COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (1/5)
Voici une nouvelle histoire que je publie après correction d’Anne en plusieurs saisons.
Voici la saison I.
Mes parents m’ont appelé Lolita en souvenir de ma grand-mère Marlène qui était venue de Berlin pendant la guerre.
J’ai horreur de ce prénom et j’ai réussi à ce que tout le monde m’appelle Lolo.
Je suis en fin d’adolescence, ce que j’entends ce jour-là a été le début de l’éveil de ma sexualité qui avait été sage jusqu’à ce jour.
Jusqu’à cette fin de nuit mes doigts n’avaient jamais rencontré ma fente qui s’est couverte de poils remplaçant mon fin duvet sur la surface de ma minette assez impressionnante.
Je suis brune aux yeux verts, ma croissance n’étant pas terminé, je ne peux dire qu’elle est ma taille exacte, elle change de façon permanente.
Nous habitons un pavillon de banlieue dans l’Est de Paris, quand mes parents l’ont construit à ma naissance.
Ils n’étaient pas bien riches et les contraintes administratives les ont obligés à ne pas dépasser une certaine hauteur, comme ils espéraient le faire.
Je couchais dans la même chambre que mon frère, ce qui n’est pas facile pour une jeune fille qui s’éveille au monde.
Il y a deux ans, ils ont gagné une grosse somme au loto et la plus grande partie a été investie pour faire des plans sur l’extension du pavillon.
C’est comme cela qu’une petite aile a été construite avec passage dans le corps principal non loin de la salle à manger et une porte donnant directement sur le jardin.
Vers la fin des travaux, nous avons parlé ensemble de celui qui récupérerait la chambre avec salle de bains qui avait été construite.
Ils semblaient tous d’accord que mon frère aîné d’un an, la récupère.
Je ne l’entendais pas de cette oreille et j’ai fait valoir mes droits.
Il faut dire que cette chambre, outre la sortie individuelle dont je ne voyais pas l’intérêt à cet âge était construite sur une partie à moitié enterrée où mon père voulait faire son atelier et la baie vitrée donnait sur une petite terrasse.
Cette terrasse était ensoleillée une grande partie de la journée et cachée des regards de toute personne.
Pour y accéder seule la porte de ma chambre le permettait.
Je me voyais déjà me faire bronzer à cet endroit avec mes copines.
N’arrivant pas à nous décider mon père toujours pragmatique a proposé que nous tirions à pile ou face.
Pour la première fois de ma jeune vie, moi qui n’ai jamais gagné au Monopoly, j’ai eu le droit de m’installer dès que les travaux ont été terminés.
Un soir de Pâques, mon frère était parti à son camp scout, je me suis retirée dans ma chambre pour écrire dans mon cher journal les banalités que j’avais l’habitude d’y coucher.
J’étais dans ma chambre depuis une demi-heure lorsque la porte mal enclenchée s’est ouverte.
Je me suis levée pour la refermer lorsqu’une conversation ayant lieu entre mes grand-mères toutes les deux veuves et mes parents m’a intriguée.
À ce que j’ai compris au début comme pour la chambre, grand-mère Marlène parlait à mes parents de lourd secret qui entourait leur vie.
Il faut dire que sur la table tout le repas et jusqu’au soir les bouteilles de bons vins avaient défilé déliant certainement les langues.
Ma grand-mère Marlène avec son accent bien de chez elle a commencé son récit.
- J’avais un peu plus de seize ans lorsque la guerre a éclaté, je ne connaissais rien de la vie ayant vécu dans une famille très bourgeoise de Berlin.
Nous habitions rue Grunewaldstrabe, je sais pour vous, c’est impossible à prononcer.
Mon père Karl était pianiste dans le grand orchestre symphonique de la ville et ma mère harpiste dans cette même formation.
J’avais commencé des études de violon qui devaient me conduire à suivre leurs traces, et un jour rejoindre moi aussi ce prestigieux orchestre.
Ma mère Ashley toujours la bouche ouverte se sentait le droit de l’interrompt de temps en temps.
