COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (2/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (2/11)
• Oui, je le veux.
C’est ainsi que je me suis retrouvée devant monsieur le maire suivi du curé et que j’ai épousé Christophe, fils d’Alice et de Benoît famille riche de Bordeaux.
C’est à la fac que je l’ai rencontré.
Pour notre voyage de noces, Christophe m’emmène dans la villa de ses parents sur la côte.
Cette villa a une petite plage privée parfaitement protégée de tous les côtés.
Nous passons quelques jours à nous aimer même sur la plage faisant attention au sable pouvant nous blesser s’il en rentre dans mon intimité.
Sans nous prévenir mes beaux-parents débarquent ce qui me fait plaisir.
La villa est à eux et ils ont raison de venir y séjourner, surtout que nous avons chacun un étage nous permettant de nous isoler.
Pendant que ma belle-mère défait leurs affaires nous descendons à la plage Christophe et Benoît mon beau-père.
Quelle est ma surprise de voir Benoît enlever son slip de bain me montrant sa verge bien plus grosse que celle de celui qui s’allonge et se met à dormir.
J’ai envie de remonter les marches et me sauver lorsque Benoit m’intime l’ordre de porter ma main dans un premier temps.
Alors que je tourne le dos à Christophe, je reçois un deuxième ordre de la mettre dans ma bouche.
J’ai la possibilité de laisser là ce dégénéré, mais j’ai goûté au luxe de cette famille et j’ai peur de tout perdre.
Quelle est ma surprise quand l’homme sans respect des préceptes régissant la famille demande à son fils de venir me baiser.
Pour lui faire une fellation je me suis agenouillée me mettant presque en levrette.
C’est sans difficulté sur l’ordre de son père que le fils vient me baiser.
Benoît, à partir de maintenant est-il possible de l’appeler beau-papa depuis qu’il est dans ma bouche.
Christophe, le fils me montrant leur connivence me limant la chatte, c’est une petite salope qui se donne à ces deux verges.
• Fils, laisse-moi ta place, vient te faire sucer, j’adore ses seins, ta femme est parfaite.
C’est dans la brume de cette fin d’après-midi surchauffée que je vois les deux hommes s’astiquant pour éviter de débander, changer de place.
Christophe entre comme dans du beurre au fond de ma gorge.
Comme je l’ai dit, il est bien moins pourvu que son père qui vient présenter sa verge à ma chatte.
J’ai envie de réagir et si ma belle-mère venait à nous rejoindre, je serais obligée de faire mes bagages et reprendre le train pour retourner chez mes parents.
Benoît caresse ma chatte avec son mandrin, je mouille, j’ai hâte de le sentir en moi.
• Fils, tu l’as déjà !
• Non, père, je t’en ai laissé la primeur.
J’ai le temps, une fraction de seconde de comprendre quelle autorisation il lui donne la primeur et il force ma petite porte.
Christophe a-t-il anticipé ce que son père allait me faire, il a sorti sa verge de ma bouche la promenant sur mon visage.
Il a bien fait, j’ai une telle douleur une fraction de seconde que je sers mes mâchoires manquant de l’émasculer.
Dans quelle famille bizarre suis-je tombée, mais pendant que je me fais sodomiser un nouvel évènement se produit.
Dans le brouillard qui m’a saisi, je vois Alice descendre les marches, elle aussi est nue.
À la cinquantaine, cette femme entièrement épilée reste magnifique.
Je vois qu’elle entretient son corps.
Je sais que trois fois par semaine elle laisse l’agence à son mari pour rejoindre sa salle de sport.
Nue, mais avec des talons haut au risque de dévaler les marches.
À chaque pas j’entends le bruit sur les marches de granite.
Ses seins légèrement tombants mais encore très beaux tressautent à chaque marche.
Quand elle arrive à la dernière à deux mètres de moi, Benoît décharge en même temps que mon mari dans ma bouche.
Elle lève une jambe vers l’arrière et enlève la première suivi de la deuxième.
J’ai le temps de voir ses grandes lèvres qui s’écartent montrant le rose de son vagin.
