COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (11/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (11/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
On se connaît assez comme cela maintenant pour éviter de perdre du temps à vous expliquer pourquoi cette phrase est là !
Dee dort toujours sous sa couverture, elle a pris une cuite carabinée avec l’alcool de contrebande servi par celui que j’appelle le père Noël à cause de son âge et sa grosse barbe blanche.
Je me lève, à côté du plateau resté posé sur la table basse, un livre de photos, je l’ouvre et j’ai une belle surprise.
• Tu regardes le livre de photos qu’une amie de passage m’a fait lorsqu’elle a vu le carton de souvenir que j’avais en vrac dans une boîte de chaussures.
• Est-ce toi, là ?
• Fais voir !
• Oui, c’est la première année où je suis devenu trappeur, il y a une trentaine d’années.
• Avais-tu déjà la barbe ?
Cette barbe c’est le nœud du problème.
La photo un peu jaunie, mais la barbe sans aucune erreur possible est d’un magnifique roux comme celui d’un renard que Jonathan tient par la queue son fusil de l’autre.
Je tourne les pages, j’ignore si les spermatozoïdes que le père Noël m’a injectés vers mes ovaires, en pleine possibilité d’enfanter ont commencé leurs effets.
Si mon fils est roux, je m’en fiche, c’est joli un roux, mais j’ignore si Dee acceptera la naissance de notre enfant après son refus que j’aille avec le bucheron roux dans le bar où j’ai rencontré l’amant qui est sorti couvert.
Je vois Dee bouger, on dirait qu’elle revient sur terre.
• Bonjour mon cœur, vient dans mes bras, j’ai un mal de crâne carabiné putain, il arrache ton tord-boyaux Jonathan, j’ai dû un peu abuser.
Je rejoins Dee, nous nous embrassons sous le regard amusé de mon amant d’une nuit.
Ce qui est drôle, c’est que lorsque mes lèvres puis ma langue viennent rejoindre les lèvres et la langue de Dee, il doit penser qu’il a baisé l’autre gouine, alors que c’était lui qui était l’animal chassé.
J’en ai la preuve après que l’on ait pris notre petit déjeuner et que nous nous retrouvons devant l’auberge à monter dans notre pickup.
Le père Noël s’étant réveillé avant nous, ayant entendu le chasse-neige passé est allé dégager notre voiture de la neige qui le recouvrait.
Il a dû récupérer les clefs dans le sac de Dee qui était au pied du canapé où elle a passé une partie de sa nuit à décuiter pendant que je me faisais baiser.
• Tenez, faite bonne route, je vous ai fait un petit coli, des côtelettes d’élan et deux bouteilles de mon élixir préféré, tu le conçois Dee.
• Merci...
J’allais dire père Noël !
• ... Jonathan, nous nous arrêterons pour te saluer si nous revenons dans la région, j’ai adoré jouer avec ta monstruosité.
Nous démarrons et je vois Dee reprendre la direction d’où nous sommes venues.
• Rentrons, après la nuit que tu as passée, j’espère que tu as ton compte de sexes mâles.
• Comment sais-tu que j’ai mon compte, tu dormais après avoir bu ?
• Ma chérie, crois-tu que je prendrai le risque de tuer notre enfant après la nuit que tu as passée à te faire saillir si comme tu le penses j’avais trop bu !
Je t’avais dit que je voulais assister au choix et entendre comme hier dans ma chambre derrière la porte de communication lorsque tu faisais l’amour avec Bob.
Je t’ai dit que je t’avais entendu jouir.
Si Jonathan avait une bonne descente, son ours, du moins, sa tête buvait encore plus.
• Tu as versé tes verres dans la gueule du grizzli !
• Oui, il buvait plus que son maître, mais je suis rapidement allée sur le canapé ayant peur que sous l’effet de l’alcool le grizzli puisse se réveiller et s’énerver.
Dee me regarde en rigolant, il est vrai que son rire est franc pour une femme s’étant cuité.