En évoquant le nom de maman, je me suis toujours demandé pourquoi alors que grand-mère était allemande, elle avait un prénom à consonance anglo-saxonne.
- Je n’ai jamais compris pourquoi tu as refusé de te servir du violon qui est posé chez toi sur ta cheminée.
- La suite de mon histoire t’appendra pourquoi je l’ai conservé, mais aussi pourquoi je n’en joue plus.
- Souvent dans ma prime jeunesse, j’allais avec ma nounou chercher mes parents à la salle de concerts et j’écoutais la fin des répétitions.
Je les rejoignais sur scène et chaque fois des messieurs bien intentionnés me prenaient sur leurs genoux pour me dire que j’étais belle.
Ma mère ne pensait qu’à pavaner auprès de ces messieurs et mon père semblant aimer être entouré d’hommes certains assez efféminés.
Il semblait n’avoir d’yeux que pour celui qui jouait du triangle qui chaque fois qu’il devait taper sur son instrument, c’est-à-dire deux à trois fois par morceaux envoyait des regards appuyés vers lui.
- Tu as connu la montée du nazisme.
- Plutôt deux fois qu’une, mon père brun aux yeux bleus se targuait, dessin à l’appui, quand il recevait de faire partie de la race pure.
Mon frère a rejoint les jeunesses hitlériennes et le jour de son départ a été pour moi la dernière fois où je l’ai vu.
Mon père, vu son rang s’est retrouvé officier à Paris dès que le front a enfoncé les défenses françaises.
Ma mère Herta au début de la guerre avait toujours son rang bien que la plupart des musiciens aient quitté l’orchestre, elle aussi a subi bien des choses, mais j’en parlerai plus tard.
Un bruit de chaise m’a alerté, au moment où je repoussais ma porte sans la fermer.
J’ai vu mon père aller vers la cuisine pour en revenir avec une autre bonne bouteille.
Rassurée, j’ai remis ma porte pour bien entendre, à ce moment seul le bruit du liquide coulant dans les verres me parvenait aux oreilles.
- Merci, Serge, j’adore votre petit blanc, raconter mon histoire me donne soif.
Un jour, le chef d’orchestre que je voyais de plus en plus souvent à la maison et qui se rapprochait de ma mère dès que je partais vers ma chambre lui a proposé que je rejoigne la structure mise en place par le parti où les filles de bonne famille recevaient une éducation de grande valeur.
Elle a été enchantée que le parti ait pensé à moi pour entrer dans une telle institution.
Ça allait la soulager, car depuis le départ de mon père et les différents fronts que notre Chef suprême ouvrait, elle avait peur pour moi.
Dans ces années-là, je lisais beaucoup et à l’aide d’un dictionnaire allemand français ainsi que des livres que j’avais trouvés dans notre grenier.
J’avais appris à lire dans la langue de l’un de nos ennemis et pouvoir dire quelques mots pour faire des phrases, si papa nous avait fait venir près de lui.
J’étais puérile, je faisais partie de ces filles qui pensaient que l’Allemagne était grande grâce à notre Führer et que nous allions régner sur le monde comme les propagandes nazies le disaient à la radio.
Quand je vois votre poste de télévision mes enfants, je note le chemin que la vie m’a fait parcourir.
Les voix que nous entendions augmentaient leur pouvoir de persuasion surtout qu’en apprenant seule, j’ai vite compris que je parlais comme une vache espagnole.
- Maman, j’aimerais parler l’allemand comme tu parles le français.
- Arrête de m’interrompt à tout moment, je perds le fil de mon histoire.
Des bruits de chaises m’ont fait peur, mais tout est revenu à la normal.
- Le 1e septembre 1939, deux jours après mon anniversaire, une petite valise à la main et surtout mon violon, j’entrais dans un grand manoir à l’est de Cologne à six cents kilomètres de Berlin.
Je ne comprenais pas au fil des kilomètres que pour mon éducation, je ne puisse pas rester à Berlin et retourner chez moi le week-end.
