COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (1/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (1/11)
11 chapitres, publiés 1 à 4 deux petits textes 2 à 8 deux petits textes et 9 à 11
Bonne lecture...
• Oui, je le veux.
C’est fait, Christophe lui aussi m'a dit oui.
Nous sommes mariés.
Je viens d’épouser ce beau garçon rencontré à la fac de Bordeaux, ville où nous habitons avec mes parents.
Maman travaille comme réceptionniste à l’accueil d’un hôtel quatre-étoiles du centre-ville et papa est taxi dans notre belle cité.
C’est une chance phénoménale que Christophe m’ait demandée en mariage alors qu’il avait eu mon pucelage dans la chambre que ses parents lui louaient à deux pas de notre bahut.
Moi la petite poupée blonde, de partout, je me suis donnée avec passion en ayant marre d’être pucelle à vingt-deux ans.
Petite poupée du moins c’est ce que l’on dit de moi.
Je refuse de dire que je suis naine, car j’ai quatre centimètres au-dessus de ce qui est considéré comme une personne de petite taille.
Une seule partie de moi a su se développer.
Mes seins, bonnet 95C, me donnant une silhouette de poupée, mais de poupée avec des ballons gonflable semblant effrayer les garçons.
J’ai la chance, Christophe outre sa beauté a plus de centimètres que moi et dans son lit, la différence disparaît.
Il savait que j’étais vierge et je comptais bien avoir d’autres garçons dans ma vie avant de me ranger.
Le temps m’a manqué, un soir je suis rentrée auprès de ce garçon qui savait qu’il allait me dépuceler et qui a accepté d’avoir du sang sur sa verge.
Je voulais lui dire que je brisais notre liaison quand je me suis retrouvée devant une table avec des chandelles et au dessert un gâteau où j’ai failli perdre une dent.
Il y avait mis la bague de sa grand-mère, faisant de moi la fiancée de ce garçon issu de la famille la plus riche de Bordeaux.
C’est leur argent qui m’avait fait penser que ce fils de la grande bourgeoisie bordelaise voulait seulement s’amuser avec mes fesses.
Je pensais que sa chambre de jeunes étudiants était seulement une garçonnière où il piégeait un max de jeunes filles.
• Ma chère, mon fils a eu bon goût et je trouve vos parents charmants.
Ça c’est Alice, la maman de Christophe.
Contrairement à moi elle est grande et fine comme une liane.
Rapidement elle m’apprend à dépenser l’argent que Benoît son mari gagne dans son étude de charger d’affaires.
Lui est plus grand que son fils, mais plus petit que sa femme, malgré ça ils semblent un couple harmonieux.
Bref, j’épouse le fils juste après avoir réussi mon D.U.T. de commerce.
Comme voyage de noces, nous partons sur la côte où ils ont une villa toute blanche dominant la mer.
Une terrasse où je me mets nue avec lui.
À part par l’arrière, il est impossible de passer devant la villa, même avec un bateau du moins à plus de cinquante mètres les rochers les auraient déchiquetés.
Dès le premier jour Christophe m’aide à descendre les marches conduisant à une jolie petite crique de sable où il est possible de se baigner sur une dizaine de mètres.
Ça nous évite de courir sur ces plages surpeuplées à quelques centaines de mètres de nous.
Même à pied, l’angle de la villa empêche tout passage par les rochers.
Le chemin menant plus loin passe sur la route sur une centaine de mètres avant de redescendre pour continuer la promenade pédestre.
Je fais l’amour sur ce carré de sable sur une serviette, la queue de mon mari risquant de me déchirer si du sable vient à la recouvrir.
Ça a failli se produire le premier jour où je venais de me tremper et qu’il m’a couché dans l’onde claire.
Par chance, j’ai vu le sable collé sur sa queue quand je suis venue le sucer et c’est en levrette après avoir attendu une petite vague le nettoyant qu’il m’a pénétré.
Qui autre que moi pouvait être plus heureux, Christophe ayant commencé comme son père à gérer des portefeuilles allant me gagner un max d’argent.
Ça faisait huit jours que nous étions là.
Je suis restée à la villa sauf pour aller sur la petite plage.
Christophe prenait sa Porche offerte par ses parents pour notre mariage pour aller chercher du pain, du ravitaillement si besoin, sans oublier son journal financier.
Sur l’ordi alors que je me faisais griller, il gérait déjà ses premiers contrats jusqu’au moment où j’ai entendu klaxonner.
• Susy, ce sont mes parents qui viennent passer quelques jours.
Maman vient de m’envoyer un message qu’ils arrivent.
Un moment j’ai cru que mon voyage de noces s’arrêtait là quand Alice m’a serré dans ses bras.
J’avais enfilé une petite robe toute simple comme je les aime.
