COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (3/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (3/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Bizarre, mais friquée, ce qui altère légèrement mon jugement.
Alice, ma belle-mère m’a appris à aimer le luxe le peu de temps où je l’ai côtoyé avant notre mariage surtout pendant sa préparation.
Institut de beauté me faisant tailler les poils de ma chatte.
Massage décontractant mes lombaires.
Traiteur pour le soir de noces.
Champagne haut de gamme coulant à flots faisant peur à mes parents petits travailleurs besogneux.
Sans oublier ma robe blanche achetée dans la plus grande boutique vendant ce genre de vêtements à Bordeaux.
Chaque fois que nous sortions, elle m’a fait connaître les meilleurs restaurants de la ville où nous étions servis comme des reines.
Bref le luxe, le haut de gamme.
Sans oublier la voiture allemande offerte par ses parents à mon mari, nous qui dans ma famille, nous prenons le train et le bus en ville.
Quand Benoît mon beau-père a eu des gestes déplacés, j’aurais dû lui mettre une baffe or je lui ai pompé la queue.
Croyant que mon mari dormait, il m’a surprise me prenant en levrette avant que celui que j’ai du mal à appeler beau-papa, mais Benoît venant me sodomiser.
Sur cette plage le monde bascule quand ma belle-mère arrive semblant trouver normal que je me fasse enculer par son mari.
Me prenant à part dans l’eau elle me fait comprendre qu’ils appellent ça « l’esprit de famille » entièrement tourné dans l’intérêt de l’affaire créée depuis plusieurs générations.
Pour ma part, même si j’ai aimé cette situation prise entre mon mari et Benoît suçant l’un en me faisant sodomiser par l’autre, je trouve cette famille au sein de laquelle je viens d’être propulsée un peu bizarre, mais j’ai déjà employé ce mot.
• Viens dans ma chambre Susy, je vais t’apprendre bien des choses qui te seront utiles à New York.
Tu parles parfaitement l’anglais presque sans faute à ce que j’ai vu dans tes dossiers.
C’est ta grand-mère maternelle qui te le faisait parler chaque mercredi où tu allais chez elle à ce que j’en sais !
• Comment peux-tu savoir tout ça ?
• L’argent, ça sert à avoir tous les renseignements sur une personne.
Avant de nous engager dans une affaire juteuse, ce sont celles les plus à risques, nous avons un détective qui travaille pour nous.
Je lui ai confié une enquête sur toi et ta famille.
Ils nous étaient impossibles de prendre le risque que Christophe épouse une jeune fille qui aurait du mal à nous comprendre.
Je sais que ta mère a trouvé sa place dans son hôtel, car étant fille d’Anglaise ayant vécu à Londres jusqu’à ses quinze ans, elle est parfaitement bilingue.
Elle est parfaitement bilingue étant venue en France après le divorce de sa mère.
Elles sont toutes les deux venues habitées à Bordeaux.
• Et tu sais tout ça !
• J’en sais un peu plus, toi-même sais-tu pourquoi ta grand-mère est venue en France après son divorce ?
• Non, c’était des nons dits chez nous.
• C’était une gouine et avait trompé son anglais de mari avec sa copine.
Sais-tu avec qui elle a une relation même à son âge en France ?
• Non.
• Avec sa voisine Judite.
• Quoi avec tante Judite, pardon, c’est comme ça qu’elle veut que je l’appelle, elles sont lesbiennes !
• Et ta maman, elle aime les hommes, elle a épousé ton père !
• Bien sûrs, ils sont heureux ensemble.
• Oui, ta maman avant de le connaître a eu une liaison à Londres avant leur départ avec Abby, une jeune étudiante comme elle.
C’est elle qui l’a dépucelé avec un gode.
Elle a rencontré ton père et eu un rapport hétéro et tu es née.
Il l’a épousé et il est vrai qu’elle est restée sérieuse avec lui.
Ton père aurait pu être cocu, mais notre détective a fait chou blanc sur ce sujet !
Tu vois l’argent, ça sert à ça.
Mince, il a fait chou blanc, mais pourtant je sais que maman passait des heures chez tante Judite, notre voisine se faisait-elle la mère et la fille !
• Voilà un des principaux critères qui m’ont fait demander à mon fils de te séduire.
Un chat évite de faire des chiens.
Une grand-mère lesbienne, une mère lesbienne.
On dit bien, jamais deux sans trois.
Quand tu m’as embrassé et que je t’ai mis un doigt, j’ai senti ton corps vibrer.
