COLLECTION ZONE ROUGE. Promenade en montagne (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Promenade en montagne (2/2)
• Ma chérie notre excursion en montagne dans huit jours est prête, j’ai fini le tracé de ce que nous allons faire.
C’est ce que j’ai proposé à Sophia ma femme lorsque je fais le plan de nos vacances.
• Mettons-le dans le fauteuil, sa femme commence à avoir chaud aux miches.
C’est ce que Jules et François père et fils, qui prononce ces mots alors qu’après avoir bu une mixture de leur composition je suis figé sur moi-même regardant impuissant ma femme se comporter comme une pute.
Je sais qu’elle est chaude du cul, elle me l’a prouvée cet après-midi jusqu’avant l’orage à la cascade où nous avons baisé sur une dalle de pierre.
Que veulent-ils dire, mais pourquoi je suis comme la dalle de pierre de cet après-midi ?
C’est vrai, Sophia commence à se tortiller comme si elle dansait seule.
C’est très sensuel, mais il faut que je l’arrête.
• Monte sur la table Sophia et bouge ton cul avant de faire un strip, tu as chaud ma salope.
• Oui, ma chatte est en feu, j’adore.
C’est impossible, j’ai toute ma tête donc je suis certain que c’est les infusions d’herbes qui sont la cause de tout cela.
Le fait qu’ils nous aient fait boire deux boissons différentes me prouve que j’ai raison.
• Regarde l’air de ce pauvre con, il a dû comprendre que nos boissons étaient la cause de ce qui vous arrive.
« Arrête Sophia, nous avons affaire à des malades, salope, tu les laisses te monter sur la table et tu danses en te caressant la chatte à moins de deux mètres de mes yeux.
Non, laisse les boutons de te robe, tu es à moi et j’ai peur que ce soit eux qui profitent de l’échauffement de ton corps. »
Une nouvelle fois quand les boutons s’ouvrent un à un, bien sûr tout ce que j’ai pensé est resté au bord de mes lèvres.
• Sophia, tu as un joli cul, tu nous le montres !
« Bien sûr qu’elle va vous le faire voir, ma femme était une pute qui s’ignorait et que vous avez révélée avec la saloperie que vous lui avez fait boire. »
Un à un je vois ma déchéance s’accentuer jusqu’à ce qu’elle finisse nue.
Il l’aide à descendre, ils ont ouvert leur braguette et présentent leur verge à Sophia qui s’empresse de les sucer.
Inutile de lui dire d’arrêter, je sais que je suis dans l’impossibilité d’exprimer mes pensées.
Devenir cocu, sans l’avoir voulu et devant vos yeux, j’ai envie qu’ils pleurent, mais même ça sa m’est interdit.
Une vraie poupée gonflable, Sophia est leur objet.
• François, allonge-toi sur la table comme chaque fois que nous avons la chance qu’un orage nous amène des marcheurs ici.
La dernière fois, Pierre, je vais t’avouer quelque chose qui va te faire marrer.
C’étaient deux gouines, nous leur avions fait boire la même mixture secrète de famille qu’à Sophia.
Deux suceuses hors pair qui sont restées cinq jours jusqu’à ce que la bouteille soit vide.
Un coup de tonnerre devrait me faire sursauter, intérieurement je sens et surtout je vois l’éclair sans pour autant réagir, quelle merde nous ont-ils fait boire ?
Un peu à droite, un coup à gauche, comment peut-elle sucer ces deux bites devant moi.
Comme l’a demandé son père François se dirige vers la table et l’empoignant d’une main ferme et l’assoit.
« Je t’en supplie, évite de le suivre, dans ta tromperie, arrête-toi là ! »
Comme l’ont évoqué nos suborneurs, je devrais boire le calice jusqu’à la lie, mais pourquoi ?
Pourquoi nous, pourquoi notre couple, que veulent-ils démontrer ?
Peut-être qu’un jour j’aurais la réponse.
Je suis assis dans l’un des deux fauteuils râpés et crasseux devant l’âtre, je vois les buches crépitées, mais si l’intérieur de mon corps réagit, extérieurement aucune sensation de chaleur pour m’atteindre.
Face à moi au sol, une peau de bête, ce doit être le loup qu’ils ont tué et qu’ils nous ont fait manger.
Ils avaient une bonne tête, mais une tête de loup.
