COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Début de la saison II (4/6)
La suite II de cette histoire est écrite, je vous la confie, faite en bon usage.
Je suis arrivée à un point crucial de ma vie de mes confidences à Franck journaliste américain avant mon départ demain pour Varsovie.
Était programmée à ma naissance pour vivre la vie que j’ai eue en restant la seule rescapée de mon village martyr polonais !
À ce stade, je peux encore en douter, car le lieutenant Günther Berling de la SS de Varsovie pourrait bien mettre par terre tous les plans des premiers résistants du Ghetto de Varsovie en cette année 1943.
• « Lieutenant Günther Berling, attaché de notre commandant.
C’est la première fois que je vous vois parmi nous, permettez-moi de vous offrir une coupe de champagne.
• Heureuse de faire votre connaissance.
Il est vrai que je suis un peu perdu parmi toutes ces jolies femmes et ces hommes en tenue militaire.
Je suis la nièce de la Baronne Von Clift.
• Oh ! quelle tristesse, qu’elle était son prénom déjà ! »
Le vent froid du boulet est passé dans mon dos, posait-il cette question pour me piéger, on m’avait demandé de m’adapter.
• « Je suis sa nièce par sa maman qui était la sœur de celle de la mienne.
Nous devions nous retrouver ici et c’est en arrivant que j’ai appris le malheur l’ayant frappé.
Maman m’a toujours dit en parlant de sa sœur, la baronne !
• Je me souviens, Greta, ou avais-je la tête, savoir son mari mort au champ d’honneur, m’a bouleversé.
• Il a bien mérité sa croix de guerre. »
En lui disant ces derniers mots, je sais que je prends des risques, mais autour de moi, tous les officiers présents de la SS la portaient autour de leur cou.
Ce qu’il y avait de sûr, c’est que ma formation à l’allemand tenait la route, car à aucun moment Günther semblait tiquer lorsque je lui réponds.
• « J’entends les claquements de bottes de mes camarades dans la pièce voisine.
C’est connard de polonais, fainéant comme ils sont, auraient pu prévoir une salle des réceptions plus grande pour que nous puissions honorer notre commandant comme il se doit tous ensemble.
45 ans, toujours alertes, ces couillons privent bon nombre d’entre nous du plaisir de trinquer avec lui. »
Dans mon village, j’étais connu pour ma réparti lorsque je me sentais attaquée.
J’ai failli lui dire que la connasse ou que la couillonne lui disait bien des choses, mais je voulais surtout me débarrasser de cet importun qui risquait de me faire louper mon coup.
• « Voulez-vous que je vous présente à mon commandant ? »
Une idée m’est venue.
• « J’en serais enchantée, mais je vois un piano au fond de la pièce, me permettez-vous de l’honorer en lui chantant joyeux anniversaire ?
• Vous êtes chanteuse.
• Je fredonne tout au plus, ma mère m’a appris le piano et ce serait un grand honneur de chanter pour ce grand homme dont ma tante me parlait si souvent dans ses lettres. »
Vous voyez Franck, je m’en sortais plutôt bien pour une petite connasse polonaise.
• Et comment vous y êtes vous prise réellement ?
C’est Günter qui a tout fait, ce boulet s’est avéré être un allié.
Quand son commandant est entré dans notre salle, ils ont tous tapé des talons tendus le bras et crié les deux mots que je me refuse de prononcer ici.
Au piano, il y avait un homme qui jouait nettement mieux que moi.
Mon accompagnateur lui a fait un geste de laisser la place.
J’étais persuadé que c’étais un polonais et je me suis bien gardé de lui parler.
Je me suis assise et c’est à ce moment que le gâteau est arrivé avec ses 45 bougies.
Ils ont encore salué et j’ai entonné « Joyeux anniversaire Josef. »
• Ça vous a impressionné !
J’étais surtout concentrée et inconsciente, mais souvenez-vous que j’avais la rage de ce qu’ils avaient fait à mon village.
