COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (42/43)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (42/43)
Je viens d’avoir peur étant seule chez moi quand Élisabeth la femme de ménage de mon mari est venue s’occuper de ma maison.
Elle me donne des renseignements sur les adjoints du sénateur, le moins que je puisse dire, c’est qu’elle ne porte pas Fil de Fer dans son coeur.
- Vous disiez que fuyant votre père vous vous êtes retrouvée dans les mains de trois hommes dont mon mari et mon beau-père !
- Oui, j’ai cru ma dernière heure arrivée mais John a fait barrage de son corps et j’ai été épargné.
Épargné dans un premier temps mais mise au tapin avec mon mec comme souteneur.
Son courage envers moi leur avait plu et ils lui ont proposé d’entrer dans l’organisation qu’il commençait à mettre en place.
Nous nous étions réfugiés dans le ranch de la famille du sénateur que nous avions prise pour une ruine.
Je sais que par un chemin différent, tu es arrivée à la même servitude pour le plaisir des hommes et le fric que ça rapportait au mien.
Ce qui m’a sauvé c’est que John m’aimait autant que je l’aimais.
Un jour où il ne m’avait pas conduit à ma clientèle me faisant reluire comme il disait, les flics ont débarqué et des coups de feu sont partis faisant de moi une veuve ?
À ce que j’ai su, John avait été avide et avait touché à la drogue, chose que monsieur le sénateur a toujours interdite à ses gars.
Monsieur Miguel venait d’acheter cet immeuble et il m’a mis dans mes meubles contre l’entretien de son appartement.
- Bien, ce n’est pas le tout, j’ai rendez-vous au garage.
Continuez comme vous avez l’habitude de faire, je continuerais à vous rémunérer.
Croisez les doigts et souhaitez-moi bonne chance.
- Bien madame, je vous remercie, je vais faire vitre chambre.
Je lui dirais bien que je n’ai pas défait mon lit, mais je suis en retard et ça ferait mauvais effet pour mon premier rendez-vous de chef.
À ce moment on sonne à la porte de l’entrée de l’immeuble.
- Claudia, c’est moi Tex, police, nous venons perquisitionner l’immeuble, veuillez m’ouvrir.
Je vois sa tronche de faux cul sur l’écran filmé par la caméra au-dessus de la porte.
Je vois au moins trois flics en tenue de Rambo arment en main.
- Inutile de fracturer la porte, je descends.
Élisabeth descendez avec moi, vous serez témoin de leurs agissements s’ils font des choses d’illégales.
- Bien madame, je pose le sac des courses que j’ai faites hier.
Nous prenons l’ascenseur et j’enclenche l’ouverture de la porte.
- Vous avez un mandat monsieur l’inspecteur.
- Il va de soi, crois-tu que je te donnerais l’occasion de me prendre en faute et essayer de me faire sauter avec les appuis de ton mari.
- Aller y chacun un étage, vous me visiter tous les appartements.
Si l’un d’eux est inoccupé ou si la personne ne répond pas, fait appel à Évan il vous ouvrira.
Aucune effraction, pas la moindre rayure sur les portes chaque fois que l’un de vous à fini son étage avec ses hommes, vous redescendez dans le hall.
Il part tout à la quête de je ne sais quoi, eux semblent le savoir.
- Madame, qui êtes-vous.
- J’habite à l’étage inférieur de monsieur le sénateur.
Je suis un peu comme la gardienne de l’immeuble et aussi sa femme de ménage.
Quand il rentrera, il ne sera pas content de ce que vous faites, il a horreur du désordre.
- Laissez Élisabeth, laissez monsieur faire.
J’ai déjà perquisitionné chez le sénateur, à part le coffre, il n’y a rien à trouver.
Ma brigade suivez-moi vous venez avec nous, vous allez nous ouvrir votre porte.
J’avais vu trois gars par la caméra, ils sont au moins trente à entrer dans l’immeuble chaque groupe ayant son chef.
Nous remontons par l’ascenseur assez grandes pour mettre le fauteuil de pépère.
Élisabeth ouvre sa porte, je la suis.
- Fouillez pièce par pièce.
Madame, vous fumez le cigare.
- Oui en regardant ma télé le soir, c’est une vieille habitude que nous avions avec John avant que votre pourri de collègue ne l’abatte pour 5 grammes de coke.
