COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (38/43)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2399 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 004 150 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 542 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (38/43)
Attaquée dans le tunnel entre mon appartement à la suite de mon mariage avec le sénateur et le garage que nous possédons où vivent nos deux chauffeurs Fred l’oncle plus de 60 ans et Cristopher son neveu ayant environ 20 ans, qui viennent d’être embauchés et qui vont me servir personnellement.
Nous reprenons le boyau, je frissonne quand je passe à la hauteur où j’ai été agressé.
Fred à la lampe torche et est derrière moi, comment ai-je pu penser que cet homme a pu me faire subir ce que j’ai subi.
Certes tous étaient là quand Fred m’a expliqué comment me rendre chez mon mari pour cacher les registres qui je le pensais était toujours là.
- Fred, vous empruntez souvent ce tunnel hors de son entretien.
Disant cela, je bute dans une pierre saillante au sol.
Fred me retient par le bras sans essayer de profiter de la situation.
- Pardon patronne si vous êtes tombé tout à l’heure, je devais travailler sur la planéité du sol, mais comme Miguel était dans l’impossibilité de l’emprunter, nous avions laissé tomber ce problème.
Je vais le faire dans la semaine.
- Merci, Fred, c’est aussi à moi de faire attention.
Je n’y connais rien, serait-il difficile de mettre un éclairage permanent ?
- Vous êtes bien une femme, vous êtes très rationnel, certes l’idée ne nous est jamais venue.
Arrivé, Fred ouvre le coffre, je suis en train d’appeler mon chauffeur appuyé sur le chambranle de la fenêtre donnant sur la terrasse ou mon histoire a pris un jour nouveau.
- Cristopher, veuillez venir me chercher pour me conduire à l’hôpital auprès de mon mari.
- Patronne, regardez, le coffre est ouvert, il est vide.
Impossible, Fred est avec moi depuis que je suis arrivé dans le garage.
Le voleur est-il venu de l’intérieur ou du garage.
- Fred, je vais vous dire, quand je suis venue vous rejoindre pour faire le point avec vous, j’ai été agressé dans le tunnel, d’où ma tenue quand je suis arrivée.
- Agressé ! quelqu’un vous a !
- Oui.
Je m’excuse, j’ai cru que c'était vous, êtes-vous le seul à avoir les clefs de cet appartement ?
- Non, chaque responsable de l’équipe pouvait être convoqué par Miguel et nous avions les clefs, vu les difficultés de déplacement du sénateur.
Seul le nouveau que vous avez surnommé Cassidy n’en a pas, de plus, il est parti pour Vegas avec ma voiture et les neveux de Miguel.
Patronne, attendez Cristopher, je retourne au garage par le tunnel.
J’ai une petite idée sur la personne venue piller le sénateur.
Demandez à mon neveu de passer au garage pour un motif futile, j’aurais dégrossi le problème.
Nous faisons comme nous l’avons prévu.
La distance par le souterrain permet à Fred malgré son âge d’arriver avant moi.
La voiture entrée dans le garage, Cristopher m’ouvre la portière comme il doit le faire dans son contrat.
Le monte-charge est en train de monter.
Fred en sort.
- Madame, venez, vous allez voir comment nous savons extirper des aveux à ceux qui ont la tentation de vous voler.
Arrivé dans l’atelier, à la place des neveux du sénateur ce sont Cent pour Cent et Johnny belle gueule, pendu par les poignets.
- Patronne, pourquoi avez-vous donné l'ordre à Fred de nous traiter de la sorte !
- Cent pour cent, tu fermes ta grande gueule, tu parleras à ton tour.
Je sais que c’est un de vous deux qui ont manqué de respect à la patronne dans le souterrain, lequel ?
Cristopher enlève leur pantalon à ces messieurs, voyons qui des deux lâchera le morceau quand tu leur arracheras les couilles avec la pince placée sur cet établi.
Cristopher ne me regarde pas avec cet air ahuri, quand je t’ai pris comme adjoint, je t’ai dit que tu aurais à faire certaines choses que la morale réprouve pour d’autres.