• Jonathan avait dû savoir vivre, il est allé me chercher une couverture, malgré votre différence d’âge, j’ai jugé qu’il était digne d’être le père de notre enfant.
J’ai tout suivi entre mes yeux légèrement ouverts, j’ai même eu mal pour toi, sa bite était monstrueuse.
Quant à la couleur des cheveux de notre enfant, s’il est roux comme son géniteur, c’est mieux que pas d’enfant du tout, on aurait pu faire chou blanc de l’autre côté de la montagne.
• Comment sais-tu qu’il était roux lorsqu’il était jeune, malgré ses cheveux et sa barbe blanche, tu l’as vu ?
• Qu’as-tu fait lorsque nous venions de nous réchauffer ?
• J’ai demandé les toilettes !
• Et Jonathan t’y a conduit pour remettre l’eau pour la chasse !
J’ai vu l’album de photos, je l’ai regardé et j’ai vu que cet homme était poil de carotte dans sa jeunesse.
Dans les dernières photos que j’ai vue avant votre retour, il était au bord d’un lac en maillot de bain, son sexe ayant du mal à tenir dans son slip.
J’ai considéré que si vous étiez partant tous les deux ce pouvait être celui que nous recherchions.
Mon dieu au début entre mes cils, lorsqu’il l’a sorti j’ai eu un instant peur qu’il te déchire la chatte, mais toute la nuit tu t’en serais accommodé.
Nous pouvons rentrer près de tes parents et attendre bien sagement que la nature fasse son œuvre.
Je me penche sur son épaule, elle ouvre son bras, heureusement nous sommes de retour au bas de cette montagne où j’aurais rencontré mon père Noël canadien.
De retour tout simplement au chalet, j’ouvre un œil, lorsque Dee me secoue tendrement pour me réveiller.
• Où est maman, papa, elle est au jardin ?
• Ta mère m’a quitté, sa copine est venue la chercher, elle a fait sa valise et elles sont parties.
• Et tu me dis ça comme, comme si tu m’annonçais qu’il neigeait en été.
Pourquoi cette comparaison, neiger en été, pourquoi pas me faire baiser par le père Noël, il est vrai que j’ai une longueur d’avance depuis l’affaire du porte-monnaie et du hors nord sur le lac ?
De plus je sais les tendances lesbiennes des femmes de notre famille, j’en suis la meilleure preuve même si la nuit dernière je me suis fait défoncer par cette bite majestueuse.
• Ma chérie, comment pouvais-je lutter contre les envies sexuelles de ta maman ?
Tu as suivi le même parcours qu’elle avec Dee que j’adore.
Tu dois savoir que moi aussi j’ai eu des moments de faiblesse avant que nous apprenions que tu restais au Canada et que tu nous invitais à te rejoindre.
• Des moments de faiblesse, que veux-tu dire papa !
• Alice ta belle-mère, j’ai eu des relations avec elle dans le dos de ma femme et de Benoît son mari.
• Tu trompais maman avec Alice, la salope, mais à quel moment ?
• J’étais taxi je te le rappelle, Alice me payait pour la conduire sur les plages non loin de Bordeaux.
C’est dans la voiture que je la baisais, une vraie salope.
Mais qu’est-ce que tu me fais dire ma fille, tu m’en fais trop dire !
Papa et Alice, Alice et moi, pourquoi pas Alice et maman, ma belle-mère m’ayant montré qu’elle savait comme moi manier la bite ou la chatte d’être humaines.
Alice qui me disait qu’il fallait baiser utile pour la famille, à part des courses gratuites économisées, je vois mal papa utile pour la famille que nous formions.
Dee, regarde le courrier et en ouvre une en papier craffe.
Je la vois partir vers notre chambre, je suis dans la grande salle de séjour, elle revient et me tend la lettre, d’une main et de l’autre un écrin ouvert.
• Susy, voici l’acte de divorce te délivrant de ton mariage.