Le chef d’orchestre assis à mes côtés, qui avait un chauffeur ne m’adressait jamais la parole mais n’avait pas le moindre geste équivoque.
En ce moment de grande solitude seul mon violon que je serrais sur mon cœur me reliait avec mes années de bonheur.
Une nouvelle fois, les verres s’entrechoquaient.
- Arrivée devant une immense bâtisse, où de nombreuses voitures étaient garées, semblant appartenir à de hauts dignitaires, toutes ayant un chauffeur qui attendait, soit au volant, soit en les lustrant.
M’ayant fait entrer, au moment de franchir la porte d’une chambre, la soubrette m’accompagnant m’a arraché mon violon, sans aucun ménagement.
Je suis restée seule pendant six jours, je ne voyais qu’elle sans jamais entendre le son de sa voix, même quand je lui posais des questions.
Après ce temps coupé du monde, quand la porte toujours fermée à clef m’empêchant de circuler, s’est ouverte, c’est celui que je considérais comme mon protecteur qui est entré.
Je me suis précipitée dans ses bras les larmes me venant aux yeux.
J’ai appris plus tard que c’était sa méthode pour assouplir les filles.
Quelques minutes après sans que j’aie eu le temps de me poser la moindre question, je me suis sentie propulsée sur le lit, mes vêtements personnels que j’avais gardés arrachés.
J’étais complètement dans le brouillard et comme l’oie blanche que j’étais, je me suis retrouvée avec un morceau de chair encore assez mou dans la bouche.
Dans ces années-là, tout était caché aux filles et dans les nombreux livres que j’avais trouvés chez nous, aucun ne m’avait montré un sexe d’homme et encore moins n’en avait parlé.
- C’est à ce moment que tu as vu une verge pour la première fois ?
- Où j’en étais, arrête de m’interrompre.
Oui, sa bite en bouche dont je ne savais qu’en faire, rapidement les ordres sont venus.
- Suce-la, comme si tu mangeais une glace.
Ces mots pour moi étaient pleins d’incompréhension, que venaient faire ces glaces dans son récit ?
- J’adorais les glaces, c’était mon grand plaisir dans ces années de bonheur avec mes parents.
Ils m’en offraient quand nous nous promenions dans le parc près de notre appartement.
J’en suçais et je croquais à belles dents dans la grosse boule surtout à la fraise.
Une fraction de seconde, je me suis revue dans ce parc, j’ai donné un grand coup de dents dans ce morceau mou.
Mon bourreau a hurlé et j’ai ramassé une magnifique baffe qui m’a fait tomber dans les pommes.
Il a quitté la chambre en emportant mes vêtements.
Plusieurs jours après, le temps que mon geste qui lui avait entamé le morceau cicatrice, je ne l’ai pas revu, jusqu’au moment où la porte a claqué et qu’il m’apparaisse nu comme un ver.
C’est dur de la suivre certaines phrases et des mots étant incohérents pour moi.
- Les ordres sont arrivés sans qu’il remette son engin dans ma bouche craignant certainement mes réactions.
Allongée sur le lit, c’est avec ma main qu’il m’a appris à le masturber.
En même temps mon éducation sexuelle allait rapidement s’enrichir de mots comme bite, chatte, verge, trou du cul, pénétration vaginale ou anale, sucette et autres sodomies.
Celle qui m’a porté le plus d’interrogation, c’est lorsqu’il m’a dit qu’il allait falloir apprendre à pomper des dards aussi bien que ma salope de mère.
Mère, je comprenais, mais dard, je ne voyais pas ce que les abeilles ou les guêpes venaient faire dans ce que je subissais tout en étant attentive à ce que je découvrais.
Le pompon fut, le mot « salope », jamais dans notre monde, on ne l’aurait prononcé surtout pour parler d’une femme ayant la classe naturelle de ma petite maman.
La flèche que le mouvement de ma main au bas du corps de ce satyre développait m’intriguait, quand il a été à son maximum.
Il faut dire qu’à ce moment il m’était impossible de comparer, je l’ai vu plus tard.