L’un de ces hommes, j’en suis certain, a déshonoré la patronne et je veux savoir lequel, Fil de Fer s’occupera de lui.
Cristopher comment crois-tu qu’avec Miguel et le beau-père de Claudia nous avons bâti cet empire que certain voudrait mettre à terre.
Je vois Cristopher s’avancer lentement.
J’entrevois la possibilité de prendre plus de poids sur mes hommes, surtout si c’est l’un d’eux qui m’a attaqué tout à l’heure.
- Recule Cristopher, je vais le faire moi-même, l’un de vous a cru que parce que Bob l’éponge me prostituait, il était en droit de me traiter comme une gentille chienne quand il a certainement été surpris de me trouver dans le passage.
Si vous voulez échapper à ma fureur, parlé lequel est descendu et m’a agressé.
- Madame, Johnny Belle Gueule est allé aux toilettes quand nous jouions aux cartes.
Il avait soi-disant la gastro.
- Cent pour Cent, tu ne vas pas fermer ta grande gueule, quand nous aurons été libérés, je te ferais passer le goût du pain.
- Patronne, il y est retourné pendant que vous étiez dans le bureau avec Fred.
- C’est vrai ce que dit Cent pour Cent Johnny, voyons voir cette chiasse, une gastro ne se soigne pas en cinq minutes.
Je lui défais le pantalon, son boxer aussi mettant sa bite à l’air libre.
Le chibre que j’ai eu en moi bien que dans la position où il se trouve, il ne bande pas, peut-être celle qui m’a fait jouir.
- Regarde comment une salope apprend à faire parler les hommes, je vais te sucer jusqu’au moment où ta bite crachera du sang.
L’avantage c’est qu’au début tu vas jouir, mais à la longue tu sentiras ton corps se vider.
Parle.
- Pour qu’une pute me fasse parler, il faudra qu’elle se lève de bonne heure.
Où une femme d’ailleurs, les gonzesses je vous mets dans mon pieu et je vous enfile.
- Aie !
Arrête de me tordre la bite, j’aurais encore besoin de mes bijoux de famille pour te baiser quand je serais libre.
- Première fellation.
Je le prends dans ma bouche, même dans cette position je le fais rapidement éjaculer.
- Deuxième fellation.
Un peu plus dur, mais j’avale encore une bonne rasade de sperme.
- Cinquième fellation.
Ça devient difficile surtout que je souhaite retrouver Abby pour savoir comment elle réagit à la mort de Trevor qui devait la baiser pour respecter son gage.
- Sale pute, tu es dingue, les mecs réagissez, vous n’allez pas vous laisser manipuler par cette petite pute.
Elle a su embobiner le patron, mais ne soyez pas dupe, elle en veut seulement à son fric.
- Fric que tu as volé dans le bureau du sénateur.
J’ai du mal à le faire bander, j’avais vu cette pratique dans un film, n’était-ce qu’une histoire à la fin le mec craquait.
- Salope, j’ai mal, j’ai l’impression que l’on m’arrache les burnes.
- Parle et ça s’arrête.
- Si je parle, tu vas appeler Fil de Fer et il se servira de sa corde à piano.
- Si tu parles, c’est donc toi ou sont les lingots et l’argent.
- Tu crois que je vais parler pour quelques pipes.
- Neuvième pipe comme tu dis, tient ton sperme sent le sang.
J’essaye de lui faire à l’influence, j’ai mal aux mâchoires à force de le pomper la bouche ouverte au maxi que je peux.
- Arrêtez patronne, c’est moi qui vous ai baisée dans le tunnel, j’allais chercher l’argent, je connaissais le code.
J’ai moi-même été surpris de vous voir devant moi.
L’argent est là dans un casier métallique qui servait de vestiaire du temps des blacks, ayant leur repère ici.
Je vais chercher l’argent, les lingots sont bien là ainsi que les paquets de billets de 100 $.
- Fred, je pars avec Cristopher retrouver mon amie et mon mari.
Occupez-vous de Johnny.
- Patronne, détachez-moi, je n’ai rien fait.
- Justement Cent pour Cent.
J’ignore pourquoi tes copains te surnomment Cent pour Cent !