- Je me souviens de ça, je venais d’arriver à la brigade, c’était ma première intervention, j’étais en état de légitime défense.
- Crois-tu que je ne t’aie pas reconnu avec ta tête de con, si j’avais ce qu’il faut, je t’en mettrais une entre les deux yeux ?
- Calmez-vous Élisabeth, l’inspecteur risque de vous inculper pour propos outranciers envers la police.
Deux trois détail dont le cigare me fait penser que je fais fausse route en pensant que cette femme était la maîtresse de mon mari.
Fred, c’est Fred qui doit la sauter, avant ou après que son mari ne se soit fait descendre.
Je pencherais pour avant c’est pour ça que le sénateur l’a installé non loin de lui.
Je comprends pourquoi le tunnel est toujours entretenu, il devait la rejoindre chaque nuit, passer la soirée et la baiser.
J’ai vu les mêmes mégots dans le bureau au garage et Fred en avoir un non allumé à la main.
- Faite moi voir comment vous fumez madame, sinon donnez-moi le nom de l’homme qui vient ici.
Il n’y a que vos affaires dans ce logement.
- Vous voulez que cette femme attrape un cancer du poumon, je note ce premier faux-pas inspecteur.
Vous vous croyez tous permis car vous avez un permis de perquisition.
- Laissez madame Claudia, je dis la vérité.
Pour le cancer, ça me permettrait de retrouver le seul homme que j’ai eu dans ma vie.
- Ne te fiche pas de ma gueule, tu as tapiné jusqu’à la mort de ton mec, tu étais considéré comme la meilleure écarteuse de cuisses de ta corporation.
- Deuxième faute monsieur l’inspecteur qui vous a autorisé à tutoyer madame, ce n’est pas dans les procédures.
- Laissez madame Claudia, je dis toujours la vérité.
Elle prend le cigare, le Zippo posé à côté et allume le cigare Elle aspire, avale la fumée et la fait ressortir en faisant des ronds un par un.
- Ça vous va inspecteur, voulez-vous vous assoir, je vais aller vous servir un verre de whisky le temps que je le finisse.
Là encore je picole un verre chaque soir avant d’aller me coucher.
Vous devriez-vous y met, je vous sens tendu, c’est vrai cet immeuble recèle des choses interdites par la loi.
Un flic entre.
- Il y a un problème chez une certaine Abby, cette jeune femme demande une dénommé Claudia qui est son amie.
Elle est très énervée.
Claudia c’est moi, allons la voir.
Tous les trois nous redescendons.
La visite de l’immeuble ne semble pas de tout repos.
- Abby laisse ces messieurs entrer, ils semblent savoir ce qu’il cherche, tu n’as rien à craindre et l’on n’a rien à cacher.
Elle a les yeux brillants, elle semble morte de fatigue.
- Inspecteur, faite vite, mon amie a travaillé auprès de mon mari une partie de la nuit, elle doit avoir sommeil.
Si je lui disais qu’elle vient de se faire dépuceler et qu’elle s’est fait prendre par un étalon pendant plus de trois heures.
Elle a dû rentrer il y a peu se retrouvant dans le contrôle de police.
Je vois des flics partir à la quête, une femme flic revient avec un objet que nous connaissons bien Abby et moi.
- À part ce phallus disproportionné, nous n’avons rien trouvé.
Elle tient Gai-Luron dans ses mains.
- Deuxième faute inspecteur, ce phallus comme le dit votre adjointe est disproportionné, vous entrez dans l’intimité de cette jeune femme.
Y a-t-il une loi qui interdit chez soi de se servir d’un godemiché à titre personnel.
Mademoiselle ou madame, si vous avez une chatte si serrée que vous serrez de vous l’introduire, n’en dégouter pas les autres.
- Rapportez-moi ça ou vous l’avez trouvé en vitesse.
Excusez là mesdemoiselles, c’est une nouvelle, elle va entendre parler de moi dès que nous serons de retour au commissariat.
- Inspecteur, je sais que vous avez d'autres arguments pour la punir d’avoir fait une erreur dans son travail.
Un autre flic entre, il semble que ce ne soit pas la journée de l’inspecteur.
- Il y a un problème à un étage plus haut.