Veux tu m’épouser ?
Dans son autre main un petit écrin ouvert et une jolie bague bien plus simple que celle que j’ai déjà ôté ainsi que mon alliance avec Christophe.
J’ignore à quel moment Dee l’ai acheté, surement lors de son voyage pour aller rencontrer mon beau-père et m’échangé contre le contrat qu’elle a signé avec ceux qui étaient ma famille bizarre.
• C’est bien Susy, poussez, oui c’est bien poussez encore.
• Andrée je voudrais bien vous y voir espèce de...
Vous m’excusez, si j’ai failli traité la femme de ma mère de gouine, maman me tenant une main et Dee l’autre.
Toutes femmes ayant accouché chez elle, savent par quoi je passe.
Dans la vallée où se trouvent notre lac et notre chalet, Andrée est l’accoucheuse de service et c’est elle qui me suivait en attendant la naissance de Hugo notre fils.
• C’est un garçon, il a beaucoup de cheveux, un joli petit brun.
Je sais, j’étais tellement pressée d’arrêter la douleur ressentie, que j’ai anticipé de vous dire le nom de celui que ma maman me pose dans les bras.
Brun on est sauvé, même si je suis sûr que Dee aurait accepté s’il avait été roux.
• Vous avez vu comme mon petit-fils est bien pourvu, je crains sa femme le jour ou adulte, il la déflorera !
Voilà vous savez tout de cette famille bizarre.
À non, deux choses, la première, le détective que Dee a payé, a continué à surveiller cette famille.
Christophe a épousé Romain le garçon qui l’enculait et que je voyais depuis la terrasse sur la plage protégée des regards.
La deuxième, la douleur s’estompe et je pense déjà à donner une petite sœur à Hugo.
Comment s’appelait l’auberge du père Noël, à oui, les cimes, dès la date de sa fermeture après la saison de neige, je pense que j’irai voir mon père Noël canadien ?
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
On se connaît assez comme cela maintenant pour éviter de perdre du temps à vous expliquer pourquoi cette phrase est là !
Dee dort toujours sous sa couverture, elle a pris une cuite carabinée avec l’alcool de contrebande servi par celui que j’appelle le père Noël à cause de son âge et sa grosse barbe blanche.
Je me lève, à côté du plateau resté posé sur la table basse, un livre de photos, je l’ouvre et j’ai une belle surprise.
• Tu regardes le livre de photos qu’une amie de passage m’a fait lorsqu’elle a vu le carton de souvenir que j’avais en vrac dans une boîte de chaussures.
• Est-ce toi, là ?
• Fais voir !
• Oui, c’est la première année où je suis devenu trappeur, il y a une trentaine d’années.
• Avais-tu déjà la barbe ?
Cette barbe c’est le nœud du problème.
La photo un peu jaunie, mais la barbe sans aucune erreur possible est d’un magnifique roux comme celui d’un renard que Jonathan tient par la queue son fusil de l’autre.
Je tourne les pages, j’ignore si les spermatozoïdes que le père Noël m’a injectés vers mes ovaires, en pleine possibilité d’enfanter ont commencé leurs effets.
Si mon fils est roux, je m’en fiche, c’est joli un roux, mais j’ignore si Dee acceptera la naissance de notre enfant après son refus que j’aille avec le bucheron roux dans le bar où j’ai rencontré l’amant qui est sorti couvert.
Je vois Dee bouger, on dirait qu’elle revient sur terre.
• Bonjour mon cœur, vient dans mes bras, j’ai un mal de crâne carabiné putain, il arrache ton tord-boyaux Jonathan, j’ai dû un peu abuser.
Je rejoins Dee, nous nous embrassons sous le regard amusé de mon amant d’une nuit.
Ce qui est drôle, c’est que lorsque mes lèvres puis ma langue viennent rejoindre les lèvres et la langue de Dee, il doit penser qu’il a baisé l’autre gouine, alors que c’était lui qui était l’animal chassé.
