COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2399 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 003 589 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 797 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (4/5)
De nouveau les chaises bougent et je repousse ma porte, les toilettes sont sollicitées ainsi qu’une bouteille de vin pour continuer à ce que les langues se délient.
Je sentais à la vitesse où elle souhaitait reprendre son histoire que mamy Marlène était contente de s’épancher.
Moi, je découvrais mon sexe, car les dernières péripéties qu’elle nous rapportaient, sauf la scène du coup de feu, me permettait de parcourir ma fente et plus je me caressais et plus du liquide sortait de moi.
Pas de la pisse que j’avais déjà touchée le jour où, chez une tante dans le Tarn, j’avais renversé mon pot de chambre de nuit et que j’avais été obligée de passer la serpillière.
Là, mes doigts étaient presque recouverts d’une substance visqueuse et lorsque j’ai senti mes doigts avec mon nez, l’odeur était plus agréable que de l’urine.
J’ai même fini par lécher avec le bout de ma langue mes bouts de doigts et j’ai trouvé cela agréable et non répugnant.
Je venais de goutter, ce que je devais apprendre plus tard, être de la cyprine émise par mes glandes intimes.
Après les verres s’entrechoquant entrecoupés de « santé », mamy continua son histoire.
- Il est dit que le malheur frappe souvent deux fois, car Brigita, forte femme si l’en était, n’a pas supporté la disparition de Greta.
Dans la nuit dans le noir, nous avons entendu un grand bruit, les chambres étant systématiquement éteintes par Ingrid, notre garde-chiourme.
La seule chose que nous avons sue, c’est que la fenêtre était éclatée et que nous avions beau appeler, aussi bien à la porte fermée à clef que dehors, personne ne répondait ou ne bougeait.
Dès qu’il a fait jour, en passant la tête par la vitre, en faisant attention de ne pas me couper le cou.
Bien qu’une fraction de seconde l’idée de finir tout ce bordel, en passant ma gorge sur l’arête tranchante à ma portée, m’ait effleurée.
Il faut croire que je n’avais pas assez reçu de sperme en moi, car après avoir vu que Brigita n’était plus en bas, seule une tache brune étant au sol, j’ai rentré ma tête et nous n’avons rien su de la journée.
Nous espérions savoir auprès des autres filles si elles savaient où elle avait été emmenée et surtout si elle était vivante, après une chute de presque six mètres la tête en avant.
Lorsque nous nous sommes retrouvées dans notre chambre toute les deux avec Hilde, un panneau de bois avait été posé et nous n’avons jamais su si elle était morte ou conduite dans un autre lieu.
Avec Hilde, la vie a repris comme si rien n’avait eu lieu.
Pardon, Ingrid est devenue plus douce avec nous c’était comme si Brigita partie, la glace commençait à fondre entre nous.
Mais je me trompais, c’était Hilde qui l’intéressait car dès le lendemain soir elle n’est pas revenue dans la chambre et j’ai passé la pire nuit de ma vie, certes rassurée qu’elle ne pourrait pas brouter mon aimante.
Je ne sais pas pourquoi, lorsqu’elle a évoqué le terme « brouter », tous ont ri.
- J’étais persuadée de l’avoir perdue définitivement à son profit lorsque le lendemain après avoir joué de mon violon et m’être bien fait ramoner la soupente, j’ai vu qu’il n’en était rien.
Le vin devait aider mamy, car je n’avais jamais entendu parler de « brouter » ni « de se faire ramoner la soupente ».
Elle ne racontait rien de primordial alors rapidement j’ai pris mon dictionnaire.
Brouter était rattaché au ruminant et la soupente se trouvait sous les toits, j’étais bien avancée.
Le temps de chercher, j’ai loupé le début de sa phrase suivante.
- …dur, c’est lorsqu’elle a voulu que l’on s’embrasse, que je me suis rendu compte qu’elle avait perdu quelque chose.
Alors, pour ne pas la décevoir, je me suis glissée jusqu’à sa petite fente très poilue.
Après lui avoir écarté les grandes lèvres avec ma langue, je l’ai broutée jusqu’au bout de la nuit.