Günter m’a aidé à quitter le siège du piano et nous nous sommes approchés du buffet.
Presque tout avait été englouti alors qu’à quelques centaines de mètres mes compatriotes en étaient arrivés à traquer les rats.
J’avais appris que la nuit dans le ghetto plus un chat pour appeler leur belle, tous même elles sont passées à la casserole.
• « Josef, je peux vous présenter la nièce de notre regretté baronne Von Clift.
Elle a tenu à chanter pour vous ce soir !
• La nièce de la baronne, mais elle doit bien avoir un nom !
• Aleksandra, ober...
• Appelez-moi Josef, nos grades on peut d’importance, Aleksandra.
• Merci Josef, ça a été un honneur de vous souhaiter votre anniversaire. »
Il m’a baisé la main, mais a gardé ma mimine plus que de raison.
Je le regardais avec intensité, comme si j’avais voulu l’hypnotiser.
Ça semblait marcher, il m’a offert une coupe, je commençais à être pompette.
• « Commandant, de la part de tous vos officiers, nous avons le plaisir de vous offrir ce cadeau ! »
Dans la pièce, deux sous-fifres ont apporté une selle de cheval dans un magnifique cuir.
• « Vous me gattez, j’irais l’essayer demain, faite là porter dans mes appartements.
Voulez-vous danser Aleksandra ?
• J’ai peu d’expérience Josef, mais si vous me guidez, maman m’avait commencé à m’apprendre quand la guerre a éclaté ! »
Une seule idée, m’adapter.
Il m’a pris dans ses bras et rapidement au lieu d’être un gentleman comme son rang aurait dû l’obliger, il m’a fait comprendre qu’il voulait plus qu’entendre ma voix.
Franck, je dois vous avouer un trait de caractère des femmes.
En le sentant bander, pour la première fois depuis la mort de Marek, un homme me faisait envie et c’était ma cible.
• Oui, c’est paradoxal, comment avez-vous réussi à faire la part des choses.
La danse terminée, il m’a de nouveau baisé la main.
Nous étions près du piano de ce pauvre homme qui semblait complètement tétanisé.
Il lui a fait signe de me laisser la place.
Peu à peu, les hommes avec leurs femmes quittaient la pièce.
Les femmes restantes ressemblaient plus à des putes que des légitimes.
J’ai joué et commencé à chanter « Die Frauen », les femmes.
Une coupe m’a été apportée, une de plus.
J’ai chanté plusieurs des chansons que j’avais apprises, jusqu’à ce que je commence, Heili...Heilo !
Le reste des hommes et femmes ont récupéré les chaises positionnées le long des murs et s’assayant à califourchon les tenant par le dossier, se sont mis à sauter en avançant.
La scène m’a fait saliver quand j’ai vu les cuisses des femmes jupes relevées montrant leurs porte-jarretelles.
Certaines sans aucune pudeur montraient même jusqu’à leurs slips.
Le bruit des chaises était si fort que ça couvrait presque ma voix.
Josef est venu s’appuyer sur le côté du piano.
Je sentais que j’arrivais au moment où j’allais réussir à tout faire basculer.
Dans la continuité de Heili...Heilo, j’attaquais, « la bite à Gunther » et « la polonaise en chaleur. »J’avais trouvé ce morceau qui devait et ça a marché, faire basculer ces pourris d’allemand de mon côté.
Quelle femme polonaise pourrait se faire foutre de sa propre gueule dans des situations abjectes.
Ce morceau fini, ils se sont tous levés et m’ont applaudi.
• Vous pouvez me chanter cette chanson.
Une fois seulement je l’ai chanté, je me suis juré de très vite l’oublier.
Le morceau terminé, Josef m’a pris la main et m’a entraîné vers ses appartements.
La partition suivante était facile pour moi, je revenais dans mon domaine de prédilection en redevenant pute.
Une petite différence tout de même depuis mon dépucelage forcé par ce fumier de doc, c’est pour ma patrie que j’avais l’impression d’aller offrir ma chatte à l’ennemi...