Dois-je dire que François a sa bouche sur la chatte de ma femme qui a les jambes écartées, elle exprime ce qu’elle ressent, les oh, les ah ! les encore deviennent de plus en plus rapprochés.
J’ai envie de me mettre les mains sur les oreilles, mais bien sûr ça m’est impossible.
Il quitte sa chatte et met son sexe dans le sexe de celui que je pensais qu’il m’appartenait depuis que je lui ai passé une bague au doigt.
Pendant le repas entre les poils de la barbe de Jules, je voyais les chicots noirs qui tapissent sa bouche.
Il approche et pendant que son fils la baise, elle l’embrasse à pleine bouche.
Sophia, elle très portée sur l’hygiène des dents, comment peut-elle mettre sa langue dans ce puits de microbes, mais elle semble apprécier le traitement que ces deux hommes lui réservent.
On dirait que l’emplacement de mon fauteuil a été calculé pour que je puisse tout voir de ma déchéance sans tourner ma tête et même mes yeux, j’ai une image fixe de ce qui m’arrive.
Je devrais dire, qui nous arrive, car je sais que Sophia comme moi nous sommes drogués pour accepter tout ce qu’elle accepte.
• Conduisons là sur la peau du loup, on va se la finir ensemble comme nous avons fini les deux dernières salopes qui sont venues quémander notre aide un soir d’orage.
Qu’est-ce qu’elles croyaient ces putes, du fait qu’elles aimaient se bouffer la chatte, elles allaient nous échapper ?
Ils doivent parler des gouines, François quitte la chatte de Sophia avec sa bouche, elle le suit comme les moutons vont à l’abattoir sans se révolter avant de s’allonger sur la peau du loup.
Je vois nettement ma femme écarter les lèvres de son vagin et s’empaler millimètres par millimètre jusqu’à ce que ses fesses reposent sur les couilles du fils.
« Vous êtes fous, évitez-moi ça !
Sophia dit leur que tu refuses de te faire sodomiser !
Souvient toi, j’ai essayé une fois, j’ai pu mettre quelques millimètres de mon gland lorsque je te prenais en levrette.
J’ai été à deux doigts de te perdre et que tu fasses ta valise pour retourner chez ta mère. »
Bien sûr, partie dans ses délires sexuels, elle est loin de m’entendre.
Lorsque Jules vient sur ses arrières, je sais que je vais atteindre le niveau le plus haut qu’une femme mariée et aimée puisse faire atteindre à son cocu de mari.
Deux sentiments s’opposent à moi, être le premier à lui avoir cassé le cul et fermer les yeux pour éviter de voir jusqu’à où je peux accepter ma déchéance.
La bite de Jules qu’il lui enfonce d’un seul coup précis et mes yeux figés ouverts, empêche et l’un et l’autre alors quand elle se met à jouir comme la salope qu’ils ont su faire d’elle.
J’espère secrètement que l’épreuve que je subis va bientôt se terminer.
Trois, une femme deux hommes, trois dans le grondement du tonnerre au plus fort de l’orage se mettent à hurler leur plaisir comme devait le faire le loup sur lequel ils se vautrent dont la tête me regarde.
Ma déchéance est complète, j’ignore si d’autre chose se passe entre ces trois fêlés du cul, car d’un coup je me retrouve dans un trou noir.
• Chéri, peux-tu me dire ce qui nous est arrivé hier au soir, après que nous ayons bu le verre que nos maîtres de maison nous ont fait boire.
• Tu te fiches de moi, tu t’es comportée comme une pute, finissant par te donner au père et au fils en double pénétration.
• Mon chéri, je t’assure que c’est contre mon gré que j’ai fait ce que tu sembles me reprocher.
Lorsque j’ai repris pied à ton côté sur ce lit plus que crade, j’avais mal aux fesses, j’ai passé un doigt et j’ai vu que c’était du sperme.
Ils ont abusé de moi, pourquoi les as-tu laissé faire ?
• Parce que moi aussi, ils m’ont drogué et j’ai subi tout ce que tu as subi sans pouvoir intervenir.
Je me lève, dans la cuisine, le feu est éteint, la marmite étant inexistante, et les cendres sont froides.
L’orage est passé, la bergerie est vide, ils semblent que Jules et François se soient envolés.
Même les bouteilles sont introuvables, ils ont dû emporter le fruit de ce qui leur a permis d’abuser de nous.
