COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (9/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (9/10)
Une nouvelle fuite en avant vers son destin, mamy Marlène continuait à raconter son périple après le bordel où malgré son jeune âge, les forces maléfiques hitlériennes l’avaient entraîné.
Une nouvelle grange où se cacher avec du foin comme seule couverture.
- C’est Ingrid qui a partagé ma couche, est-ce la peur de ce qui nous arriverait demain, mais l’envie de l’une et de l’autre était intense.
Nous voulions prendre du plaisir, pour la première fois depuis que je la connaissais, j’ai mis ma langue dans sa bouche.
Je suis dans l’impossibilité de vous expliquer l’impression que j’ai eue, nous n’avions pas calculé notre geste.
Le manque de langue habituelle dans ces moments-là, ne m’a pas dérangé, j’ai fait tourner la mienne pour deux.
J’évite de vous parler de la partie plate restante de sa langue, je tiens à reprendre du boudin.
T’es conne ma fille, mais tu es une putain de cuisinière.
Je sens que les deux femmes vont encore s’engueuler, mais pour une fois mamy semble enterrer la hache de guerre.
- Sa chatte était ruisselante.
J’entendais maman geindre dans les bras d’Hilde.
C’est incroyable comment cette peur pouvait nous faire faire des choses que nous n’aurions certainement jamais pensé à faire si la guerre n’avait pas éclaté.
Je serais certainement premier violon dans l’orchestre philharmonique de Berlin.
Maman violoncelliste elle aussi et papa chef de cet orchestre avec pour amant son joueur de triangle.
J’aurais perdu mon pucelage et je serais soit mariée soit promis à un homme d’influence de notre pays.
Mariée au premier joueur de flûte ou de hautbois me fourrant sa hanche dans la chatte pour passer le temps.
Au lieu de cela, je suis devenue une pute du régime.
J’ai vu défiler plus de bite que de rats se trouvant dans les rues de Berlin.
C’est à ça que je pense quand Ingrid ayant joui me fait jouir avec ses lèvres et ses mains.
La nuit tombe sur nous, c’est incroyable quand j’y repense, c’est ce soir-là qu’Ingrid m’a mis sa main entièrement dans ma chatte, me fistant.
Ça devient dingue, que vais-je encore découvrir, voilà que mamy se fiste avec sa compagne.
Je mets deux doigts dans ma chatte, j’ai mal, j’arrête, comment peut-on se faire rentrer une main par ce petit trou.
Je suis trop jeune, avec l’âge, la cavité doit s’élargir.
- Merde qu’il est bon ton vin Serge, il a un goût de revenez y !
- Marlène nous voulons savoir la fin de votre histoire, Ashley m’avait dit que vous aviez eu une vie difficile mais à ce point c’est démentiel.
- Tu ne vas pas t’y mettre Serge, je ne sais pas où j’en étais.
- Au boudin maman.
- Si tu me cherches tu vas me trouver à oui, la langue d’Ingrid !
- Le manque de langue plutôt.
- T’as gagné, je ferme ma gueule puisque tu l’as toujours ouverte.
Tout à l’heure, c’était trop beau, impossible que mes deux aïeuls soient autour d’une table sans s’engueuler.
J’ignore si ça sera pareil avec maman, mais mamy m’a dit que les embrouilles entre elles avaient commencé à ses 18 ans.
Elle avait été à deux doigts de partir, mais elle avait rencontré Serge et les choses s’étaient normalisées sauf quand une bouteille leur donnait une pêche d’enfer.
- Donc au matin, nous avons mangé quelques miettes, dans la nuit, les mouvements autour de nous étaient plus fréquents.
Les tires se rapprochaient ainsi que le bruit des mortiers que les deux camps tiraient.
Maman a donné le départ, j’étais un peu courbaturée, Ingrid m’avait bien fait jouir et ça s’en ressentait.
Par chance, la grange était à peu de distance d’une forêt qu’Olga nous avait dit devoir traverser.
À couvert nous avancions vite, les armes prêtes à tirer sur nos propres hommes s’il le fallait.
Notre peau avant tout.
L’orée du bois était là.
Une bande de 200 mètres qu’il nous fallait traverser.