• Alors les garçons on s’amuse bien !
Je vois que vous avez pris votre plaisir.
Tu vois Christophe après les renseignements que j’ai fait prendre sur ta femme, je savais que tu faisais le bon choix.
Susy tu dois être surprise, viens te baigner.
Je me lève et je suis ma belle-mère.
Va-t-elle me noyer ?
Nous entrons dans l’eau.
Nous pouvons nous baigner, mais peu loin les rochers rapidement nous empêchent de nager.
• Susy, tu dois être étonnée que mon mari t’ait baisée pendant que le tient déversait son sperme dans ta bouche !
Au cri que tu as poussé alors que je descendais, je pense que Benoît t’a sodomisé.
Benoît sodomise toujours les femmes depuis la naissance de son fils à qui il fait l’amour.
En acceptant ce qui vient de se passer, tu me montres que tu as choisi ta vie.
En prononçant un « oui » à Christophe à la mairie et à l’église, avais-tu incorporé notre cellule familiale, la réponse est « non ».
Toute notre vie est dictée par nos affaires, le sexe en fait partie.
Quand je l’ai incorporé à quelques détails près, j’ai suivi le même chemin que toi.
Dis-moi as-tu eu envie de remonter les marches ?
• Oui, Alice, j’ai failli prendre mes jambes à mon cou.
• Mais tu es restée !
Tu as dû penser à tout ce que tu allais perdre depuis que je t’ai donné le goût des belles choses.
L’argent plus on en gagne et plus on a envie d’en gagner.
J’ai souvent mis la main à la pâte.
• Alice, je dois reconnaître que tu as raison.
J’ai trop vu ma mère suer sang et eau pour un salaire de misère.
Tu vas voir, dès notre retour à Bordeaux, maintenant que tu fais définitivement partie de la famille, tu partiras pour New York avec ton beau-père.
As-tu déjà couché et fais l'amour avec une fille ?
Embrasse-moi, cette nuit je vais t’apprendre.
Aux États-Unis, tu rencontreras avec lui une femme de mon âge.
Elle est lesbienne à cent pour cent.
J’aurais pu y aller, mais nous avons appris qu’elle repoussait les femmes de mon âge et qu’elle adorait les filles avec des seins comme les tiens.
Une poupée aux gros seins comme les tient va nous aider à la faire signer un contrat entre une grosse firme française et la société qu’elle dirige.
Si ça marche, à toi seule, tu auras gagné notre chiffre d’affaires pour les deux prochaines années.
Si tu y arrive, tu offrirais un taxi neuf de marque Mercedes à ton père avec des contrats chaque jour pour déplacer des friqués Bordelais.
Ta maman sera promue directrice dans un hôtel quatre-étoiles.
Tu vois la confiance que l’on a en toi, fais ce qu’il faut pour éviter de me décevoir.
Elle se penche vers moi et pour la première fois sans aucun scrupule comme pour le moment où Benoît a voulu que je le caresse, nos bouches se trouvent.
Christophe est un garçon qui va droit au but.
Les préliminaires il aime peu.
La douceur de la caresse me permet de penser que j’ai failli quitter mon futur mari pour rencontrer d’autres verges.
J’avais oublié qu’il était possible de faire ça avec des filles.
• Dis-moi Susy, en te sodomisant, il t’a fait mal, ton anus, c’est bien refermé ?
Disant cela Alice passe sa main entre mes cuisses.
Au passage elle m’ouvre la vulve, ce qui doit faire entrer l’eau de mer en moi.
Elle me fait une caresse avant d’essayer d’avoir mon trou du cul.
Je m’appuie sur mes mains derrière moi relevant les fesses lui laissant le passage.
Son doigt trouve porte close, mais je ressens une petite douleur.
• Ça va dans deux jours, la douleur disparaitra, si tu savais le nombre de fois où je me suis fait enculer.
Viens montons dans ma chambre, je vais tout de même te mettre de la Vaseline.
Un peu oie blanche à ce moment j’ignorais à quoi pouvais servir la Vaseline.