Elle en a fait de même avec moi et grâce à ses lèvres qu’elle frottait sur ma chatte et mon clitoris, rapidement j’ai oublié Hilde.
Du moins jusqu’au lendemain matin où Ingrid m’a fait revenir dans notre chambre et où Hilde sans aucun remords m’a prise dans ses bras.
Bien, j’ai résolu le terme « brouter », c’est lécher la chatte d’une femme avec la langue, j’avance dans ma sexualité, j’espère que bientôt moi aussi, je serai broutée, pénétrée et pourquoi pas sodomisée.
Hélas je suis trop jeune pour que les garçons me remarquent.
Mes seins, on peut en parler, ils sont à peine sortis de ma poitrine, pourtant je les arrose matin midi et soir lorsque je prends des douches.
Ma petite chatte comme le dit tout à l’heure mamy, là, il y a de l’espoir depuis quelques semaines, je compte chaque fois un ou deux poils de plus et une ombre commençant à la tapisser.
Si cela continue, ma touffe va être gigantesque, j’espère que cela plaira aux garçons, mais concentre-toi Lolo, tu as peut-être encore des choses à apprendre.
- Je vivais heureuse même si le sexe des hommes qui nous perforaient n’égalait pas les moments avec Hilde et Ingrid.
Ingrid qui connaissait notre attachement a eu un comportement fort honorable, nous tournions un jour sur trois chez elle dans sa chambre dans l’aile où j’avais perdu mes pucelages, les cinq matrones avaient le privilège d’avoir leur chambre personnelle.
Nous savions toutes qu’il valait mieux ne pas avoir la malchance de rentrer dans deux de ces chambres, car les filles étaient sados et les coups pleuvaient toute la nuit.
Parmi elle, une polonaise venue de l’Est était la plus salope.
Les files qu’elle surveillait venait dans la salle commune couvertes d’ecchymoses.
Certaines, le lendemain soir lorsque les hommes en noir remarquaient les zébrures sur leurs cuisses et leurs fesses les faisant se retourner pensant qu’elles aimaient cela, ils les choisissaient en priorité.
Quelques mois plus tard, je peux même dire années, lorsque j’y repense et après que j’ai su ce que je sais, je pense qu’Ingrid en nous prenant sous sa coupe a voulu nous sauver.
Les parties à trois entre femmes n’étaient pas pratiquées dans ces années-là.
Du moins pas dans notre bordel et jamais elle n’a transgressé, dommage, j’étais encline à essayer.
Cela recommence, « Sado » qu’est-ce que cela veut dire.
Rapidement dico, oui cela y est, j’apprends même deux mots d’un coup.
Sado comme sadique, qui aime faire mal et Maso pour masochiste, celui qui aime se faire mal où se faire du mal par le Sado.
Cela m’interpelle, lorsque je me caresse la fente ou la chatte, je ne me fais pas de mal alors je ne suis ni Sado ni Maso.
Maintenant, je viens de saisir ce que mamy appelle mon clito au point d’avoir mal.
Je suis sado, car je me fais mal et en même temps maso car plus je serre, plus j’ai mal.
Bizarrement j’aime cela au point de ressentir pour la première fois de ma vie une grande décharge qui parcourt mon ventre et remonte jusqu’en haut de ma colonne vertébrale.
J’étais trop inexpérimentée pour savoir si je venais d’avoir mon premier orgasme.
Vite en place, la suite me passionne et le plaisir sado-maso que je viens de ressentir m’incline à comprendre la suite, je n’ai rien perdu, elle a eu soif.
- En septembre 1942, j’ai fêté de nouveau mon anniversaire.
Je suis dans l’incapacité de dire le nombre de sexes de grosseur ou de longueurs différents que mon vagin a dû recevoir.
Si entre femme nous ne partouzions pas, je ne compte plus les doubles pénétrations, les sodomies que l’on m’a infligées au nom de notre leader suprême.
En trois ans, j’ai eu l’impression d’avoir vieilli de trente ans.
