COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Fin de la saison II (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Fin de la saison II (6/6)
Je sens Franck le jeune journaliste américain et amant suspendu à mes lèvres dans ce vol qui nous conduit vers Varsovie où je vais recevoir la médaille de la ville.
Cette médaille, ils me l’accordent pour le 40e anniversaire du premier soulèvement du ghetto auquel j’ai participé et ou je serais la dernière survivante.
Après quelques petits moments érotiques où j’ai fait de Franck un homme, nous reprenons mon histoire.
• J’ai du mal à écrire, dis-moi pourquoi Günther est venu dans la chambre de son supérieur ?
Nos jeux tintés de dominations où j’avais fait le cheval en me faisant martyriser la croupe avec la cravache de Josef, je me suis écroulée dans son lit.
Le bruit fait par Günther venant frapper me réveille.
Josef a remis sa tenue d’officier.
• « Ils sont tous là commandant, ils vous attendent. »
Josef m’a de nouveau attrapé par les cheveux et tiré sans ménagement hors du lit.
J’ai bien été obligé de le suivre tellement il me faisait mal.
Je voyais Günther ouvrir la route et nue, j’étais obligé de suivre en me trainant du mieux que je le pouvais.
Il me faisait horriblement mal et je sentais bien qu’il le faisait sans m’amuser comme la veille.
Nous avons fait le chemin inverse jusqu’à la salle où la fête avait eu lieu.
Elle était vide de toute trace de la célébration, même les chaises.
Restait le piano.
Des hommes en armes se trouvaient là et plusieurs personnes dont certaines que je connaissais.
Otto, le pianiste de la veille, la coiffeuse qui m’avait coiffé pour la soirée.
Le tailleur avec une femme inconnue qui pleurait dans ses bras.
Certainement sa femme.
Un couple de petit vieux eux aussi inconnu et surtout Sonia mon contact, mais en tenue d’officier allemand.
Je suis propulsé aux pieds de tous ces gens.
Les trois nazis ont salué le portrait de leur chef suprême comme ils savent le faire en hurlant et en tendant le bras.
• « Lieutenant Selma, merci d’avoir joué le jeu du contact avec cette chienne à nos pieds.
Aleksandra, tu vois, je me suis bien amusé avec toi hier, j’aurais bien continué pendant deux ou trois jours.
Mais je dois être à Berlin pour définir la nouvelle stratégie des Juifs dans le ghetto, nous devons partir ce matin alors je dois régler cette affaire au plus tôt.
Si je vous ai réuni, c’est pour que vous répondiez à cette simple question.
Qui est le traitre se trouvant parmi les officiers qui m’entourent.
Lieutenant Selma, vous, non car sinon pourquoi m’avoir aidé à confondre la baronne Von Clif.
Günther, c’est mon plus fidèle compagnon depuis des années, lui, j’en réponds.
Messieurs qui gardez les prisonniers, est-ce vous ? »
Tous les présents ont fait le salut et claqué des talons.
J’ai compris qu’ils répondaient à leur chef et que tous nous étions mal barrés.
• « Günther sortez votre arme et pointez là sur la tempe de cette brave femme pleurant dans les bras de son mari.
Monsieur, dites qui est le fumier qui a monté ce complot contre moi ?
La baronne est morte à Berlin où elle avait été emmenée sans avoir parlée.
Cette catin a cru qu’elle pouvait tromper le grand Reich alors qu’elle était juive par sa mère.
C’est lorsque nous avons découvert cette trahison que j’ai eu l’idée de me servir d’elle pour monter cette opération ayant vent qu’un complot se tramait contre moi.
Günther !»
Avant que je comprenne, pourtant comme je te l’ai dit j’ai l’esprit assez vif, Günther que je trouvais fort sympathique au demeurant à tirer une balle dans la tête de la femme du tailleur.
• « Inutile de pleurer, monsieur, elle serait morte comme maintenant à vos pieds dans les jours prochains.
Selma, à vous, tient la jeune fille, c’est elle qui vous a coiffé, Aleksandra. »
Cette pute qui se faisait appeler Sonia, sort son arme à son tour et la met sur la tempe de cette pauvre fille, tous aussi innocente que la femme du tailleur.
• « Personne, pour dénoncer ce traitre.
Feu. »
Deuxième morte, qu’avait fait de mal cette jeune fille à part savoir coiffer les gens du ghetto.
J’étais très prêt et du sang arrive sur mon visage.
Je suis sûr qu’un à un, Günther et Selma vont être amenés à faire un carton sur chacun d’entre nous.
