COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (33/36)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (33/36) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (33/36)
Je viens de réussir le plus beau coup de ma vie, quand je regarde mon alliance, épouser le sénateur ce vieux débris de 91 ans à la porte de la mort.

Le neveu du sénateur avec sa putain de femme, a fait un esclandre lors de la cérémonie à la mairie mettant mon mari en rogne.
Nous avons réagi et le couple a été rattrapé par les hommes de pépère ainsi que Trevor qui a cette occasion m’a prouvé que je pouvais compter sur ses services.
Ils sont attachés et pendus nus à des palans dans le sous-sol du garage que possède mon mari géré par nos deux chauffeurs.

Fil de Fer est en train d’enculer Nadia qui semble être loin d’apprécier le traitement quand le sénateur s’étant levé de son fauteuil roulant prononce trois fois Ah ! avant de s’écrouler et de finir au sol.

- Miguel, que t’arrive-t-il.
- Laisse-moi passer Claudia, je suis infirmière, je crois savoir ce qu’il arrive à ton mari.
C’est bien ce que je pense, c’est une attaque cérébrale, il faut l’emmener à l’hôpital où je travaille en urgence, les minutes comptes.
- Calmons-nous, nous avons quelques minutes pour prendre les bonnes décisions.
- Que voulez-vous dire madame ?
- Si l’attaque dont est victime mon mari vient aux oreilles de la police, l’inspecteur Tex voudra prendre l’avantage et tout le travail que vous avez fait pour monter notre organisation sera fichu parterre.
Il est peut-être dans les alentours, Trevor qu’en pensez-vous ?
- Il a dû renvoyer les gars, il était prévu que nous nous retrouvions demain à 10 heures au commissariat.
Ils ont du mal à nous payer des heures supplémentaires, à part lui qui est peut-être en planque, les collègues doivent dormir à cette heure.
- Fil de fer arrête d’enculer cette fille, voici ce que tu vas faire.
Fred, vous allez l’aider.

Nous avons remis le sénateur dans son siège qui semble n’avoir qu’un mot sortant de sa bouche Ah !

- Quand j’aurais établi la tache de chacun, nous remonterons d’ici.
Vous remontez le sénateur, vous prenez la limousine noire, Abby, tu le conduis à l’hôpital, tu connais tout le monde, tu leur dis que c’est avant d’aller rejoindre sa femme pour leur nuit de noce qu’il a eu son attaque.
Dis-leur que depuis des jours, il se plaignait de maux de tête.
- Cassidy.

Tous se regardent, Abby encore plus étonné que les autres.

- Pardon Paulo, je devais te trouver un surnom sur les ordres du sénateur.
Abby, je choisis Cassidy, ça fera revivre ton amie.
- Merci Claudia, ça me va directement au cœur.

Les choses vous viennent toutes seules, Cassidy où suis-je allé chercher cela.

- Cassidy, nous allons détacher les deux jeunes couillons, ils ont tout entendu et ils représentent une menace pour nous tous.
- Madame, voulez-vous que je m’en occupe avant de conduire Miguel à l’hôpital.

Le neveu et la nièce doivent savoir ce que Fil de fer veut faire d’eux car ils se mettent à gigoter aux bouts de leurs chaînes.

- Inutile de recourir aux méthodes que je réprouve, Fred avez-vous une voiture plus discrète que les voitures de collection de Miguel.
- Oui, j’ai une Toyota hybride haut de gamme, je vieillis j’aime mon confort.
Elle est en haut derrière la collection.
- C’est très bien, vous allez remonter tous ensemble et vous vous envolerez comme une volée de moineaux.
Les autres vous aiderez Cassidy à remonter le sénateur et les autres petits cons.
Vous mettrez le jeune couple dans le coffre.
Quand tous les autres seront partis, vous les conduirez jusqu’à Vegas dans l’hôtel Martha ou vous les garderez bien au chand attaché à des lits.
Cassidy, rien ne t’empêchera de faire écarter ses cuisses à cette petite pute, le sénateur voulait la mettre sur le trottoir, inutile de perdre du temps pour son apprentissage, je verrais ce que je ferais de son couillon de mec.
Si la chance est avec nous l’inspecteur suivra l’une des premières voitures qui sortiront.
Trevor sais-tu où se trouve cette station de pompage dont le sénateur a parlé.
- Oui, il y a une grille avec un cadenas, je l’ai vu un jour où je poursuivais un malfaiteur, il pensait peut-être s'y réfugier.
- Tu vas être le premier leurre, tu sortiras tu prendras ta Mustang, tu rouleras le plus vite possible en contrôlant si tu es suivi.
Ça va te plaire, toi qui regrettes de rouler à vitesse normale maintenant.
Une fois sûr, tu reviendras aux abords de la station de pompage où je t’attendrais afin de me rendre chez le sénateur, il faut faire du nettoyage avant que la police n’arrive.
- Madame, inutile d’aller jusqu’à la station de pompage, Miguel vous a dit une partie de la vérité concernant ce passage, d’ailleurs je vais vous le montrer.
- Vite Claudia, si tu veux que ton mari voie le lever du jour à l’hôpital.
- Je sais Abby, mais si tout est mal coordonné, nous allons à la catastrophe, j’avais prévu un autre plan, je n’y suis pour rien si mon mari a décidé de nous emmerder.
Ou j’en suis, oui Fred que voulez-vous dire.