Quand de nouveau tirée par la main nous passons près des hommes, ils sont allongés tous les deux et ils dorment couchés sur le ventre.
Comme Christophe tout à l’heure dorment-ils, ou font-ils semblant ?
Arrivée aux marches elle remet ses chaussures et commence à monter.
Comment fait-elle pour tenir sur ces marches peu large ?
Nous arrivons à la hauteur de la terrasse et entrons dans sa chambre, la porte-fenêtre étant ouverte.
• Viens à la douche, le sable mélangé à l’eau de mer, c’est insidieux et peut entraîner des douleurs gâchant nos vacances.
À qui le dit-elle, j’ai donné le premier jour.
Il est facile d’entrer dans la douche italienne sans porte avec une vasque d’un mètre cinquante et assez large pour que nos corps se serrent.
Elle prend la savonnette et commence à me savonner le corps.
Couverte de mousse elle me la passe.
• À toi, savonne-moi.
Rapidement pour la première fois de ma jeune vie, mes doigts se retrouvent dans la chatte d’une femme qui plus est ma belle-mère.
Si on m’avait dit ça quand j’ai dit « oui » à Christophe…
C’est ainsi que je me suis retrouvée devant monsieur le maire suivi du curé et que j’ai épousé Christophe, fils d’Alice et de Benoît famille riche de Bordeaux.
C’est à la fac que je l’ai rencontré.
Pour notre voyage de noces, Christophe m’emmène dans la villa de ses parents sur la côte.
Cette villa a une petite plage privée parfaitement protégée de tous les côtés.
Nous passons quelques jours à nous aimer même sur la plage faisant attention au sable pouvant nous blesser s’il en rentre dans mon intimité.
Sans nous prévenir mes beaux-parents débarquent ce qui me fait plaisir.
La villa est à eux et ils ont raison de venir y séjourner, surtout que nous avons chacun un étage nous permettant de nous isoler.
Pendant que ma belle-mère défait leurs affaires nous descendons à la plage Christophe et Benoît mon beau-père.
Quelle est ma surprise de voir Benoît enlever son slip de bain me montrant sa verge bien plus grosse que celle de celui qui s’allonge et se met à dormir.
J’ai envie de remonter les marches et me sauver lorsque Benoit m’intime l’ordre de porter ma main dans un premier temps.
Alors que je tourne le dos à Christophe, je reçois un deuxième ordre de la mettre dans ma bouche.
J’ai la possibilité de laisser là ce dégénéré, mais j’ai goûté au luxe de cette famille et j’ai peur de tout perdre.
Quelle est ma surprise quand l’homme sans respect des préceptes régissant la famille demande à son fils de venir me baiser.
Pour lui faire une fellation je me suis agenouillée me mettant presque en levrette.
C’est sans difficulté sur l’ordre de son père que le fils vient me baiser.
Benoît, à partir de maintenant est-il possible de l’appeler beau-papa depuis qu’il est dans ma bouche.
Christophe, le fils me montrant leur connivence me limant la chatte, c’est une petite salope qui se donne à ces deux verges.
• Fils, laisse-moi ta place, vient te faire sucer, j’adore ses seins, ta femme est parfaite.
C’est dans la brume de cette fin d’après-midi surchauffée que je vois les deux hommes s’astiquant pour éviter de débander, changer de place.
Christophe entre comme dans du beurre au fond de ma gorge.
Comme je l’ai dit, il est bien moins pourvu que son père qui vient présenter sa verge à ma chatte.
J’ai envie de réagir et si ma belle-mère venait à nous rejoindre, je serais obligée de faire mes bagages et reprendre le train pour retourner chez mes parents.
Benoît caresse ma chatte avec son mandrin, je mouille, j’ai hâte de le sentir en moi.
• Fils, tu l’as déjà !
• Non, père, je t’en ai laissé la primeur.
J’ai le temps, une fraction de seconde de comprendre quelle autorisation il lui donne la primeur et il force ma petite porte.
