COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison III (8/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison III (8/9)
Grande, fine et étonnante.
C’est ainsi que je pourrais définir Tatie Danielle, la vieille femme qui a accepté de nous prendre en stop afin de nous rapprocher de notre but, à savoir Avignon pour le festival annuel.
Avignon, du temps de mon aveuglement procuré par le fric de mes parents, j’ai toujours pensé qu’un jour j’irais y passer quelques jours, mais dans le confort d’un hôtel de haut luxe.
Le destin en a décidé autrement, Brutus gros chien pataud et avec sa grosse mâchoire en a décidé autrement en venant à moi sur la place du centre Beaubourg.
C’est lui qui semble m’avoir choisi et présenter à Rocco son maître qui dès le lendemain à cause des éléments s’étant déclenché dans le ciel parisien contre toute attente m’a dépucelé.
Est-ce le feu du ciel qui a embrasé en moi un feu qui m’a dévoré emportant mon hymen.
Cet hymen que la bienséance familiale voulait que je garde pour le soir de mes noces avec un fils de bonne famille afin d’accroitre la fortune des uns et des autres.
Je suis née avec une petite cuillère en argent dans la bouche, mais c’est la queue de Rocco que je choisis depuis cet orage aussi bien dans ma bouche que dans ma chatte.
Avec celui que j’appelle mon homme, je décide de tout plaquer.
Fini Prudence la petite fille sage.
Après l’apprentissage souvent difficile de la route, comme je l’ai dit à Tatie Danielle avant d’aller fumer un joint, j’assiste à la naissance de l’iroquoise.
L’iroquoise suite à la transformation que je subis dans le squat parisien.
Sur la chaîne 2 où Tatie Danielle a voulu voir les infos, je vois un reportage, la jeune femme victime d’un enlèvement s’avère être une fugueuse.
Certainement mon père qui a pensé au début à un enlèvement lorsque j’ai été absent la première nuit avec prise de rançon vite transformée lorsqu’il a vu que j’avais volé l’argent qu’il gardait dans son bureau.
Je viens de découvrir en peu de temps que chacun a en lui une zone d’ombre.
J’en veux pour preuve mes parents qui chacun leur tour se trompent avec notre bonne.
Rocco, que j’aime et qui semble m’apprendre la route en me cachant des zones d’ombre, la première, pourquoi comme il l’a dit, il y a deux ans, il est devenu routard.
Et enfin Tatie Danielle, semblant être une vieille dame ayant eu une vie calme et tranquille a vécu le mouvement hippie à San Francisco dans les années 60.
Rentrée dans sa salle à manger, elle me montre un album de photos de ses souvenirs lointains.
Est-ce la beuh, elle s’exprime, comme je pourrais le faire depuis que j’ai jeté ma vertu, crûment surtout pour cette vieille femme que je découvre indigne.
• Je m’étais fait beaucoup enfiler depuis que j’étais sur le sol américain, mais quand Christian m’a fait l’amour, étais-je amoureuse ?
Il m’a fait jouir comme jamais de ma vie et après son départ, j’ai eu du plaisir, des orgasmes, mais sans envoler comme avec lui.
• Non, je suis rentrée cinq ans plus tard, j’étais camée jusqu’au bout des ongles.
J’ai profité d’un vieux salaud qui aimait que je le laisse me prendre comme bon lui semble.
Bizarrement, il vendait des extincteurs français dans cette ville de San Francisco traumatisée par l’incendie ayant détruit la ville en 1851, 120 ans avant.
Une fois en France, je l’ai envoyé promener et je suis rentrée en désintoxication.
Mon marin, je me suis renseignée à Toulon lors d’un de mes voyages, il avait quitté la marine, en 1973 et j’en suis resté là.
S’il est encore en vie, j’ignore où il est et doit avoir comme moi plus de 70 ans.
C’est lors de cette cure que j’ai rencontré mon mari et que je suis venue à Dijon ou je suis restée jusqu’à aujourd’hui où tu as fait resurgir bien des choses de mon passé.