Ils ignoraient que c’était 100 % à te coucher la peur te tiraillant le ventre.
Fred, je ne veux plus voir ces deux hommes devant moi, faite ce qu’il faut pour qu’il disparaisse de ma vue…
Nous reprenons le boyau, je frissonne quand je passe à la hauteur où j’ai été agressé.
Fred à la lampe torche et est derrière moi, comment ai-je pu penser que cet homme a pu me faire subir ce que j’ai subi.
Certes tous étaient là quand Fred m’a expliqué comment me rendre chez mon mari pour cacher les registres qui je le pensais était toujours là.
- Fred, vous empruntez souvent ce tunnel hors de son entretien.
Disant cela, je bute dans une pierre saillante au sol.
Fred me retient par le bras sans essayer de profiter de la situation.
- Pardon patronne si vous êtes tombé tout à l’heure, je devais travailler sur la planéité du sol, mais comme Miguel était dans l’impossibilité de l’emprunter, nous avions laissé tomber ce problème.
Je vais le faire dans la semaine.
- Merci, Fred, c’est aussi à moi de faire attention.
Je n’y connais rien, serait-il difficile de mettre un éclairage permanent ?
- Vous êtes bien une femme, vous êtes très rationnel, certes l’idée ne nous est jamais venue.
Arrivé, Fred ouvre le coffre, je suis en train d’appeler mon chauffeur appuyé sur le chambranle de la fenêtre donnant sur la terrasse ou mon histoire a pris un jour nouveau.
- Cristopher, veuillez venir me chercher pour me conduire à l’hôpital auprès de mon mari.
- Patronne, regardez, le coffre est ouvert, il est vide.
Impossible, Fred est avec moi depuis que je suis arrivé dans le garage.
Le voleur est-il venu de l’intérieur ou du garage.
- Fred, je vais vous dire, quand je suis venue vous rejoindre pour faire le point avec vous, j’ai été agressé dans le tunnel, d’où ma tenue quand je suis arrivée.
- Agressé ! quelqu’un vous a !
- Oui.
Je m’excuse, j’ai cru que c'était vous, êtes-vous le seul à avoir les clefs de cet appartement ?
- Non, chaque responsable de l’équipe pouvait être convoqué par Miguel et nous avions les clefs, vu les difficultés de déplacement du sénateur.
Seul le nouveau que vous avez surnommé Cassidy n’en a pas, de plus, il est parti pour Vegas avec ma voiture et les neveux de Miguel.
Patronne, attendez Cristopher, je retourne au garage par le tunnel.
J’ai une petite idée sur la personne venue piller le sénateur.
Demandez à mon neveu de passer au garage pour un motif futile, j’aurais dégrossi le problème.
Nous faisons comme nous l’avons prévu.
La distance par le souterrain permet à Fred malgré son âge d’arriver avant moi.
La voiture entrée dans le garage, Cristopher m’ouvre la portière comme il doit le faire dans son contrat.
Le monte-charge est en train de monter.
Fred en sort.
- Madame, venez, vous allez voir comment nous savons extirper des aveux à ceux qui ont la tentation de vous voler.
Arrivé dans l’atelier, à la place des neveux du sénateur ce sont Cent pour Cent et Johnny belle gueule, pendu par les poignets.
- Patronne, pourquoi avez-vous donné l'ordre à Fred de nous traiter de la sorte !
- Cent pour cent, tu fermes ta grande gueule, tu parleras à ton tour.
Je sais que c’est un de vous deux qui ont manqué de respect à la patronne dans le souterrain, lequel ?
Cristopher enlève leur pantalon à ces messieurs, voyons qui des deux lâchera le morceau quand tu leur arracheras les couilles avec la pince placée sur cet établi.
Cristopher ne me regarde pas avec cet air ahuri, quand je t’ai pris comme adjoint, je t’ai dit que tu aurais à faire certaines choses que la morale réprouve pour d’autres.
L’un de ces hommes, j’en suis certain, a déshonoré la patronne et je veux savoir lequel, Fil de Fer s’occupera de lui.
Cristopher comment crois-tu qu’avec Miguel et le beau-père de Claudia nous avons bâti cet empire que certain voudrait mettre à terre.