Mes seins étant mis en valeur, car ma poitrine tient juste dedans.
• Bonjours les enfants, Susy, je vois que tu profites bien de notre coin de paradis, tu as une mine radieuse.
Aller à la plage pendant que je défais nos bagages, Benoît est fatigué après avoir conduit.
Christophe aide son père à porter les bagages dans leur chambre.
Nous la nôtre est un étage plus bas la villa ayant trois niveaux.
Je l’ai visité en arrivant.
Ils ont leur chambre, la salle et la cuisine, donnant sur la terrasse.
Nous c’est par un petit escalier que nous rejoignions cette terrasse dont j’ai parlé me faisant bronzer nue depuis mon arrivée.
• Les enfants descendez sur la plage, le temps de me mettre en tenue.
Je passe mettre le petit maillot deux pièces que depuis mon arrivée j’ai oublié d’enfiler.
Benoît me tient la main pour descendre, Christophe nous suivant avec les serviettes et mon sac de plage qui me suit depuis mon arrivée.
• Enfin mon havre de paix.
Susy oublie ce maillot, tu sais ici c’est la liberté quand je suis en vacances avec Alice et Christophe on est toujours nus.
Comme entrée en matière, ça c’est direct.
Je vois mon beau-père après avoir enlevé son maillot me présenter sa verge par chance au repos.
Tendu il doit être mieux pourvu que son fils.
Par chance sa bite sait me satisfaire et je comprends que mes beaux-parents aiment la liberté d’être nus dans ce coin de paradis.
Christophe enlève le sien et s’allonge sur sa serviette.
Je sens la nécessiter d’en faire de même.
Trois serviettes, un beau-père d’un côté un mari de l’autre qui rapidement s’endort, je parle du mari.
Je suis assise, car j’ai du mal à montrer à mon beau-père ma toison blonde que j’ai fait tailler en triangle pour mes noces.
Belle maman m’a offert un traitement à son institut de beauté où elle m’a fait ouvrir un compte.
C’est ce jour-là que j’ai pris conscience qu’en épousant le fils j’épousais l’argent que la famille possédait.
Je reste recroquevillés me tenant les genoux dans mes bras étant certains que dans cette position, il voit ma chatte.
J’allonge mes jambes ayant l’impression de me protéger, mais ce sont mes seins qui sont à porter de sa concupiscence.
Et ce couillon de mari qui dort.
Je peux faire un esclandre, mais je sais que je perdrais l’amour de Christophe et le bien-être matériel que je viens de toucher du doigt.
Sans être pauvres mes parents sont loin de pouvoir m’apporter tout le luxe que je côtoie depuis que j’ai dit « oui ».
• Mon fils t’a-t-il dit que tu avais des seins magnifiques ?
Je l’avais déjà vu quand nous avons dansé ensemble lors de tes noces.
Le plonger que j’avais sur ta vallée avec la robe que tu portais sans soutien-gorge me faisant bander.
Regarde, ma tige se déploie rien que d’y penser, mets ta main dessus.
• Mais je suis la femme de votre fils.
Il éclate de rire, ça me glace le sang malgré la chaleur régnant dans ce trou dans lequel la plage est enclavée.
• Regarde, il dort et je bande, vas-y prend là en main, elle va adorer ça.
Je me sens piégée, il s’allonge se retournant légèrement me montrant ce qui a pris du volume depuis qu’il l’a sorti de son maillot.
J’avance ma main, je suis impressionnée par une telle hampe.
Et dire que je voulais quitter Christophe, le jour où il m’a demandé de l’épouser pour rencontrer d’autres verges.
Je la prends en main, elle est chaude, mais d’une dureté jamais ressentie.
Je commence à le masturber.
Je dois reconnaître que j’oublie mon mari, je suis fascinée par ce que j’ai dans ma main.
A-t-il imprimé mon cerveau ?
Je devrais appeler Christophe à mon secours surtout après l’ordre suivant.
• Prends-la dans ta bouche Susy.
Sans plus réfléchir, je le fais, je sais, je deviens une salope.
J’entre dans la zone rouge que je franchis allègrement alors que maman m’a élevé dans la dignité.
Je me mets à genoux tournant le dos à celui qui m’a abandonné à la lubricité de mon beau-père, son propre père.
J’ai du mal à la faire entrer alors que celle du cocu en devenir qui dort près de moi, entre jusqu’à ma glotte sans problème lorsque je lui fais des fellations.
J’avais beau être vierge à vingt-deux ans, je sais que je lui fais une gorge profonde à beau-papa devant son fils le cocu de service.
Benoît mon beau-père va-t-il vouloir me sauter ?
Mon cerveau vient de m’apporter son nom Benoît, j’en suis déjà rendu là.
Quand je reçois le coup de grâce.