Nous reprenons la route vers le village que je vois indiqué sur la carte à plus de deux kilomètres.
Le café du village est ouvert, des hommes sont au bar déjà au vin blanc.
• Bonjour messieurs, puis-je vous poser une question sans vous déranger ?
• Bien sûr si nous pouvons vous répondre !
• Ou se trouve la gendarmerie la plus proche ?
• À la ville à dix kilomètres d’ici, pouvons-nous vous demander pourquoi vous souhaitez voir la maréchaussée ?
• Hier au soir, lorsque l’orage a éclaté, nous nous sommes réfugiés dans la ferme au-dessus du village, chez Jules, le père et François le fils.
Ils nous ont drogués avec des liqueurs de leur fabrication et toute la soirée, je les ai vus se servir sexuellement de ma femme contre son gré.
• Et les gars, écoutez ça, est-ce moi qui suis déjà bourré à 8 heures du matin ?
Monsieur prétend que sa femme a été violée par le père Jules et son fils François.
Vous vous souvenez des deux salopes l’an passé qui se plaignait d’à peu près la même chose !
Ils vont se marrer à la gendarmerie, la ferme du père Jules a brûlé il y a vingt ans, un soir d’orage.
On a jamais su, si c’était lui qui avait mis le feu volontairement après que Georgina sa femme se soit tirée avec le facteur ou si c’est l’orage qui avait frappé.
Ça fait vingt ans que le père et le fils sont morts brûlés vifs ainsi que tout les montons.
Allez voir, il reste un tas de gravats de plus en plus repris par la nature, comprenez que nous pouvons trouver votre récit bien étrange.
Nous avons quitté le village, je voulais remonter jusqu’à la bergerie, mais Sophia sous couvert que nous risquerions de louper notre train a refusé de revenir en arrière.
Neuf mois plus tard, elle donnait naissance à un garçon.
La naissance nous a obligé à changer nos lieux de vacances.
C’est à la mer que nous sommes cette année, Julien étant dans son landau et moi les pieds dans l’eau.
Il reste un doute au fond de moi, la femme qui partage ma vie est-elle une salope qui s’est donnée volontairement à ces deux hommes, père et fils, un soir d’orage ou une victime comme moi d’un étrange phénomène ?
C’est ce que j’ai proposé à Sophia ma femme lorsque je fais le plan de nos vacances.
• Mettons-le dans le fauteuil, sa femme commence à avoir chaud aux miches.
C’est ce que Jules et François père et fils, qui prononce ces mots alors qu’après avoir bu une mixture de leur composition je suis figé sur moi-même regardant impuissant ma femme se comporter comme une pute.
Je sais qu’elle est chaude du cul, elle me l’a prouvée cet après-midi jusqu’avant l’orage à la cascade où nous avons baisé sur une dalle de pierre.
Que veulent-ils dire, mais pourquoi je suis comme la dalle de pierre de cet après-midi ?
C’est vrai, Sophia commence à se tortiller comme si elle dansait seule.
C’est très sensuel, mais il faut que je l’arrête.
• Monte sur la table Sophia et bouge ton cul avant de faire un strip, tu as chaud ma salope.
• Oui, ma chatte est en feu, j’adore.
C’est impossible, j’ai toute ma tête donc je suis certain que c’est les infusions d’herbes qui sont la cause de tout cela.
Le fait qu’ils nous aient fait boire deux boissons différentes me prouve que j’ai raison.
• Regarde l’air de ce pauvre con, il a dû comprendre que nos boissons étaient la cause de ce qui vous arrive.
« Arrête Sophia, nous avons affaire à des malades, salope, tu les laisses te monter sur la table et tu danses en te caressant la chatte à moins de deux mètres de mes yeux.
Non, laisse les boutons de te robe, tu es à moi et j’ai peur que ce soit eux qui profitent de l’échauffement de ton corps. »
Une nouvelle fois quand les boutons s’ouvrent un à un, bien sûr tout ce que j’ai pensé est resté au bord de mes lèvres.
• Sophia, tu as un joli cul, tu nous le montres !
« Bien sûr qu’elle va vous le faire voir, ma femme était une pute qui s’ignorait et que vous avez révélée avec la saloperie que vous lui avez fait boire. »
Un à un je vois ma déchéance s’accentuer jusqu’à ce qu’elle finisse nue.