- En as-tu masturbé beaucoup ?
- Écoute la suite tu le verras bien, Serge sert nous un verre, j’ai soif…
Voici la saison I.
Mes parents m’ont appelé Lolita en souvenir de ma grand-mère Marlène qui était venue de Berlin pendant la guerre.
J’ai horreur de ce prénom et j’ai réussi à ce que tout le monde m’appelle Lolo.
Je suis en fin d’adolescence, ce que j’entends ce jour-là a été le début de l’éveil de ma sexualité qui avait été sage jusqu’à ce jour.
Jusqu’à cette fin de nuit mes doigts n’avaient jamais rencontré ma fente qui s’est couverte de poils remplaçant mon fin duvet sur la surface de ma minette assez impressionnante.
Je suis brune aux yeux verts, ma croissance n’étant pas terminé, je ne peux dire qu’elle est ma taille exacte, elle change de façon permanente.
Nous habitons un pavillon de banlieue dans l’Est de Paris, quand mes parents l’ont construit à ma naissance.
Ils n’étaient pas bien riches et les contraintes administratives les ont obligés à ne pas dépasser une certaine hauteur, comme ils espéraient le faire.
Je couchais dans la même chambre que mon frère, ce qui n’est pas facile pour une jeune fille qui s’éveille au monde.
Il y a deux ans, ils ont gagné une grosse somme au loto et la plus grande partie a été investie pour faire des plans sur l’extension du pavillon.
C’est comme cela qu’une petite aile a été construite avec passage dans le corps principal non loin de la salle à manger et une porte donnant directement sur le jardin.
Vers la fin des travaux, nous avons parlé ensemble de celui qui récupérerait la chambre avec salle de bains qui avait été construite.
Ils semblaient tous d’accord que mon frère aîné d’un an, la récupère.
Je ne l’entendais pas de cette oreille et j’ai fait valoir mes droits.
Il faut dire que cette chambre, outre la sortie individuelle dont je ne voyais pas l’intérêt à cet âge était construite sur une partie à moitié enterrée où mon père voulait faire son atelier et la baie vitrée donnait sur une petite terrasse.
Cette terrasse était ensoleillée une grande partie de la journée et cachée des regards de toute personne.
Pour y accéder seule la porte de ma chambre le permettait.
Je me voyais déjà me faire bronzer à cet endroit avec mes copines.
N’arrivant pas à nous décider mon père toujours pragmatique a proposé que nous tirions à pile ou face.
Pour la première fois de ma jeune vie, moi qui n’ai jamais gagné au Monopoly, j’ai eu le droit de m’installer dès que les travaux ont été terminés.
Un soir de Pâques, mon frère était parti à son camp scout, je me suis retirée dans ma chambre pour écrire dans mon cher journal les banalités que j’avais l’habitude d’y coucher.
J’étais dans ma chambre depuis une demi-heure lorsque la porte mal enclenchée s’est ouverte.
Je me suis levée pour la refermer lorsqu’une conversation ayant lieu entre mes grand-mères toutes les deux veuves et mes parents m’a intriguée.
À ce que j’ai compris au début comme pour la chambre, grand-mère Marlène parlait à mes parents de lourd secret qui entourait leur vie.
Il faut dire que sur la table tout le repas et jusqu’au soir les bouteilles de bons vins avaient défilé déliant certainement les langues.
Ma grand-mère Marlène avec son accent bien de chez elle a commencé son récit.
- J’avais un peu plus de seize ans lorsque la guerre a éclaté, je ne connaissais rien de la vie ayant vécu dans une famille très bourgeoise de Berlin.
Nous habitions rue Grunewaldstrabe, je sais pour vous, c’est impossible à prononcer.
Mon père Karl était pianiste dans le grand orchestre symphonique de la ville et ma mère harpiste dans cette même formation.
J’avais commencé des études de violon qui devaient me conduire à suivre leurs traces, et un jour rejoindre moi aussi ce prestigieux orchestre.
Ma mère Ashley toujours la bouche ouverte se sentait le droit de l’interrompt de temps en temps.
