COLLECTION ZONE ROUGE. Pratiques ancestrales (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Pratiques ancestrales (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Pratiques ancestrales (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous avons beau habiter dans un quartier assez chic de Paris, mon père a gardé au fond de lui ses traditions ancestrales.
Ce fut le cas pour ma sœur aîné Amira envoyé en vacances au Maroc et que nous revoyons chaque année pendant nos propres vacances.
Nous les passons dans la maison de notre grand-mère restée au pays alors que son fil rejoignait la France pour trouver du travail.
Comme tout garçon il a eu le droit de choisir sa femme et c’est pour cela que maman est née à Lamotte-Beuvron en dessous d’Orléans.
C’est là qu’il refaisait une route avec sa société de travaux publics.
Il était devant la maison de ses parents où il est entré pour aller dans sa chambre et qu’elle lui offre son pucelage subjugé par sa fière allure.
Neuf mois plus tard Amira est née suivie de mes trois autres sœurs qui voient le jour avant que son Dieu lui donne le garçon qu’il recherchait.
Son Dieu car chaque jour il fait ses prières sans pour autant nous les imposer.
Maman ayant voulu que nous soyons baptisés bien que sa famille l’ait rejeté définitivement, comme l’ensemble de notre famille.
Amira qui habite au pays comme il dit, est déjà mère de trois enfants en un peu plus de deux ans bien que son mari homme fort gentil malgré tout ait 58 ans alors qu’elle en a 21.
Voyant ce qui s’est passé avec elle, je m’ouvre de ce problème avec maman refusant d’aller comme elle en vacances sans espoir de retour.
Je souhaite être médecin et c’est en France que je veux exercer.
Aux dernières vacances Amira a réussi sous couvert d’aller faire des achats dans la vieille ville de me donner quelques conseils.

- Pour commencer Leila tu dois toujours rester vierge car si une fille est reconnue impure elle le paye toute sa vie.
J’espère que c’est encore ton cas.
- Oui, une fois ou deux des copains au lycée ont essayé de m’entraîner vers les toilettes.
J’ai toujours réussi à dire non, voulant que cela se fasse autre part que dans des chiottes.
- Reste comme cela, je vais te donner un conseil à l’oreille.

Voilà ce qu’elle me conseille.

- Deuxièmement voit avec maman pour qu’elle t’aide à rester en France en proposant à notre père de te trouver un mari de sa communauté habitant ici.
- Je lui demanderais, j’espère qu’elle aura assez d’influence sur papa.
- Soit en sûr, tu apprendras très vite que nous avons une grande influence sur nos maris.
Il nous suffit de leur dire que nous allons leur refuser notre chatte pendant huit jours, ils deviennent de gentils toutous.
Tu doubles la mise s’il persiste à faire ce qu’ils veulent sans notre avis pour en faire comme je viens de te le dire de doux toutous quémandant leur susucre.
- Tu le fais avec le tien.
- Pourquoi crois-tu que nous sommes ici seules ?
Il y a deux semaines qu’il dort dans le salon car je lui refuse ma chambre !
Je pense qu’il a les baloches qui vont commencer à toucher le sol et quand demain ou après-demain j’accepterais qu’il me rejoigne je vais jouir comme avec.

D’un coup elle s’arrête voyant qu’elle en avait trop dit.

- Tu le trompes.
- Non, je me trompe.
- Avec qui ?
- Fahim le fils des voisins, il me rejoint par la terrasse dès qu’Hachim ouvre notre boutique de fruits et légumes.
- Il te baise au-dessus de sa tête.
- Oui et cela renforce mon plaisir de le cocufier dans notre chambre.
C’est ma façon de me venger de m’avoir épousé malgré notre différence d’âge et de m’avoir fait trois enfants.
- Il met des capotes.
- Non, mais après mon troisième enfant Juliette ma copine d’enfance est venue passée une semaine et elle m’a apporté trois mois de contraceptif.
Depuis elle m’approvisionne cher mamy qui est loin de se douter que les colis qu’elle reçoit viennent des stocks de l’organisme où elle travaille et qui les distribue aux jeunes filles qui viennent la voir ayant déjà avorté une fois.
Tu sais pour elle, la vie est bien plus simple que pour nous ici.
D’ailleurs j’ai partagé avec elle Fahim qui pendant les trois derniers jours ou elle était avec moi nous à baiser toute les deux pendants.