Je suis arrivée à un point crucial de ma vie de mes confidences à Franck journaliste américain avant mon départ demain pour Varsovie.
Était programmée à ma naissance pour vivre la vie que j’ai eue en restant la seule rescapée de mon village martyr polonais !
À ce stade, je peux encore en douter, car le lieutenant Günther Berling de la SS de Varsovie pourrait bien mettre par terre tous les plans des premiers résistants du Ghetto de Varsovie en cette année 1943.
• « Lieutenant Günther Berling, attaché de notre commandant.
C’est la première fois que je vous vois parmi nous, permettez-moi de vous offrir une coupe de champagne.
• Heureuse de faire votre connaissance.
Il est vrai que je suis un peu perdu parmi toutes ces jolies femmes et ces hommes en tenue militaire.
Je suis la nièce de la Baronne Von Clift.
• Oh ! quelle tristesse, qu’elle était son prénom déjà ! »
Le vent froid du boulet est passé dans mon dos, posait-il cette question pour me piéger, on m’avait demandé de m’adapter.
• « Je suis sa nièce par sa maman qui était la sœur de celle de la mienne.
Nous devions nous retrouver ici et c’est en arrivant que j’ai appris le malheur l’ayant frappé.
Maman m’a toujours dit en parlant de sa sœur, la baronne !
• Je me souviens, Greta, ou avais-je la tête, savoir son mari mort au champ d’honneur, m’a bouleversé.
• Il a bien mérité sa croix de guerre. »
En lui disant ces derniers mots, je sais que je prends des risques, mais autour de moi, tous les officiers présents de la SS la portaient autour de leur cou.
Ce qu’il y avait de sûr, c’est que ma formation à l’allemand tenait la route, car à aucun moment Günther semblait tiquer lorsque je lui réponds.
• « J’entends les claquements de bottes de mes camarades dans la pièce voisine.
C’est connard de polonais, fainéant comme ils sont, auraient pu prévoir une salle des réceptions plus grande pour que nous puissions honorer notre commandant comme il se doit tous ensemble.
45 ans, toujours alertes, ces couillons privent bon nombre d’entre nous du plaisir de trinquer avec lui. »
Dans mon village, j’étais connu pour ma réparti lorsque je me sentais attaquée.
J’ai failli lui dire que la connasse ou que la couillonne lui disait bien des choses, mais je voulais surtout me débarrasser de cet importun qui risquait de me faire louper mon coup.
• « Voulez-vous que je vous présente à mon commandant ? »
Une idée m’est venue.
• « J’en serais enchantée, mais je vois un piano au fond de la pièce, me permettez-vous de l’honorer en lui chantant joyeux anniversaire ?
• Vous êtes chanteuse.
• Je fredonne tout au plus, ma mère m’a appris le piano et ce serait un grand honneur de chanter pour ce grand homme dont ma tante me parlait si souvent dans ses lettres. »
Vous voyez Franck, je m’en sortais plutôt bien pour une petite connasse polonaise.
• Et comment vous y êtes vous prise réellement ?
C’est Günter qui a tout fait, ce boulet s’est avéré être un allié.
Quand son commandant est entré dans notre salle, ils ont tous tapé des talons tendus le bras et crié les deux mots que je me refuse de prononcer ici.
Au piano, il y avait un homme qui jouait nettement mieux que moi.
Mon accompagnateur lui a fait un geste de laisser la place.
J’étais persuadé que c’étais un polonais et je me suis bien gardé de lui parler.
Je me suis assise et c’est à ce moment que le gâteau est arrivé avec ses 45 bougies.
Ils ont encore salué et j’ai entonné « Joyeux anniversaire Josef. »
• Ça vous a impressionné !
J’étais surtout concentrée et inconsciente, mais souvenez-vous que j’avais la rage de ce qu’ils avaient fait à mon village.
Günter m’a aidé à quitter le siège du piano et nous nous sommes approchés du buffet.
