COLLECTION ZONE ROUGE. Mon bébé sans aucun tabou (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Mon bébé sans aucun tabou (3/3)
- Tu sais te servir d’Internet ?
C’est ce que me demande la gendarmette qui vient de me ficher comme prostituée et qui vient de me raccompagner m’offrant un ordinateur.
- Non, cela m’est étranger.
- Il va falloir que je t’apprenne tout.
Heureusement que pour ce soir, tes clients dans la rue, c’est terminé et que demain ayant opéré de nuit je vais retourner l’après-midi à mon service.
Il est 1 heure du matin, Internet semble long à apprendre.
Elle me fait voir comment démarrer ce qui est facile.
- Tu vas demander un site dont je te donne le nom.
Je le note sur un papier qu’elle m’a fourni ainsi que le stylo car quand je suis partie précipitamment ayant tout laissé.
- Regarde, des filles proposent leurs services pour des massages avec strip-tease préalable.
- Il va falloir que j’apprenne à me déhancher et à masser.
- Rien de tout cela regarde, elles donnent toutes un numéro de portable.
Les clients cherchant des filles comme toi vont t’appeler et te demander tes tarifs pour 30 minutes, une heure voire la nuit.
Vous chercherez un compromis et si vous tombez d’accord massage et tout le reste, ce sera une couverture pour qu’ils viennent faire une passe.
- Et vous fermez les yeux.
- Ces sites sont basés à l’étranger, nous devons constater sans pouvoir faire quoi que ce soit.
Le racolage comme tu le faisais dans les rues quand nous t’avons coincé est interdit.
Le racolage par Internet c’est impossible à prouver.
Comment veux-tu t’appeler, je me souviens que sur ta fiche tu as écrit Christine.
- Véronique, j’aime bien Véronique.
- Bien mais je continuerai à t’appeler Christine.
Ton téléphone fait-il des photos ?
- Peut-être regarde.
- Oui, je vais faire des photos tu as une tenue qui va faire bander les hommes tu vas te faire un max de clients sans risque que je t’attrape de nouveau.
Elle fait les photos, se sert du câble pour relier mon téléphone à son ordi et quelques minutes après elle me montre comment être dans la liste des filles cherchant des clients.
- Ils vont faire un contrôle et très rapidement tu recevras tes premiers appels.
- Merci, viens que je t’embrasse, pour le risque que tu prends.
Nous tombons dans les bras l’une l’autre et il me semble qu’elle attendait ce moment car sa bouche vient chercher la mienne.
Elle m’entraîne sur mon lit sur lequel je me couche la recevant sur moi.
Sa main passe sous ma jupe et là elle caresse mon clitoris avant que je ne puisse réagir, étant assez inexpérimentée voir plus dans les plaisirs féminins.
Toute la nuit, je suis une formation accélérée et au matin je sais sucer son clito pendant qu’elle suce le mien me faisant jouir.
J’apprends à boire la cyprine qui gicle de sa chatte m’apprenant qu’elle est une femme dite fontaine et en dernière expérience elle me rentre sa main jusqu’à son poignet intégralement dans mon intimité me donnant l’impression que quand elle la retire j’enfante.
Là encore j’apprends un mot nouveau fist.
Cette expérience lesbienne va me servir dans les semaines suivantes, grâce à Ramade.
Au matin, elle me quitte.
J’attends les appelle avec anxiété.
Mon téléphone sonne et la voie féminine qui me demande si je suis libre et mes tarifs me désarçonnent quelques secondes.
Grâce à ma gendarmette et maintenant maîtresse venant me voir en moyenne une fois par mois, les amours féminins sont parfaitement assimilés.
Cette cliente, je la reçois et je la fais jouir en collant nos deux chattes l’une à l’autre. Je donne à mon corps des mouvements ondulatoires qui nous frottent les clitoris et qui lui donnent le plaisir qu’elle est venue chercher.
Ma copine avait raison, le site me procure plus de clients que le rabattage dans la rue sans les risques.
J’aime beaucoup quand un client me demande si j’accepte la baise sans capote surtout dans ma période d’ovulation.
À ce jour depuis les mois que j’ai commencé à tapiner les tests H.I.V. s’avère négatif.