J’ai feuilleté l’album, la plupart avec ce marin, elle avec des robes à fleurs et aussi dans ses cheveux.
Sur l’une d’elles elle a une guitare qu’elle gratte.
• Tu joues de la guitare !
• Je gratouillais et je chantais les chansons à la mode, en France, Johnny mon idole chantait « le pénitencier », mais comme j’avais laissé ma guitare à Frisco, en France, j’ai tout arrêté.
Je me lève et je vais prendre l’instrument de Rocco.
Elle essaye quelques accords, retend quelques cordes et se met à chanter.
Ça sonne, je me lève, Rocco fait son retour avec Brutus.
Chacun leur tour ils prennent la guitare, dommage que je sois le seul public, quoique je chante aussi.
Il est minuit quand Tatie Danielle se dit fatiguée et veux aller se coucher.
Elle nous apporte des serviettes pour aller dans la salle de bain.
Nous la laissons passer devant avant d’y aller à notre tour.
Brutus est dans la cuisine avec ses croquettes et son eau, il a compris qu’ici, c’est mémé qui commande et se couche en chien de fusil.
Je rejoins Rocco qui est dans le bain qu’il a fait couler, j’enlève le peu que j’ai sur moi et je le rejoins.
Un bon bain, c’est divin, le premier depuis mon escapade, même si l’eau est froide, se laver la chatte avec du vrai savon, rien de meilleur.
• Elle est sympa, cette femme, mais demain, comment vas-tu faire quand elle va te demander de la guider pour qu’elle nous dépose devant chez ta grand-mère ?
La seule chose que je t’ai dite, c’est que j’avais un point d’attache à Beaune et que nous nous y rendrons.
Voilà comment nous ferons lorsque nous serons chez Anna !
En attendant je bande, viens t’empaler, évite de réveiller la tante, à son âge on va éviter de l’offusquer.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Tatie s’offusquer, s’il savait.
La dernière fois que j’ai pris un bain préparé par Alice, avec de l’eau chaude et des sels.
La dernière fois que j’ai pris ce bain avec un savon hors de prix comme tout ce que maman faisait acheter à notre bonne, pour avoir la peau plus douce, j’étais encore vierge.
Celui de l’après comme dans l’étang et la Seine, malgré l’eau froide, Rocco bande comme il sait si bien le faire chaque fois qu’il me fait l’amour.
Il avance vers le milieu de la baignoire, je comprends que je dois passer mes jambes de chaque côté et le prenant par le cou, je m’empale sur son sexe.
Il est drôle Rocco, comment rester discrète quand on se sent perforé jusqu’aux amygdales par la seule verge qui est entrée en vous.
C’est sa bouche qui me permet de rester assez soft lorsque j’ai mon orgasme dévastateur.
Mon utérus satisfait de sa dose de sperme sans risque de conséquence, tous les matins je prends ma pilule.
Nous rejoignons la salle, Tatie a dû venir pendant que nous étions dans notre bain, car il y a une paire de draps sur le canapé.
Je vois Rocco prendre la table basse du salon et faire de la place.
Je m’attends à ce qu’il ouvre le canapé, mais il récupère le duvet dans son sac à dos et l’allonge sur le tapis.
Il voit mon étonnement.
• La dernière fois que j’ai voulu dormir sur un matelas, toute la nuit j’ai cru dormir sur des montagnes russes.
Chaque fois que je bougeais, j’avais l’impression que j’allais me casser la gueule.
J’ai fini sur la carpette et là j’ai pu m’endormir.
C’est la vie de routarde, Rocco est tout pour moi, mon sexe sur pied et celui qui m’apprend à éviter les erreurs.
Pourtant, j’ai du mal à m’endormir.
J’ai eu ma dose de sexe, je devrais dormir comme un bébé, mais il me manque quelque chose.
Il doit le sentir quand je sens sa présence, Brutus doit s’ennuyer et je dois lui manquer quand il vient se lover contre moi.