Il l’aide à descendre, ils ont ouvert leur braguette et présentent leur verge à Sophia qui s’empresse de les sucer.
Inutile de lui dire d’arrêter, je sais que je suis dans l’impossibilité d’exprimer mes pensées.
Devenir cocu, sans l’avoir voulu et devant vos yeux, j’ai envie qu’ils pleurent, mais même ça sa m’est interdit.
Une vraie poupée gonflable, Sophia est leur objet.
• François, allonge-toi sur la table comme chaque fois que nous avons la chance qu’un orage nous amène des marcheurs ici.
La dernière fois, Pierre, je vais t’avouer quelque chose qui va te faire marrer.
C’étaient deux gouines, nous leur avions fait boire la même mixture secrète de famille qu’à Sophia.
Deux suceuses hors pair qui sont restées cinq jours jusqu’à ce que la bouteille soit vide.
Un coup de tonnerre devrait me faire sursauter, intérieurement je sens et surtout je vois l’éclair sans pour autant réagir, quelle merde nous ont-ils fait boire ?
Un peu à droite, un coup à gauche, comment peut-elle sucer ces deux bites devant moi.
Comme l’a demandé son père François se dirige vers la table et l’empoignant d’une main ferme et l’assoit.
« Je t’en supplie, évite de le suivre, dans ta tromperie, arrête-toi là ! »
Comme l’ont évoqué nos suborneurs, je devrais boire le calice jusqu’à la lie, mais pourquoi ?
Pourquoi nous, pourquoi notre couple, que veulent-ils démontrer ?
Peut-être qu’un jour j’aurais la réponse.
Je suis assis dans l’un des deux fauteuils râpés et crasseux devant l’âtre, je vois les buches crépitées, mais si l’intérieur de mon corps réagit, extérieurement aucune sensation de chaleur pour m’atteindre.
Face à moi au sol, une peau de bête, ce doit être le loup qu’ils ont tué et qu’ils nous ont fait manger.
Ils avaient une bonne tête, mais une tête de loup.
Dois-je dire que François a sa bouche sur la chatte de ma femme qui a les jambes écartées, elle exprime ce qu’elle ressent, les oh, les ah ! les encore deviennent de plus en plus rapprochés.
J’ai envie de me mettre les mains sur les oreilles, mais bien sûr ça m’est impossible.
Il quitte sa chatte et met son sexe dans le sexe de celui que je pensais qu’il m’appartenait depuis que je lui ai passé une bague au doigt.
Pendant le repas entre les poils de la barbe de Jules, je voyais les chicots noirs qui tapissent sa bouche.
Il approche et pendant que son fils la baise, elle l’embrasse à pleine bouche.
Sophia, elle très portée sur l’hygiène des dents, comment peut-elle mettre sa langue dans ce puits de microbes, mais elle semble apprécier le traitement que ces deux hommes lui réservent.
On dirait que l’emplacement de mon fauteuil a été calculé pour que je puisse tout voir de ma déchéance sans tourner ma tête et même mes yeux, j’ai une image fixe de ce qui m’arrive.
Je devrais dire, qui nous arrive, car je sais que Sophia comme moi nous sommes drogués pour accepter tout ce qu’elle accepte.
• Conduisons là sur la peau du loup, on va se la finir ensemble comme nous avons fini les deux dernières salopes qui sont venues quémander notre aide un soir d’orage.
Qu’est-ce qu’elles croyaient ces putes, du fait qu’elles aimaient se bouffer la chatte, elles allaient nous échapper ?
Ils doivent parler des gouines, François quitte la chatte de Sophia avec sa bouche, elle le suit comme les moutons vont à l’abattoir sans se révolter avant de s’allonger sur la peau du loup.
Je vois nettement ma femme écarter les lèvres de son vagin et s’empaler millimètres par millimètre jusqu’à ce que ses fesses reposent sur les couilles du fils.
« Vous êtes fous, évitez-moi ça !
Sophia dit leur que tu refuses de te faire sodomiser !
Souvient toi, j’ai essayé une fois, j’ai pu mettre quelques millimètres de mon gland lorsque je te prenais en levrette.
J’ai été à deux doigts de te perdre et que tu fasses ta valise pour retourner chez ta mère. »
Bien sûr, partie dans ses délires sexuels, elle est loin de m’entendre.
