser.
Ça a été fait, mais par vengeance, il leur avait donné l’ordre de tout délabrer.
C’est du moins l’impression que donne cette bâtisse aujourd’hui.

C’est devenu un squat où toutes sortes de marginaux viennent dormir deux ou trois nuits, certains avec des chiens les trois quarts pelés.
Le grillage a été coupé car le portail en fer forgé a toujours la chaîne et le cadenas posés au début des problèmes.
Je passe devant quand je vais conduire mon fils à l’école, avant d’aller faire mes courses.
C’est une honte de laisser se détériorer une telle maison alors que des familles ont du mal à se loger !

Avec Sylvain mon mari, nous voulons faire une action en mairie, mais nous avons peur que l’on ne nous accuse de nous mêler des affaires des autres.
Il faut dire que mes parents m’ont élevé dans le respect des personnes et jusqu’à ma communion, j’allais à la messe.
Il m’en reste quelque chose, on peut dire que je mets en pratique les principes que j’ai appris.
Aujourd'hui j'ai trente ans, on me dit féminine avec mon 1m68 et mes 55 kg.
Je suis fine, la seule chose un peu différente qui se remarque ce sont mes seins qui sont très gros, trop gros je trouve.
Avec ma taille de guêpe, avoir une poitrine de 90 D c'est surprenant.

Maman me disait aimons-nous, mais sans nous occuper de ce qui ne nous regarde pas !
Il est seize heures quand j’appelle mon fils de sept ans, il est sorti devant la maison jouer au ballon avec un copain, notre rue étant une impasse, tous les habitants font attention quand ils rentrent chez eux en voiture.
C’est l’heure de faire goutter Romain, je sors et je l’appelle, personne ne répond.
J’avance jusqu’au portail, la rue est vide, tous sont au travail.
La voiture de Geneviève ma copine depuis que nous avons emménagé, qui comme moi est une femme au foyer, n’est pas là.
A-t-elle emmené les deux enfants avec elle ?
J’en doute, sachant que je suis anxieuse, elle serait venue me dire où elle partait et le temps que cela prendrait.

J’appelle une nouvelle fois, personne ne répond.
Tournant la tête, je vois le squat, j’ai toujours interdit aux enfants d’aller jouer là-bas, mais je sais ce qu’une interdiction a comme attrait à la transgression.
N’ai-je pas été punie de dessert pendant quinze jours lorsque j’avais 12 ans et ayant suivi des copines jumelles qui allaient en ville regarder les boutiques alors que maman m’avait interdit de traîner avec ces filles !
Elles étaient sœurs bien sûr et je me souviens que souvent j’entendais parler de cette famille que maman considérait comme dissolue.
J’appelle une nouvelle fois étant à deux pas de la coupure dans le grillage.
Aucune réponse, je franchis avec difficulté le passage, ayant mes escarpins, ma jupe courte d'été et mon chemisier fin.
Je monte le perron, la porte principale est fermée par des lattes de bois posées après l’expulsion.
J’appelle, la voix de plus en plus anxieuse.

• Romain, Romain.

Toujours aucune réponse.
Je redescends étant de plus en plus mal à l’aise.
Où sont les enfants, où est mon fils ?
Je me vois déjà retourner chez moi, prendre mon portable pour appeler la police.
Je contourne la bâtisse, j'ai du mal à marcher avec mes petits talons.
Il a plus, la terre est meuble.
Le jardin est une vraie friche, un chemin semble avoir été tracé par des gens en passant.
Sur l’arrière, une porte.
Je ne suis jamais venue là du temps de la grand-mère, j’ignorais même son existence.
La porte est entrouverte, j’entre.
Il fait sombre mais de la lumière me montre un couloir, j’ai la peur de ma vie.
Je dois passer sur une planche de bois pour ne pas me retrouver dans la cave en dessous.
J’arrive dans une salle qui devait être la salle à manger, un volet est cassé il fait jour malgré le buisson qui a poussé devant la fenêtre.
C’est à ce moment que je me retrouve devant un berger allemand grognant et me montrant les crocs.
Derrière lui, un homme ayant une taille impressionnante, est en train d’uriner.
Il fait au moins deux mètres, il semble musclé et est très bronzé, ses cheveux sont hirsutes.
Je reste figée sur place, je ne peux plus bouger.
Il tient sa verge en main et me fixe.
J’ai déjà entendu parler de sexes disproportionnés sans jamais en avoir vus.
Là, j’en ai un à porté de moi, une "queue" d’où sort un jet d’urine.
Je comprends mieux l’odeur m’ayant pris à la gorge en entrant dans cette pièce, les personnes squattant ici ne vont même pas aux toilettes.

• Couché Brutus, tu vas faire peur à la dame.
C’est toi qui hurles ?
Tu m’as réveillé, excuse, j’avais envie de pisser.
• Excusez, je suis à la recherche de mon fils, mais je vois qu'il n'est pas là.

Derrière lui, au sol, je vois un matelas, apporté là par je ne sais qui.
Il semble à première vue aussi cradingue que l’homme au sexe disproportionné qu’il secoue maintenant avant de le rentrer dans son pantalon.
Je me retourne, prête à reprendre le couloir, manquant de tomber dans la cave, me rattrapant, j’ignore encore comment.