Une mémé semble avoir une pétoire et veut flinguer tout ce qui passe la porte.
- Allons voir, ici c’est terminé…
Elle me donne des renseignements sur les adjoints du sénateur, le moins que je puisse dire, c’est qu’elle ne porte pas Fil de Fer dans son coeur.
- Vous disiez que fuyant votre père vous vous êtes retrouvée dans les mains de trois hommes dont mon mari et mon beau-père !
- Oui, j’ai cru ma dernière heure arrivée mais John a fait barrage de son corps et j’ai été épargné.
Épargné dans un premier temps mais mise au tapin avec mon mec comme souteneur.
Son courage envers moi leur avait plu et ils lui ont proposé d’entrer dans l’organisation qu’il commençait à mettre en place.
Nous nous étions réfugiés dans le ranch de la famille du sénateur que nous avions prise pour une ruine.
Je sais que par un chemin différent, tu es arrivée à la même servitude pour le plaisir des hommes et le fric que ça rapportait au mien.
Ce qui m’a sauvé c’est que John m’aimait autant que je l’aimais.
Un jour où il ne m’avait pas conduit à ma clientèle me faisant reluire comme il disait, les flics ont débarqué et des coups de feu sont partis faisant de moi une veuve ?
À ce que j’ai su, John avait été avide et avait touché à la drogue, chose que monsieur le sénateur a toujours interdite à ses gars.
Monsieur Miguel venait d’acheter cet immeuble et il m’a mis dans mes meubles contre l’entretien de son appartement.
- Bien, ce n’est pas le tout, j’ai rendez-vous au garage.
Continuez comme vous avez l’habitude de faire, je continuerais à vous rémunérer.
Croisez les doigts et souhaitez-moi bonne chance.
- Bien madame, je vous remercie, je vais faire vitre chambre.
Je lui dirais bien que je n’ai pas défait mon lit, mais je suis en retard et ça ferait mauvais effet pour mon premier rendez-vous de chef.
À ce moment on sonne à la porte de l’entrée de l’immeuble.
- Claudia, c’est moi Tex, police, nous venons perquisitionner l’immeuble, veuillez m’ouvrir.
Je vois sa tronche de faux cul sur l’écran filmé par la caméra au-dessus de la porte.
Je vois au moins trois flics en tenue de Rambo arment en main.
- Inutile de fracturer la porte, je descends.
Élisabeth descendez avec moi, vous serez témoin de leurs agissements s’ils font des choses d’illégales.
- Bien madame, je pose le sac des courses que j’ai faites hier.
Nous prenons l’ascenseur et j’enclenche l’ouverture de la porte.
- Vous avez un mandat monsieur l’inspecteur.
- Il va de soi, crois-tu que je te donnerais l’occasion de me prendre en faute et essayer de me faire sauter avec les appuis de ton mari.
- Aller y chacun un étage, vous me visiter tous les appartements.
Si l’un d’eux est inoccupé ou si la personne ne répond pas, fait appel à Évan il vous ouvrira.
Aucune effraction, pas la moindre rayure sur les portes chaque fois que l’un de vous à fini son étage avec ses hommes, vous redescendez dans le hall.
Il part tout à la quête de je ne sais quoi, eux semblent le savoir.
- Madame, qui êtes-vous.
- J’habite à l’étage inférieur de monsieur le sénateur.
Je suis un peu comme la gardienne de l’immeuble et aussi sa femme de ménage.
Quand il rentrera, il ne sera pas content de ce que vous faites, il a horreur du désordre.
- Laissez Élisabeth, laissez monsieur faire.
J’ai déjà perquisitionné chez le sénateur, à part le coffre, il n’y a rien à trouver.
Ma brigade suivez-moi vous venez avec nous, vous allez nous ouvrir votre porte.
J’avais vu trois gars par la caméra, ils sont au moins trente à entrer dans l’immeuble chaque groupe ayant son chef.
Nous remontons par l’ascenseur assez grandes pour mettre le fauteuil de pépère.
Élisabeth ouvre sa porte, je la suis.
- Fouillez pièce par pièce.
Madame, vous fumez le cigare.
- Oui en regardant ma télé le soir, c’est une vieille habitude que nous avions avec John avant que votre pourri de collègue ne l’abatte pour 5 grammes de coke.