Un seul problème que j’ai résolu dès que le gynéco m’a donné ma première ordonnance lui ayant fait croire que mon copain m’avait trompé.
Pour faire des contrôles réguliers je profite du matériel informatique que Ramade a mis à ma disposition pour faire des photocopies en couleur.
J’en ai déjà utilisé 4 sans aucun problème.
Si je le voulais, je pourrais arrêter de me prostituer mon bas de laine étant bien rempli.
Hélas chaque fois que j’essaye de draguer des hommes dans ma bonne période neuf fois sur dix ils refusent d’enlever leur capote.
Surtout après qu’une que j’avais percé à exploser et que le client a eu des doutes.
Il semble que les homos soient plus portés sur le sexe sans capote mais la seule fois où j’en ai dragué un, c’est mon cul qu’il a enfilé.
- Allo c’est votre gynéco pouvez-vous venir me voir.
- Pourquoi ?
- Je vous le dirais directement il m’est impossible de vous dire ce que j’ai à vous dire par téléphone.
- Ce soir 18 heures.
- Oui, ce soir à 18 heures, je compte sur vous.
J’arrive à l’heure et dès que c’est mon tour il me reçoit.
- Madame, la caisse de sécurité sociale m’a appelé car il semblerait que vous vous serviez de photocopies pour faire des tests H.I.V. très régulièrement.
Je me souviens que vous étiez venu me voir car votre copain vous avait trompé.
Évitez de me dire qu’il vous trompe régulièrement, qu’elle bêtise avez-vous faîte ou faîte-vous.
Avez-vous faîte des bêtises pour donner suite à ce que je vous ai dit sur votre maladie orpheline ?
Cherchez-vous des hommes acceptant de faire l’amour avec vous pour trouver l’aiguille dans la botte de foin du donneur sur les 1 000 personnes qui vous sont inutiles ?
Je tombe en larmes.
- Madame, en voyant vos larmes j’ai peur que vous n’ayez fait bien pire que de faire l’amour avec des hommes sans protection.
Je me sens impliqué, dites-moi toute la vérité.
Pour vous mettre en confiance, je viens de recevoir copie de votre dernier contrôle qui s’avère lui aussi négatif.
J’aurais dû voir les résultats de ces tests que je reçois en copie chaque fois mais j’en reçois tellement que j’ai bien contrôlé mais comme il n’y avait aucun souci rien ne m’a inquiété.
Prenez ce mouchoir et dites-moi la vérité.
Je me mouche et je me lance lui disant que j’ai fini par me prostituer me retrouvant à la porte de mon ex qui était chez lui.
J’ai été dans l'obligation de me prostituer pour vivre et aussi pour trouver des hommes qui me prennent sans capote.
- Christine, permettez-moi de m’excuser il semble que je sois entièrement responsable, mais réfléchissez un peu, combien d’hommes vous font l’amour dans votre période féconde sans préservatif.
- 3 à 5.
- 1 000 divisés par 5 soit 200 mois et donc 17 ans si c’est le 1000ème le bon.
Comment trouvez-vous vos clients ?
- Ils m’appellent sur mon portable.
- Donnez-le-moi.
Je lui passe.
Il sort la carte Sim qu’il casse et met dans sa corbeille.
- Vous étiez ma dernière cliente, amenez-moi chez vous pour prendre vos affaires.
Je vous installe chez moi et je vous donnerais ce qu’il faut pour vivre mon travail me prenant tellement de temps que j’ai peu de dépense.
- Mais je suis une pute, que vont dire les personnes qui vous connaissent.
- Tu te prostituais devant chez moi.
- Non, bien sûr, je restais chez moi et ce sont les clients qui me rejoignaient.
- Alors si tu es tombée dans ces perversions j’y suis en grande partie responsable et je tiens à me faire pardonner.
Nous avons fait comme il voulait, il faut dire qu’il est bel homme du haut de ses 45 ans et pour ne rien gâcher son métier l’accaparant, il est célibataire.
Six mois sans sexe, seulement une soirée tous les mois avec Ramade où nous relisons le Kama-Sutra féminin.
Mon hébergeur me laisse tranquille, jamais un geste de travers.
Je prends de plus en plus conscience que la maternité me sera refusé à jamais.
Ce soir, je suis devant la télévision à regarder un film où un couple fait l’amour.