J’ai eu de la chance, j’avais échappé à la folie des hommes en noir et aux grossesses.
Dans mon récit, je m’aperçois que j’ai oublié de vous parler des grossesses. Chaque fois qu’une fille perdait ses règles, le médecin mis à notre disposition s’occupait plus d’elle afin de la remettre sur pied chaque fois que l’une de nous avions été massacrées par des hommes qui se défoulaient sur nous des peurs qu’ils avaient au combat.
Ils ne voulaient pas risquer que ces filles perdent leur bébé s’il y en avait un.
Si nos règles revenaient et qu’il nous jugeait apte au service de nos hommes devenus nos bourreaux, il nous renvoyait dans nos chambres.
Chaque grossesse, les filles étaient envoyées dans la maternité dite de la race pure et dès qu’ils le pouvaient, les bébés nés, ils les renvoyaient chez nous.
Ce fut le cas d'Hilde et surtout Brigita deux fois avant qu’elle ne se défenestre.
Du premier jour, j’avais appliqué les méthodes de Brigita qui hélas ne marchait que huit fois sur dix, ce fut le cas pour elle.
De nouvelles filles sont venues prendre la place des absentes ou défuntes.
Elles étaient de plus en plus âgées, car ils nous avaient recrutés lorsque les plus jeunes d’entre nous étaient des femmes sexuellement.
De plus le rang dans la société que ces messieurs acceptaient d’engrosser pour que notre lignée soit irréprochable limitait leur choix.
Ils étaient obligés de prostituer des femmes de trente-cinq voire quarante ans épargnés au début.
Elles commençaient à entrer dans la ronde.
Un lit se libérant, suite à la grossesse d’une petite étant parmi nous à peine trois mois, ce devait être la dernière des filles de son âge que j’ai vu arriver.
La suivante venait d’un de ces bordels de l’Est où elles avaient été évacuées juste avant l’arrivée des Soviétiques qui avaient enfoncé notre ligne de défense.
Dans cette femme aux cheveux gris, j’ai fini par reconnaître ma mère, le port de tête toujours si fier malgré ce qu’elle avait subi.
Elle m’a appris alors qu’il venait d’avoir huit jours de permission auprès d’elle, que mon père était mort alors qu’il combattait sur le front russe où il avait été envoyé.
Elle avait espéré qu’il aurait la croix de guerre à titre posthume, mais pour la remercier un homme gros et gras malgré les privations, qu’elle a éconduit l’a dénoncé comme étant peu sûr d’être de lignée irréprochable, sans avoir le moindre début de preuve.
C’était cela la guerre, leur guerre ou maman aurait mieux fait d’accepter d’écarter ses cuisses pour le plaisir d’un tel salopard ignorant que c’étaient les bordels qu’il lui réservait.
Dès qu’elle a été avec moi et que je lui ai expliqué le chemin que j’avais été amenée à parcourir, il m’a semblé qu’elle vivait sa vie sans s’occuper de la mienne.
Un matin où Ingrid ayant une réunion avec sa hiérarchie m’a ramenée de bonne heure, lorsque je suis entrée maman était en train de faire minette à Hilde.
J’ai eu peur que ma petite n'ait dû choisir entre maman, Ingrid ou moi, il n’en a rien été.
C’est entre Ingrid et maman, que le courant semblait passer et le soir où elle est venue nous chercher, elle s’est approchée d’elle et l’a regardée, semblant subjuguer.
À partir de ce jour, la fin de nuit se passait entre maman et elle et Ingrid ne nous a plus jamais fait venir.
Il y avait un an qu’elle était là lorsque le bruit a couru que les Américains avaient rejoint les alliés et qu’avec les Anglais et les Français du général de Gaulle, ils avaient débarqué en Normandie.
Il y avait déjà eu des bruits deux ans plus tôt concernant un front ouvert en Afrique et que l’allié d’Hitler dont je ne me souviens pas du nom avait été balayé.
- C’était Mussolini maman, en Italie.
- Pour une fois tu as raison, je l’ai su bien plus tard, je continue.