Attendre la nuit, c’était risqué d’être prise à revers, notre chef a décidé qu’il fallait prendre le risque.
Maman ouvrerait la marche, suivie d'Hilde de moi et de mon violon et d’Ingrid qui couvrirait nos arrières.
Aussitôt dit, nous nous sommes élancées, 100 mètres toutes les quatre vivantes.
120 mètres maman est tombée entraînant Hilde dans sa chute.
Dix mètres de plus Ingrid se mets à tirer, je ne l’ai plus senti derrière moi.
Je me suis retournée, elle gisait au sol une balle dans le front.
- 200, 100, 120 mètres, tu avais mesuré ?
C’est sur, ça va péter.
- Tu ne vas pas fermer ta grande gueule Ashley ?
Comme elle regardait derrière elle, ce sont nos hommes qui voyant des déserteurs avaient tiré tuant cette femme au parcours exceptionnel.
Ouf on a échappé à de la charpie.
- Autour de son cou la croix de guerre qu’elle portait fièrement au bordel n’avait pas suffi à la protéger des balles de nos propres armes.
C’est à ce moment qu’une fraction de seconde un bruit puis une grande douleur m’a atteint.
Je me suis écroulée sur Hilde et maman formant un tas humain.
Mince apprendre comment mon arrière-grand-mère Herta est morte m’a fait un coup à moi aussi.
Je crois que c’est à ce moment là que j’ai décidé quand je serais grande de faire le périple que ces femmes avaient fait pour finir par mourir.
- Tu n’as plus de blanc Serge, pas grave passons au rouge, un petit verre de rouquin ce n’est pas pour me déplaire.
- Maman dit moi, vous étiez mortes toutes les quatre ?
- Mon Dieu, dire que c’est moi qui ai fait ça, j’espère que ta fille sera moins conne que toi.
Si j’étais morte, tu ne serais pas née ni ta fille et ton fils.
Je dois d’abord dire que je me suis réveillée dans des draps blancs.
Ça grouillait autour de moi et ça parlait une langue que je comprenais à peine.
Avant que l’autre pourri au début de la guerre ne m’amène dans mon bordel à l’école de musique de Berlin j’avais des cours d’anglais.
Pas assez longtemps pour parler couramment mais assez pour comprendre que j’étais dans un hôpital de campagne américain et que j’avais horriblement mal à l’épaule.
« Voilà ma petite miraculée qui revient à elle, comment vous appelez-vous et comment vous sentez-vous ? »
- L’homme qui me parlait le faisait dans un allemand comme on dit en français comme une vache espagnole.
J’ai essayé de lui répondre dans mon meilleur anglais.
À nous deux avec nos rudiments de nos langues respectives nous avons fini par nous comprendre.
C’était le chirurgien commandant dans l’armée américaine qui dirigeait l’hôpital où j’avais été amené par des brancardiers.
C’est là que j’ai découvert que mes trois compagnes étaient certainement mortes mais que nul ne savait où elles étaient.
J’étais certaine pour Ingrid, on se remet mal d’une balle dans le front.
Moi, les soldats américains avaient pris le risque de venir me chercher dès que la nuit était tombée.
La balle que j’avais reçue si je ne me souviens pas de ce que j’avais fait après venait de chez eux.
Elle était là sur la table à côté de moi.
- Maman, c’est la balle à côté de ton violon dans ta salle à manger ?
- Pour une fois tu es perspicace Ashley.
Un violon une balle, je t’ai donné ou ton père un peu d’intelligence ma fille.
Oui, c’est ça.
Mon violon était posé à côté sur la table.
Est-ce le vin rouge moins corrosif que le vin blanc, je pensais que de nouveau elles allaient s’écharper mais c’est le bruit de deux verres s’entrechoquant que j’ai entendu.
- Prosit maman.
- N’en fais pas trop quand même mais prosit quand même.
Avant de vous dire pour le violon voilà ce que j’ai appris et comment je m’étais retrouvée chez les Américains.
Prosit, ça je sais à « ta santé ».
Surtout quand une nouvelle fois les verres s’entrechoquent.
