COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (4/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (4/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille d’Alice et Benoît en épousant leur fils Christophe.
Ils nous rejoignent dans leur villa de vacances surplombant la mer et ayant une petite plage privée inaccessible autrement que par l’escalier partant de la terrasse.
Terrasse où Alice me fait voir Christophe sur la plage se faisant sodomiser par Romain un homme qu’il devait recevoir.
Je vais pour hurler tellement la vision est surprenante, mais Alice me bâillonne et me dit qu’elle va toute m’expliquer.
Sa Porche qu’elle conduit file jusqu’à la ville voisine.
Nous croisons plusieurs panneaux lumineux parlant d’un congrès des pneumologues de France.
• Regarde Susy, ce congrès, c’est le but de notre soirée.
Avant nous allons faire du shopping.
Christophe, ton mari nous permet de faire chauffer notre Carte bleue.
S’il a accepté de se faire enculer, c’est que son amant avait signé le contrat nous liant à sa société.
Il y a deux mois qu’il travaille sur cette affaire.
Romain cherchait un financement pour démarrer son entreprise de transports.
Avec Benoît nous avons travaillé sur le dossier avec notre fils.
Nos renseignements nous ont appris qu’il était homo.
Christophe lui a fait comprendre que s’il signait le plan que nous lui apportions il lui céderait.
Dans la famille, on peut baiser hors mariage mais seulement pour que ça rapporte.
Tu dois savoir ce qu’un plan cul peut faire faire à nos clients s’ils ont envie de nous.
C’est pour ça que tu vas partir avec Benoît rencontrer une américaine lesbienne aimant les jeunes biches comme toi.
Elle travaille dans un groupement d’hôpitaux américains et à la charge de remplacer tous les IRMs.
Nous avons un fournisseur intéressé par ce contrat et qui nous rétrocédera une grosse part de ses bénéfices.
Ton DUT te sera utile, ils t’ont appris les bases du commerce.
À ce que j’ai vu les nuits dernières, nous avons fait le bon choix en te permettant d’épouser notre fils.
En moi-même, je me dis qu’ils se sont payé une pute avec bagouse au doigt.
Je mets ma pudeur dans ma poche, je me vois mal revenir chez mes parents en leur disant que papa rende sa voiture et que maman se retrouve au chômage.
J’ignore où tout cela me mènera, mais les boutiques de vêtements et chaussures que nous dévalisons, m’enlèvent tous scrupules.
C’est dans un hôtel-restaurant proche du Palais des Congrès qu’elle me conduit pour dîner.
Il y a beaucoup de monde, mais quand elle donne son nom, la cheffe de salle nous amène à une table qu’elle avait réservée.
• À partir de maintenant nous sommes au travail.
Observe tout et tous.
Dans quelques minutes je te poserais des questions.
Faire la pute familiale pour manger régulièrement des petits plats aussi bons, je suis partante.
Autour de moi les serveurs s’activent.
Je suis étonnée du nombre de couteaux, fourchettes et cuillères autour de notre assiette.
Je choisis des coquilles saint Jacques.
Plus particulièrement, « Brochette de noix de Saint-Jacques au bacon grillé » cuite sur un feu de bois dans la grande cheminée du restaurant.
J’oubliais en entrer le foie gras du Gers façon du chef.
Les couverts inutiles disparaissent pour laisser place à ceux qui me seront nécessaires.
Un rosé d’été, un sommelier est là pour le servir, j’ai quelques connaissances des vins et le choix est loin d’être judicieux avec le foie gras.
Nous refusons le plateau de fromages, cette chère belle-maman veut que je garde ma taille de guêpe.
Que ferait-elle d’une belle-fille obèse pour les années futures ?
À un moment elle se lève, passe vers deux hommes d’une quarantaine d’années et va aux toilettes.
Elle revient et s’installe.
• Voilà nos futurs clients Susy.
Fais comme moi, tu vas aux toilettes et tu passes vers ces hommes comme je l’ai fait.
Au, retour tu me diras si certaines choses peuvent nous être utiles pour les rencontrer !
• J’ignore ce que je dois chercher, mais si tu me le demande je le fais.
Je descends l’homme face à moi me détail de la tête aux pieds.
J’ai l’impression d’être aussi nue que sur notre petite plage privée.
Je suis très bien maquillé, avant de partir Alice ai tout contrôlé comme elle semble tout contrôler.
Au retour ils ont dû discuter entre eux pendant que j’étais aux toilettes, celui qui est face à moi me fait un léger clin d’œil.