Lorsque Jules vient sur ses arrières, je sais que je vais atteindre le niveau le plus haut qu’une femme mariée et aimée puisse faire atteindre à son cocu de mari.
Deux sentiments s’opposent à moi, être le premier à lui avoir cassé le cul et fermer les yeux pour éviter de voir jusqu’à où je peux accepter ma déchéance.
La bite de Jules qu’il lui enfonce d’un seul coup précis et mes yeux figés ouverts, empêche et l’un et l’autre alors quand elle se met à jouir comme la salope qu’ils ont su faire d’elle.
J’espère secrètement que l’épreuve que je subis va bientôt se terminer.
Trois, une femme deux hommes, trois dans le grondement du tonnerre au plus fort de l’orage se mettent à hurler leur plaisir comme devait le faire le loup sur lequel ils se vautrent dont la tête me regarde.
Ma déchéance est complète, j’ignore si d’autre chose se passe entre ces trois fêlés du cul, car d’un coup je me retrouve dans un trou noir.
• Chéri, peux-tu me dire ce qui nous est arrivé hier au soir, après que nous ayons bu le verre que nos maîtres de maison nous ont fait boire.
• Tu te fiches de moi, tu t’es comportée comme une pute, finissant par te donner au père et au fils en double pénétration.
• Mon chéri, je t’assure que c’est contre mon gré que j’ai fait ce que tu sembles me reprocher.
Lorsque j’ai repris pied à ton côté sur ce lit plus que crade, j’avais mal aux fesses, j’ai passé un doigt et j’ai vu que c’était du sperme.
Ils ont abusé de moi, pourquoi les as-tu laissé faire ?
• Parce que moi aussi, ils m’ont drogué et j’ai subi tout ce que tu as subi sans pouvoir intervenir.
Je me lève, dans la cuisine, le feu est éteint, la marmite étant inexistante, et les cendres sont froides.
L’orage est passé, la bergerie est vide, ils semblent que Jules et François se soient envolés.
Même les bouteilles sont introuvables, ils ont dû emporter le fruit de ce qui leur a permis d’abuser de nous.
Nous reprenons la route vers le village que je vois indiqué sur la carte à plus de deux kilomètres.
Le café du village est ouvert, des hommes sont au bar déjà au vin blanc.
• Bonjour messieurs, puis-je vous poser une question sans vous déranger ?
• Bien sûr si nous pouvons vous répondre !
• Ou se trouve la gendarmerie la plus proche ?
• À la ville à dix kilomètres d’ici, pouvons-nous vous demander pourquoi vous souhaitez voir la maréchaussée ?
• Hier au soir, lorsque l’orage a éclaté, nous nous sommes réfugiés dans la ferme au-dessus du village, chez Jules, le père et François le fils.
Ils nous ont drogués avec des liqueurs de leur fabrication et toute la soirée, je les ai vus se servir sexuellement de ma femme contre son gré.
• Et les gars, écoutez ça, est-ce moi qui suis déjà bourré à 8 heures du matin ?
Monsieur prétend que sa femme a été violée par le père Jules et son fils François.
Vous vous souvenez des deux salopes l’an passé qui se plaignait d’à peu près la même chose !
Ils vont se marrer à la gendarmerie, la ferme du père Jules a brûlé il y a vingt ans, un soir d’orage.
On a jamais su, si c’était lui qui avait mis le feu volontairement après que Georgina sa femme se soit tirée avec le facteur ou si c’est l’orage qui avait frappé.
Ça fait vingt ans que le père et le fils sont morts brûlés vifs ainsi que tout les montons.
Allez voir, il reste un tas de gravats de plus en plus repris par la nature, comprenez que nous pouvons trouver votre récit bien étrange.
Nous avons quitté le village, je voulais remonter jusqu’à la bergerie, mais Sophia sous couvert que nous risquerions de louper notre train a refusé de revenir en arrière.
Neuf mois plus tard, elle donnait naissance à un garçon.
La naissance nous a obligé à changer nos lieux de vacances.
C’est à la mer que nous sommes cette année, Julien étant dans son landau et moi les pieds dans l’eau.
Il reste un doute au fond de moi, la femme qui partage ma vie est-elle une salope qui s’est donnée volontairement à ces deux hommes, père et fils, un soir d’orage ou une victime comme moi d’un étrange phénomène ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire complètement idiote .l auteur devait lui aussi avoir bu de la mixture du père Jules.