Sa chaleur me réconforte et surtout son odeur, quand il lâche une flatulence, la flatulence.
Pour les croquettes, c’est fichu, il va falloir en acheter une autre marque.
Il fait jour, Rocco dort encore, Brutus a dû retourner à sa place avant le levé de tatie que j’entends dans sa cuisine avec en prime une bonne odeur de café.
Je me lève et je vais récupérer mon short sur le coin de la table, quand mon œil se trouve attiré par une photo.
Un homme, sa femme et quatre enfants.
L’homme donc son fils travail à la banque de papa, sa femme, je la connais, je l’ai déjà vue chez un parfumeur où j’achetais mes parfums.
Je cherchais quelque chose de discret, Sara, c’était son nom marqué sur sa blouse.
Elle avait été de bon conseil, mais papa avait dû voir le prix que j’avais payé avec l’argent de poche que je recevais chaque mois.
Il m’avait fait une leçon sur l’argent facile a dépenser, mais dur à gagner.
Cerise sur le gâteau, la fille ainée je la connais bien, elle s’appelle Ludivine et est dans ma classe.
À cette heure, elle doit avoir passé son bac de Français et attendre le résultat stressant malgré que comme moi elle est une première de classe.
Ce qui est sûr, c’est qu’elle fera partie des petites filles soumises à papa et maman et se mariera vierge pour faire honneur à sa famille.
Ludivine a une grand-mère, à la limite d’avoir été une pute, au moins une grande salope et elle sera l’archétype de la parfaite épouse.
• Bonjour tatie, tu as bien dormi !
• Comme un bébé, mais toi, en passant j’ai vu que tu as dormi par terre, c’est vrai ça m’est arrivé souvent à Frisco, dans ces années-là, nous dormions là où nous trouvions des garçons à notre goût.
• Faite l’amour surtout pas, la guerre.
• Tu as raison, profitez-en les jeunes, le temps passe vite et à la fin, il faut éviter de regretter.
• Regrettes-tu ?
• Pas le moindre du monde.
J’ai eu une vie intense et palpitante, ma jeunesse en famille sans grand problème.
Mon départ pour New York malgré la trahison de mon premier amour.
Ma traversée de l’Amérique sur la moto de John et toutes mes turpitudes avec une kyrielle de mecs dont Christian point d’orgue à ma vie sexuelle.
• Et en France, comment a été ta vie ?
• Fade comparé à ma jeunesse.
Rentré en France, dès que j’ai eu largué mon gros vendeur d’extincteur, j’ai trainé un peu à Paris.
J’étais reparti pour recommencer ma vie de débauche, le sexe tu verras plus on le pratique plus on a envie de le pratiquer.
Hélas, je suis tombée enceinte de Victor.
C’est lui que j’ai en photo sur mon buffet dans la salle.
Tu l’as vue !
Rocco a dit, il faut savoir improviser.
• Non !
• Je te la montrerai et aussi Ludivine, la prunelle de mes yeux, c’est aujourd’hui son résultat à son bac de Français.
Je vais te conduire chez ta grand-mère et après je passerai voir ma sœur cette sainte nitouche, toute sa vie contrairement à moi, elle a vécu une vie presque de none.
Je reviendrais bien vite pour recevoir leur coup de fil.
J’ai envie, de lui dire, d’éviter de stresser, que son bac, elle l’a déjà avec ses contrôles continus, mais je me tais ce serait risquer de dévoiler qui je suis.
• Thé ou café ?
• T....
• Café, sur la route, le thé, ça fait pisser et ça retarde notre marche.
Pourtant aujourd’hui, voiture et repos chez Anna, j’ai hâte de la rencontrer, mais si Rocco dit café.
● Oui, café, de toute façon, le thé j’aime modérément.
Je suis en short, mes seins nus, Rocco est en jeans, plaquette de chocolat elles aussi dénudées.
Je suis fière qu’il soit mon homme et que je lui appartienne.
C’est le moment que Brutus en profite pour lâcher un pet retentissant et surtout odorant...