Sans m’en rendre compte ma main vient se porter sur mon sexe sous le peignoir et je me caresse.
J’arrive à avoir un début de plaisir qui se termine par l’embrasement de mon corps me laissant épuiser ce qui entraîne un léger sommeil.
Quand je prends conscience que quelqu’un me caresse la chatte je me réveille pour voir le haut de la tête de Julien légèrement dégarnie venir lécher mon clitoris.
Il revient de son travail tard et depuis que j’ai emménagé à cette heure j’ai rejoint ma chambre lui laissant l’espace à son entière disposition.
Sans savoir comment les choses en sont arrivées là, il remonte à la hauteur de ma bouche et tous naturellement nous nous embrassons.
Comme un léger soudard il se contente d’ouvrir sa braguette pour sortie son sexe que je sens glisser dans ma fente ruisselante d’envie.
Quelques coups avant arrière et je reçois ses jets de foutre sans à aucun moment penser que ces traits de sperme pourraient m’apporter ce que j’ai cherché pendant les mois et même années où j’ai cherché des hommes qui me baisaient sans capote.
À partir de ce soir nous nous retrouvons dans sa chambre et nous faisons régulièrement l’amour.
Quelques semaines plus tard j’ai téléphoné à la secrétaire de mon gynéco Julien car j’avais un gros retard de règle moi qui les avais toujours dans le même intervalle.
- Madame, j’ai l’honneur de vous annoncer qu’un heureux papa va avoir un enfant.
À ce jour, je suis dans l’incapacité de vous dire s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille.
- Permettez-moi de l’embrasser.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre nos bouches se soudant.
Un coup de pouce du destin a mis sur ma route le millième homme capable de me féconder.
Mieux, nous en avons trois, un garçon et des jumelles.
Je suis devenu la femme de mon gynécologue et j’ai retrouvé le rang que j’avais avant que Pierre me vire de chez lui.
En ce moment Julien les gardes et au volant de ma Mini, je vais rejoindre Ramade comme nous avons continué à le faire tous les mois seul coup de canif que je me permets dans mon couple.
Julien ignorant que ces soirs-là, je redeviens une chienne lubrique qui se fait déchirer par sa partenaire.
C’est ce que me demande la gendarmette qui vient de me ficher comme prostituée et qui vient de me raccompagner m’offrant un ordinateur.
- Non, cela m’est étranger.
- Il va falloir que je t’apprenne tout.
Heureusement que pour ce soir, tes clients dans la rue, c’est terminé et que demain ayant opéré de nuit je vais retourner l’après-midi à mon service.
Il est 1 heure du matin, Internet semble long à apprendre.
Elle me fait voir comment démarrer ce qui est facile.
- Tu vas demander un site dont je te donne le nom.
Je le note sur un papier qu’elle m’a fourni ainsi que le stylo car quand je suis partie précipitamment ayant tout laissé.
- Regarde, des filles proposent leurs services pour des massages avec strip-tease préalable.
- Il va falloir que j’apprenne à me déhancher et à masser.
- Rien de tout cela regarde, elles donnent toutes un numéro de portable.
Les clients cherchant des filles comme toi vont t’appeler et te demander tes tarifs pour 30 minutes, une heure voire la nuit.
Vous chercherez un compromis et si vous tombez d’accord massage et tout le reste, ce sera une couverture pour qu’ils viennent faire une passe.
- Et vous fermez les yeux.
- Ces sites sont basés à l’étranger, nous devons constater sans pouvoir faire quoi que ce soit.
Le racolage comme tu le faisais dans les rues quand nous t’avons coincé est interdit.
Le racolage par Internet c’est impossible à prouver.
Comment veux-tu t’appeler, je me souviens que sur ta fiche tu as écrit Christine.
- Véronique, j’aime bien Véronique.
- Bien mais je continuerai à t’appeler Christine.
Ton téléphone fait-il des photos ?
- Peut-être regarde.
- Oui, je vais faire des photos tu as une tenue qui va faire bander les hommes tu vas te faire un max de clients sans risque que je t’attrape de nouveau.
Elle fait les photos, se sert du câble pour relier mon téléphone à son ordi et quelques minutes après elle me montre comment être dans la liste des filles cherchant des clients.