J’en ai la preuve après que l’on ait pris notre petit déjeuner et que nous nous retrouvons devant l’auberge à monter dans notre pickup.
Le père Noël s’étant réveillé avant nous, ayant entendu le chasse-neige passé est allé dégager notre voiture de la neige qui le recouvrait.
Il a dû récupérer les clefs dans le sac de Dee qui était au pied du canapé où elle a passé une partie de sa nuit à décuiter pendant que je me faisais baiser.
• Tenez, faite bonne route, je vous ai fait un petit coli, des côtelettes d’élan et deux bouteilles de mon élixir préféré, tu le conçois Dee.
• Merci...
J’allais dire père Noël !
• ... Jonathan, nous nous arrêterons pour te saluer si nous revenons dans la région, j’ai adoré jouer avec ta monstruosité.
Nous démarrons et je vois Dee reprendre la direction d’où nous sommes venues.
• Rentrons, après la nuit que tu as passée, j’espère que tu as ton compte de sexes mâles.
• Comment sais-tu que j’ai mon compte, tu dormais après avoir bu ?
• Ma chérie, crois-tu que je prendrai le risque de tuer notre enfant après la nuit que tu as passée à te faire saillir si comme tu le penses j’avais trop bu !
Je t’avais dit que je voulais assister au choix et entendre comme hier dans ma chambre derrière la porte de communication lorsque tu faisais l’amour avec Bob.
Je t’ai dit que je t’avais entendu jouir.
Si Jonathan avait une bonne descente, son ours, du moins, sa tête buvait encore plus.
• Tu as versé tes verres dans la gueule du grizzli !
• Oui, il buvait plus que son maître, mais je suis rapidement allée sur le canapé ayant peur que sous l’effet de l’alcool le grizzli puisse se réveiller et s’énerver.
Dee me regarde en rigolant, il est vrai que son rire est franc pour une femme s’étant cuité.
• Jonathan avait dû savoir vivre, il est allé me chercher une couverture, malgré votre différence d’âge, j’ai jugé qu’il était digne d’être le père de notre enfant.
J’ai tout suivi entre mes yeux légèrement ouverts, j’ai même eu mal pour toi, sa bite était monstrueuse.
Quant à la couleur des cheveux de notre enfant, s’il est roux comme son géniteur, c’est mieux que pas d’enfant du tout, on aurait pu faire chou blanc de l’autre côté de la montagne.
• Comment sais-tu qu’il était roux lorsqu’il était jeune, malgré ses cheveux et sa barbe blanche, tu l’as vu ?
• Qu’as-tu fait lorsque nous venions de nous réchauffer ?
• J’ai demandé les toilettes !
• Et Jonathan t’y a conduit pour remettre l’eau pour la chasse !
J’ai vu l’album de photos, je l’ai regardé et j’ai vu que cet homme était poil de carotte dans sa jeunesse.
Dans les dernières photos que j’ai vue avant votre retour, il était au bord d’un lac en maillot de bain, son sexe ayant du mal à tenir dans son slip.
J’ai considéré que si vous étiez partant tous les deux ce pouvait être celui que nous recherchions.
Mon dieu au début entre mes cils, lorsqu’il l’a sorti j’ai eu un instant peur qu’il te déchire la chatte, mais toute la nuit tu t’en serais accommodé.
Nous pouvons rentrer près de tes parents et attendre bien sagement que la nature fasse son œuvre.
Je me penche sur son épaule, elle ouvre son bras, heureusement nous sommes de retour au bas de cette montagne où j’aurais rencontré mon père Noël canadien.
De retour tout simplement au chalet, j’ouvre un œil, lorsque Dee me secoue tendrement pour me réveiller.
• Où est maman, papa, elle est au jardin ?
• Ta mère m’a quitté, sa copine est venue la chercher, elle a fait sa valise et elles sont parties.
• Et tu me dis ça comme, comme si tu m’annonçais qu’il neigeait en été.
