COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Fin de la Saison V (43/43)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Fin de la Saison V (43/43)
Un autre flic entre, il semble que ce ne soit pas la journée de l’inspecteur.
- Il y a un problème à un étage plus haut.
Une mémé semble avoir une pétoire et veut flinguer tout ce qui passe la porte.
- Allons voir, ici c’est fini.
Abby me suit malgré son état de fatigue.
Un étage, ils sont tous là, certaines portes sont ouvertes des personnes regardantes.
Ils ont déjà dû être fouillés.
- Madame, laissez-nous entrer, nous voulons simplement visiter votre appartement.
- Fiche le camp petit con, je fais ce que je veux chez moi.
- Laissez-moi faire, je suis son infirmière.
Elle me laissera entrer et à votre tour une fois que je lui aurais enlevé son arme, vous perquisitionnerez.
Calamity Jane, laissez-moi entrer c’est moi Abby.
- C’est toi Abby, qui sont ces cons qui veulent entrer chez moi !
J’entends Abby parler à cette femme pour la rassurer.
- Vous pouvez entrer, vous ne risquez plus rien.
Porte ouverte, une vieille femme dans un fauteuil roulant comme le sénateur est là l’air agare.
- Ce n’est pas possible, maman depuis que je recherchais c’est ici que tu te cachais !
Encore un nouveau rebondissement ?
Tex fonce vers le fauteuil et tombe dans les bras de la femme d’une soixantaine d’années qui le regarde sans comprendre ce qui arrive.
- Je dois vous dire, j’ai été abandonné à ma naissance, je faisais des recherches depuis des années.
Je me suis servi de mes fonctions pour rechercher mes parents.
C’est ce matin que j’ai reçu les résultats.
Une photo et un nom Tess, cette femme s’appelle de ce nom.
- Oui, c’est son nom, mais comme beaucoup de personnes autour du sénateur, dans ses heures de gloire, ils l’ont surnommé Calamity Jane.
- Inspecteur, fini la perquisition, si cette femme est votre mère, vous entrez dans le dossier !
Je crois savoir qu’il vous est impossible d’enquêter pour où contre des membres de votre famille.
- Vous avez raison Claudia, appelez mon adjoint.
Un flic va chercher un autre gars à un autre étage.
- Je ne peux plus diriger l’équipe, ce n’est pas ma mère que je cherchais, si je n’avais pas reçu cette photo même si elle était bien plus jeune, je n’aurais pas vu à qui nous avions à faire.
Où en est-on, que reste-t-il à vérifier ?
- Chaque étage est fait, nous allons pouvoir entrer.
- Avez-vous pensé à visiter le sous-sol là où ils rangent les poubelles ?
C’est foutu, ils vont trouver le passage vers le garage et avoir la preuve que nous avons pu vider le coffre avec la clef USB que j’ai mis dans mon sac à main et qui est posée dans l’entrée de l’appartement du sénateur.
- Paul, si ça ne te dérange pas, je reste avec maman, ça fait presque dix ans que je la recherchais.
- Aucun problème Tex, j’assume.
- On vous accompagne, laissons l’inspecteur faire connaissance.
- Maman.
Vite, regardez, elle a du mal à respirer.
J’appelle une ambulance, il faut l’hospitaliser.
Les infirmiers arrivent et emmènent Calamity Jane sur un brancard.
Tex part avec eux.
- Vous n’allez pas continuer vos recherches qui ne servent à rien, vous n’êtes pas humain.
- Vous avez entendu le patron, Warren prend ton équipe on descend.
À quelques pas je les suis avec les autres femmes.
- La grille de ventilation, regardez bien si on la bouge.
Le flic regarde à l’intérieur, avec sa lampe par les espaces entre les lames de métal.
- Non, huit boulons serrés obligatoirement à la clef, la peinture est intacte, impossible de passer par là.
Un bruit se fait entendre, le flic recommence à regarder entre les lames.
- Ce n’est rien, le ventilateur vient de démarrer, il n’y a rien à trouver ici.
Les flics remontent, et quittent l’immeuble, une nouvelle fois, j’ai eu une chance de cocu, je suis vannée.
Je vois Élisabeth redescendre, nous la suivons.
- Fred, tu es là.
- Oui.
- Ne sort pas, les flics étaient là, tu as fait du bruit, ils t’ont entendu.