• « J’ai fait passer le message, que celui qui est derrière tout ça, s’il m’entend, sache que je le traquerais jusqu’au dernier jour de ma vie.
Lieutenant Selma, vous êtes promu capitaine pour avoir fait tomber ce panier de crabes.
Avec vos hommes, conduisez-les à Treblinka où ils seront à la disposition de mon ami Franz Stangl.
Günther, nous y allons nous-mêmes avant que je prenne la route de Berlin.
Nous emmenons notre brave chienne,je veux lui réserver un traitement de faveur tout particulier.
Günther, allez dans mon bureau et emportez mon sabre fétiche qui me porte chance depuis le début de notre engagement auprès de notre chef suprême. »
C’est nue que Selma m’a emmené vers la cour.
Une voiture et un camion étaient garés moteurs tournantsIl y avait avec moi tous les autres prisonniers, ils sont tous montés dans un camion.
Otto m’a regardé, c’était la dernière fois que je le voyais.
La portière arrière de la voiture était ouverte, cette salope de Selma m’a fait monter avant d’aller s’assoir à côté du chauffeur du camion.
Avant mon départ, ce fut la dernière vision que j’ai eue de cuisse de femme gainée de bas et de jarretelles tendues.
Günther est revenu, il est monté près du chauffeur et Josef à mes côtés.
Le camion était déjà parti, je me suis recroquevillée sur mon siège.
Josef me regardait semblant se foutre de ma gueule tout en sortant puis rentrant la lame de son sabre japonais.
Nous avons rattrapé le camion et en klaxonnant nous l’avons doublé.
Dans l’ange de vue où j’étais, j’ai vu le pauvre tailleur assis à côt d’un des soldats en armes me regarder.
J’ai très nettement vu un cadavre, cet homme dans cette salle qui grouillait de sadique en tenue noire hier, était déjà mort dans sa tête.
J’ai fait celle qui dormait, Josef s’est mis à parler à Günther.
• « J’espère que le message est passé.
À notre retour, je compte bien attraper ce salopard, même si je dois fusiller la moitié des juifs du ghetto.
Je compte sur vous pour me soutenir devant nos supérieurs pour traiter directement la question au sein du ghetto.
Vous m’avez fait visiter discrètement les caves lors d’une soirée secrète en préparation de l’action que nous venons de mener.
Je pense que de creuser chaque cave au nombre d’habitants, de leur mettre une balle dans la tête et les recouvrir de chaux avant de refermer, serait une bonne solution.
Peu de déplacement et nous avons la main-d’oeuvre sur place.
Je sais que notre Führer veut cacher ce que certains commencent à dire que ce sont des crimes alors que nous faisons œuvre de salut public envers cette racaille juive.
Une fois le dernier cave rempli par vos propres hommes, Günther, vous dynamiterez toute cette ville et les tonnes de gravats seront leur tombeau définitif.
• J’y ai pensé commandant, creuser, ce serait facile par les habitants eus même, mais la terre déplacée serait un problème si à la place nous y mettons des corps.
Un deuxième obstacle, le coup de chaque balle tirée, serait faramineux alors que sur certains fronts, ils manquent de munitions.
La terre donc, mais les habitants, il nous faudrait les finir à l’arme blanche, chacun de nous en a une dans son paquetage. »
C’était abject, ces hommes parlaient d’êtres humains comme si ça avait été des quantités négligeables.
Mais qu’avons-nous fait pour susciter tant de haine, surtout que depuis 1939 nous étions des peuples amis.
Josef avait carrément sorti son sabre malgré l’exiguïté de l’espace.
Il s’est mis à me caresser le bout du sein droit, la fraise de mon mamelon s’est mise à bander, était ce possible.
Moi aussi je me sentais sale.
Sale de tout ce sang versé pour le plaisir et la gloire d’un seul homme.
J’ai eu l’impression que cet homme et ses hommes se prenaient pour Dieu, celui de tous les hommes, quelle que soit leur religion, mais principalement ceux de ma confession.
J’avais eu une nuit agitée et je me suis endormis ce qui m’a permis d’ignorer ce qu’était Treblinka, quand la voiture s’est arrêtée.
• Tu venais d’arriver dans un camp de concentration.
Nous le savons aujourd’hui, mais je te rappelle que dans ces années-là, le bruit commençait à courir que les Allemands avaient engagé une course contre la montre pour nous faire disparaître de la planète.
J’avais une première partie de la solution dévoilée par Günter et Josef, mais quand la porte de la voiture s’est ouverte, j’ai eu l’impression que j’avais dû rêver ces propos.