En évoquant le nom de maman, je me suis toujours demandé pourquoi alors que grand-mère était allemande, elle avait un prénom à consonance anglo-saxonne.
- Je n’ai jamais compris pourquoi tu as refusé de te servir du violon qui est posé chez toi sur ta cheminée.
- La suite de mon histoire t’appendra pourquoi je l’ai conservé, mais aussi pourquoi je n’en joue plus.
- Souvent dans ma prime jeunesse, j’allais avec ma nounou chercher mes parents à la salle de concerts et j’écoutais la fin des répétitions.
Je les rejoignais sur scène et chaque fois des messieurs bien intentionnés me prenaient sur leurs genoux pour me dire que j’étais belle.
Ma mère ne pensait qu’à pavaner auprès de ces messieurs et mon père semblant aimer être entouré d’hommes certains assez efféminés.
Il semblait n’avoir d’yeux que pour celui qui jouait du triangle qui chaque fois qu’il devait taper sur son instrument, c’est-à-dire deux à trois fois par morceaux envoyait des regards appuyés vers lui.
- Tu as connu la montée du nazisme.
- Plutôt deux fois qu’une, mon père brun aux yeux bleus se targuait, dessin à l’appui, quand il recevait de faire partie de la race pure.
Mon frère a rejoint les jeunesses hitlériennes et le jour de son départ a été pour moi la dernière fois où je l’ai vu.
Mon père, vu son rang s’est retrouvé officier à Paris dès que le front a enfoncé les défenses françaises.
Ma mère Herta au début de la guerre avait toujours son rang bien que la plupart des musiciens aient quitté l’orchestre, elle aussi a subi bien des choses, mais j’en parlerai plus tard.
Un bruit de chaise m’a alerté, au moment où je repoussais ma porte sans la fermer.
J’ai vu mon père aller vers la cuisine pour en revenir avec une autre bonne bouteille.
Rassurée, j’ai remis ma porte pour bien entendre, à ce moment seul le bruit du liquide coulant dans les verres me parvenait aux oreilles.
- Merci, Serge, j’adore votre petit blanc, raconter mon histoire me donne soif.
Un jour, le chef d’orchestre que je voyais de plus en plus souvent à la maison et qui se rapprochait de ma mère dès que je partais vers ma chambre lui a proposé que je rejoigne la structure mise en place par le parti où les filles de bonne famille recevaient une éducation de grande valeur.
Elle a été enchantée que le parti ait pensé à moi pour entrer dans une telle institution.
Ça allait la soulager, car depuis le départ de mon père et les différents fronts que notre Chef suprême ouvrait, elle avait peur pour moi.
Dans ces années-là, je lisais beaucoup et à l’aide d’un dictionnaire allemand français ainsi que des livres que j’avais trouvés dans notre grenier.
J’avais appris à lire dans la langue de l’un de nos ennemis et pouvoir dire quelques mots pour faire des phrases, si papa nous avait fait venir près de lui.
J’étais puérile, je faisais partie de ces filles qui pensaient que l’Allemagne était grande grâce à notre Führer et que nous allions régner sur le monde comme les propagandes nazies le disaient à la radio.
Quand je vois votre poste de télévision mes enfants, je note le chemin que la vie m’a fait parcourir.
Les voix que nous entendions augmentaient leur pouvoir de persuasion surtout qu’en apprenant seule, j’ai vite compris que je parlais comme une vache espagnole.
- Maman, j’aimerais parler l’allemand comme tu parles le français.
- Arrête de m’interrompt à tout moment, je perds le fil de mon histoire.
Des bruits de chaises m’ont fait peur, mais tout est revenu à la normal.
- Le 1e septembre 1939, deux jours après mon anniversaire, une petite valise à la main et surtout mon violon, j’entrais dans un grand manoir à l’est de Cologne à six cents kilomètres de Berlin.
Je ne comprenais pas au fil des kilomètres que pour mon éducation, je ne puisse pas rester à Berlin et retourner chez moi le week-end.