C’est ainsi que je pourrais définir Tatie Danielle, la vieille femme qui a accepté de nous prendre en stop afin de nous rapprocher de notre but, à savoir Avignon pour le festival annuel.
Avignon, du temps de mon aveuglement procuré par le fric de mes parents, j’ai toujours pensé qu’un jour j’irais y passer quelques jours, mais dans le confort d’un hôtel de haut luxe.
Le destin en a décidé autrement, Brutus gros chien pataud et avec sa grosse mâchoire en a décidé autrement en venant à moi sur la place du centre Beaubourg.
C’est lui qui semble m’avoir choisi et présenter à Rocco son maître qui dès le lendemain à cause des éléments s’étant déclenché dans le ciel parisien contre toute attente m’a dépucelé.
Est-ce le feu du ciel qui a embrasé en moi un feu qui m’a dévoré emportant mon hymen.
Cet hymen que la bienséance familiale voulait que je garde pour le soir de mes noces avec un fils de bonne famille afin d’accroitre la fortune des uns et des autres.
Je suis née avec une petite cuillère en argent dans la bouche, mais c’est la queue de Rocco que je choisis depuis cet orage aussi bien dans ma bouche que dans ma chatte.
Avec celui que j’appelle mon homme, je décide de tout plaquer.
Fini Prudence la petite fille sage.
Après l’apprentissage souvent difficile de la route, comme je l’ai dit à Tatie Danielle avant d’aller fumer un joint, j’assiste à la naissance de l’iroquoise.
L’iroquoise suite à la transformation que je subis dans le squat parisien.
Sur la chaîne 2 où Tatie Danielle a voulu voir les infos, je vois un reportage, la jeune femme victime d’un enlèvement s’avère être une fugueuse.
Certainement mon père qui a pensé au début à un enlèvement lorsque j’ai été absent la première nuit avec prise de rançon vite transformée lorsqu’il a vu que j’avais volé l’argent qu’il gardait dans son bureau.
Je viens de découvrir en peu de temps que chacun a en lui une zone d’ombre.
J’en veux pour preuve mes parents qui chacun leur tour se trompent avec notre bonne.
Rocco, que j’aime et qui semble m’apprendre la route en me cachant des zones d’ombre, la première, pourquoi comme il l’a dit, il y a deux ans, il est devenu routard.
Et enfin Tatie Danielle, semblant être une vieille dame ayant eu une vie calme et tranquille a vécu le mouvement hippie à San Francisco dans les années 60.
Rentrée dans sa salle à manger, elle me montre un album de photos de ses souvenirs lointains.
Est-ce la beuh, elle s’exprime, comme je pourrais le faire depuis que j’ai jeté ma vertu, crûment surtout pour cette vieille femme que je découvre indigne.
• Je m’étais fait beaucoup enfiler depuis que j’étais sur le sol américain, mais quand Christian m’a fait l’amour, étais-je amoureuse ?
Il m’a fait jouir comme jamais de ma vie et après son départ, j’ai eu du plaisir, des orgasmes, mais sans envoler comme avec lui.
• Non, je suis rentrée cinq ans plus tard, j’étais camée jusqu’au bout des ongles.
J’ai profité d’un vieux salaud qui aimait que je le laisse me prendre comme bon lui semble.
Bizarrement, il vendait des extincteurs français dans cette ville de San Francisco traumatisée par l’incendie ayant détruit la ville en 1851, 120 ans avant.
Une fois en France, je l’ai envoyé promener et je suis rentrée en désintoxication.
Mon marin, je me suis renseignée à Toulon lors d’un de mes voyages, il avait quitté la marine, en 1973 et j’en suis resté là.
S’il est encore en vie, j’ignore où il est et doit avoir comme moi plus de 70 ans.
C’est lors de cette cure que j’ai rencontré mon mari et que je suis venue à Dijon ou je suis restée jusqu’à aujourd’hui où tu as fait resurgir bien des choses de mon passé.