Dans les minutes qui suivent, elle m’apprend à être une parfaite gougnotte.
Cunnilingus, caresse de nos seins, les siens sont fermes sous ma main.
En plus du shopping elle m’a fait faire de la salle de gym avant mon mariage.
Dans la chambre sur le lit, elle m’apprend à frotter mon clito sur son gros clito.
Ça me fait jouir comme jamais bien que préférant les pénétrations, elle sort de sa valise un gode avec une ceinture bien plus gros que le sexe de son fils et de son mari.
Est-elle fétichiste, en plus il est noir ?
Cette nuit, elle m’a caressé l’anus avec sa langue.
J’avais envie qu’elle m’encule comme Benoît.
Je lui ai proposé, elle a refusé pour cette nuit afin que la douleur de mon dépucelage par Benoît s’estompe.
C’est dans la journée que nous retrouvons nos hommes.
Chacun d’eux assis à la table à l’ombre d’un parasol sur la terrasse et toujours nus.
Nous les embrassons.
Christophe me met la main aux fesses, je sens que je vibre.
• Alice, j’ai eu Romain, il vient samedi en début d’après-midi, vous me laisserez le champ libre.
• J’ai appelé, j’ai déjà pris mes dispositions.
• Ok papa.
• Nous irons faire du shopping avec Susy, je t’expliquerais plusieurs choses pendant notre promenade.
Le soir Alice a prétexté un mal de crâne pour aller se coucher seule.
Quand les choses ont tourné en faveur des hommes m’ayant entraîné devant la cheminée éteinte en cette saison.
Je me retrouve sur la peau de bête.
Un dans ma chatte, Christophe, un dans mon anus en double pénétration.
Que dois-je déduire de cette situation que je découvre ?
Sont-ils une famille de pervers profitant de ma crédulité ou dans les semaines ou les mois prochains devrais-je me livrer à deux hommes en même temps pour finaliser un contrat ?
Ce qu’il y a de sûr, c’est que j’ai énormément eu de plaisir avec Alice, Christophe et Benoît.
Ce fut un bref voyage au pays des plaisirs tous les jours renouvelés.
Pourquoi m’en plaindre, laissons-nous vivre.
Jusqu’au samedi où comme d’habitude je me réveille tard.
C’est le couple qui m’a accueilli dans leur grand lit de presque deux mètres de large.
Les quatre chambres ont des lits de deux mètres de large.
Me faire sodomiser pendant que sous moi Alice me suce la chatte et que je la suce en même temps donnant même de petit coup de dents dans son clitoris comme elle m’a appris à le faire.
Plus tard à la lueur des bougies qu’elle a allumées en début de soirée, placé là en cas de coupure de courant fréquent lors de tempêtes.
C’est moi qui place sous elle prenant la verge de son mari pour lui fourrer dans le cul.
Comparer à moi, il entre comme dans une motte de beurre.
• L’invité de mon fils est arrivé, dépêche-toi de te préparer.
Benoît vient de partir.
Nous pouvons nous éclipser sans les gêner, ils sont descendus à la plage.
Bien énigmatique la belle-mère.
Je me prépare, petits sous-vêtements coquins et petite robe à fleurs.
Je l’adore l’été surtout sur les plages bordelaises où j’allais me faire bronzer dès les premiers soleils à la sortie de l’hiver.
• Tu es prête, je vais te montrer quelque chose, évite de faire du bruit !
Nous allons sur la terrasse.
À l’abri d’un laurier-rose nous regardons vers la plage.
Christophe est à quatre pattes la verge d’un jeune homme longiligne le sodomisant, lui aussi.
Je manque de hurler de stupeur.
• Mueee…
Ma belle-mère vient de voir que j’allais hurler et me bâillonne de sa main.
• Viens, partons, allons ailleurs pour t’expliquer ce que fait mon fils.
Elle m’a parlé à l’oreille.
Avant de me tirer fermement en arrière mon regard plonge de nouveau vers mon mari.
Il ouvre la bouche et c’est lui qui hurle son plaisir.
Dans quelle famille suis-je tombée ?
Nous montons dans sa Porche, Alice prend le volant.
Elle conduit sèchement sans faire particulièrement attention aux limitations de vitesse.
Que va-elle m’apprendre sur les mœurs de mon mari ?...
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Bizarre, mais friquée, ce qui altère légèrement mon jugement.