Devant moi, un bâtiment surmonté d’un drapeau de la Croix-rouge.
Sur sa façade écrite en gros « Krankenstation » ça voulait dire « Infirmerie » en Allemand.
Je connaissais la Croix-rouge de réputation, comment pourrait-elle être partie prenante de l’abjection de ces hommes.
Ce qui m’a étonné, c’est à côté la gare, « Bahnhof », pourquoi signaler cet endroit qui ressemblait aux nombreuses gares que nous trouvions dans mon pays.
J’aurais dû être moins confiante, lorsque je me suis aperçu que la pendule était peinte et marquait toujours la même heure.
Ils m’ont fait entrer dans l’infirmerie.
• « Bonjour, Franz, comme je te l’ai téléphoné, je t’amène quelques juifs ayant voulu me prendre pour un con.
Principalement Aleksandra, qui s’est crue capable de pouvoir me soutirer des renseignements en passant par mon lit.
Tu peux me la garder au frais dans une de tes cellules de ton infirmerie.
• Bien sûr, je te présente le docteur Irmfried chargé de cette unité très efficace pour que nos visiteurs soient bien calmes à leur arrivée.»
J’ai vu les rires en sous-entendu et quand j’ai été conduit dans une cellule avec une petite fenêtre pour me donner un peu de lumière, mais inexigible pour que je puisse voir, j’ai compris que j’allais passer un sale quart d’heure.
Que fais-tu Franck, veux-tu bien arrêter, on pourrait nous voir et je dois te faire noter la suite ?
• On a le temps Aleksandra, nous sommes seules dans cet avion et notre hôtesse est dans son fauteuil attendant qu’on la sollicite, elle semble dormir.
• Où mets-tu tes mains, elles m’excitent.
Je t’ai donné goût à mon corps, mais si tu peux faire attention, mes seins restent très sensibles après ce que Günther et Josef aidé du docteur Ebert m’ont fait dès que j’ai été dans cette cellule...
Que s’est-il passé dans cette cellule et pourquoi les seins de notre amie ont été sollicités.
Qu’est-ce cette gare, qui semble être un leurre et cette infirmerie qui ressemble tout autant à un lieu de soins qu’un endroit avec possibilité de torture ?
Qui est ce docteur aux yeux de fouine à qui pour rien au monde, si j’avais eu des problèmes de santé, moi Chris71, je lui aurais fait confianceVous le saurez dans la saison III de notre série. « Matricule 100 605. »
Cette médaille, ils me l’accordent pour le 40e anniversaire du premier soulèvement du ghetto auquel j’ai participé et ou je serais la dernière survivante.
Après quelques petits moments érotiques où j’ai fait de Franck un homme, nous reprenons mon histoire.
• J’ai du mal à écrire, dis-moi pourquoi Günther est venu dans la chambre de son supérieur ?
Nos jeux tintés de dominations où j’avais fait le cheval en me faisant martyriser la croupe avec la cravache de Josef, je me suis écroulée dans son lit.
Le bruit fait par Günther venant frapper me réveille.
Josef a remis sa tenue d’officier.
• « Ils sont tous là commandant, ils vous attendent. »
Josef m’a de nouveau attrapé par les cheveux et tiré sans ménagement hors du lit.
J’ai bien été obligé de le suivre tellement il me faisait mal.
Je voyais Günther ouvrir la route et nue, j’étais obligé de suivre en me trainant du mieux que je le pouvais.
Il me faisait horriblement mal et je sentais bien qu’il le faisait sans m’amuser comme la veille.
Nous avons fait le chemin inverse jusqu’à la salle où la fête avait eu lieu.
Elle était vide de toute trace de la célébration, même les chaises.
Restait le piano.
Des hommes en armes se trouvaient là et plusieurs personnes dont certaines que je connaissais.
Otto, le pianiste de la veille, la coiffeuse qui m’avait coiffé pour la soirée.
Le tailleur avec une femme inconnue qui pleurait dans ses bras.
Certainement sa femme.
Un couple de petit vieux eux aussi inconnu et surtout Sonia mon contact, mais en tenue d’officier allemand.
Je suis propulsé aux pieds de tous ces gens.
Les trois nazis ont salué le portrait de leur chef suprême comme ils savent le faire en hurlant et en tendant le bras.
• « Lieutenant Selma, merci d’avoir joué le jeu du contact avec cette chienne à nos pieds.
Aleksandra, tu vois, je me suis bien amusé avec toi hier, j’aurais bien continué pendant deux ou trois jours.
Mais je dois être à Berlin pour définir la nouvelle stratégie des Juifs dans le ghetto, nous devons partir ce matin alors je dois régler cette affaire au plus tôt.
