COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (28/30) - histoire érotique

- C’est bien, accélère et éjacule dans sa bouche.

J’ai coincé Abby, elle qui refusait les hommes.
Je me sers de deux avantages.
Le premier, l’homme sans qui rien ne serait possible que nous venions d’embaucher et à qui je viens de dire que je lui laissais la voiture achetée avec mon argent me le rendant dépendant.
C’est homme d’une force hors du commun, du moins ses biceps sortant de son tee-shirt me le font penser.
Le deuxième, Abby a perdu un pari et comme je sais que c’est une femme d’honneur respectant ses engagements, je l’oblige à le sucer, jusqu’à lui donner l’ordre d’éjaculer dans sa bouche.

J’entends un bruit bizarre sortir de celle d’Abby.
Est-ce d’approbation ou de refus de recevoir du sperme qu’elle va devoir avaler ?
Dix secondes plus tard Trevor tend son ventre en avant et dans un cri de plaisir se déverse à grandes giclées.
J’ai souvent sucé mais jamais avalé le sperme de mes clients, je le recrachais dans la salle de bains.
Pour Abby, la source semble inépuisable et coule dans sa gorge l’obligeant à déglutir.
Ça me fait envie, mais j’ai décidé que Trevor serait à notre service et dans les jours prochains je veux garder ma distance avec lui.
Un homme qui baise une femme et la fait jouir se retrouve en position de force par rapport à elle.
Une femme même dominatrice comme j’aspire à le devenir s’abaisse quand le mâle la domine.
J’ai déjà réussi avec Paulo, merde comment vais-je pouvoir l’appeler !
Je redresse Abby et en la prenant dans mes bras je partage le goût et les dernières larmes de sperme qui sont encore dans sa bouche en l’embrassant amoureusement.
Je reconnais le goût fade de la semence masculine, même si je recrachais, quelques miasmes passaient sur mes papilles.
En me regardant dans les yeux qui sont pleins d’amour, je l’entends dire cette phrase impossible quelques minutes auparavant.

- Claudia, je pourrais recommencer.

Je regarde Trevor.

- Trevor tu es notre garde du corps et tu gardes ta voiture avec un gros salaire, mais je t’ordonne d’être personnellement au service de mon amie sexuellement.
Abby, Trevor est le cadeau de la mariée à son témoin de mariage demain.
Trevor tu acceptes le contrat.
- Plutôt deux fois qu’une, je gagne une femme magnifique et je garde ma voiture.
Fait moi confiance, je vais prendre soin d’Abby comme à la prunelle de mes yeux.
- Examen réussit une nouvelle fois, si tu avais parlé de ta voiture avant de parler de cette femme magnifique je te l’aurais enlevé pour la confier à un autre.
Trevor je vais te faire une confidence, mais c’est pour que tu prennes soin de celle qui est blottie dans tes bras, elle est vierge.
- Claudia j’ai honte.
- Surtout pas, certes Gai-luron t’a ôté ton pucelage mais une vraie verge en toi bien dur et bien grosse, tu ignores ce que l’on ressent.
Trevor sera le premier si tu le veux et surtout quand tu le voudras.
Trevor soit patient et je suis sûr qu’elle se donnera à toi.
- Mon amie a raison même si je meurs d’envie de me donner à toi il me faut un moment pour digérer le sperme que tu viens de me faire avaler.

Nous éclatons de rire avec Trevor ayant vu le sens qu’elle donnait au verbe digérer alors que les longs jets descendus dans son estomac devront être digérés.

- Trevor demain, je me marie avec le sénateur et ta mission commence à partir de maintenant.
Nous éclatons de rire avec Trevor ayant vu le sens qu’elle donnait au verbe digérer alors que les longs jets descendus dans son estomac devront être digérés.
- Aucun problème, je vais reprendre mon poste en indépendant car avant qu’il me vire Tex a organisé une réunion du service et ils seront tous présents espérant un faux pas de son gibier de potence.
- Reste respectueux Trevor de mon futur époux car j’ai dans l’idée que les livres de comptes que va récupérer l’inspecteur dès que j’aurais ouvert le coffre vont lui réserver bien des surprises.
- Claudia j’ai appris à te connaître, tu as une idée derrière la tête, peux-tu nous en dire plus ?
- Chaque chose en son temps, je constate simplement quelles avances positivement.
Tous est réglé jusqu’à demain ma petite salope suceuse de bite vient nous partons j’ai une course à faire.
- Je me fais disputer alors que c’est toi qui m’as donné mon gage et comme ma parole est précieuse, tu m’as piégé.

En disant cela se blottissant le long de la poitrine massive de Trevor elle lui donne sa bouche pour la première fois.

- Loin de moi l’idée de te disputer mais il va falloir que tu m’expliques pourquoi tu es sortie sans ta petite culotte.

Je tourne les talons satisfaite du moment présent et de la tournure des événements.
J’arrive sur le trottoir pour m’apercevoir que la limousine et Cristopher sont partis.
Il est vrai que je l’ai renvoyé persuadé de rentrer avec Abby en Mustang.
Le couple est sorti sur mes talons et s’embrasse amoureusement, la lesbienne semble être devenue bi comme moi.