- J’avais été tiré devant moi comme maman, quand la balle m’a touché, j’ai été étourdi mais je ne suis pas tombée.
C’est à quelques mètres de la lisière que je me suis écroulée.
À la nuit, deux soldats sont sortis du bois et m’ont emmené.
Ils avaient fait leurs rapports, ils étaient en planque quand nous sommes arrivées.
Ils avaient vu une patrouille allemande du côté d’où nous venions que nous avions évité sans le savoir.
C’est la capote que maman avait prise dans le camion et nos armes qui ont fait penser aux soldats américains qu’ils étaient attaqués.
C’est pour ça qu’elle est tombée sur leur première balle.
Comme je l’ai dit, la patrouille allemande avait dû répliquer croyant que nous étions des déserteurs à notre pays.
C’est par eux qu’Ingrid est morte.
Je ne sais pas ce qu’est devenue Hilde notre petite poupée.
C’est mon violon qui m’a sauvé.
La balle qui m’a atteint a été déviée par le bois de l’étui et le côté de mon violon.
S’il n’avait pas été là à veiller sur moi la balle aurait certainement touché une zone vitale et je n’aurais pas été là, vous non plus aujourd’hui.
Je n’ai plus eu de nouvelle des trois autres, ce sont les Allemands qui les ont certainement récupérés.
- Qu’as-tu fait quand tu as été remise de ta blessure ?
- L’infirmière et la maîtresse de Tylor le chirurgien.
- Tu savais soigner ?
- Non, mais pour rassurer les jeunes hommes qui nous étaient amenés mal en point et souvent puceaux.
C’est avec nos mains voire nos bouches que nous leur faisions goûter aux plaisirs féminins que certains auraient du mal à connaître après la guerre.
Nous les sucions avec deux autres collèges dès que nous le pouvions.
Un rideau nous servait, nous les faisions déplacer dès qu’ils le demandaient car rapidement entre eux ils ont parlé et la liste s’allongeait.
- Tu avais recréé ton bordel dans cet hôpital.
- As la différence c’est que j’étais amoureuse de Tylor qui comprenant ce que nous faisions. Il était le seul à me baiser me faisant…
C’est là qu’un blanc se fait et que j’entends maman crier.
- Maman !!!…
Une nouvelle grange où se cacher avec du foin comme seule couverture.
- C’est Ingrid qui a partagé ma couche, est-ce la peur de ce qui nous arriverait demain, mais l’envie de l’une et de l’autre était intense.
Nous voulions prendre du plaisir, pour la première fois depuis que je la connaissais, j’ai mis ma langue dans sa bouche.
Je suis dans l’impossibilité de vous expliquer l’impression que j’ai eue, nous n’avions pas calculé notre geste.
Le manque de langue habituelle dans ces moments-là, ne m’a pas dérangé, j’ai fait tourner la mienne pour deux.
J’évite de vous parler de la partie plate restante de sa langue, je tiens à reprendre du boudin.
T’es conne ma fille, mais tu es une putain de cuisinière.
Je sens que les deux femmes vont encore s’engueuler, mais pour une fois mamy semble enterrer la hache de guerre.
- Sa chatte était ruisselante.
J’entendais maman geindre dans les bras d’Hilde.
C’est incroyable comment cette peur pouvait nous faire faire des choses que nous n’aurions certainement jamais pensé à faire si la guerre n’avait pas éclaté.
Je serais certainement premier violon dans l’orchestre philharmonique de Berlin.
Maman violoncelliste elle aussi et papa chef de cet orchestre avec pour amant son joueur de triangle.
J’aurais perdu mon pucelage et je serais soit mariée soit promis à un homme d’influence de notre pays.
Mariée au premier joueur de flûte ou de hautbois me fourrant sa hanche dans la chatte pour passer le temps.
Au lieu de cela, je suis devenue une pute du régime.
J’ai vu défiler plus de bite que de rats se trouvant dans les rues de Berlin.
C’est à ça que je pense quand Ingrid ayant joui me fait jouir avec ses lèvres et ses mains.
La nuit tombe sur nous, c’est incroyable quand j’y repense, c’est ce soir-là qu’Ingrid m’a mis sa main entièrement dans ma chatte, me fistant.