Alice, ma belle-mère m’a appris à aimer le luxe le peu de temps où je l’ai côtoyé avant notre mariage surtout pendant sa préparation.
Institut de beauté me faisant tailler les poils de ma chatte.
Massage décontractant mes lombaires.
Traiteur pour le soir de noces.
Champagne haut de gamme coulant à flots faisant peur à mes parents petits travailleurs besogneux.
Sans oublier ma robe blanche achetée dans la plus grande boutique vendant ce genre de vêtements à Bordeaux.
Chaque fois que nous sortions, elle m’a fait connaître les meilleurs restaurants de la ville où nous étions servis comme des reines.
Bref le luxe, le haut de gamme.
Sans oublier la voiture allemande offerte par ses parents à mon mari, nous qui dans ma famille, nous prenons le train et le bus en ville.
Quand Benoît mon beau-père a eu des gestes déplacés, j’aurais dû lui mettre une baffe or je lui ai pompé la queue.
Croyant que mon mari dormait, il m’a surprise me prenant en levrette avant que celui que j’ai du mal à appeler beau-papa, mais Benoît venant me sodomiser.
Sur cette plage le monde bascule quand ma belle-mère arrive semblant trouver normal que je me fasse enculer par son mari.
Me prenant à part dans l’eau elle me fait comprendre qu’ils appellent ça « l’esprit de famille » entièrement tourné dans l’intérêt de l’affaire créée depuis plusieurs générations.
Pour ma part, même si j’ai aimé cette situation prise entre mon mari et Benoît suçant l’un en me faisant sodomiser par l’autre, je trouve cette famille au sein de laquelle je viens d’être propulsée un peu bizarre, mais j’ai déjà employé ce mot.
• Viens dans ma chambre Susy, je vais t’apprendre bien des choses qui te seront utiles à New York.
Tu parles parfaitement l’anglais presque sans faute à ce que j’ai vu dans tes dossiers.
C’est ta grand-mère maternelle qui te le faisait parler chaque mercredi où tu allais chez elle à ce que j’en sais !
• Comment peux-tu savoir tout ça ?
• L’argent, ça sert à avoir tous les renseignements sur une personne.
Avant de nous engager dans une affaire juteuse, ce sont celles les plus à risques, nous avons un détective qui travaille pour nous.
Je lui ai confié une enquête sur toi et ta famille.
Ils nous étaient impossibles de prendre le risque que Christophe épouse une jeune fille qui aurait du mal à nous comprendre.
Je sais que ta mère a trouvé sa place dans son hôtel, car étant fille d’Anglaise ayant vécu à Londres jusqu’à ses quinze ans, elle est parfaitement bilingue.
Elle est parfaitement bilingue étant venue en France après le divorce de sa mère.
Elles sont toutes les deux venues habitées à Bordeaux.
• Et tu sais tout ça !
• J’en sais un peu plus, toi-même sais-tu pourquoi ta grand-mère est venue en France après son divorce ?
• Non, c’était des nons dits chez nous.
• C’était une gouine et avait trompé son anglais de mari avec sa copine.
Sais-tu avec qui elle a une relation même à son âge en France ?
• Non.
• Avec sa voisine Judite.
• Quoi avec tante Judite, pardon, c’est comme ça qu’elle veut que je l’appelle, elles sont lesbiennes !
• Et ta maman, elle aime les hommes, elle a épousé ton père !
• Bien sûrs, ils sont heureux ensemble.
• Oui, ta maman avant de le connaître a eu une liaison à Londres avant leur départ avec Abby, une jeune étudiante comme elle.
C’est elle qui l’a dépucelé avec un gode.
Elle a rencontré ton père et eu un rapport hétéro et tu es née.
Il l’a épousé et il est vrai qu’elle est restée sérieuse avec lui.
Ton père aurait pu être cocu, mais notre détective a fait chou blanc sur ce sujet !
Tu vois l’argent, ça sert à ça.
Mince, il a fait chou blanc, mais pourtant je sais que maman passait des heures chez tante Judite, notre voisine se faisait-elle la mère et la fille !
• Voilà un des principaux critères qui m’ont fait demander à mon fils de te séduire.
Un chat évite de faire des chiens.
Une grand-mère lesbienne, une mère lesbienne.
On dit bien, jamais deux sans trois.
Quand tu m’as embrassé et que je t’ai mis un doigt, j’ai senti ton corps vibrer.
Dans les minutes qui suivent, elle m’apprend à être une parfaite gougnotte.