Le chef d’orchestre assis à mes côtés, qui avait un chauffeur ne m’adressait jamais la parole mais n’avait pas le moindre geste équivoque.
En ce moment de grande solitude seul mon violon que je serrais sur mon cœur me reliait avec mes années de bonheur.
Une nouvelle fois, les verres s’entrechoquaient.
- Arrivée devant une immense bâtisse, où de nombreuses voitures étaient garées, semblant appartenir à de hauts dignitaires, toutes ayant un chauffeur qui attendait, soit au volant, soit en les lustrant.
M’ayant fait entrer, au moment de franchir la porte d’une chambre, la soubrette m’accompagnant m’a arraché mon violon, sans aucun ménagement.
Je suis restée seule pendant six jours, je ne voyais qu’elle sans jamais entendre le son de sa voix, même quand je lui posais des questions.
Après ce temps coupé du monde, quand la porte toujours fermée à clef m’empêchant de circuler, s’est ouverte, c’est celui que je considérais comme mon protecteur qui est entré.
Je me suis précipitée dans ses bras les larmes me venant aux yeux.
J’ai appris plus tard que c’était sa méthode pour assouplir les filles.
Quelques minutes après sans que j’aie eu le temps de me poser la moindre question, je me suis sentie propulsée sur le lit, mes vêtements personnels que j’avais gardés arrachés.
J’étais complètement dans le brouillard et comme l’oie blanche que j’étais, je me suis retrouvée avec un morceau de chair encore assez mou dans la bouche.
Dans ces années-là, tout était caché aux filles et dans les nombreux livres que j’avais trouvés chez nous, aucun ne m’avait montré un sexe d’homme et encore moins n’en avait parlé.
- C’est à ce moment que tu as vu une verge pour la première fois ?
- Où j’en étais, arrête de m’interrompre.
Oui, sa bite en bouche dont je ne savais qu’en faire, rapidement les ordres sont venus.
- Suce-la, comme si tu mangeais une glace.
Ces mots pour moi étaient pleins d’incompréhension, que venaient faire ces glaces dans son récit ?
- J’adorais les glaces, c’était mon grand plaisir dans ces années de bonheur avec mes parents.
Ils m’en offraient quand nous nous promenions dans le parc près de notre appartement.
J’en suçais et je croquais à belles dents dans la grosse boule surtout à la fraise.
Une fraction de seconde, je me suis revue dans ce parc, j’ai donné un grand coup de dents dans ce morceau mou.
Mon bourreau a hurlé et j’ai ramassé une magnifique baffe qui m’a fait tomber dans les pommes.
Il a quitté la chambre en emportant mes vêtements.
Plusieurs jours après, le temps que mon geste qui lui avait entamé le morceau cicatrice, je ne l’ai pas revu, jusqu’au moment où la porte a claqué et qu’il m’apparaisse nu comme un ver.
C’est dur de la suivre certaines phrases et des mots étant incohérents pour moi.
- Les ordres sont arrivés sans qu’il remette son engin dans ma bouche craignant certainement mes réactions.
Allongée sur le lit, c’est avec ma main qu’il m’a appris à le masturber.
En même temps mon éducation sexuelle allait rapidement s’enrichir de mots comme bite, chatte, verge, trou du cul, pénétration vaginale ou anale, sucette et autres sodomies.
Celle qui m’a porté le plus d’interrogation, c’est lorsqu’il m’a dit qu’il allait falloir apprendre à pomper des dards aussi bien que ma salope de mère.
Mère, je comprenais, mais dard, je ne voyais pas ce que les abeilles ou les guêpes venaient faire dans ce que je subissais tout en étant attentive à ce que je découvrais.
Le pompon fut, le mot « salope », jamais dans notre monde, on ne l’aurait prononcé surtout pour parler d’une femme ayant la classe naturelle de ma petite maman.
La flèche que le mouvement de ma main au bas du corps de ce satyre développait m’intriguait, quand il a été à son maximum.
Il faut dire qu’à ce moment il m’était impossible de comparer, je l’ai vu plus tard.
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