Le front russe nous inquiétait, car nous commencions à être pris en tenaille.
Pour nous dans notre bordel ces mauvaises nouvelles nous inquiétaient pour certaines autres, c'était formidable.
J’étais lucide pour des filles comme moi qui n’avions rien connu d’autre que les mouvements des bottes de nos tortionnaires et qui si la guerre n’avait pas commencé aurions été de bonnes « Frauen » pour hommes de bonne famille qui nous auraient fait l’amour dans la position de missionnaire, dans ce bordel c’était dur à expliquer.
Cela continue, « Frauen » et « missionnaire » qu’est-ce qu’elle veut dire !
Frauen, cela sent le mot allemand, je crois que je vais prendre cette langue pour mes études, si je dois choisir.
Missionnaire, vu le sujet, j’ai le choix entre : personne apportant la bonne parole divine à des peuples incultes, ou bizarre : position en amour où la femme reçoit l’homme, les cuisses écartées, couchée sur le dos.
Là c’est bon, bravo, je suis en ce moment assise sur le côté de la porte de ma chambre, je suis déjà en position du missionnaire lorsque je me caresse.
- C’est maman qui m’a orienté sur la route que je devais suivre.
Un pays qui pour garder une race pure est capable de prostituer sa jeunesse la plus huppée ou de l'envoyer de plus en plus jeune à la boucherie est un pays à fuir le plus rapidement possible même si on doit y laisser la vie.
Il est vrai, que depuis le début de la guerre, alors que les femmes dans les bordels étaient de plus en plus vieillissantes, les hommes qui venaient nous baiser étaient de plus en plus jeunes.
Un soir que je jouais du violon, un jeune en tenue d’officier, est venu se placer devant moi, semblant subjugué.
Ingrid m’a fait signe de poser mon instrument et d'aller m’occuper de son instrument.
Il était puceau et était en chemin pour aller sur le front de l’Est.
Lorsqu’il a réussi à me pénétrer, dans le même temps, en fermant les yeux, j’ai vu son corps épais comme une ablette criblée de balles à la sortie d’un bois.
Je me suis bien gardée de le lui dire et je n’ai jamais su si ma vision était prémonitoire…
Je sentais à la vitesse où elle souhaitait reprendre son histoire que mamy Marlène était contente de s’épancher.
Moi, je découvrais mon sexe, car les dernières péripéties qu’elle nous rapportaient, sauf la scène du coup de feu, me permettait de parcourir ma fente et plus je me caressais et plus du liquide sortait de moi.
Pas de la pisse que j’avais déjà touchée le jour où, chez une tante dans le Tarn, j’avais renversé mon pot de chambre de nuit et que j’avais été obligée de passer la serpillière.
Là, mes doigts étaient presque recouverts d’une substance visqueuse et lorsque j’ai senti mes doigts avec mon nez, l’odeur était plus agréable que de l’urine.
J’ai même fini par lécher avec le bout de ma langue mes bouts de doigts et j’ai trouvé cela agréable et non répugnant.
Je venais de goutter, ce que je devais apprendre plus tard, être de la cyprine émise par mes glandes intimes.
Après les verres s’entrechoquant entrecoupés de « santé », mamy continua son histoire.
- Il est dit que le malheur frappe souvent deux fois, car Brigita, forte femme si l’en était, n’a pas supporté la disparition de Greta.
Dans la nuit dans le noir, nous avons entendu un grand bruit, les chambres étant systématiquement éteintes par Ingrid, notre garde-chiourme.
La seule chose que nous avons sue, c’est que la fenêtre était éclatée et que nous avions beau appeler, aussi bien à la porte fermée à clef que dehors, personne ne répondait ou ne bougeait.
Dès qu’il a fait jour, en passant la tête par la vitre, en faisant attention de ne pas me couper le cou.
Bien qu’une fraction de seconde l’idée de finir tout ce bordel, en passant ma gorge sur l’arête tranchante à ma portée, m’ait effleurée.
Il faut croire que je n’avais pas assez reçu de sperme en moi, car après avoir vu que Brigita n’était plus en bas, seule une tache brune étant au sol, j’ai rentré ma tête et nous n’avons rien su de la journée.