• Christophe enfile ta femme, elle doit mouiller très fortement…
Bonne lecture...
• Oui, je le veux.
C’est fait, Christophe lui aussi m'a dit oui.
Nous sommes mariés.
Je viens d’épouser ce beau garçon rencontré à la fac de Bordeaux, ville où nous habitons avec mes parents.
Maman travaille comme réceptionniste à l’accueil d’un hôtel quatre-étoiles du centre-ville et papa est taxi dans notre belle cité.
C’est une chance phénoménale que Christophe m’ait demandée en mariage alors qu’il avait eu mon pucelage dans la chambre que ses parents lui louaient à deux pas de notre bahut.
Moi la petite poupée blonde, de partout, je me suis donnée avec passion en ayant marre d’être pucelle à vingt-deux ans.
Petite poupée du moins c’est ce que l’on dit de moi.
Je refuse de dire que je suis naine, car j’ai quatre centimètres au-dessus de ce qui est considéré comme une personne de petite taille.
Une seule partie de moi a su se développer.
Mes seins, bonnet 95C, me donnant une silhouette de poupée, mais de poupée avec des ballons gonflable semblant effrayer les garçons.
J’ai la chance, Christophe outre sa beauté a plus de centimètres que moi et dans son lit, la différence disparaît.
Il savait que j’étais vierge et je comptais bien avoir d’autres garçons dans ma vie avant de me ranger.
Le temps m’a manqué, un soir je suis rentrée auprès de ce garçon qui savait qu’il allait me dépuceler et qui a accepté d’avoir du sang sur sa verge.
Je voulais lui dire que je brisais notre liaison quand je me suis retrouvée devant une table avec des chandelles et au dessert un gâteau où j’ai failli perdre une dent.
Il y avait mis la bague de sa grand-mère, faisant de moi la fiancée de ce garçon issu de la famille la plus riche de Bordeaux.
C’est leur argent qui m’avait fait penser que ce fils de la grande bourgeoisie bordelaise voulait seulement s’amuser avec mes fesses.
Je pensais que sa chambre de jeunes étudiants était seulement une garçonnière où il piégeait un max de jeunes filles.
• Ma chère, mon fils a eu bon goût et je trouve vos parents charmants.
Ça c’est Alice, la maman de Christophe.
Contrairement à moi elle est grande et fine comme une liane.
Rapidement elle m’apprend à dépenser l’argent que Benoît son mari gagne dans son étude de charger d’affaires.
Lui est plus grand que son fils, mais plus petit que sa femme, malgré ça ils semblent un couple harmonieux.
Bref, j’épouse le fils juste après avoir réussi mon D.U.T. de commerce.
Comme voyage de noces, nous partons sur la côte où ils ont une villa toute blanche dominant la mer.
Une terrasse où je me mets nue avec lui.
À part par l’arrière, il est impossible de passer devant la villa, même avec un bateau du moins à plus de cinquante mètres les rochers les auraient déchiquetés.
Dès le premier jour Christophe m’aide à descendre les marches conduisant à une jolie petite crique de sable où il est possible de se baigner sur une dizaine de mètres.
Ça nous évite de courir sur ces plages surpeuplées à quelques centaines de mètres de nous.
Même à pied, l’angle de la villa empêche tout passage par les rochers.
Le chemin menant plus loin passe sur la route sur une centaine de mètres avant de redescendre pour continuer la promenade pédestre.
Je fais l’amour sur ce carré de sable sur une serviette, la queue de mon mari risquant de me déchirer si du sable vient à la recouvrir.
Ça a failli se produire le premier jour où je venais de me tremper et qu’il m’a couché dans l’onde claire.
Par chance, j’ai vu le sable collé sur sa queue quand je suis venue le sucer et c’est en levrette après avoir attendu une petite vague le nettoyant qu’il m’a pénétré.
Qui autre que moi pouvait être plus heureux, Christophe ayant commencé comme son père à gérer des portefeuilles allant me gagner un max d’argent.
Ça faisait huit jours que nous étions là.
Je suis restée à la villa sauf pour aller sur la petite plage.
Christophe prenait sa Porche offerte par ses parents pour notre mariage pour aller chercher du pain, du ravitaillement si besoin, sans oublier son journal financier.
Sur l’ordi alors que je me faisais griller, il gérait déjà ses premiers contrats jusqu’au moment où j’ai entendu klaxonner.
• Susy, ce sont mes parents qui viennent passer quelques jours.
Maman vient de m’envoyer un message qu’ils arrivent.
Un moment j’ai cru que mon voyage de noces s’arrêtait là quand Alice m’a serré dans ses bras.
J’avais enfilé une petite robe toute simple comme je les aime.
Mes seins étant mis en valeur, car ma poitrine tient juste dedans.