J’ai feuilleté l’album, la plupart avec ce marin, elle avec des robes à fleurs et aussi dans ses cheveux.
Sur l’une d’elles elle a une guitare qu’elle gratte.
• Tu joues de la guitare !
• Je gratouillais et je chantais les chansons à la mode, en France, Johnny mon idole chantait « le pénitencier », mais comme j’avais laissé ma guitare à Frisco, en France, j’ai tout arrêté.
Je me lève et je vais prendre l’instrument de Rocco.
Elle essaye quelques accords, retend quelques cordes et se met à chanter.
Ça sonne, je me lève, Rocco fait son retour avec Brutus.
Chacun leur tour ils prennent la guitare, dommage que je sois le seul public, quoique je chante aussi.
Il est minuit quand Tatie Danielle se dit fatiguée et veux aller se coucher.
Elle nous apporte des serviettes pour aller dans la salle de bain.
Nous la laissons passer devant avant d’y aller à notre tour.
Brutus est dans la cuisine avec ses croquettes et son eau, il a compris qu’ici, c’est mémé qui commande et se couche en chien de fusil.
Je rejoins Rocco qui est dans le bain qu’il a fait couler, j’enlève le peu que j’ai sur moi et je le rejoins.
Un bon bain, c’est divin, le premier depuis mon escapade, même si l’eau est froide, se laver la chatte avec du vrai savon, rien de meilleur.
• Elle est sympa, cette femme, mais demain, comment vas-tu faire quand elle va te demander de la guider pour qu’elle nous dépose devant chez ta grand-mère ?
La seule chose que je t’ai dite, c’est que j’avais un point d’attache à Beaune et que nous nous y rendrons.
Voilà comment nous ferons lorsque nous serons chez Anna !
En attendant je bande, viens t’empaler, évite de réveiller la tante, à son âge on va éviter de l’offusquer.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Tatie s’offusquer, s’il savait.
La dernière fois que j’ai pris un bain préparé par Alice, avec de l’eau chaude et des sels.
La dernière fois que j’ai pris ce bain avec un savon hors de prix comme tout ce que maman faisait acheter à notre bonne, pour avoir la peau plus douce, j’étais encore vierge.
Celui de l’après comme dans l’étang et la Seine, malgré l’eau froide, Rocco bande comme il sait si bien le faire chaque fois qu’il me fait l’amour.
Il avance vers le milieu de la baignoire, je comprends que je dois passer mes jambes de chaque côté et le prenant par le cou, je m’empale sur son sexe.
Il est drôle Rocco, comment rester discrète quand on se sent perforé jusqu’aux amygdales par la seule verge qui est entrée en vous.
C’est sa bouche qui me permet de rester assez soft lorsque j’ai mon orgasme dévastateur.
Mon utérus satisfait de sa dose de sperme sans risque de conséquence, tous les matins je prends ma pilule.
Nous rejoignons la salle, Tatie a dû venir pendant que nous étions dans notre bain, car il y a une paire de draps sur le canapé.
Je vois Rocco prendre la table basse du salon et faire de la place.
Je m’attends à ce qu’il ouvre le canapé, mais il récupère le duvet dans son sac à dos et l’allonge sur le tapis.
Il voit mon étonnement.
• La dernière fois que j’ai voulu dormir sur un matelas, toute la nuit j’ai cru dormir sur des montagnes russes.
Chaque fois que je bougeais, j’avais l’impression que j’allais me casser la gueule.
J’ai fini sur la carpette et là j’ai pu m’endormir.
C’est la vie de routarde, Rocco est tout pour moi, mon sexe sur pied et celui qui m’apprend à éviter les erreurs.
Pourtant, j’ai du mal à m’endormir.
J’ai eu ma dose de sexe, je devrais dormir comme un bébé, mais il me manque quelque chose.
Il doit le sentir quand je sens sa présence, Brutus doit s’ennuyer et je dois lui manquer quand il vient se lover contre moi.