- Ils vont faire un contrôle et très rapidement tu recevras tes premiers appels.
- Merci, viens que je t’embrasse, pour le risque que tu prends.
Nous tombons dans les bras l’une l’autre et il me semble qu’elle attendait ce moment car sa bouche vient chercher la mienne.
Elle m’entraîne sur mon lit sur lequel je me couche la recevant sur moi.
Sa main passe sous ma jupe et là elle caresse mon clitoris avant que je ne puisse réagir, étant assez inexpérimentée voir plus dans les plaisirs féminins.
Toute la nuit, je suis une formation accélérée et au matin je sais sucer son clito pendant qu’elle suce le mien me faisant jouir.
J’apprends à boire la cyprine qui gicle de sa chatte m’apprenant qu’elle est une femme dite fontaine et en dernière expérience elle me rentre sa main jusqu’à son poignet intégralement dans mon intimité me donnant l’impression que quand elle la retire j’enfante.
Là encore j’apprends un mot nouveau fist.
Cette expérience lesbienne va me servir dans les semaines suivantes, grâce à Ramade.
Au matin, elle me quitte.
J’attends les appelle avec anxiété.
Mon téléphone sonne et la voie féminine qui me demande si je suis libre et mes tarifs me désarçonnent quelques secondes.
Grâce à ma gendarmette et maintenant maîtresse venant me voir en moyenne une fois par mois, les amours féminins sont parfaitement assimilés.
Cette cliente, je la reçois et je la fais jouir en collant nos deux chattes l’une à l’autre. Je donne à mon corps des mouvements ondulatoires qui nous frottent les clitoris et qui lui donnent le plaisir qu’elle est venue chercher.
Ma copine avait raison, le site me procure plus de clients que le rabattage dans la rue sans les risques.
J’aime beaucoup quand un client me demande si j’accepte la baise sans capote surtout dans ma période d’ovulation.
À ce jour depuis les mois que j’ai commencé à tapiner les tests H.I.V. s’avère négatif.
Un seul problème que j’ai résolu dès que le gynéco m’a donné ma première ordonnance lui ayant fait croire que mon copain m’avait trompé.
Pour faire des contrôles réguliers je profite du matériel informatique que Ramade a mis à ma disposition pour faire des photocopies en couleur.
J’en ai déjà utilisé 4 sans aucun problème.
Si je le voulais, je pourrais arrêter de me prostituer mon bas de laine étant bien rempli.
Hélas chaque fois que j’essaye de draguer des hommes dans ma bonne période neuf fois sur dix ils refusent d’enlever leur capote.
Surtout après qu’une que j’avais percé à exploser et que le client a eu des doutes.
Il semble que les homos soient plus portés sur le sexe sans capote mais la seule fois où j’en ai dragué un, c’est mon cul qu’il a enfilé.
- Allo c’est votre gynéco pouvez-vous venir me voir.
- Pourquoi ?
- Je vous le dirais directement il m’est impossible de vous dire ce que j’ai à vous dire par téléphone.
- Ce soir 18 heures.
- Oui, ce soir à 18 heures, je compte sur vous.
J’arrive à l’heure et dès que c’est mon tour il me reçoit.
- Madame, la caisse de sécurité sociale m’a appelé car il semblerait que vous vous serviez de photocopies pour faire des tests H.I.V. très régulièrement.
Je me souviens que vous étiez venu me voir car votre copain vous avait trompé.
Évitez de me dire qu’il vous trompe régulièrement, qu’elle bêtise avez-vous faîte ou faîte-vous.
Avez-vous faîte des bêtises pour donner suite à ce que je vous ai dit sur votre maladie orpheline ?
Cherchez-vous des hommes acceptant de faire l’amour avec vous pour trouver l’aiguille dans la botte de foin du donneur sur les 1 000 personnes qui vous sont inutiles ?
Je tombe en larmes.
- Madame, en voyant vos larmes j’ai peur que vous n’ayez fait bien pire que de faire l’amour avec des hommes sans protection.
Je me sens impliqué, dites-moi toute la vérité.
Pour vous mettre en confiance, je viens de recevoir copie de votre dernier contrôle qui s’avère lui aussi négatif.