Cunnilingus, caresse de nos seins, les siens sont fermes sous ma main.
En plus du shopping elle m’a fait faire de la salle de gym avant mon mariage.
Dans la chambre sur le lit, elle m’apprend à frotter mon clito sur son gros clito.
Ça me fait jouir comme jamais bien que préférant les pénétrations, elle sort de sa valise un gode avec une ceinture bien plus gros que le sexe de son fils et de son mari.
Est-elle fétichiste, en plus il est noir ?
Cette nuit, elle m’a caressé l’anus avec sa langue.
J’avais envie qu’elle m’encule comme Benoît.
Je lui ai proposé, elle a refusé pour cette nuit afin que la douleur de mon dépucelage par Benoît s’estompe.
C’est dans la journée que nous retrouvons nos hommes.
Chacun d’eux assis à la table à l’ombre d’un parasol sur la terrasse et toujours nus.
Nous les embrassons.
Christophe me met la main aux fesses, je sens que je vibre.
• Alice, j’ai eu Romain, il vient samedi en début d’après-midi, vous me laisserez le champ libre.
• J’ai appelé, j’ai déjà pris mes dispositions.
• Ok papa.
• Nous irons faire du shopping avec Susy, je t’expliquerais plusieurs choses pendant notre promenade.
Le soir Alice a prétexté un mal de crâne pour aller se coucher seule.
Quand les choses ont tourné en faveur des hommes m’ayant entraîné devant la cheminée éteinte en cette saison.
Je me retrouve sur la peau de bête.
Un dans ma chatte, Christophe, un dans mon anus en double pénétration.
Que dois-je déduire de cette situation que je découvre ?
Sont-ils une famille de pervers profitant de ma crédulité ou dans les semaines ou les mois prochains devrais-je me livrer à deux hommes en même temps pour finaliser un contrat ?
Ce qu’il y a de sûr, c’est que j’ai énormément eu de plaisir avec Alice, Christophe et Benoît.
Ce fut un bref voyage au pays des plaisirs tous les jours renouvelés.
Pourquoi m’en plaindre, laissons-nous vivre.
Jusqu’au samedi où comme d’habitude je me réveille tard.
C’est le couple qui m’a accueilli dans leur grand lit de presque deux mètres de large.
Les quatre chambres ont des lits de deux mètres de large.
Me faire sodomiser pendant que sous moi Alice me suce la chatte et que je la suce en même temps donnant même de petit coup de dents dans son clitoris comme elle m’a appris à le faire.
Plus tard à la lueur des bougies qu’elle a allumées en début de soirée, placé là en cas de coupure de courant fréquent lors de tempêtes.
C’est moi qui place sous elle prenant la verge de son mari pour lui fourrer dans le cul.
Comparer à moi, il entre comme dans une motte de beurre.
• L’invité de mon fils est arrivé, dépêche-toi de te préparer.
Benoît vient de partir.
Nous pouvons nous éclipser sans les gêner, ils sont descendus à la plage.
Bien énigmatique la belle-mère.
Je me prépare, petits sous-vêtements coquins et petite robe à fleurs.
Je l’adore l’été surtout sur les plages bordelaises où j’allais me faire bronzer dès les premiers soleils à la sortie de l’hiver.
• Tu es prête, je vais te montrer quelque chose, évite de faire du bruit !
Nous allons sur la terrasse.
À l’abri d’un laurier-rose nous regardons vers la plage.
Christophe est à quatre pattes la verge d’un jeune homme longiligne le sodomisant, lui aussi.
Je manque de hurler de stupeur.
• Mueee…
Ma belle-mère vient de voir que j’allais hurler et me bâillonne de sa main.
• Viens, partons, allons ailleurs pour t’expliquer ce que fait mon fils.
Elle m’a parlé à l’oreille.
Avant de me tirer fermement en arrière mon regard plonge de nouveau vers mon mari.
Il ouvre la bouche et c’est lui qui hurle son plaisir.
Dans quelle famille suis-je tombée ?
Nous montons dans sa Porche, Alice prend le volant.
Elle conduit sèchement sans faire particulièrement attention aux limitations de vitesse.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle classe mon cher Chris, toujours des surprises...
J'adore
Cyrille
J'adore
Cyrille
Bonjour, vous avez raison petite surprise dans le scénario...on attend la suite avec impatience.
Bravo aussi sur la forme, bien agréable à lire sans faute.
Bien à vous
Bravo aussi sur la forme, bien agréable à lire sans faute.
Bien à vous