COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (41/43)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (41/43) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(41.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (41/43)
- Prends-moi pour un con, tu m’as fait comprendre que tu ne serais plus à moi car j’ai voulu te niquer concernant le sénateur.
Certes, je me suis trop vanté, que j’allais avoir toutes les preuves dont j’aurais besoin pour ça.
- Pourquoi continue-tu à me surveiller, ce n’est pas pour rien que tu étais devant l’hôpital ?
- J’ai la nette impression qu’une chose m’échappe dans notre affaire.
J’ai dû passer à côté de quelques choses, c’est pour cela que je te piste.
- Tu n’as pas compris que j’étais trop maligne pour toi comme l’était le sénateur.
Après m’avoir payé à déjeuner et j’ai une faim de loup, tu me raccompagneras et tu te casseras ta queue entre les jambes.
Tient on est arrivé.

Comme un con, il me paye un steak de mammouth avec un kilo de frites.
Je sais ma ligne, pour une fois, surtout quand on est invité, un petit écart ne peut pas avoir de conséquence sur mon cul.
De toute façon, les hommes aiment aussi les culs de grosses.

- Chauffeur à la maison, tu ne trouves pas ma filature plus marrante avec moi dans ta voiture qu’en suivant les miennes ou mes taxis.
Surtout que si tu es sage, peut-être qu’il est possible que je revienne sur ma position.
J’ai la chatte encore pleine de mon dernier amant, mais si je suis en manque sachant que tu baises bien, j’accepterais de reprendre ma décision.

Promettre pour mieux contrôler, je lui ai dit que ma chatte n’était plus pour lui et je tiens toujours parole.
Un jour j’ai décidé en moins de cinq secondes de faire faire un plongeon par-dessus la rambarde à mon pourri de Mac et beau-père et je l’ai fait sans hésiter.
Il me dépose sans plus essayer de me sauter, je monte chez moi.
C’est drôle avant j’aurais dit chez le sénateur, chez pépère, chez mon je-ne-sais-quoi.
Là je dis chez moi.
Je sais que la décision que je dois prendre n’est pas facile, le laisser brancher ou débrancher mon mari.
Je pense que les amis de Miguel doivent faire partie de la décision, je vais me doucher et je m’habille avec mini et débardeur.
Je vais au garage aussi je mets des chaussures rouges plus faciles que les chaussures à hauts talons que je mettais avec cet ensemble quand j’étais chez moi.

- Fred, vous êtes de retour, tout s’est bien passé avec nos deux zouaves.
- Comme chaque fois où je m’occupe d’une affaire.
Sa femme a été le lever quand je suis arrivée.
Elle avait un moutard dans les bras.
Il a été surpris de me voir et encore plus quand il a vu la liasse de billets.
- Quel motif avez-vous trouvé ?
- J’ai dit que son mari avait sauvé le toutou de ma patronne en rentrant de son travail, vieille actrice d’Hollywood et que pour le remercier elle lui donnait cette liasse de billets.
Il a compris, je suis retourné à ma voiture et je l’ai attendu près de chez lui, il m’a donné la mallette.
J’ai vérifié la clef est là.
- Venez, retournons dans son bureau, je veux prendre le temps de comprendre les choses.
Dès que vous m’aurez fait voir comment démarrer, vous reviendrez et vous convoquerez toute la bande.
En passant Johnny Belle Gueule et Cent pour Cent.
- C’est réglé, comme vous me l’avez demandé ils sont vivants.
Je vous dirais où ils sont dès qu’ils seront arrivés à leur destination.
- Dans la bande, je veux aussi parler des avocats de Miguel.
Nous allons changer les pratiques de l’organisation mais je vous en dirais plus demain dans mon bureau où nous nous réunirons.
Mon amie Abby est là.
- Oui, au cri qu’elle pousse depuis trois heures, je pense que mon neveu est un bon étalon.
J’avais cru comprendre qu’elle était lesbienne.
- J’étais bien une pute Fred et voyez qui je suis maintenant.
J’ai vu comment fonctionne la clef, je retourne par le tunnel.

On fait comme j’ai dit, je me retrouve devant l’ordi le lingot à la main, je passe le restant de la journée à étudier les comptes et je remarque tout ce que je voulais savoir.
Je pensais qu’Abby me rejoindrait, mais la queue de son mec doit lui plaire car elle ne répond même pas à mes appels.
Travailler ces bien, même si de toute ma vie, à part l’école en soquette, les concours de mini miss et pour finir être une pute, je n’ai pas encore eux de vrai travail.
J’étais mauvaise en langue sauf celle que je fourrais dans le cul de mes clients, mais bonne en math.
J’avale les colonnes comme j’avale le sperme et je trouve ce que j’espérais trouver.
Demain je vais pouvoir jouer cartes sur table avec toute ma troupe.
Dommage que par sa connerie, Johnny Belle Gueule se soit brûlé les ailes, il m’aurait été utile.