Ça devient dingue, que vais-je encore découvrir, voilà que mamy se fiste avec sa compagne.
Je mets deux doigts dans ma chatte, j’ai mal, j’arrête, comment peut-on se faire rentrer une main par ce petit trou.
Je suis trop jeune, avec l’âge, la cavité doit s’élargir.
- Merde qu’il est bon ton vin Serge, il a un goût de revenez y !
- Marlène nous voulons savoir la fin de votre histoire, Ashley m’avait dit que vous aviez eu une vie difficile mais à ce point c’est démentiel.
- Tu ne vas pas t’y mettre Serge, je ne sais pas où j’en étais.
- Au boudin maman.
- Si tu me cherches tu vas me trouver à oui, la langue d’Ingrid !
- Le manque de langue plutôt.
- T’as gagné, je ferme ma gueule puisque tu l’as toujours ouverte.
Tout à l’heure, c’était trop beau, impossible que mes deux aïeuls soient autour d’une table sans s’engueuler.
J’ignore si ça sera pareil avec maman, mais mamy m’a dit que les embrouilles entre elles avaient commencé à ses 18 ans.
Elle avait été à deux doigts de partir, mais elle avait rencontré Serge et les choses s’étaient normalisées sauf quand une bouteille leur donnait une pêche d’enfer.
- Donc au matin, nous avons mangé quelques miettes, dans la nuit, les mouvements autour de nous étaient plus fréquents.
Les tires se rapprochaient ainsi que le bruit des mortiers que les deux camps tiraient.
Maman a donné le départ, j’étais un peu courbaturée, Ingrid m’avait bien fait jouir et ça s’en ressentait.
Par chance, la grange était à peu de distance d’une forêt qu’Olga nous avait dit devoir traverser.
À couvert nous avancions vite, les armes prêtes à tirer sur nos propres hommes s’il le fallait.
Notre peau avant tout.
L’orée du bois était là.
Une bande de 200 mètres qu’il nous fallait traverser.
Attendre la nuit, c’était risqué d’être prise à revers, notre chef a décidé qu’il fallait prendre le risque.
Maman ouvrerait la marche, suivie d'Hilde de moi et de mon violon et d’Ingrid qui couvrirait nos arrières.
Aussitôt dit, nous nous sommes élancées, 100 mètres toutes les quatre vivantes.
120 mètres maman est tombée entraînant Hilde dans sa chute.
Dix mètres de plus Ingrid se mets à tirer, je ne l’ai plus senti derrière moi.
Je me suis retournée, elle gisait au sol une balle dans le front.
- 200, 100, 120 mètres, tu avais mesuré ?
C’est sur, ça va péter.
- Tu ne vas pas fermer ta grande gueule Ashley ?
Comme elle regardait derrière elle, ce sont nos hommes qui voyant des déserteurs avaient tiré tuant cette femme au parcours exceptionnel.
Ouf on a échappé à de la charpie.
- Autour de son cou la croix de guerre qu’elle portait fièrement au bordel n’avait pas suffi à la protéger des balles de nos propres armes.
C’est à ce moment qu’une fraction de seconde un bruit puis une grande douleur m’a atteint.
Je me suis écroulée sur Hilde et maman formant un tas humain.
Mince apprendre comment mon arrière-grand-mère Herta est morte m’a fait un coup à moi aussi.
Je crois que c’est à ce moment là que j’ai décidé quand je serais grande de faire le périple que ces femmes avaient fait pour finir par mourir.
- Tu n’as plus de blanc Serge, pas grave passons au rouge, un petit verre de rouquin ce n’est pas pour me déplaire.
- Maman dit moi, vous étiez mortes toutes les quatre ?
- Mon Dieu, dire que c’est moi qui ai fait ça, j’espère que ta fille sera moins conne que toi.
Si j’étais morte, tu ne serais pas née ni ta fille et ton fils.
Je dois d’abord dire que je me suis réveillée dans des draps blancs.
Ça grouillait autour de moi et ça parlait une langue que je comprenais à peine.
Avant que l’autre pourri au début de la guerre ne m’amène dans mon bordel à l’école de musique de Berlin j’avais des cours d’anglais.