Une nouvelle fois elle s’arrête semblant en avoir trop dit.

- Pendant ?
- Eh bien, je t’ai donné un conseil tout à l’heure pour garder ton hymen avec les garçons.
Je vais t’en donner un autre, si tu as une copine, gouine-toi avec en faisant attention qu’elle te caresse la chatte avec sa langue sans y mettre les mains, un accident est vite arrivé, deux doigts sont capables de faire autant de dégâts qu’une queue de garçon.
- Tu es donc une gouine.
- Non, je suis bisexuelle, j’aime autant les femmes que les hommes, mais ce sont les coutumes que nous imposent les personnes comme notre père qui nous amène à devenir bi-sexuelle.
Tu sais, j’ai appris à aimer, tu verras, si tu le fais, tu en seras satisfaite.

Dès que j’ai été de retour en France, j’ai suivi son conseil et mon père vient de lui dire ce que je propose !
J’ai ajouté que s’il refusait, je m’ouvrirais les veines.
J’ai toujours été sa préférée en plus de son garçon parmi les filles car je travaille bien à l’école et ainsi en me mariant en France il me gardera près de lui.
C’est à la rentrée de ma fac de médecine où je suis inscrite que je rencontre Aymeric, qui comme moi a choisi médecine et viens à la fac de Nanterre ses parents lui ayant loué un studio à deux pas de chez mes parents.
C’est dans la rue allant vers le métro que je le reconnais la chance qui a voulu qu’il s’assoie près de moi dès le premier jour.
Quinze jours tard je monte chez lui pour récupérer un copié qu’il a fait sur Internet et qui va me faire gagner du temps m’évitant de recommencer moi-même la recherche.
Pour la première fois un garçon m’embrasse.
J’aime sa langue dans ma bouche.
Il met sa main sur mon sein là encore j’accepte.
Il veut franchir une étape qui comme me l’a dit ma sœur est un interdit chez nous et j’intercepte sa main repensant en même temps à son conseil.

« Si tu as un amant, refuse qu’il te déchire l’hymen mais donne-lui ton cul.
Les garçons adorent enculer les filles et tu verras qu’il acceptera pour que tu restes pure ».

Me faire enculer, me faire enculer, me faire enculer, ces trois mots défilent en boucle dans ma tête.
Comment lui faire comprendre que si j’accepte cette pratique c’est pour rester une fille respectable et non une salope ?
En attendant pour lui prouver que j’aime son affection je m’agenouille devant lui je lui sors la queue déboutonnant son pantalon.
Je le mets dans ma bouche pour lui faire une belle fellation l’avalant en gorge profonde car même si je suis vierge je connais quelques manières de faire du bien aux garçons.
C’est la première fois que je suce mais je sais que des filles font ce que l’on appelle des gorges profondes, essayant de lui en faire une, la fusée qui sort dans ma bouche lui noie la verge et me permet pour ce jour qu’il évite d’aller plus loin.
Le lendemain dans le métro il me prend dans ses bras et je lui susurre quelques mots à l’oreille.
On arrive à la station où nous devons descendre et pour me faire comprendre qu’il a compris les motifs que je viens de lui donner sans allée jusqu’à un possible mariage imposé par mon père il me met la main aux fesses.
C’est le soir même que je me fais pénétrer ma rosette dans le même temps ou pour commencer il me broute me montrant que mon clito que j’aime stimuler moi-même depuis mon adolescence sait réagir sous sa langue.
Je suce, je me fais brouter, il m’encule, rapidement je deviens une salope surtout la fois où ce sont dans les toilettes de la fac qu’il me prend l’anus alors que j’ai les mains posées sur la lunette pas très propre.

Si Aymeric ayant accepté d’être mon amant sans me prendre la chatte me réservant pour le mari que mon père risque de me choisir m’avait demandé de tous plaquer pour vivre avec lui, même si pour gagner cette indépendance il avait fallu que je trouve des petits jobs, j’aurais accepté qu’il me déflore.
Il n’en fait rien aussi je me satisfais de cette situation ce qui me permet de finir mes années de médecine où nous sommes reçus Aymeric et moi.