Merde, pardon, je me réveille courbaturé, je me suis endormie sur le bureau de mon mari.
Presque 9 heures, je vais dans la cuisine, le frigo est plein.
Élizabeth la femme de service de pépère a dû continuer à venir s’occuper de la maison.
Je sais qu’elle existe, mon mari m’en a parlé mais je ne l’ai jamais vue et j’ai vu la somme qu’elle touche chaque mois dans les comptes de mon mari.
Je me fais cuire deux œufs brouillés, j’adore les œufs brouillés, il y a une machine à café.
Je vois un vase avec des grains de café, je la démarre, je déchiffre le menu.
Je choisis un « Café Long ».
Sans sucre, c’est certainement à cause de cela que j’ai eu une carence en sucre hier.
Rassasié après ce repas vite fait, je dévore malgré le steak que Tex m’a payé hier.
Je vais dans ma douche, quand j’entends la porte claquer.
Quelqu’un est entré, vais-je encore être violée.

- Ah !
Excusez, vous m’avez fait peur, je suis Élizabeth la femme de ménage de monsieur le sénateur, vous êtes Poupette la femme que je l’ai vu épouser hier.
- Vous étiez là !
- Oui.
Au fond de l’église.
- Et vous n’avez pas assisté au repas au garage.
- Non, je n’étais pas invitée.
- Ça fait longtemps que vous êtes à son service.
- Plus de 10 ans, mon mari travaillait pour lui et a été abattu par les flics du commissariat.
Je suis logé à l’étage du dessous.
- Si j’avais su j’aurais demandé à mon mari de vous inviter.
- Je vous croyais en voyage de noces avec monsieur le sénateur !
- Personne ne vous a prévenu, mon mari a eu une attaque cérébrale à la fin de la nuit, il est vivant à l’hôpital mais est branché à une machine qui le fait vivre.
- Pauvre monsieur, à la fin de mon service, j’irais le voir même s’il ne me reconnaît pas.

Qu’est-ce que cette femme a été pour pépère alors qu’il était encore en état de bander ?
Quand je vois qu’il baisait la femme de son neveu, a-t-il eu des relations avec cette femme d’une cinquantaine d'années qui a dû être fort jolie bien qu’elle reste baisable.
Elle semble vouer une dévotion sans bornes au sénateur.
Je découvre une facette de celui qui m’a permis de diriger un empire, par moments si durs, par moments si humains.

- Je vous laisse madame, je me rends compte que je vous ai appelé Poupette, c’est Claudia je crois.
- Oui, mais venant de vous Poupette ne me gêne pas.
- Je comprends vous devez prendre en main tous ces hommes mais je sens que vous serez à la hauteur.
Méfiez-vous de Fil de Fer, l’homme de main de monsieur le sénateur.
- Est-il dangereux ?
- Non si vous le tenez bien en main, sinon c’est un fou.
- Que pensez-vous de Cent pour Cent ?
- Il fait croire qu’il est hétéro et c’est un homosexuel refoulé.
Il ne m’étonnerait pas qu’il fréquente assidûment West Hollywood.
Un jour où je faisais du shopping dans ce quartier, je l’ai vu entrer dans un bar surmonté d’un drapeau arc-en-ciel symbole de la communauté gay.
- Vous en avez parlé à mon mari.
- Depuis qu’il m’aide et me protège, jamais je ne prendrais le risque de me mêler de ses affaires.
J’étais avec mon mari dans notre lit quand on a frappé à la porte.
Nous venions de faire l’amour.
John était un vrai mâle, je m’excuse de vous tenir ces propos si intimes, mais je sens que vous êtes une jeune femme très humaine.
- Faite Elizabeth, j’aime connaître mon monde et savoir à qui j’ai à faire.
- J’ai rencontré John quand j’avais 16 ans, j’habitais dans l’Utah quand j’ai rencontré un jeune homme John qui m’a pris ma virginité.
Mon père a refusé que je l’épouse.
Nous nous sommes enfuis sans le moindre sous.
Nous voulions aller au Mexique.
Une nuit alors que nous avions trouvé refuge dans un vieux ranch semblant abandonné alors que nous faisions l’amour comme les fous que nous étions, des hommes sont entrés.
Ils m’ont saisi au moment où j’avais un orgasme et je me suis sentie maîtrisée.
J’étais nue et j’avais la peur de ma vie.
J’ai cru que c’était mon père qui avait lancé ces trois hommes à notre poursuite pour me ramener.
C’était monsieur le sénateur, monsieur Fred et monsieur Bob.
Je m’excuse de vous rappeler de mauvais souvenir en évoquant de mauvais moment pour vous madame Poupette en évoquant Bob votre beau-père.
- N’ayez crainte, certains souvenirs qui peuvent paraître mauvais pour certains, peuvent être bons pour d’autres.

Élizabeth est sympa, mais comme je ne la connais pas plus que ça, n’est-elle pas en cheville avec Tex.
Pourtant en la regardant, on lui donnerait le bon Dieu sans confession…

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