COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Saison IV (11/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Saison IV (11/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Saison IV (11/12)
- Le célèbre Cotton club ?...

Tu peux le dire, le célèbre Cotton Club, le mythique Cotton Club, celui de Duke et de Luis et Sydney.
Pour moi à cette époque, peu m’importait le nom à l’affiche.
Ce qui m’importait c’est que ça swing et ça swinguait.
Je m’étais installée chez Constance, plutôt chez Billy qui possédait ce logement dans un immeuble assez délabré.
Je savais pouvoir vivre sur de l’argent qu’il avait confié à sa sœur avant de partir en guerre.
Le jeune noir que j’avais connue en Allemagne était loin d’être une oie blanche.
Un soir où j’étais restée seule, je dois reconnaître que mes règles disparues pendant la période des camps étaient miraculeusement réapparues.
Ce soir-là, j’ai fouillé au fond de l’armoire de Billy où se trouvaient des costumes chics.
Dans une veille boîte de chaussures, j’ai trouvé des coupures de presse jaunies, toutes parlaient d’attaque de banque.
La bande de Lucky Luciano depuis la fin des années 30.
Un noir en faisait partie sans que l’on sache qui il était.
J’ignore si Constance connaissait l’existence de cette boîte, mais au fond j’y ai trouvé plusieurs liasses de beaux dollars américains.
Je sortais peu, le quartier étant très peu fréquenté par des blanches, je me faisais siffler à chaque coin de rue.
Mais je sortais suffisamment pour aller refaire ma garde-robe.
Tu as dû voir des films ou les jeunes femmes portes des robes amples à fleur.
J’en avais plusieurs et le soir lorsque j’allais m’éclater au Cotton, j’adorais que les meilleurs danseurs me fassent tournoyer.
Le rock’n’roll faisait fureur.
La musique nègre, comme cela se disait à cette époque, la plupart des musiciens étant noirs.
Avant ce qui devait arriver, j’étais une petite fille sage, j’étais amoureuse de Billy et tous le savaient et pour rien au monde m’auraient manqué de respect.
J’en jouais, car j’adorais les regards portés sur moi lorsque je leur faisais voir ma petite culotte blanche chaque fois que ma robe s’envolait.
Un soir pourtant j’ai commencé à le tromper, avec Constance, sa sœur.
J’avais appris aux filles que je voyais le matin, plutôt en début d’après-midi quand je me levais et que je rencontrais celle qui avait fini la nuit avec elle qu’elle était lesbienne.
Ce soir-là, Constance était de repos et j’étais dans mon bain lorsqu’elle est arrivée nue.
Sans me poser de questions, elle a enjambé le rebort de la baignoire.
Avec Odette, j’avais connu les sexes féminins, là c’était différent et pareil à la fois.
Noir à l’extérieur et rose à l’intérieur.
Elle avait un clitoris, que j’ai eu rapidement dans ma bouche lorsqu’elle me l’a approché de ma bouche dans ce bain.
Nous sommes sorties, il faut dire que l’eau chaude manquait et que le bain était froid avec seulement une gamelle d'eau chaude bouillie sur un vieux réchaud.
C’est dans sa chambre les nuits suivantes, je suis devenue une gentille gouine, j’en avais assez appris lors de mes nuits dans le lit d’Odette pour la satisfaire.
Elle était peu fidèle et alors que je l’attendais étant rentrée avant elle, j’ai entendu une discussion dans l’appartement.
Je me suis levée, elle était dans la salle à manger avec une blonde platinée et lui bouffait littéralement la bouche.
J’en avais tellement vu que sans qu’elle me le demande, j’ai rejoint ma propre chambre, celle de Billy.
Toute la nuit, je me suis caressée à les entendre se donner du plaisir.

Billy, c’est le lendemain que j’ai enfin eu de ses nouvelles.
Je lui écrivais et il m’écrivait, mais un jour plus rien pendant de nombreux jours.
Les distances et les moyens de communication était loin de ceux de maintenant et quand on a frappé la sonnette étant hors-service, je suis allée ouvrir.
C’était Alex le trompettiste et ami de Billy dans l’orchestre qu’il avait créé.

- « Billy est mort, la veille du jour où un avion devait nous ramener au pays.
Il était parti avec la Jeep dans un village voisin pour du ravitaillement.
Je dois être franc.
Il faut que tu évites de vivre dans les regrets d’un amour vécu dans une période très dérangeante.
Billy était loin d’être un homme sans tache comme il voulait le faire paraître.
Il était un coureur de jupons invétéré, après avoir fait des actes ici dont tu ignores les conséquences que cela a pu avoir pour nous tous.
C’est la guerre qui lui a permis de se refaire une virginité, mais les femmes, c’était son truc. »
J’en savais plus que ce qu’il croyait, se racheter une virginité et les coupures de presse étaient assez explicites.
Billy faisait partie d’un gang de braqueurs new-yorkais des années 30, le fric dans sa chambre en état la preuve.