Pourquoi cette comparaison, neiger en été, pourquoi pas me faire baiser par le père Noël, il est vrai que j’ai une longueur d’avance depuis l’affaire du porte-monnaie et du hors nord sur le lac ?
De plus je sais les tendances lesbiennes des femmes de notre famille, j’en suis la meilleure preuve même si la nuit dernière je me suis fait défoncer par cette bite majestueuse.
• Ma chérie, comment pouvais-je lutter contre les envies sexuelles de ta maman ?
Tu as suivi le même parcours qu’elle avec Dee que j’adore.
Tu dois savoir que moi aussi j’ai eu des moments de faiblesse avant que nous apprenions que tu restais au Canada et que tu nous invitais à te rejoindre.
• Des moments de faiblesse, que veux-tu dire papa !
• Alice ta belle-mère, j’ai eu des relations avec elle dans le dos de ma femme et de Benoît son mari.
• Tu trompais maman avec Alice, la salope, mais à quel moment ?
• J’étais taxi je te le rappelle, Alice me payait pour la conduire sur les plages non loin de Bordeaux.
C’est dans la voiture que je la baisais, une vraie salope.
Mais qu’est-ce que tu me fais dire ma fille, tu m’en fais trop dire !
Papa et Alice, Alice et moi, pourquoi pas Alice et maman, ma belle-mère m’ayant montré qu’elle savait comme moi manier la bite ou la chatte d’être humaines.
Alice qui me disait qu’il fallait baiser utile pour la famille, à part des courses gratuites économisées, je vois mal papa utile pour la famille que nous formions.
Dee, regarde le courrier et en ouvre une en papier craffe.
Je la vois partir vers notre chambre, je suis dans la grande salle de séjour, elle revient et me tend la lettre, d’une main et de l’autre un écrin ouvert.
• Susy, voici l’acte de divorce te délivrant de ton mariage.
Veux tu m’épouser ?
Dans son autre main un petit écrin ouvert et une jolie bague bien plus simple que celle que j’ai déjà ôté ainsi que mon alliance avec Christophe.
J’ignore à quel moment Dee l’ai acheté, surement lors de son voyage pour aller rencontrer mon beau-père et m’échangé contre le contrat qu’elle a signé avec ceux qui étaient ma famille bizarre.
• C’est bien Susy, poussez, oui c’est bien poussez encore.
• Andrée je voudrais bien vous y voir espèce de...
Vous m’excusez, si j’ai failli traité la femme de ma mère de gouine, maman me tenant une main et Dee l’autre.
Toutes femmes ayant accouché chez elle, savent par quoi je passe.
Dans la vallée où se trouvent notre lac et notre chalet, Andrée est l’accoucheuse de service et c’est elle qui me suivait en attendant la naissance de Hugo notre fils.
• C’est un garçon, il a beaucoup de cheveux, un joli petit brun.
Je sais, j’étais tellement pressée d’arrêter la douleur ressentie, que j’ai anticipé de vous dire le nom de celui que ma maman me pose dans les bras.
Brun on est sauvé, même si je suis sûr que Dee aurait accepté s’il avait été roux.
• Vous avez vu comme mon petit-fils est bien pourvu, je crains sa femme le jour ou adulte, il la déflorera !
Voilà vous savez tout de cette famille bizarre.
À non, deux choses, la première, le détective que Dee a payé, a continué à surveiller cette famille.
Christophe a épousé Romain le garçon qui l’enculait et que je voyais depuis la terrasse sur la plage protégée des regards.
La deuxième, la douleur s’estompe et je pense déjà à donner une petite sœur à Hugo.
Comment s’appelait l’auberge du père Noël, à oui, les cimes, dès la date de sa fermeture après la saison de neige, je pense que j’irai voir mon père Noël canadien ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un grand merci pour ces dialogues à mourir de rire !
Merci beaucoup Chris pour ce magnifique feuilleton
Cyrille
Cyrille