- Je sais, j’ai juste eu le temps de me plaquer derrière l’entrer, je voyais le balayage de la lampe.
C’est la mienne qui est tombée.
Heureusement, elle était éteinte et le ventilateur a démarré au même moment.
- À part ça, tout va bien, retourner au garage, les gars sont là.
- Oui, c’est pour ça que je suis venu, en ne vous voyant pas arriver patronne.
- Faites-les attendre, j’arrive dans quelques minutes, envoyez-moi Cristopher en bas, qu’il attende.
- Bien madame, je repars, ça va Babette.
- Oui, ne prend pas de risque.
Nous-mêmes remontons.
Abby rejoint son appartement, nous remontons avec celle à qui je veux poser quelques questions.
- Je peux vous poser une question Élisabeth.
- Bien sûr, que voulez-vous savoir !
- À qui est le cigare que vous avez fumé, vous avez un homme qui vient chez vous.
- Je voudrais simplement savoir si mon mari est l’homme que vous recevez.
La femme de ménage éclate de rire.
- Je n’ai rien à cacher, j’ai un amant depuis bien avant la mort de mon mari.
C’est Fred le chauffeur de monsieur Miguel.
- C’est bien, c’est votre affaire à tous les deux, votre comportement avec votre mari ne regarde que vous.
Votre mari l’a su !
Elle éclate de nouveau de rire.
- Fred est marié et ne veut pas divorcer.
Tess, Calamity Jane est la sœur de Fred, quand ils étaient jeunes étaient la Fil de Fer de leur équipe.
Chaque fois qu’il fallait régler un problème on faisait appel à elle.
J’étais la maîtresse de Fred, ce que j’ai su plus tard, c’est que John était l’amant de Calamity.
Ils ont eu un enfant qu’elle a refusé d’élever et qu'elle a abandonnés.
Madame Claudia, j’ai compris une chose tout à l’heure quand l’inspecteur a reconnu sa mère et qu’il a dit avoir tué John mon mari, il a tué son père.
C’est sur cette révélation que poupette Claudia a souhaité que j’arrête la saison V.
Elle est en train d’écrire la suite du moins la trame que je métrais en forme avant de les publier.
Nous avons évoqué la possibilité que j’aille aux Caraïbes dans l’île de son mari pour quelque jour de vacances et la récupération de ses écrits.
- Il y a un problème à un étage plus haut.
Une mémé semble avoir une pétoire et veut flinguer tout ce qui passe la porte.
- Allons voir, ici c’est fini.
Abby me suit malgré son état de fatigue.
Un étage, ils sont tous là, certaines portes sont ouvertes des personnes regardantes.
Ils ont déjà dû être fouillés.
- Madame, laissez-nous entrer, nous voulons simplement visiter votre appartement.
- Fiche le camp petit con, je fais ce que je veux chez moi.
- Laissez-moi faire, je suis son infirmière.
Elle me laissera entrer et à votre tour une fois que je lui aurais enlevé son arme, vous perquisitionnerez.
Calamity Jane, laissez-moi entrer c’est moi Abby.
- C’est toi Abby, qui sont ces cons qui veulent entrer chez moi !
J’entends Abby parler à cette femme pour la rassurer.
- Vous pouvez entrer, vous ne risquez plus rien.
Porte ouverte, une vieille femme dans un fauteuil roulant comme le sénateur est là l’air agare.
- Ce n’est pas possible, maman depuis que je recherchais c’est ici que tu te cachais !
Encore un nouveau rebondissement ?
Tex fonce vers le fauteuil et tombe dans les bras de la femme d’une soixantaine d’années qui le regarde sans comprendre ce qui arrive.
- Je dois vous dire, j’ai été abandonné à ma naissance, je faisais des recherches depuis des années.
Je me suis servi de mes fonctions pour rechercher mes parents.
C’est ce matin que j’ai reçu les résultats.
Une photo et un nom Tess, cette femme s’appelle de ce nom.
- Oui, c’est son nom, mais comme beaucoup de personnes autour du sénateur, dans ses heures de gloire, ils l’ont surnommé Calamity Jane.
- Inspecteur, fini la perquisition, si cette femme est votre mère, vous entrez dans le dossier !
Je crois savoir qu’il vous est impossible d’enquêter pour où contre des membres de votre famille.
- Vous avez raison Claudia, appelez mon adjoint.
Un flic va chercher un autre gars à un autre étage.