Si je vous ai réuni, c’est pour que vous répondiez à cette simple question.
Qui est le traitre se trouvant parmi les officiers qui m’entourent.
Lieutenant Selma, vous, non car sinon pourquoi m’avoir aidé à confondre la baronne Von Clif.
Günther, c’est mon plus fidèle compagnon depuis des années, lui, j’en réponds.
Messieurs qui gardez les prisonniers, est-ce vous ? »
Tous les présents ont fait le salut et claqué des talons.
J’ai compris qu’ils répondaient à leur chef et que tous nous étions mal barrés.
• « Günther sortez votre arme et pointez là sur la tempe de cette brave femme pleurant dans les bras de son mari.
Monsieur, dites qui est le fumier qui a monté ce complot contre moi ?
La baronne est morte à Berlin où elle avait été emmenée sans avoir parlée.
Cette catin a cru qu’elle pouvait tromper le grand Reich alors qu’elle était juive par sa mère.
C’est lorsque nous avons découvert cette trahison que j’ai eu l’idée de me servir d’elle pour monter cette opération ayant vent qu’un complot se tramait contre moi.
Günther !»
Avant que je comprenne, pourtant comme je te l’ai dit j’ai l’esprit assez vif, Günther que je trouvais fort sympathique au demeurant à tirer une balle dans la tête de la femme du tailleur.
• « Inutile de pleurer, monsieur, elle serait morte comme maintenant à vos pieds dans les jours prochains.
Selma, à vous, tient la jeune fille, c’est elle qui vous a coiffé, Aleksandra. »
Cette pute qui se faisait appeler Sonia, sort son arme à son tour et la met sur la tempe de cette pauvre fille, tous aussi innocente que la femme du tailleur.
• « Personne, pour dénoncer ce traitre.
Feu. »
Deuxième morte, qu’avait fait de mal cette jeune fille à part savoir coiffer les gens du ghetto.
J’étais très prêt et du sang arrive sur mon visage.
Je suis sûr qu’un à un, Günther et Selma vont être amenés à faire un carton sur chacun d’entre nous.
• « J’ai fait passer le message, que celui qui est derrière tout ça, s’il m’entend, sache que je le traquerais jusqu’au dernier jour de ma vie.
Lieutenant Selma, vous êtes promu capitaine pour avoir fait tomber ce panier de crabes.
Avec vos hommes, conduisez-les à Treblinka où ils seront à la disposition de mon ami Franz Stangl.
Günther, nous y allons nous-mêmes avant que je prenne la route de Berlin.
Nous emmenons notre brave chienne,je veux lui réserver un traitement de faveur tout particulier.
Günther, allez dans mon bureau et emportez mon sabre fétiche qui me porte chance depuis le début de notre engagement auprès de notre chef suprême. »
C’est nue que Selma m’a emmené vers la cour.
Une voiture et un camion étaient garés moteurs tournantsIl y avait avec moi tous les autres prisonniers, ils sont tous montés dans un camion.
Otto m’a regardé, c’était la dernière fois que je le voyais.
La portière arrière de la voiture était ouverte, cette salope de Selma m’a fait monter avant d’aller s’assoir à côté du chauffeur du camion.
Avant mon départ, ce fut la dernière vision que j’ai eue de cuisse de femme gainée de bas et de jarretelles tendues.
Günther est revenu, il est monté près du chauffeur et Josef à mes côtés.
Le camion était déjà parti, je me suis recroquevillée sur mon siège.
Josef me regardait semblant se foutre de ma gueule tout en sortant puis rentrant la lame de son sabre japonais.
Nous avons rattrapé le camion et en klaxonnant nous l’avons doublé.
Dans l’ange de vue où j’étais, j’ai vu le pauvre tailleur assis à côt d’un des soldats en armes me regarder.
J’ai très nettement vu un cadavre, cet homme dans cette salle qui grouillait de sadique en tenue noire hier, était déjà mort dans sa tête.
J’ai fait celle qui dormait, Josef s’est mis à parler à Günther.
• « J’espère que le message est passé.
À notre retour, je compte bien attraper ce salopard, même si je dois fusiller la moitié des juifs du ghetto.
Je compte sur vous pour me soutenir devant nos supérieurs pour traiter directement la question au sein du ghetto.
Vous m’avez fait visiter discrètement les caves lors d’une soirée secrète en préparation de l’action que nous venons de mener.
Je pense que de creuser chaque cave au nombre d’habitants, de leur mettre une balle dans la tête et les recouvrir de chaux avant de refermer, serait une bonne solution.