Je vois Cristopher s’avancer lentement.
J’entrevois la possibilité de prendre plus de poids sur mes hommes, surtout si c’est l’un d’eux qui m’a attaqué tout à l’heure.
- Recule Cristopher, je vais le faire moi-même, l’un de vous a cru que parce que Bob l’éponge me prostituait, il était en droit de me traiter comme une gentille chienne quand il a certainement été surpris de me trouver dans le passage.
Si vous voulez échapper à ma fureur, parlé lequel est descendu et m’a agressé.
- Madame, Johnny Belle Gueule est allé aux toilettes quand nous jouions aux cartes.
Il avait soi-disant la gastro.
- Cent pour Cent, tu ne vas pas fermer ta grande gueule, quand nous aurons été libérés, je te ferais passer le goût du pain.
- Patronne, il y est retourné pendant que vous étiez dans le bureau avec Fred.
- C’est vrai ce que dit Cent pour Cent Johnny, voyons voir cette chiasse, une gastro ne se soigne pas en cinq minutes.
Je lui défais le pantalon, son boxer aussi mettant sa bite à l’air libre.
Le chibre que j’ai eu en moi bien que dans la position où il se trouve, il ne bande pas, peut-être celle qui m’a fait jouir.
- Regarde comment une salope apprend à faire parler les hommes, je vais te sucer jusqu’au moment où ta bite crachera du sang.
L’avantage c’est qu’au début tu vas jouir, mais à la longue tu sentiras ton corps se vider.
Parle.
- Pour qu’une pute me fasse parler, il faudra qu’elle se lève de bonne heure.
Où une femme d’ailleurs, les gonzesses je vous mets dans mon pieu et je vous enfile.
- Aie !
Arrête de me tordre la bite, j’aurais encore besoin de mes bijoux de famille pour te baiser quand je serais libre.
- Première fellation.
Je le prends dans ma bouche, même dans cette position je le fais rapidement éjaculer.
- Deuxième fellation.
Un peu plus dur, mais j’avale encore une bonne rasade de sperme.
- Cinquième fellation.
Ça devient difficile surtout que je souhaite retrouver Abby pour savoir comment elle réagit à la mort de Trevor qui devait la baiser pour respecter son gage.
- Sale pute, tu es dingue, les mecs réagissez, vous n’allez pas vous laisser manipuler par cette petite pute.
Elle a su embobiner le patron, mais ne soyez pas dupe, elle en veut seulement à son fric.
- Fric que tu as volé dans le bureau du sénateur.
J’ai du mal à le faire bander, j’avais vu cette pratique dans un film, n’était-ce qu’une histoire à la fin le mec craquait.
- Salope, j’ai mal, j’ai l’impression que l’on m’arrache les burnes.
- Parle et ça s’arrête.
- Si je parle, tu vas appeler Fil de Fer et il se servira de sa corde à piano.
- Si tu parles, c’est donc toi ou sont les lingots et l’argent.
- Tu crois que je vais parler pour quelques pipes.
- Neuvième pipe comme tu dis, tient ton sperme sent le sang.
J’essaye de lui faire à l’influence, j’ai mal aux mâchoires à force de le pomper la bouche ouverte au maxi que je peux.
- Arrêtez patronne, c’est moi qui vous ai baisée dans le tunnel, j’allais chercher l’argent, je connaissais le code.
J’ai moi-même été surpris de vous voir devant moi.
L’argent est là dans un casier métallique qui servait de vestiaire du temps des blacks, ayant leur repère ici.
Je vais chercher l’argent, les lingots sont bien là ainsi que les paquets de billets de 100 $.
- Fred, je pars avec Cristopher retrouver mon amie et mon mari.
Occupez-vous de Johnny.
- Patronne, détachez-moi, je n’ai rien fait.
- Justement Cent pour Cent.
J’ignore pourquoi tes copains te surnomment Cent pour Cent !
Ils ignoraient que c’était 100 % à te coucher la peur te tiraillant le ventre.
Fred, je ne veux plus voir ces deux hommes devant moi, faite ce qu’il faut pour qu’il disparaisse de ma vue…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...