- « Quand nous avons avancé, du moins nos troupes, l’intendance a suivi.
Nous avions longé une ferme quelques kilomètres avant le nouveau campement.
J’étais avec lui ce jour-là dans la Jeep et j’ai clairement vu qu’il avait repéré la jolie blonde qui était sur le pas de la porte avec un enfant en bas âge.
Le soir même après la réception de camions avec les caisses de provision, tu connais du chocolat des bas et aussi du whisky, je l’ai vu prendre la Jeep.
La route qu’il prenait ce soir-là m’a confirmé qu’il allait revoir la fermière teutonne.
J’en ai eu la confirmation dès le lendemain lorsqu’il s’est endormi sa planche de pointage à la main.
Tu sais que les hommes parlent de sexe entre eux sans aucun tabou, ce fut le cas lorsqu’il a émergé un verre de whisky sous le nez que je lui avais préparé.
Dès qu’il a frappé, elle a ouvert, aucun des deux parlant la langue de l’autre et c’est tout naturellement qu’elle s’est laissé embrasser.
Il lui a tout fait dès ce premier soir.
Il y retournait chaque fois qu’il le pouvait, jusqu’à ce qu’il me dise avoir trouvé un chemin dans la forêt lui évitant deux kilomètres et lui permettant de la sauter plus longtemps.
Ce sont ces kilomètres en moins qui l’ont tué.
De retour à la fin de la nuit, il a traversé la forêt entre les arbres à la lueur de ses phares.
Mais les Allemands des mois plus tôt avaient posé quelques mines et la voiture a sauté sur l’une d’elles.
Nous avons entendu la déflagration venant de la forêt, j’étais enclin à foncer sachant que mon ami passait dans cette forêt pour aller baiser.
C’est le lieutenant de service qui m’a empêchée de me précipiter.
Ce sont les démineurs qui ont rejoint Billy trouvant quatre autres mines.
Le lieutenant m’a certainement évité une mort en me retenant, mais c’est Billy qui a été enterré là-bas. »
Billy mort, je pensais qu’avec Constance je pourrais rester puisque j’avais couché avec elle.
J’ai pu le temps qu’elle reçoive les papiers et qu’elle hérite des biens de son frère.
Lorsqu’elle a été propriétaire, elle m’a enjoint d’aller me faire pendre ailleurs.
Elle avait un nouveau béguin.
Je savais qu’Alex était amoureux de moi, je savais où il habitait, car il s’était fait engager comme trompettiste dans l’orchestre noir du Cotton.
Quand je lui ai demandé le soir entre deux coupures de m’héberger, je savais qu’il dirait oui et moi je savais ce qu’il me restait à faire dès que je fus installer.
J’ai emporté mes affaires, sans oublier les
- Tu es passée d’un nègre à l’autre !

Je vais te faire une confidence, Billy baisait bien, mais Alex lui rendait trois longueurs.
Plus gros, plus fort plus loin.
On pourrait penser à la devise des JO, non, c’était la puissance sexuelle de ce beau black.
Nous étions très libres Alex et moi, surtout moi, il me permettait dans les folles nuits que nous passions après les malheurs de la guerre que nous pouvons nous éclater.
Au Cotton, toutes les filles qui venaient danser en s’encanaillant étaient pour certaines des filles qui tapinaient.
Je me faisais un mec par soir, j’aurais pu me faire un max de fric.
Dès qu’un beau mâle passait a porté de mon cul, il me le fallait et il était fréquent que j’aille baiser dans les toilettes.
Ma chambre d’ami chez Alex où j’amenais mes amants rugissaient de mes cris de plaisir.
Un soir, j’ai levé une fille ayant baisé avec Constance, je me suis éclatée à lui sucer et me faire sucer la chatte.
La position latérale en 69, nous excellions.
J’entendais la salope qu’Alex baisait qui moi hurlait son plaisir comme nous le nôtre.
Nous étions insouciants, nous vivions le fait d’être vivant, d’avoir échappé à l’horreur de la guerre.

- Ce devait être de belles années !

On parlait des années folles 1920, l’après 45 était tout aussi folle.
Un jour Alex m’a prévenue qu’il avait un contrat à Vegas et que si je le voulais je pouvais venir avec lui.
Depuis que j’étais à New york, l’argent que j’avais trouvé dans la chambre de Billy se raréfiait.
Depuis mon arrivée comme colis 6 605, l’américain était ma seule langue.
Comme je te l’ai dit, j’avais des facilités avec les langues, ce qui m’avait permis de m’infiltrer auprès des allemands à la commandature de Varsovie, entrainant les suites que je t’ai expliquée.
L’anglais ou l’américain, ce fut pareil du moins en parler ayant peu l’occasion d’écrire.

- Tu l’as donc suivi, tu as quitté New York !

Oui, Alex travaillait au Flamingo dans les spectacles que la direction offrait à ses clients.
Un nouveau casino le « Désert Inn » venait d’ouvrir, des employés du Flamingo s’y sont précipités, libérant des places.
J’ai été embauché, je travaillais comme barmaid en tenue légère, mais par chance j’étais en deux pièces dorées, mes seins protégés par un soutien gorge.
Les clients sauf ceux qui finissaient dans mon lit voyaient que j’avais été maltraitée.
Ce fut le cas de Willy, le cow-boy dont je t’ai parlé tout à l’heure.

- Il t’a baisée sur son cheval !

Ça aurait pu, mais non, plus classiquement, sauf qu’il gardait ses bottes...

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