- Je me souviens de ça, je venais d’arriver à la brigade, c’était ma première intervention, j’étais en état de légitime défense.
- Crois-tu que je ne t’aie pas reconnu avec ta tête de con, si j’avais ce qu’il faut, je t’en mettrais une entre les deux yeux ?
- Calmez-vous Élisabeth, l’inspecteur risque de vous inculper pour propos outranciers envers la police.
Deux trois détail dont le cigare me fait penser que je fais fausse route en pensant que cette femme était la maîtresse de mon mari.
Fred, c’est Fred qui doit la sauter, avant ou après que son mari ne se soit fait descendre.
Je pencherais pour avant c’est pour ça que le sénateur l’a installé non loin de lui.
Je comprends pourquoi le tunnel est toujours entretenu, il devait la rejoindre chaque nuit, passer la soirée et la baiser.
J’ai vu les mêmes mégots dans le bureau au garage et Fred en avoir un non allumé à la main.
- Faite moi voir comment vous fumez madame, sinon donnez-moi le nom de l’homme qui vient ici.
Il n’y a que vos affaires dans ce logement.
- Vous voulez que cette femme attrape un cancer du poumon, je note ce premier faux-pas inspecteur.
Vous vous croyez tous permis car vous avez un permis de perquisition.
- Laissez madame Claudia, je dis la vérité.
Pour le cancer, ça me permettrait de retrouver le seul homme que j’ai eu dans ma vie.
- Ne te fiche pas de ma gueule, tu as tapiné jusqu’à la mort de ton mec, tu étais considéré comme la meilleure écarteuse de cuisses de ta corporation.
- Deuxième faute monsieur l’inspecteur qui vous a autorisé à tutoyer madame, ce n’est pas dans les procédures.
- Laissez madame Claudia, je dis toujours la vérité.
Elle prend le cigare, le Zippo posé à côté et allume le cigare Elle aspire, avale la fumée et la fait ressortir en faisant des ronds un par un.
- Ça vous va inspecteur, voulez-vous vous assoir, je vais aller vous servir un verre de whisky le temps que je le finisse.
Là encore je picole un verre chaque soir avant d’aller me coucher.
Vous devriez-vous y met, je vous sens tendu, c’est vrai cet immeuble recèle des choses interdites par la loi.
Un flic entre.
- Il y a un problème chez une certaine Abby, cette jeune femme demande une dénommé Claudia qui est son amie.
Elle est très énervée.
Claudia c’est moi, allons la voir.
Tous les trois nous redescendons.
La visite de l’immeuble ne semble pas de tout repos.
- Abby laisse ces messieurs entrer, ils semblent savoir ce qu’il cherche, tu n’as rien à craindre et l’on n’a rien à cacher.
Elle a les yeux brillants, elle semble morte de fatigue.
- Inspecteur, faite vite, mon amie a travaillé auprès de mon mari une partie de la nuit, elle doit avoir sommeil.
Si je lui disais qu’elle vient de se faire dépuceler et qu’elle s’est fait prendre par un étalon pendant plus de trois heures.
Elle a dû rentrer il y a peu se retrouvant dans le contrôle de police.
Je vois des flics partir à la quête, une femme flic revient avec un objet que nous connaissons bien Abby et moi.
- À part ce phallus disproportionné, nous n’avons rien trouvé.
Elle tient Gai-Luron dans ses mains.
- Deuxième faute inspecteur, ce phallus comme le dit votre adjointe est disproportionné, vous entrez dans l’intimité de cette jeune femme.
Y a-t-il une loi qui interdit chez soi de se servir d’un godemiché à titre personnel.
Mademoiselle ou madame, si vous avez une chatte si serrée que vous serrez de vous l’introduire, n’en dégouter pas les autres.
- Rapportez-moi ça ou vous l’avez trouvé en vitesse.
Excusez là mesdemoiselles, c’est une nouvelle, elle va entendre parler de moi dès que nous serons de retour au commissariat.
- Inspecteur, je sais que vous avez d'autres arguments pour la punir d’avoir fait une erreur dans son travail.
Un autre flic entre, il semble que ce ne soit pas la journée de l’inspecteur.
- Il y a un problème à un étage plus haut.
Une mémé semble avoir une pétoire et veut flinguer tout ce qui passe la porte.
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