Nous espérions savoir auprès des autres filles si elles savaient où elle avait été emmenée et surtout si elle était vivante, après une chute de presque six mètres la tête en avant.
Lorsque nous nous sommes retrouvées dans notre chambre toute les deux avec Hilde, un panneau de bois avait été posé et nous n’avons jamais su si elle était morte ou conduite dans un autre lieu.
Avec Hilde, la vie a repris comme si rien n’avait eu lieu.
Pardon, Ingrid est devenue plus douce avec nous c’était comme si Brigita partie, la glace commençait à fondre entre nous.
Mais je me trompais, c’était Hilde qui l’intéressait car dès le lendemain soir elle n’est pas revenue dans la chambre et j’ai passé la pire nuit de ma vie, certes rassurée qu’elle ne pourrait pas brouter mon aimante.
Je ne sais pas pourquoi, lorsqu’elle a évoqué le terme « brouter », tous ont ri.
- J’étais persuadée de l’avoir perdue définitivement à son profit lorsque le lendemain après avoir joué de mon violon et m’être bien fait ramoner la soupente, j’ai vu qu’il n’en était rien.
Le vin devait aider mamy, car je n’avais jamais entendu parler de « brouter » ni « de se faire ramoner la soupente ».
Elle ne racontait rien de primordial alors rapidement j’ai pris mon dictionnaire.
Brouter était rattaché au ruminant et la soupente se trouvait sous les toits, j’étais bien avancée.
Le temps de chercher, j’ai loupé le début de sa phrase suivante.
- …dur, c’est lorsqu’elle a voulu que l’on s’embrasse, que je me suis rendu compte qu’elle avait perdu quelque chose.
Alors, pour ne pas la décevoir, je me suis glissée jusqu’à sa petite fente très poilue.
Après lui avoir écarté les grandes lèvres avec ma langue, je l’ai broutée jusqu’au bout de la nuit.
Elle en a fait de même avec moi et grâce à ses lèvres qu’elle frottait sur ma chatte et mon clitoris, rapidement j’ai oublié Hilde.
Du moins jusqu’au lendemain matin où Ingrid m’a fait revenir dans notre chambre et où Hilde sans aucun remords m’a prise dans ses bras.
Bien, j’ai résolu le terme « brouter », c’est lécher la chatte d’une femme avec la langue, j’avance dans ma sexualité, j’espère que bientôt moi aussi, je serai broutée, pénétrée et pourquoi pas sodomisée.
Hélas je suis trop jeune pour que les garçons me remarquent.
Mes seins, on peut en parler, ils sont à peine sortis de ma poitrine, pourtant je les arrose matin midi et soir lorsque je prends des douches.
Ma petite chatte comme le dit tout à l’heure mamy, là, il y a de l’espoir depuis quelques semaines, je compte chaque fois un ou deux poils de plus et une ombre commençant à la tapisser.
Si cela continue, ma touffe va être gigantesque, j’espère que cela plaira aux garçons, mais concentre-toi Lolo, tu as peut-être encore des choses à apprendre.
- Je vivais heureuse même si le sexe des hommes qui nous perforaient n’égalait pas les moments avec Hilde et Ingrid.
Ingrid qui connaissait notre attachement a eu un comportement fort honorable, nous tournions un jour sur trois chez elle dans sa chambre dans l’aile où j’avais perdu mes pucelages, les cinq matrones avaient le privilège d’avoir leur chambre personnelle.
Nous savions toutes qu’il valait mieux ne pas avoir la malchance de rentrer dans deux de ces chambres, car les filles étaient sados et les coups pleuvaient toute la nuit.
Parmi elle, une polonaise venue de l’Est était la plus salope.
Les files qu’elle surveillait venait dans la salle commune couvertes d’ecchymoses.
Certaines, le lendemain soir lorsque les hommes en noir remarquaient les zébrures sur leurs cuisses et leurs fesses les faisant se retourner pensant qu’elles aimaient cela, ils les choisissaient en priorité.