Sa chaleur me réconforte et surtout son odeur, quand il lâche une flatulence, la flatulence.
Pour les croquettes, c’est fichu, il va falloir en acheter une autre marque.
Il fait jour, Rocco dort encore, Brutus a dû retourner à sa place avant le levé de tatie que j’entends dans sa cuisine avec en prime une bonne odeur de café.
Je me lève et je vais récupérer mon short sur le coin de la table, quand mon œil se trouve attiré par une photo.
Un homme, sa femme et quatre enfants.
L’homme donc son fils travail à la banque de papa, sa femme, je la connais, je l’ai déjà vue chez un parfumeur où j’achetais mes parfums.
Je cherchais quelque chose de discret, Sara, c’était son nom marqué sur sa blouse.
Elle avait été de bon conseil, mais papa avait dû voir le prix que j’avais payé avec l’argent de poche que je recevais chaque mois.
Il m’avait fait une leçon sur l’argent facile a dépenser, mais dur à gagner.
Cerise sur le gâteau, la fille ainée je la connais bien, elle s’appelle Ludivine et est dans ma classe.
À cette heure, elle doit avoir passé son bac de Français et attendre le résultat stressant malgré que comme moi elle est une première de classe.
Ce qui est sûr, c’est qu’elle fera partie des petites filles soumises à papa et maman et se mariera vierge pour faire honneur à sa famille.
Ludivine a une grand-mère, à la limite d’avoir été une pute, au moins une grande salope et elle sera l’archétype de la parfaite épouse.
• Bonjour tatie, tu as bien dormi !
• Comme un bébé, mais toi, en passant j’ai vu que tu as dormi par terre, c’est vrai ça m’est arrivé souvent à Frisco, dans ces années-là, nous dormions là où nous trouvions des garçons à notre goût.
• Faite l’amour surtout pas, la guerre.
• Tu as raison, profitez-en les jeunes, le temps passe vite et à la fin, il faut éviter de regretter.
• Regrettes-tu ?
• Pas le moindre du monde.
J’ai eu une vie intense et palpitante, ma jeunesse en famille sans grand problème.
Mon départ pour New York malgré la trahison de mon premier amour.
Ma traversée de l’Amérique sur la moto de John et toutes mes turpitudes avec une kyrielle de mecs dont Christian point d’orgue à ma vie sexuelle.
• Et en France, comment a été ta vie ?
• Fade comparé à ma jeunesse.
Rentré en France, dès que j’ai eu largué mon gros vendeur d’extincteur, j’ai trainé un peu à Paris.
J’étais reparti pour recommencer ma vie de débauche, le sexe tu verras plus on le pratique plus on a envie de le pratiquer.
Hélas, je suis tombée enceinte de Victor.
C’est lui que j’ai en photo sur mon buffet dans la salle.
Tu l’as vue !
Rocco a dit, il faut savoir improviser.
• Non !
• Je te la montrerai et aussi Ludivine, la prunelle de mes yeux, c’est aujourd’hui son résultat à son bac de Français.
Je vais te conduire chez ta grand-mère et après je passerai voir ma sœur cette sainte nitouche, toute sa vie contrairement à moi, elle a vécu une vie presque de none.
Je reviendrais bien vite pour recevoir leur coup de fil.
J’ai envie, de lui dire, d’éviter de stresser, que son bac, elle l’a déjà avec ses contrôles continus, mais je me tais ce serait risquer de dévoiler qui je suis.
• Thé ou café ?
• T....
• Café, sur la route, le thé, ça fait pisser et ça retarde notre marche.
Pourtant aujourd’hui, voiture et repos chez Anna, j’ai hâte de la rencontrer, mais si Rocco dit café.
● Oui, café, de toute façon, le thé j’aime modérément.
Je suis en short, mes seins nus, Rocco est en jeans, plaquette de chocolat elles aussi dénudées.
Je suis fière qu’il soit mon homme et que je lui appartienne.
C’est le moment que Brutus en profite pour lâcher un pet retentissant et surtout odorant...
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