J’aurais dû voir les résultats de ces tests que je reçois en copie chaque fois mais j’en reçois tellement que j’ai bien contrôlé mais comme il n’y avait aucun souci rien ne m’a inquiété.
Prenez ce mouchoir et dites-moi la vérité.
Je me mouche et je me lance lui disant que j’ai fini par me prostituer me retrouvant à la porte de mon ex qui était chez lui.
J’ai été dans l'obligation de me prostituer pour vivre et aussi pour trouver des hommes qui me prennent sans capote.
- Christine, permettez-moi de m’excuser il semble que je sois entièrement responsable, mais réfléchissez un peu, combien d’hommes vous font l’amour dans votre période féconde sans préservatif.
- 3 à 5.
- 1 000 divisés par 5 soit 200 mois et donc 17 ans si c’est le 1000ème le bon.
Comment trouvez-vous vos clients ?
- Ils m’appellent sur mon portable.
- Donnez-le-moi.
Je lui passe.
Il sort la carte Sim qu’il casse et met dans sa corbeille.
- Vous étiez ma dernière cliente, amenez-moi chez vous pour prendre vos affaires.
Je vous installe chez moi et je vous donnerais ce qu’il faut pour vivre mon travail me prenant tellement de temps que j’ai peu de dépense.
- Mais je suis une pute, que vont dire les personnes qui vous connaissent.
- Tu te prostituais devant chez moi.
- Non, bien sûr, je restais chez moi et ce sont les clients qui me rejoignaient.
- Alors si tu es tombée dans ces perversions j’y suis en grande partie responsable et je tiens à me faire pardonner.
Nous avons fait comme il voulait, il faut dire qu’il est bel homme du haut de ses 45 ans et pour ne rien gâcher son métier l’accaparant, il est célibataire.
Six mois sans sexe, seulement une soirée tous les mois avec Ramade où nous relisons le Kama-Sutra féminin.
Mon hébergeur me laisse tranquille, jamais un geste de travers.
Je prends de plus en plus conscience que la maternité me sera refusé à jamais.
Ce soir, je suis devant la télévision à regarder un film où un couple fait l’amour.
Sans m’en rendre compte ma main vient se porter sur mon sexe sous le peignoir et je me caresse.
J’arrive à avoir un début de plaisir qui se termine par l’embrasement de mon corps me laissant épuiser ce qui entraîne un léger sommeil.
Quand je prends conscience que quelqu’un me caresse la chatte je me réveille pour voir le haut de la tête de Julien légèrement dégarnie venir lécher mon clitoris.
Il revient de son travail tard et depuis que j’ai emménagé à cette heure j’ai rejoint ma chambre lui laissant l’espace à son entière disposition.
Sans savoir comment les choses en sont arrivées là, il remonte à la hauteur de ma bouche et tous naturellement nous nous embrassons.
Comme un léger soudard il se contente d’ouvrir sa braguette pour sortie son sexe que je sens glisser dans ma fente ruisselante d’envie.
Quelques coups avant arrière et je reçois ses jets de foutre sans à aucun moment penser que ces traits de sperme pourraient m’apporter ce que j’ai cherché pendant les mois et même années où j’ai cherché des hommes qui me baisaient sans capote.
À partir de ce soir nous nous retrouvons dans sa chambre et nous faisons régulièrement l’amour.
Quelques semaines plus tard j’ai téléphoné à la secrétaire de mon gynéco Julien car j’avais un gros retard de règle moi qui les avais toujours dans le même intervalle.
- Madame, j’ai l’honneur de vous annoncer qu’un heureux papa va avoir un enfant.
À ce jour, je suis dans l’incapacité de vous dire s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille.
- Permettez-moi de l’embrasser.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre nos bouches se soudant.
Un coup de pouce du destin a mis sur ma route le millième homme capable de me féconder.
Mieux, nous en avons trois, un garçon et des jumelles.
Je suis devenu la femme de mon gynécologue et j’ai retrouvé le rang que j’avais avant que Pierre me vire de chez lui.
En ce moment Julien les gardes et au volant de ma Mini, je vais rejoindre Ramade comme nous avons continué à le faire tous les mois seul coup de canif que je me permets dans mon couple.
Julien ignorant que ces soirs-là, je redeviens une chienne lubrique qui se fait déchirer par sa partenaire.
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