Christophe a-t-il anticipé ce que son père allait me faire, il a sorti sa verge de ma bouche la promenant sur mon visage.
Il a bien fait, j’ai une telle douleur une fraction de seconde que je sers mes mâchoires manquant de l’émasculer.
Dans quelle famille bizarre suis-je tombée, mais pendant que je me fais sodomiser un nouvel évènement se produit.
Dans le brouillard qui m’a saisi, je vois Alice descendre les marches, elle aussi est nue.
À la cinquantaine, cette femme entièrement épilée reste magnifique.
Je vois qu’elle entretient son corps.
Je sais que trois fois par semaine elle laisse l’agence à son mari pour rejoindre sa salle de sport.
Nue, mais avec des talons haut au risque de dévaler les marches.
À chaque pas j’entends le bruit sur les marches de granite.
Ses seins légèrement tombants mais encore très beaux tressautent à chaque marche.
Quand elle arrive à la dernière à deux mètres de moi, Benoît décharge en même temps que mon mari dans ma bouche.
Elle lève une jambe vers l’arrière et enlève la première suivi de la deuxième.
J’ai le temps de voir ses grandes lèvres qui s’écartent montrant le rose de son vagin.
• Alors les garçons on s’amuse bien !
Je vois que vous avez pris votre plaisir.
Tu vois Christophe après les renseignements que j’ai fait prendre sur ta femme, je savais que tu faisais le bon choix.
Susy tu dois être surprise, viens te baigner.
Je me lève et je suis ma belle-mère.
Va-t-elle me noyer ?
Nous entrons dans l’eau.
Nous pouvons nous baigner, mais peu loin les rochers rapidement nous empêchent de nager.
• Susy, tu dois être étonnée que mon mari t’ait baisée pendant que le tient déversait son sperme dans ta bouche !
Au cri que tu as poussé alors que je descendais, je pense que Benoît t’a sodomisé.
Benoît sodomise toujours les femmes depuis la naissance de son fils à qui il fait l’amour.
En acceptant ce qui vient de se passer, tu me montres que tu as choisi ta vie.
En prononçant un « oui » à Christophe à la mairie et à l’église, avais-tu incorporé notre cellule familiale, la réponse est « non ».
Toute notre vie est dictée par nos affaires, le sexe en fait partie.
Quand je l’ai incorporé à quelques détails près, j’ai suivi le même chemin que toi.
Dis-moi as-tu eu envie de remonter les marches ?
• Oui, Alice, j’ai failli prendre mes jambes à mon cou.
• Mais tu es restée !
Tu as dû penser à tout ce que tu allais perdre depuis que je t’ai donné le goût des belles choses.
L’argent plus on en gagne et plus on a envie d’en gagner.
J’ai souvent mis la main à la pâte.
• Alice, je dois reconnaître que tu as raison.
J’ai trop vu ma mère suer sang et eau pour un salaire de misère.
Tu vas voir, dès notre retour à Bordeaux, maintenant que tu fais définitivement partie de la famille, tu partiras pour New York avec ton beau-père.
As-tu déjà couché et fais l'amour avec une fille ?
Embrasse-moi, cette nuit je vais t’apprendre.
Aux États-Unis, tu rencontreras avec lui une femme de mon âge.
Elle est lesbienne à cent pour cent.
J’aurais pu y aller, mais nous avons appris qu’elle repoussait les femmes de mon âge et qu’elle adorait les filles avec des seins comme les tiens.
Une poupée aux gros seins comme les tient va nous aider à la faire signer un contrat entre une grosse firme française et la société qu’elle dirige.
Si ça marche, à toi seule, tu auras gagné notre chiffre d’affaires pour les deux prochaines années.
Si tu y arrive, tu offrirais un taxi neuf de marque Mercedes à ton père avec des contrats chaque jour pour déplacer des friqués Bordelais.
Ta maman sera promue directrice dans un hôtel quatre-étoiles.
Tu vois la confiance que l’on a en toi, fais ce qu’il faut pour éviter de me décevoir.