Fred prend une clef à long manche sur le tableau, il clisse le manche dans une fente au-dessous et il pousse.
L’ensemble pivote sans bruit, impeccablement entretenu.

- Il y a des lampes torches ici dans ce tiroir et si vous longez ce couloir !
À une cinquantaine de mètres sur votre droite, vous verrez une porte avec cette autre clef à molette plus petite, vous l’introduirez dans le trou dans la porte.
Un autre conduit vous conduira devant une trappe que vous déclencherez et qui pivotera vous serez dans le local à poubelles de la maison du sénateur.
Nous avions prévu qu’il puisse s’échapper en cas de descente de police, son infirmité l’empêchant de se mouvoir seul rendait inutile ce passage, mais je l’ai toujours entretenu.
- Je me disais bien que je vous avais déjà vu Fred, c’est dans ce local.
- Oui, vous avez failli me surprendre, vous êtes venue vider votre poubelle un jour où je sortais l’ensemble des poubelles, c’est moi que le sénateur avait chargé de ce travail dans son immeuble.
Il avait confiance en un minimum de gens.
- Ça s’est réglé.
Ça ne change rien, Trevor vous rejoindrez le poste de pompage, la clef du cadenas où je la trouve.
- Là encore, il y a une goupille sur le côté enlevez là et la grille pivote, vous serez dehors.
- Jonnhy bel gueule déshabille-toi comme je le fais.

Sans pudeur je commence à enlever ma robe de mariée me montrant nue devant tous.
Ça sert d’avoir été une pute, la pudeur devant les clients avant de leur sucer la queue, il y a bien longtemps que je l’ai perdu.

- Met ma robe et mes chaussures, Cristopher quand vous serez remonté, tu prends ma limousine et tu me conduis chez moi.
Tu sais où se trouve la clef, tu entres avec moi, tu te couches dans ma chambre et mon lit de jeune fille je me coucherais dans le lit de maman quand j’arriverais conduit par Trevor.
Je vois votre étonnement, moi, ce sera toi Johnny tu seras la mariée qui vient attendre son mari pour qu’il consomme sa nuit de noce.
- Je dois mal comprendre, madame vous voulez que je me couche dans le lit de vos parents et que ce Trevor, que je ne connais pas d’ailleurs vient m’enculer.
- Je comprends Johnny, en voulant aller trop vite, je me suis mal exprimé.
Cristopher te conduit chez ma maison d’enfance, le sénateur a choisi sa nuit de noce dans ma maison d’enfance.
Vous jouez mon rôle en-cas ou c’est ma limousine que l’inspecteur Tex suit.
Vous entrez, vous enlever votre robe et vos chaussures, vous trouverez les fringues de votre pote Bob mon beau-père, une fois habillé vous filerez par l’arrière, il y a une porte que vous laisserez ouverte.
La police n’a aucun intérêt de surveiller l’arrière si tenté que la police surveille.
- Mais Bob avait un goût de chiottes pour les fringues.
- Johnny c’est un rôle que vous jouez, une fois rentré chez vous vous ferez ce que vous voudrez de ces fringues, le tout c’est qu’elles disparaissent, vous serez certainement perquisitionné.
- Madame, j’ai chez moi ce qu’il faut pour transformer Johnny en une aussi belle femme que vous.
J’ai un échantillon de perruques et de robes.
- Êtes-vous un travelo Fred ?
- Surement pas, j’aime les femmes et le sénateur me payait assez chère pour que je fasse venir des filles au garage, je pouvais demander à ces messieurs de me conduire une fille majeure, bien sûr, dans notre cheptel.
- C’est Miguel qui en était un ?
- Non, mais il était suspicieux, il avait la phobie de la police.
Quand il avait trente ans de moins, il prenait le passage, il venait se changer et prendre une voiture pour sortir et aller se fondre dans la nuit.
Je peux vous dire que nul ne sait où il allait.
Certaines fois il disparaissait une semaine et quand il revenait, il ressortait de chez vous comme s’il était resté la semaine enfermée.
- Fred dit vrai, Bob faisait croire qu’il recevait des putes qu’il lui amenait !
C’était lui qui les sautait jusqu’à les raccompagner faisant croire qu’il approvisionnait le sénateur.

Bien compliqué tout ça, mais bon si c’était leur vie ça les regarde.

- C’est bon, Johnny tu mettras une perruque, tu l’emporteras, quand la police débarquera, inutile qu’elle se pose des questions sur ce qu’elle fait dans ma chambre.
Vous avez tous compris, chacun comprend son rôle.
À oui, Cent pour Cent, tu seras le seul à garder ton portable ouvert, tu resteras en haut en réserve si un problème se fait jour.
Tu seras le seul à pouvoir être tracé par la police et comme ton portable sera toujours près de toi sans qu’il bouge, ils en seront pour leurs frais.
Tous les autres portables éteints, enlevez vos batteries vous les remettrez en cas d’extrême urgence sinon vous attendrez que je vous contacte.

C’est en cœur qu’ils s’exécutent.
Montre en main, j’ai mis moins de 10 minutes pour élaborer ma stratégie.
Le panneau des outils ayant pivoté avec son établie ; je récupère une lampe torche ainsi que la petite clef que j’ai apprise par Fred être à molette pour ouvrir la deuxième porte.
Je peux m’introduire dans ce boyau et refermer derrière moi.
Une nouvelle aventure commence pour moi la nuit de mes noces…

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