COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (10/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (10/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (10/11)
• Oui, je le veux.

C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Vous avez l’habitude de ces phrases, ça fait 10 chapitres qu’elles ouvrent mon histoire.
Certes, les choses ont évolué depuis mon mariage avec Christophe, le fils d’Alice et de Benoit grâce à Dee, belle canadienne qui m’a pris sous son aile.
La nouvelle aventure que je vis avec elle depuis que je me suis retrouvée dans son chalet au pied d’une montagne et au bord d’un petit lac, nous la vivons en essayant de trouver un étalon pour que nous ayons ensemble un enfant.

Première expérience, avec Bob un bucheron descendu de la montagne pour se faire une pute, je me porte volontaire après l’introspection de Dee, mais une capote met en péril notre désir d’enfant.
Toujours avec de nouvelles idées, ce qui semble avoir fait sa fortune, nous partons dans un autre lieu dans le pickup, mais c’est la neige qui déjoue ses projets.
Heureusement, un hôtel est près du lieu où nous sommes dans l’impossibilité de continuer notre voyage vers les bites qui semblent m’attendre.
Lorsqu’un homme gigantesque vient nous secourir, j’ignorais que le père Noël habitait au Canada !

• Bon, on est fermé, mais vous pouvez entrer, venez devant la cheminée, vous pourrez vous réchauffer.
Je m’appelle Jonathan et mesdames comment dois-je vous appeler ?

Nous lui donnons nos patronymes et nous suivons, cet homme, massif deux ou plus de deux mètres à la barbe blanche, ce qui me l’a fait confondre avec le père Noël.
La salle à manger, les chaises sont retournées sur les tables et des housses blanches les recouvrent.
Seul devant la cheminée ou brule plusieurs buches, dégageant une chaleur salutaire semble encore accessible.

• C’est quoi cette grosse tête et cette peau de bête !
• Un grizzli, j’étais trappeur et je l’ai tué avant de racheter cette auberge, hôtel, j’en avais assez de traquer tous ces animaux.
En vendant leurs peaux, j’avais assez amassé pour pouvoir racheter cette maison, presque en perdition.
Je suis bon cuisinier, j’avais l’habitude, dans la cabane où je résidais, en saison, les clients adorent ma cuisine faite de gibier que d’anciens collèges me fournissent.
• Je croyais les grizzlis espèce protégée !
• Connaissez-vous, la pub des barres chocolatées ?
• Non, que dit-elle ?
• Des jumeaux assis sur un tronc d’arbre en forêt sortant une barre chocolatée composée de deux parties.
L’un des deux dit à l’autre, la droite ou la gauche !
L’autre répond, c’est pareil, elles sont aussi bonnes l’une que l’autre.
Pendant ce temps derrière eux, un couple de grizzlis, regarde les jumeaux et l’un dit à l’autre.
Le droit ou le gauche ?
L’autre grizzli répond, c’est pareil, ils sont aussi tendres l’un que l’autre.
• Et alors, quelle concordance avec ce grizzli que vous avez tué Jonathan !
• Dee, je descendais d’une battue un ours agressif envers les humains se trouvait à regarder une femme et sa mère sur le parking ou le mari avait garé sa voiture.
L’ours était debout sur ses pattes arrière et se disait la droite ou la gauche.
Il devait avoir choisi la plus jeune, la plus tendre, car c’est vers elle qui s’est avancée.
J’ai armé, j’ai tiré et si vous regardez à la hauteur où se trouvait son cœur, je l’ai abattu d’une seule balle.
J’ai été félicité et j’ai pu garder sa peau, vous l’avez devant vous !
• Et la mère ou la fille, la droite ou la gauche ?
• Bien vue Dee, le mari a pris ses renseignements et comme je venais d’ouvrir ici, un an après ils sont venus tous les trois en vacances venant de Québec pour me remercier d’avoir sauvé la fille.
Dois-je vous dire, qui de la mère ou la fille, j’ai choisi en premier, la fille dans la cuisine et la mère dans sa chambre, les deux autres étant partis crapahuter en montagne.

Quel âge peut avoir le père Noël, certainement plus proche des cinquante que des quarante, c’est dommage il est trop vieux pour moi.
Pour être plus près du feu, dès que nous nous en éloignons le froid reprend le dessus, c’est assis sur la peau de l’ours que nous sommes le dos tourné vers les flammes.

• Je vais aller chercher un petit remontant de ma fabrication ainsi que des assiettes de ragout d’élan que je venais de finir de cuisiner lorsque vous m’avez dérangé.

Je suis fascinée par cet homme, qui ressemble à la montagne où il vit, comme je l’ai dit, hélas il est vieux, j’en aurais bien fait le père de notre enfant.

• L’élan, je vais vous surprendre, je l’ai tué hier depuis la fenêtre de ma cuisine.
L’hiver a été rude et comme vous le voyez à cette altitude il est loin d’être terminé.
Ces animaux sauvages au lieu de chercher de quoi se nourrir ont pris l’habitude de venir dans nos poubelles comme le fond les ours polaires dans le grand nord.
Celui-là, j’avais vu ses traces lors de la dernière fois où il avait neigé avant aujourd’hui et je savais que c’était une belle bête.
Hier lorsque la neige a commencé à revenir, je l’ai attendu et après l’avoir dépecé, une partie est au frigo le reste dans la gamelle où je fais du ragout.
Je pense que vous êtes réchauffé et que vous avez faim.