Elle se penche vers moi et pour la première fois sans aucun scrupule comme pour le moment où Benoît a voulu que je le caresse, nos bouches se trouvent.
Christophe est un garçon qui va droit au but.
Les préliminaires il aime peu.
La douceur de la caresse me permet de penser que j’ai failli quitter mon futur mari pour rencontrer d’autres verges.
J’avais oublié qu’il était possible de faire ça avec des filles.
• Dis-moi Susy, en te sodomisant, il t’a fait mal, ton anus, c’est bien refermé ?
Disant cela Alice passe sa main entre mes cuisses.
Au passage elle m’ouvre la vulve, ce qui doit faire entrer l’eau de mer en moi.
Elle me fait une caresse avant d’essayer d’avoir mon trou du cul.
Je m’appuie sur mes mains derrière moi relevant les fesses lui laissant le passage.
Son doigt trouve porte close, mais je ressens une petite douleur.
• Ça va dans deux jours, la douleur disparaitra, si tu savais le nombre de fois où je me suis fait enculer.
Viens montons dans ma chambre, je vais tout de même te mettre de la Vaseline.
Un peu oie blanche à ce moment j’ignorais à quoi pouvais servir la Vaseline.
Quand de nouveau tirée par la main nous passons près des hommes, ils sont allongés tous les deux et ils dorment couchés sur le ventre.
Comme Christophe tout à l’heure dorment-ils, ou font-ils semblant ?
Arrivée aux marches elle remet ses chaussures et commence à monter.
Comment fait-elle pour tenir sur ces marches peu large ?
Nous arrivons à la hauteur de la terrasse et entrons dans sa chambre, la porte-fenêtre étant ouverte.
• Viens à la douche, le sable mélangé à l’eau de mer, c’est insidieux et peut entraîner des douleurs gâchant nos vacances.
À qui le dit-elle, j’ai donné le premier jour.
Il est facile d’entrer dans la douche italienne sans porte avec une vasque d’un mètre cinquante et assez large pour que nos corps se serrent.
Elle prend la savonnette et commence à me savonner le corps.
Couverte de mousse elle me la passe.
• À toi, savonne-moi.
Rapidement pour la première fois de ma jeune vie, mes doigts se retrouvent dans la chatte d’une femme qui plus est ma belle-mère.
Si on m’avait dit ça quand j’ai dit « oui » à Christophe…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que c'est bon de suivre, encore cette histoire...
Vivement la suite...
Cyrille
Vivement la suite...
Cyrille
Cher Chris
On ne demande qu'à vous croire sur l évolution du fil directeur...
Peut-être que ma remarque était justement un aiguillon à cette fin ?
On veut tout à fait vous croire
Bien à vous
On ne demande qu'à vous croire sur l évolution du fil directeur...
Peut-être que ma remarque était justement un aiguillon à cette fin ?
On veut tout à fait vous croire
Bien à vous
Cher Chris
On ne demande qu'à vous croire sur l évolution du fil directeur...
Peut-être que ma remarque était justement un aiguillon à cette fin ?
Bien à vous
On ne demande qu'à vous croire sur l évolution du fil directeur...
Peut-être que ma remarque était justement un aiguillon à cette fin ?
Bien à vous
Cher lecteur merci pour le commentaire
à un détail près, connaissant Christ un peu depuis le temps est-ce que Christ, suis le schéma d'autres auteurs?
Y aura-t-il des surprises, moi je le croix...
à un détail près, connaissant Christ un peu depuis le temps est-ce que Christ, suis le schéma d'autres auteurs?
Y aura-t-il des surprises, moi je le croix...
Récit bien agréable et très bien écrit,
Le correcteur est d excellente facture cette fois 👍
Par contre on devine déjà la suite comme pour d autres séries...
On pourrait avoir un scénario différent ?
Au plaisir de vous lire
Le correcteur est d excellente facture cette fois 👍
Par contre on devine déjà la suite comme pour d autres séries...
On pourrait avoir un scénario différent ?
Au plaisir de vous lire
Récit agréable et bien écrit, le correcteur est d une très