• J’ai faim, apporte-moi à manger, tu n’as rien à craindre de moi.

J'ai entendu mais je ne réponds pas.
Je franchis la porte, sortant précipitamment dans le jardin.
Un instant je pense que j’aurais pu me faire agresser sur ce matelas.
En réfléchissant, je me dis que non, s’il avait eu l’intention de le faire, il aurait laissé sa verge à l’extérieur de son pantalon !
Je franchis le grillage.
À dix mètres de moi, je vois Romain qui joue avec Lionel, le fils d'autres voisins qui a l’habitude d’être seul chez lui.
À neuf ans, il a l’habitude de se garder depuis un an, je trouve cela dangereux, mais comme m’a appris maman, je laisse faire.

• Où étiez-vous ?
Romain, tu m’as fait la peur de ma vie, je t’avais interdit de t’éloigner.
Un instant j’ai cru que quelqu’un t’avait enlevé.
• Maman, la chatte de Lionel a eu des petits, il a voulu me les montrer.
Je ne voulais pas y aller, mais je n’avais jamais vu de petits chats.
Tu verrais, ils sont mignons, ils sont tous roux et blancs, ils tétaient leur maman.
Dit, je te tétais pareil quand j’étais petit ?

On y est !
Romain est en âge de comprendre, les questions gênantes pour moi vont commencer à arriver.
Je fais celle qui n’a pas entendu, Lionel m’aide, il reprend.

• Oui madame, elle en a fait cinq.
Romain en voudrait un pour son anniversaire, je vous en garde un ?

Je serre Romain sur mon cœur, la peur de l’avoir perdu, mais aussi la peur de la monstruosité que j'ai vue dans le squat.

• On en parlera avec ton père, venez goutter.
• Merci madame, mais je dois aller faire mes devoirs.

Nous rentrons, Romain va jouer dans sa chambre, après avoir mangé une tartine de pâte à la noisette.
Un étrange phénomène se déclenche en moi.
Est-ce dû à la peur ?
Ma chatte qui est sage en temps normale semble être complètement mouillée.
Je sens cette humidité contre ma fente et mes lèvres lisses.
Il est vrai qu'en ce moment je n'ai gardé qu'un triangle de poils au dessus de mon clitoris.
J’essaye de comprendre ce qui se passe dans mon corps, je dois reconnaître que la vue de cet énorme sexe a déclenché en moi l’envie de baiser, mais certainement pas dans ces conditions, là-bas dans ce taudis et avec cet homme qui est un SDF.
Je le revois avec son pantalon et sa chemise ouverte, sur un poitrail qui semblait très velu !

Le soir avec Sylvain, mon homme, je veux qu’il me baise.
Je viens dans le lit ayant passée la nuisette courte et vaporeuse qu’il m’a offerte, mais que j’ai toujours refusée de mettre.
C’est une nuisette que je considère comme celle d’une pute, tellement elle est transparente.
Il lit et quand je rentre dans la chambre, il éteint sa lumière et se tourne pour dormir.

• Bonne nuit, je suis crevé, à demain matin.

Toute la nuit je compte les moutons, impossible de m’endormir, je suis trop excitée.
Chaque fois que je ferme les yeux, je vois un sexe, encore plus grand et plus gros que celui de cet homme dans le squat, se présenter devant ma chatte qui désespérément cherche à l’attraper.
Le réveil sonne, je me lève.
C’est rare que la sonnerie se déclenche, je comprends que j’ai dormi, mais que ce sexe, c’était dans un rêve que je le voyais !
Je vais me doucher, Sylvain est debout déjà habillé, impossible qu’il me "sexe", il va m’envoyer balader.
Il me quitte sans penser qu’il a une femme prête à faire une connerie.
Pourtant après avoir déposé Romain à l’école et déposé mes courses dans le frigo, je ressors avec un sac dans lequel, j’ai placé une cuisse de poulet et les patates froides du repas dominical.
J'ai remis mes habits de la veille, jupe courte et chemisier fin.
En me regardant dans la glace, je me suis rendu compte que mon soutien gorge balconnet se devinait en transparence.
J'ai mis des chaussures avec des talons moins hauts, pour pouvoir mieux marcher.
Je sors, Geneviève passe devant moi me faisant signe au volant de sa voiture.
Où va mon amie si tôt, elle qui aime se prélasser au lit le matin, quand son mari est parti ?
Mon amie est une petite un peu boulotte, mais une grande baiseuse depuis qu’elle sait qu’elle ne peut pas avoir d’enfant, à cause d’une maladie congénitale et orpheline de son homme.
Elle cherche désespérément à se faire engrosser.
Je le sais car elle me l’a dit.
Je sais même que dernièrement, c’est dans une cabane de chantier qu’elle s’est fait baiser dans une période favorable.
J’ai trouvé cela choquant !
C'est en prenant le café et des petites mignardises qu’elle adore dévorer, qu'elle m’a tout raconté, dans les moindres détails.
C’était avec deux hommes qui venaient de l’autre côté de la Méditerranée.

La rue est vide, je vais jusqu’au grillage et j’entre par l’arrière comme la veille…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bon, espérons que la suite nous racontera comment elle fut mise et souillée par une vingtaine de sdf



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (1/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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