- Trevor ferme chez toi et prend les clefs de ta voiture, emmène-nous en ville à la grande librairie, tu la connais.
- Vous semblez oublier que je suis flic et qu’aucun coin de la ville ne m’est inconnu, même les quartiers les plus chauds, je les maîtrise.
- Allais-tu aux putes ?
- Non, j’allais voir ce que nous appelions des « indiques », et quand c’était des putes pour donner le change nous étions des clients.
Comme j’étais le seul célibataire du service c’est moi qui avais ce rôle dans l’équipe.
Nous tenions la majorité des filles indépendantes de la ville dans nos filets seules celles qui travaillaient avec le sénateur étaient des tombes.
L’inspecteur vous a dit qu’il avait rencontré votre beau-père quelques jours avant sa mort !
Tex avait trouvé un motif vaseux pour l’amener au commissariat.
Ils avaient parlé de vous car l’inspecteur semblait savoir que vous alliez avoir dix-huit ans et que Bob allait définitivement vous prostituer à Los Angeles dans un appartement qu’il avait déjà acheté.
- Je sais qu’il savait bien des choses mais c’est maman qui lui a dit pour se venger du virus qu’il lui avait injecté avec sa drogue par les aiguilles contaminées.
- Contaminés par la manière de se piquer les uns après les autres avec la même seringue mais avec de la cocaïne la plus pure se trouvant sur le marché de la ville.
J’ai mes clefs, on y va, je suis content de vous conduire dans ma belle voiture surtout toi Abby, je vais te faire découvrir les joies de roulée cheveux au vent.
Un seul regret d’avoir quitté la police, j’adorais la pousser à fond sur l’autoroute.
Quand les collègues m’arrêtaient je leur disais que j’étais en filature ou que j’allais sur les lieux ou mon chef m’avait appelé.
Maintenant il va me falloir respecter les limitations de vitesse.

Il monte ouvre la capote et Abby se met au milieu à portée de sa main qui quand nous roulons la pose sur sa cuisse sans qu’elle se refuse.
Je fais celle qui regarde de l’autre côté mais ma copine semble avancer très vite sur le chemin de l’amour des hommes car bien avant que nous arrivions à la librairie ses doigts sont sur la chatte d’Abby.
J’ignore si c’est le contact qui lui fait perdre la notion de l’endroit où nous sommes mais elle écarte les cuisses au plus large que lui permet l’étroitesse de l’habitacle.
Sa jambe vient repousser ma jambe.
D’un coup elle met la tête sur son épaule et doucement lui dit.

- Trevor, quand tu le voudras, je serais à toi.

C’est formidable, je réussis tout ce que j’entreprends, si je m’écoutais je demanderais à Trevor de me conduire chez Miguel pour voir si cette chance est celle des cocus.
Aucun doute avec ma momie qui a bien du mal à me satisfaire.
Je réussis tous car Abby est entre nous les cuisses écartées à se pâmer sous les doigts de mon nouveau garde du corps.
Mais surtout car depuis que je l’ai rencontré, cette jeune femme est ma muse.
Mieux elle lui propose de l’enfiler quand il le voudra alors que ce matin en se levant à la vue d’un sexe d’homme l’aurait fait fuir.
Nous arrivons devant la librairie centrale de la ville.

- Je reviens, soyez sage, attendez pour nous faire un petit.

En réponse alors que j’ai du mal à m’extraire du baquet montrant ma petite culotte à qui veut la voir, Abby m’envoie une grande claque dans le dos manquant de me décoller les poumons.

Quand je suis de retour le nouveau couple s’embrasse et la main d’Abby caresse son mâle par-dessus le jean alors que j’aperçois les doigts du garçon au fond de la grotte seulement pénétré par deux femmes et Gai-luron.
Gai-luron qui je le pense est à l’aube de retourner dans son placard au fond de son armoire.
Je l’aimais beaucoup mais je sais que si je réussis à prendre les rênes de l’organisation, des sexes comme ceux de Trevor j’en connaîtrais des dizaines sans qu’ils me payent évidemmentC’est moi qui ferais mon choix si j’écarte ou si je garde mes cuisses serrées.
Fini de subir le joug de qui que ce soit, ces registres vierges que je viens d’acheter seront là pour me permettre d’y parvenir.

- Trevor, direction l’appartement d’Abby, nous avons encore certaines choses à préparer pour la cérémonie de demain.

Arrivé à destination notre chauffeur veut monter chez sa future maîtresse la pipe qu’elle lui a pratiqué la place presque à ce rang mais pas tout à fait.
Nous sortons de la voiture et comme moi tout à l’heure Abby me montre l’intégralité de sa vulve.

- Trevor, mets-moi ton numéro de portable sur le mien, dès que je t’appelle tu rappliques, à partir de maintenant tu nous appartiens et tu réponds à toutes nos sollicitations…