Pendant tout ce temps, j’ai gardé mon hymen et quand un soir mon père me demande de rester pour dîner je comprends que le moment temps redouté est arrivé.
72 ans, déjà trois femmes qu’il a répudiées plus qu’il n’a divorcé.
Un vieux croûton bien mis par ailleurs car toute sa vie il a géré une affaire au pays avant de venir faire la même chose à Paris, il l’a vendu et vit de ses rentes dans le XVIe arrondissement.

Ma nuit de noces a été traditionnelle comme celui de ma sœur aînée à la seule différence qu’en tant que médecin j’ai donné à mon mari une petite pilule bleue.
Quand sa queue a réussi après une légère masturbation à se redresser je me suis empressé de l’introduire en moi et comme il a débandé immédiatement coup de chance, mon sang a couvert sa verge.

C’est ce soir-là lors de la fête que mon père m’avait préparée avec mon fiancé que j’ai fait connaissance de sa fille issue de son premier mariage et c’est en nous regardant intensément que j’ai repensé à ce que ma sœur m’avait dit sur les plaisirs féminins.

Dès le lendemain j’entrais dans mon nouveau cabinet acheté par mon mari conformément au contrat que mon père avait passé avec lui.
Toute la journée j’ai reçu mes nouveaux patients contente de trouver un remplaçant à leur vieux praticien parti à la retraite.
Vers 13 heures c’est un confrère que j’ai reçu qui cherchait un emploi et comme mon cabinet avait de la place pour deux je l’ai engagé après avoir simplement téléphoné à mon mari qui a été d’accord souhaitant me faire très plaisir après que je lui ai donné mon pucelage à presque 30 ans.
À 13 heures 30 après son accord, Aymeric m’enfilait la chatte pour la première fois depuis qu’il avait accepté de me sodomiser et c’est lui qui m’a fait jouir.
Je dirais même mieux c’est lui qui m’a fait atteindre l’orgasme.
Chaque semaine, j’offre à mon mari une pilule bleue dont l’effet semble inexistant car c’est un cachet de même grosseur et de couleur considérée comme un placébo.
Presque tous les jours, Aymeric voulant se rattraper des années ou mon seul cul lui était offert me baise et ce qui devait arriver arriva !
J’ai satisfait mon mari et mon père à qui j’ai appris que mon vieux croûton avait réussi à me mettre enceinte.
Ce fut la fête à la casbah, pardon à la maison car il avait invité tous ses amis et surtout le futur papa.

Entre-temps, Yasmina est venue me consulter pour une démangeaison permanente de sa vulve.
C’est sans médicament mais seulement avec ma langue et mes doigts nous apprenant à nous fister l’une en même temps que l’autre que nous sommes devenues amantes.
Je pouvais lui introduire toute ma main, mariée elle aussi à un vieil homme qui était mort cinq ans après son mariage et son dépucelage.
Un jour Aymeric est entré dans mon bureau alors que nous étions sur le canapé qui meublait ma pièce de travail.
Nous voyant nues toutes les deux, je lui ai fait signe d’approcher.
Je lui ai sorti la verge le faisant entrer dans le cul de ma belle-fille sans aucun problème.
Elle nous a avoué avoir pratiqué la même méthode plus jeune pour se marier vierge.

J’ai un garçon qui fait le bonheur de mon père alors qu’il y a 9 chances sur 10 qu’il soit l’enfant d’Aymeric ayant d’ailleurs les mêmes yeux bleus que son papa.
Depuis peu je suis veuve et avec mes deux compères nous formons un ménage à trois.
Pour éviter les quolibets, j’ai engagé ma maîtresse comme nounou ce qui nous permet de vivre à temps complet dans le même logement.
Ma chatte et mon cul sont tout le temps stimulés et je prends la pilule pour éviter que des questions ne nous soient posées si j’étais de nouveau enceinte.
Le plus dur a été de trouver une solution pour Aymeric.
Il m’a rapidement épousé étant devenu une femme libre de la tutelle de mon père.
Ça nous permet de vivre dans la maison de mon mari qu’il a eu la délicatesse de me faire cadeau à sa mort n’ayant fait aucun testament ou contrat de mariage.
Bref grâce à ma sœur qui est de retour en France après avoir été répudié je suis une femme comblée.

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