- Je ne peux plus diriger l’équipe, ce n’est pas ma mère que je cherchais, si je n’avais pas reçu cette photo même si elle était bien plus jeune, je n’aurais pas vu à qui nous avions à faire.
Où en est-on, que reste-t-il à vérifier ?
- Chaque étage est fait, nous allons pouvoir entrer.
- Avez-vous pensé à visiter le sous-sol là où ils rangent les poubelles ?
C’est foutu, ils vont trouver le passage vers le garage et avoir la preuve que nous avons pu vider le coffre avec la clef USB que j’ai mis dans mon sac à main et qui est posée dans l’entrée de l’appartement du sénateur.
- Paul, si ça ne te dérange pas, je reste avec maman, ça fait presque dix ans que je la recherchais.
- Aucun problème Tex, j’assume.
- On vous accompagne, laissons l’inspecteur faire connaissance.
- Maman.
Vite, regardez, elle a du mal à respirer.
J’appelle une ambulance, il faut l’hospitaliser.
Les infirmiers arrivent et emmènent Calamity Jane sur un brancard.
Tex part avec eux.
- Vous n’allez pas continuer vos recherches qui ne servent à rien, vous n’êtes pas humain.
- Vous avez entendu le patron, Warren prend ton équipe on descend.
À quelques pas je les suis avec les autres femmes.
- La grille de ventilation, regardez bien si on la bouge.
Le flic regarde à l’intérieur, avec sa lampe par les espaces entre les lames de métal.
- Non, huit boulons serrés obligatoirement à la clef, la peinture est intacte, impossible de passer par là.
Un bruit se fait entendre, le flic recommence à regarder entre les lames.
- Ce n’est rien, le ventilateur vient de démarrer, il n’y a rien à trouver ici.
Les flics remontent, et quittent l’immeuble, une nouvelle fois, j’ai eu une chance de cocu, je suis vannée.
Je vois Élisabeth redescendre, nous la suivons.
- Fred, tu es là.
- Oui.
- Ne sort pas, les flics étaient là, tu as fait du bruit, ils t’ont entendu.
- Je sais, j’ai juste eu le temps de me plaquer derrière l’entrer, je voyais le balayage de la lampe.
C’est la mienne qui est tombée.
Heureusement, elle était éteinte et le ventilateur a démarré au même moment.
- À part ça, tout va bien, retourner au garage, les gars sont là.
- Oui, c’est pour ça que je suis venu, en ne vous voyant pas arriver patronne.
- Faites-les attendre, j’arrive dans quelques minutes, envoyez-moi Cristopher en bas, qu’il attende.
- Bien madame, je repars, ça va Babette.
- Oui, ne prend pas de risque.
Nous-mêmes remontons.
Abby rejoint son appartement, nous remontons avec celle à qui je veux poser quelques questions.
- Je peux vous poser une question Élisabeth.
- Bien sûr, que voulez-vous savoir !
- À qui est le cigare que vous avez fumé, vous avez un homme qui vient chez vous.
- Je voudrais simplement savoir si mon mari est l’homme que vous recevez.
La femme de ménage éclate de rire.
- Je n’ai rien à cacher, j’ai un amant depuis bien avant la mort de mon mari.
C’est Fred le chauffeur de monsieur Miguel.
- C’est bien, c’est votre affaire à tous les deux, votre comportement avec votre mari ne regarde que vous.
Votre mari l’a su !
Elle éclate de nouveau de rire.
- Fred est marié et ne veut pas divorcer.
Tess, Calamity Jane est la sœur de Fred, quand ils étaient jeunes étaient la Fil de Fer de leur équipe.
Chaque fois qu’il fallait régler un problème on faisait appel à elle.
J’étais la maîtresse de Fred, ce que j’ai su plus tard, c’est que John était l’amant de Calamity.
Ils ont eu un enfant qu’elle a refusé d’élever et qu'elle a abandonnés.
Madame Claudia, j’ai compris une chose tout à l’heure quand l’inspecteur a reconnu sa mère et qu’il a dit avoir tué John mon mari, il a tué son père.
C’est sur cette révélation que poupette Claudia a souhaité que j’arrête la saison V.
Elle est en train d’écrire la suite du moins la trame que je métrais en forme avant de les publier.
Nous avons évoqué la possibilité que j’aille aux Caraïbes dans l’île de son mari pour quelque jour de vacances et la récupération de ses écrits.
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