C’est drôle, je sais que cet homme une force de la nature s’est présenté comme s’appelant Jonathan, mais je le compare chaque fois au père Noël.
Il quitte la pièce et revient avec trois assiettes et sous son bras une bouteille d’un liquide clair.
Il pose les assiettes sur une table basse et va chercher couverts et trois verres qu’il remplit en vidant sa bouteille.

• Cul sec, le feu réchauffe votre extérieur, mais cet alcool que je distille moi-même va vous réchauffer l’intérieur.

Nous avalons cul sec comme il nous le demande, en faisant de même lui aussi.
Le feu du ciel, tout mon intérieur me brule, mais me laisse un bon gout dans ma bouche.

• Ça, c’est ma dernière production de l’été dernier.
Lorsque l’on est trappeur, on append bien des choses, lorsque l’on vit seule dans une cabane.
J’ai vite compris qu’elle était les baies ou les plantes qui étaient consommables et celles qu’il fallait éviter de manger, les animaux de nos forêts savent mieux ça que nous.
J’ai confectionné un alambic et je produis cet alcool dont les gens de la région raffolent.
Même la police montée vient s’approvisionner chez moi, ça me permet une certaine impunité, car ici aussi c’est illégal, encore un autre !

La bouteille y passe et il va même en chercher une autre.
Le ragout avec ses patates est succulant et c’est finalement pas de refus, surtout Dee et le père Noël de relever le coude.
J’ai chaud aux fesses, mais assez lucide comme lui pour savoir m’arrêter.
Dee finit par aller sur le canapé près de la peau du grizzli où nous sommes installés et de s’allonger de tout son long.
Il se lève sort de la pièce et en revient avec une couverture qu’il place sur le corps de Dee, avant de venir se placer à mes côtés.
Je me suis allongée, la fourrure étant si douce et surtout qu’avant de me rejoindre, il remet des buches dans la cheminée.
J’adore l’odeur et le crépitement de l’écorce qui s’enflamme, des étincelles font comme des bougies de gâteaux d’anniversaire.

• Tu veux la voir, les femmes m’appellent « l’éléphant, » d’autres « la monstrueuse » en parlant d’elle.
Ta copine gouine serait dans l’incapacité de l’apprécier, mais toi, je sens que tu vas aimer.

Comment a-t-il pu savoir que Dee est une gouine plus que moi qui ai déjà connu la queue des hommes, pour elle ça se voit tant que ça ?
Il me prend la main et me la pose sur son pantalon.
Mon dieu, je découvre rien qu’en la tâtant pourquoi « la monstrueuse » et malgré mes préjugés sur nos âges, je lui laisse là sortir.
En dehors, elle est encore plus imposante que rentré, je me penche et c’est seulement en la léchant que je la fais grandir encore un peu.
Nous nous retrouvons nus et c’est moi qui viens m’empaler dessus, j’ai l’impression que ma chatte va éclater vu son diamètre et je sens mon utérus comprimé comme jamais il l’a été lors de mes précédents rapports.
Je jouis rapidement balançant ma tête de plus en plus follement tellement mes sensations sont forte et que mes orgasmes succèdent à mes autres orgasmes.
Dans un moment de lucidité, on perdrait la tête pour moins que ça, je pense à la capote inexistante dans notre partie de jambes en l’air intense et lorsque sa « monstruosité » crache son sperme je sens que c’est lui qui va être le père de notre enfant.
Trois fois dans la nuit, même si c’est loin d’être celle de Noël, le père Noël me prend en levrette la deuxième fois et comme je suis à moitié endormi, une troisième en passant par-derrière me tenant levée l’une de mes jambes.
Je sens ses grosses couilles que j’ai plusieurs fois sucé se vider chaque fois avec toujours autant d’intensité.

C’est une bonne odeur de café qui me réveille venant du fond de la salle ou doit se trouver la cuisine.
De nouvelles buches crépitent de joie d’être brûlés et lorsque je m’étire, la peau du grizzli est encore plus douce que cette nuit qui fut intense.
Dee dort toujours sous sa couverture, elle a dû prendre une cuite carabinée avec l’alcool de contrebande.
Je me lève, à côté du plateau resté posé sur la table basse, un album de photos, je l’ouvre et j’ai une belle surprise...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Vivement le 19 alors. 😊

La chipie

Comment pouvez-vous croire que la coupure est faite à un moment propice ?
C'est du mauvais esprit quoi que le dernier chapitre le 19.....

Histoire Erotique
Ahhhhh
Toujours le mauvais moment pour arrêter 🤣😉
Encore de la Merveilleuse lecture

Cyrille

Histoire Erotique
Terrible ce sens du suspense...
Encore envie d'être déjà au chapître suivant, de voir la surprise 🤣
Bravo au narrateur !
Nico



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