Pas assez longtemps pour parler couramment mais assez pour comprendre que j’étais dans un hôpital de campagne américain et que j’avais horriblement mal à l’épaule.
« Voilà ma petite miraculée qui revient à elle, comment vous appelez-vous et comment vous sentez-vous ? »
- L’homme qui me parlait le faisait dans un allemand comme on dit en français comme une vache espagnole.
J’ai essayé de lui répondre dans mon meilleur anglais.
À nous deux avec nos rudiments de nos langues respectives nous avons fini par nous comprendre.
C’était le chirurgien commandant dans l’armée américaine qui dirigeait l’hôpital où j’avais été amené par des brancardiers.
C’est là que j’ai découvert que mes trois compagnes étaient certainement mortes mais que nul ne savait où elles étaient.
J’étais certaine pour Ingrid, on se remet mal d’une balle dans le front.
Moi, les soldats américains avaient pris le risque de venir me chercher dès que la nuit était tombée.
La balle que j’avais reçue si je ne me souviens pas de ce que j’avais fait après venait de chez eux.
Elle était là sur la table à côté de moi.
- Maman, c’est la balle à côté de ton violon dans ta salle à manger ?
- Pour une fois tu es perspicace Ashley.
Un violon une balle, je t’ai donné ou ton père un peu d’intelligence ma fille.
Oui, c’est ça.
Mon violon était posé à côté sur la table.
Est-ce le vin rouge moins corrosif que le vin blanc, je pensais que de nouveau elles allaient s’écharper mais c’est le bruit de deux verres s’entrechoquant que j’ai entendu.
- Prosit maman.
- N’en fais pas trop quand même mais prosit quand même.
Avant de vous dire pour le violon voilà ce que j’ai appris et comment je m’étais retrouvée chez les Américains.
Prosit, ça je sais à « ta santé ».
Surtout quand une nouvelle fois les verres s’entrechoquent.
- J’avais été tiré devant moi comme maman, quand la balle m’a touché, j’ai été étourdi mais je ne suis pas tombée.
C’est à quelques mètres de la lisière que je me suis écroulée.
À la nuit, deux soldats sont sortis du bois et m’ont emmené.
Ils avaient fait leurs rapports, ils étaient en planque quand nous sommes arrivées.
Ils avaient vu une patrouille allemande du côté d’où nous venions que nous avions évité sans le savoir.
C’est la capote que maman avait prise dans le camion et nos armes qui ont fait penser aux soldats américains qu’ils étaient attaqués.
C’est pour ça qu’elle est tombée sur leur première balle.
Comme je l’ai dit, la patrouille allemande avait dû répliquer croyant que nous étions des déserteurs à notre pays.
C’est par eux qu’Ingrid est morte.
Je ne sais pas ce qu’est devenue Hilde notre petite poupée.
C’est mon violon qui m’a sauvé.
La balle qui m’a atteint a été déviée par le bois de l’étui et le côté de mon violon.
S’il n’avait pas été là à veiller sur moi la balle aurait certainement touché une zone vitale et je n’aurais pas été là, vous non plus aujourd’hui.
Je n’ai plus eu de nouvelle des trois autres, ce sont les Allemands qui les ont certainement récupérés.
- Qu’as-tu fait quand tu as été remise de ta blessure ?
- L’infirmière et la maîtresse de Tylor le chirurgien.
- Tu savais soigner ?
- Non, mais pour rassurer les jeunes hommes qui nous étaient amenés mal en point et souvent puceaux.
C’est avec nos mains voire nos bouches que nous leur faisions goûter aux plaisirs féminins que certains auraient du mal à connaître après la guerre.
Nous les sucions avec deux autres collèges dès que nous le pouvions.
Un rideau nous servait, nous les faisions déplacer dès qu’ils le demandaient car rapidement entre eux ils ont parlé et la liste s’allongeait.
- Tu avais recréé ton bordel dans cet hôpital.
- As la différence c’est que j’étais amoureuse de Tylor qui comprenant ce que nous faisions. Il était le seul à me baiser me faisant…
C’est là qu’un blanc se fait et que j’entends maman crier.
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