Quelques mois plus tard, je peux même dire années, lorsque j’y repense et après que j’ai su ce que je sais, je pense qu’Ingrid en nous prenant sous sa coupe a voulu nous sauver.
Les parties à trois entre femmes n’étaient pas pratiquées dans ces années-là.
Du moins pas dans notre bordel et jamais elle n’a transgressé, dommage, j’étais encline à essayer.
Cela recommence, « Sado » qu’est-ce que cela veut dire.
Rapidement dico, oui cela y est, j’apprends même deux mots d’un coup.
Sado comme sadique, qui aime faire mal et Maso pour masochiste, celui qui aime se faire mal où se faire du mal par le Sado.
Cela m’interpelle, lorsque je me caresse la fente ou la chatte, je ne me fais pas de mal alors je ne suis ni Sado ni Maso.
Maintenant, je viens de saisir ce que mamy appelle mon clito au point d’avoir mal.
Je suis sado, car je me fais mal et en même temps maso car plus je serre, plus j’ai mal.
Bizarrement j’aime cela au point de ressentir pour la première fois de ma vie une grande décharge qui parcourt mon ventre et remonte jusqu’en haut de ma colonne vertébrale.
J’étais trop inexpérimentée pour savoir si je venais d’avoir mon premier orgasme.
Vite en place, la suite me passionne et le plaisir sado-maso que je viens de ressentir m’incline à comprendre la suite, je n’ai rien perdu, elle a eu soif.
- En septembre 1942, j’ai fêté de nouveau mon anniversaire.
Je suis dans l’incapacité de dire le nombre de sexes de grosseur ou de longueurs différents que mon vagin a dû recevoir.
Si entre femme nous ne partouzions pas, je ne compte plus les doubles pénétrations, les sodomies que l’on m’a infligées au nom de notre leader suprême.
En trois ans, j’ai eu l’impression d’avoir vieilli de trente ans.
J’ai eu de la chance, j’avais échappé à la folie des hommes en noir et aux grossesses.
Dans mon récit, je m’aperçois que j’ai oublié de vous parler des grossesses. Chaque fois qu’une fille perdait ses règles, le médecin mis à notre disposition s’occupait plus d’elle afin de la remettre sur pied chaque fois que l’une de nous avions été massacrées par des hommes qui se défoulaient sur nous des peurs qu’ils avaient au combat.
Ils ne voulaient pas risquer que ces filles perdent leur bébé s’il y en avait un.
Si nos règles revenaient et qu’il nous jugeait apte au service de nos hommes devenus nos bourreaux, il nous renvoyait dans nos chambres.
Chaque grossesse, les filles étaient envoyées dans la maternité dite de la race pure et dès qu’ils le pouvaient, les bébés nés, ils les renvoyaient chez nous.
Ce fut le cas d'Hilde et surtout Brigita deux fois avant qu’elle ne se défenestre.
Du premier jour, j’avais appliqué les méthodes de Brigita qui hélas ne marchait que huit fois sur dix, ce fut le cas pour elle.
De nouvelles filles sont venues prendre la place des absentes ou défuntes.
Elles étaient de plus en plus âgées, car ils nous avaient recrutés lorsque les plus jeunes d’entre nous étaient des femmes sexuellement.
De plus le rang dans la société que ces messieurs acceptaient d’engrosser pour que notre lignée soit irréprochable limitait leur choix.
Ils étaient obligés de prostituer des femmes de trente-cinq voire quarante ans épargnés au début.
Elles commençaient à entrer dans la ronde.
Un lit se libérant, suite à la grossesse d’une petite étant parmi nous à peine trois mois, ce devait être la dernière des filles de son âge que j’ai vu arriver.
La suivante venait d’un de ces bordels de l’Est où elles avaient été évacuées juste avant l’arrivée des Soviétiques qui avaient enfoncé notre ligne de défense.
Dans cette femme aux cheveux gris, j’ai fini par reconnaître ma mère, le port de tête toujours si fier malgré ce qu’elle avait subi.