• Bonjours les enfants, Susy, je vois que tu profites bien de notre coin de paradis, tu as une mine radieuse.
Aller à la plage pendant que je défais nos bagages, Benoît est fatigué après avoir conduit.
Christophe aide son père à porter les bagages dans leur chambre.
Nous la nôtre est un étage plus bas la villa ayant trois niveaux.
Je l’ai visité en arrivant.
Ils ont leur chambre, la salle et la cuisine, donnant sur la terrasse.
Nous c’est par un petit escalier que nous rejoignions cette terrasse dont j’ai parlé me faisant bronzer nue depuis mon arrivée.
• Les enfants descendez sur la plage, le temps de me mettre en tenue.
Je passe mettre le petit maillot deux pièces que depuis mon arrivée j’ai oublié d’enfiler.
Benoît me tient la main pour descendre, Christophe nous suivant avec les serviettes et mon sac de plage qui me suit depuis mon arrivée.
• Enfin mon havre de paix.
Susy oublie ce maillot, tu sais ici c’est la liberté quand je suis en vacances avec Alice et Christophe on est toujours nus.
Comme entrée en matière, ça c’est direct.
Je vois mon beau-père après avoir enlevé son maillot me présenter sa verge par chance au repos.
Tendu il doit être mieux pourvu que son fils.
Par chance sa bite sait me satisfaire et je comprends que mes beaux-parents aiment la liberté d’être nus dans ce coin de paradis.
Christophe enlève le sien et s’allonge sur sa serviette.
Je sens la nécessiter d’en faire de même.
Trois serviettes, un beau-père d’un côté un mari de l’autre qui rapidement s’endort, je parle du mari.
Je suis assise, car j’ai du mal à montrer à mon beau-père ma toison blonde que j’ai fait tailler en triangle pour mes noces.
Belle maman m’a offert un traitement à son institut de beauté où elle m’a fait ouvrir un compte.
C’est ce jour-là que j’ai pris conscience qu’en épousant le fils j’épousais l’argent que la famille possédait.
Je reste recroquevillés me tenant les genoux dans mes bras étant certains que dans cette position, il voit ma chatte.
J’allonge mes jambes ayant l’impression de me protéger, mais ce sont mes seins qui sont à porter de sa concupiscence.
Et ce couillon de mari qui dort.
Je peux faire un esclandre, mais je sais que je perdrais l’amour de Christophe et le bien-être matériel que je viens de toucher du doigt.
Sans être pauvres mes parents sont loin de pouvoir m’apporter tout le luxe que je côtoie depuis que j’ai dit « oui ».
• Mon fils t’a-t-il dit que tu avais des seins magnifiques ?
Je l’avais déjà vu quand nous avons dansé ensemble lors de tes noces.
Le plonger que j’avais sur ta vallée avec la robe que tu portais sans soutien-gorge me faisant bander.
Regarde, ma tige se déploie rien que d’y penser, mets ta main dessus.
• Mais je suis la femme de votre fils.
Il éclate de rire, ça me glace le sang malgré la chaleur régnant dans ce trou dans lequel la plage est enclavée.
• Regarde, il dort et je bande, vas-y prend là en main, elle va adorer ça.
Je me sens piégée, il s’allonge se retournant légèrement me montrant ce qui a pris du volume depuis qu’il l’a sorti de son maillot.
J’avance ma main, je suis impressionnée par une telle hampe.
Et dire que je voulais quitter Christophe, le jour où il m’a demandé de l’épouser pour rencontrer d’autres verges.
Je la prends en main, elle est chaude, mais d’une dureté jamais ressentie.
Je commence à le masturber.
Je dois reconnaître que j’oublie mon mari, je suis fascinée par ce que j’ai dans ma main.
A-t-il imprimé mon cerveau ?
Je devrais appeler Christophe à mon secours surtout après l’ordre suivant.
• Prends-la dans ta bouche Susy.
Sans plus réfléchir, je le fais, je sais, je deviens une salope.
J’entre dans la zone rouge que je franchis allègrement alors que maman m’a élevé dans la dignité.
Je me mets à genoux tournant le dos à celui qui m’a abandonné à la lubricité de mon beau-père, son propre père.
J’ai du mal à la faire entrer alors que celle du cocu en devenir qui dort près de moi, entre jusqu’à ma glotte sans problème lorsque je lui fais des fellations.
J’avais beau être vierge à vingt-deux ans, je sais que je lui fais une gorge profonde à beau-papa devant son fils le cocu de service.
Benoît mon beau-père va-t-il vouloir me sauter ?
Mon cerveau vient de m’apporter son nom Benoît, j’en suis déjà rendu là.
Quand je reçois le coup de grâce.
• Christophe enfile ta femme, elle doit mouiller très fortement…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire qui va me faire bander, très bien écrite....
Cyrille
Cyrille