Presque tout avait été englouti alors qu’à quelques centaines de mètres mes compatriotes en étaient arrivés à traquer les rats.
J’avais appris que la nuit dans le ghetto plus un chat pour appeler leur belle, tous même elles sont passées à la casserole.
• « Josef, je peux vous présenter la nièce de notre regretté baronne Von Clift.
Elle a tenu à chanter pour vous ce soir !
• La nièce de la baronne, mais elle doit bien avoir un nom !
• Aleksandra, ober...
• Appelez-moi Josef, nos grades on peut d’importance, Aleksandra.
• Merci Josef, ça a été un honneur de vous souhaiter votre anniversaire. »
Il m’a baisé la main, mais a gardé ma mimine plus que de raison.
Je le regardais avec intensité, comme si j’avais voulu l’hypnotiser.
Ça semblait marcher, il m’a offert une coupe, je commençais à être pompette.
• « Commandant, de la part de tous vos officiers, nous avons le plaisir de vous offrir ce cadeau ! »
Dans la pièce, deux sous-fifres ont apporté une selle de cheval dans un magnifique cuir.
• « Vous me gattez, j’irais l’essayer demain, faite là porter dans mes appartements.
Voulez-vous danser Aleksandra ?
• J’ai peu d’expérience Josef, mais si vous me guidez, maman m’avait commencé à m’apprendre quand la guerre a éclaté ! »
Une seule idée, m’adapter.
Il m’a pris dans ses bras et rapidement au lieu d’être un gentleman comme son rang aurait dû l’obliger, il m’a fait comprendre qu’il voulait plus qu’entendre ma voix.
Franck, je dois vous avouer un trait de caractère des femmes.
En le sentant bander, pour la première fois depuis la mort de Marek, un homme me faisait envie et c’était ma cible.
• Oui, c’est paradoxal, comment avez-vous réussi à faire la part des choses.
La danse terminée, il m’a de nouveau baisé la main.
Nous étions près du piano de ce pauvre homme qui semblait complètement tétanisé.
Il lui a fait signe de me laisser la place.
Peu à peu, les hommes avec leurs femmes quittaient la pièce.
Les femmes restantes ressemblaient plus à des putes que des légitimes.
J’ai joué et commencé à chanter « Die Frauen », les femmes.
Une coupe m’a été apportée, une de plus.
J’ai chanté plusieurs des chansons que j’avais apprises, jusqu’à ce que je commence, Heili...Heilo !
Le reste des hommes et femmes ont récupéré les chaises positionnées le long des murs et s’assayant à califourchon les tenant par le dossier, se sont mis à sauter en avançant.
La scène m’a fait saliver quand j’ai vu les cuisses des femmes jupes relevées montrant leurs porte-jarretelles.
Certaines sans aucune pudeur montraient même jusqu’à leurs slips.
Le bruit des chaises était si fort que ça couvrait presque ma voix.
Josef est venu s’appuyer sur le côté du piano.
Je sentais que j’arrivais au moment où j’allais réussir à tout faire basculer.
Dans la continuité de Heili...Heilo, j’attaquais, « la bite à Gunther » et « la polonaise en chaleur. »J’avais trouvé ce morceau qui devait et ça a marché, faire basculer ces pourris d’allemand de mon côté.
Quelle femme polonaise pourrait se faire foutre de sa propre gueule dans des situations abjectes.
Ce morceau fini, ils se sont tous levés et m’ont applaudi.
• Vous pouvez me chanter cette chanson.
Une fois seulement je l’ai chanté, je me suis juré de très vite l’oublier.
Le morceau terminé, Josef m’a pris la main et m’a entraîné vers ses appartements.
La partition suivante était facile pour moi, je revenais dans mon domaine de prédilection en redevenant pute.
Une petite différence tout de même depuis mon dépucelage forcé par ce fumier de doc, c’est pour ma patrie que j’avais l’impression d’aller offrir ma chatte à l’ennemi...
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