Elle m’a appris alors qu’il venait d’avoir huit jours de permission auprès d’elle, que mon père était mort alors qu’il combattait sur le front russe où il avait été envoyé.
Elle avait espéré qu’il aurait la croix de guerre à titre posthume, mais pour la remercier un homme gros et gras malgré les privations, qu’elle a éconduit l’a dénoncé comme étant peu sûr d’être de lignée irréprochable, sans avoir le moindre début de preuve.
C’était cela la guerre, leur guerre ou maman aurait mieux fait d’accepter d’écarter ses cuisses pour le plaisir d’un tel salopard ignorant que c’étaient les bordels qu’il lui réservait.
Dès qu’elle a été avec moi et que je lui ai expliqué le chemin que j’avais été amenée à parcourir, il m’a semblé qu’elle vivait sa vie sans s’occuper de la mienne.
Un matin où Ingrid ayant une réunion avec sa hiérarchie m’a ramenée de bonne heure, lorsque je suis entrée maman était en train de faire minette à Hilde.
J’ai eu peur que ma petite n'ait dû choisir entre maman, Ingrid ou moi, il n’en a rien été.
C’est entre Ingrid et maman, que le courant semblait passer et le soir où elle est venue nous chercher, elle s’est approchée d’elle et l’a regardée, semblant subjuguer.
À partir de ce jour, la fin de nuit se passait entre maman et elle et Ingrid ne nous a plus jamais fait venir.
Il y avait un an qu’elle était là lorsque le bruit a couru que les Américains avaient rejoint les alliés et qu’avec les Anglais et les Français du général de Gaulle, ils avaient débarqué en Normandie.
Il y avait déjà eu des bruits deux ans plus tôt concernant un front ouvert en Afrique et que l’allié d’Hitler dont je ne me souviens pas du nom avait été balayé.
- C’était Mussolini maman, en Italie.
- Pour une fois tu as raison, je l’ai su bien plus tard, je continue.
Le front russe nous inquiétait, car nous commencions à être pris en tenaille.
Pour nous dans notre bordel ces mauvaises nouvelles nous inquiétaient pour certaines autres, c'était formidable.
J’étais lucide pour des filles comme moi qui n’avions rien connu d’autre que les mouvements des bottes de nos tortionnaires et qui si la guerre n’avait pas commencé aurions été de bonnes « Frauen » pour hommes de bonne famille qui nous auraient fait l’amour dans la position de missionnaire, dans ce bordel c’était dur à expliquer.
Cela continue, « Frauen » et « missionnaire » qu’est-ce qu’elle veut dire !
Frauen, cela sent le mot allemand, je crois que je vais prendre cette langue pour mes études, si je dois choisir.
Missionnaire, vu le sujet, j’ai le choix entre : personne apportant la bonne parole divine à des peuples incultes, ou bizarre : position en amour où la femme reçoit l’homme, les cuisses écartées, couchée sur le dos.
Là c’est bon, bravo, je suis en ce moment assise sur le côté de la porte de ma chambre, je suis déjà en position du missionnaire lorsque je me caresse.
- C’est maman qui m’a orienté sur la route que je devais suivre.
Un pays qui pour garder une race pure est capable de prostituer sa jeunesse la plus huppée ou de l'envoyer de plus en plus jeune à la boucherie est un pays à fuir le plus rapidement possible même si on doit y laisser la vie.
Il est vrai, que depuis le début de la guerre, alors que les femmes dans les bordels étaient de plus en plus vieillissantes, les hommes qui venaient nous baiser étaient de plus en plus jeunes.
Un soir que je jouais du violon, un jeune en tenue d’officier, est venu se placer devant moi, semblant subjugué.
Ingrid m’a fait signe de poser mon instrument et d'aller m’occuper de son instrument.
Il était puceau et était en chemin pour aller sur le front de l’Est.
Lorsqu’il a réussi à me pénétrer, dans le même temps, en fermant les yeux, j’ai vu son corps épais comme une ablette criblée de balles à la sortie d’un bois.
Je me suis bien gardée de le lui dire et je n’ai jamais su si ma vision était prémonitoire…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...