Peu de déplacement et nous avons la main-d’oeuvre sur place.
Je sais que notre Führer veut cacher ce que certains commencent à dire que ce sont des crimes alors que nous faisons œuvre de salut public envers cette racaille juive.
Une fois le dernier cave rempli par vos propres hommes, Günther, vous dynamiterez toute cette ville et les tonnes de gravats seront leur tombeau définitif.
• J’y ai pensé commandant, creuser, ce serait facile par les habitants eus même, mais la terre déplacée serait un problème si à la place nous y mettons des corps.
Un deuxième obstacle, le coup de chaque balle tirée, serait faramineux alors que sur certains fronts, ils manquent de munitions.
La terre donc, mais les habitants, il nous faudrait les finir à l’arme blanche, chacun de nous en a une dans son paquetage. »
C’était abject, ces hommes parlaient d’êtres humains comme si ça avait été des quantités négligeables.
Mais qu’avons-nous fait pour susciter tant de haine, surtout que depuis 1939 nous étions des peuples amis.
Josef avait carrément sorti son sabre malgré l’exiguïté de l’espace.
Il s’est mis à me caresser le bout du sein droit, la fraise de mon mamelon s’est mise à bander, était ce possible.
Moi aussi je me sentais sale.
Sale de tout ce sang versé pour le plaisir et la gloire d’un seul homme.
J’ai eu l’impression que cet homme et ses hommes se prenaient pour Dieu, celui de tous les hommes, quelle que soit leur religion, mais principalement ceux de ma confession.
J’avais eu une nuit agitée et je me suis endormis ce qui m’a permis d’ignorer ce qu’était Treblinka, quand la voiture s’est arrêtée.
• Tu venais d’arriver dans un camp de concentration.
Nous le savons aujourd’hui, mais je te rappelle que dans ces années-là, le bruit commençait à courir que les Allemands avaient engagé une course contre la montre pour nous faire disparaître de la planète.
J’avais une première partie de la solution dévoilée par Günter et Josef, mais quand la porte de la voiture s’est ouverte, j’ai eu l’impression que j’avais dû rêver ces propos.
Devant moi, un bâtiment surmonté d’un drapeau de la Croix-rouge.
Sur sa façade écrite en gros « Krankenstation » ça voulait dire « Infirmerie » en Allemand.
Je connaissais la Croix-rouge de réputation, comment pourrait-elle être partie prenante de l’abjection de ces hommes.
Ce qui m’a étonné, c’est à côté la gare, « Bahnhof », pourquoi signaler cet endroit qui ressemblait aux nombreuses gares que nous trouvions dans mon pays.
J’aurais dû être moins confiante, lorsque je me suis aperçu que la pendule était peinte et marquait toujours la même heure.
Ils m’ont fait entrer dans l’infirmerie.
• « Bonjour, Franz, comme je te l’ai téléphoné, je t’amène quelques juifs ayant voulu me prendre pour un con.
Principalement Aleksandra, qui s’est crue capable de pouvoir me soutirer des renseignements en passant par mon lit.
Tu peux me la garder au frais dans une de tes cellules de ton infirmerie.
• Bien sûr, je te présente le docteur Irmfried chargé de cette unité très efficace pour que nos visiteurs soient bien calmes à leur arrivée.»
J’ai vu les rires en sous-entendu et quand j’ai été conduit dans une cellule avec une petite fenêtre pour me donner un peu de lumière, mais inexigible pour que je puisse voir, j’ai compris que j’allais passer un sale quart d’heure.
Que fais-tu Franck, veux-tu bien arrêter, on pourrait nous voir et je dois te faire noter la suite ?
• On a le temps Aleksandra, nous sommes seules dans cet avion et notre hôtesse est dans son fauteuil attendant qu’on la sollicite, elle semble dormir.
• Où mets-tu tes mains, elles m’excitent.
Je t’ai donné goût à mon corps, mais si tu peux faire attention, mes seins restent très sensibles après ce que Günther et Josef aidé du docteur Ebert m’ont fait dès que j’ai été dans cette cellule...
Que s’est-il passé dans cette cellule et pourquoi les seins de notre amie ont été sollicités.
Qu’est-ce cette gare, qui semble être un leurre et cette infirmerie qui ressemble tout autant à un lieu de soins qu’un endroit avec possibilité de torture ?
Qui est ce docteur aux yeux de fouine à qui pour rien au monde, si j’avais eu des problèmes de santé, moi Chris71, je lui aurais fait confianceVous le saurez dans la saison III de notre série. « Matricule 100 605. »
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