• Alors, qu’as-tu vu qui pourrais nous intéresser dans notre business.
• Notre business ?
Je croyais que tu avais envie de finir la soirée avec eux avant de rentrer.
Mais comme tu m’as dit qu’il fallait baiser utile, je me suis concentrée sur leur personne.
• Et qu’as-tu vu ?
• Celui face à moi doit avoir un peu plus de la quarantaine, blonds, costume trois-pièces fait sur mesure.
• Le costume parfait et l’autre ?
• Certainement assez grand, même costume élégant cheveux poivre et sel.
• C’est tout.
À moi.
Ils sont tous les deux pneumologues.
• C’est en les regardant que tu as vu cela !
• Non, je t’ai dit en arrivant quand j’ai vu les panneaux lumineux de la mairie que le congrès des pneumologues était notre but du soir.
Claude a parlé tout le repas d’un appareil MPRN29.
C’est un appareil qui coûte très cher.
• Claude, le blond le connais-tu ?
• Non, mais j’ai appris à lire sur les lèvres.
L’autre j’ignore son nom, il était de dos pour moi, nous l’apprendrons bien assez tôt.
De plus, je savais en m’asseyant à cette table qu’il était au congrès.
C’est à dessein que je suis venue manger ici.
La nuit dernière, j’ai prétexté mon mal de tête pour pouvoir être tranquille.
J’avais vu les panneaux quand nous sommes arrivés et avec Benoît nous avons étudié sur Internet ce que nous pourrions apporter à des pneumologues.
Quand nous allions entrer dans le restaurant je les ai vus sortir de la salle où se tient le congrès et rentrer dans la salle du restaurant devant nous.
Ils ont parlé du MPRN29, là encore je l’ai lu sur les lèvres.
Pendant que tu étais aux toilettes, j’ai écrit un mail à Benoît qui vient de me renvoyer quelques éléments qui vont nous servir si comme je le pense ils vont nous coller aux fesses.
• Es-tu sûr qu’ils vont nous suivre ?
• Oui, le renseignement le plus important semble t’avoir échappé.
Ils sont mariés et ont enlevé leur alliance pour partir en goguette ce soir.
À la façon dont ils nous regardent, nous sommes leur proie alors qu’ils ignorent que ce sont eux qui sont notre gibier.
Nous nous levons, nous sortons et du restaurant et de l’hôtel.
J’ai l’impression qu’elle sait où elle va.
C’est ça, à quelques mètres de là nous passons, devant notre voiture sans nous arrêter pour cinquante mètres plus loin, entrer dans un établissement marqué « Club privé ».
• Tu vois Susy, j’avais préparé notre sortie et je savais que ce bar était ouvert tous les samedis soir.
Attendons, nos pigeons vont arriver, viens, allons nous asseoir au bar.
Au-dessus du grand bar en zinc il y a une glace.
Sans me retourner, je les vois arriver et se diriger vers nous.
• Le monde est petit, mesdames, nous étions au restaurant où nous avions remarqué votre beauté.
Nous décidons d’aller prendre un verre avant de rentrer nous coucher et nous tombons sur vous.
Croyez-vous au destin ?
• Pas plus que vous qui alliez nous dire que vous êtes célibataire alors que vos alliances sont dans la poche de votre gilet.
• Qui êtes-vous ?
• Des femmes qui peuvent vous aider à acquérir un MPRN29.
• Je voudrais comprendre, vous êtes des lobbyistes !
• Non, des femmes d’affaires qui peuvent vous aider à acquérir un tel appareil.
Je vais être directe, soit nous montons un dossier et nous finissons la nuit ma belle-fille et moi dans vos chambres.
Sois-vous êtes incertain et nous attendrons l’engagement d’un contrat pour nous amuser un peu.
Ce serait dommage, vous êtes beau gosse et Susy voulait gouter à une vraie bite ce soir.
• Une vraie bite, pardon !
• Oui, elle est mariée avec ma fille et seul un gode ceintures l’a pénétré.
Je lui avais promis pendant le repas que vous monsieur seriez le premier à la satisfaire.
• Nous serions partants, mais c’est un investissement très lourd pour notre cabinet.
• Vous êtes où, où est votre cabinet.
• À Toulouse la ville rose.
• Nous sommes bordelaises, voici notre carte, une petite signature au bas d’un contrat permettant de vous fournir au plus juste prix et vous aurez deux femelles dans vos chambres dont une toute neuve de la verge des hommes.
Alice grande dame sort de son baise-en-ville un bristol où sont placés son nom et son numéro de portable.
• Alice on va réfléchir, vous nous promettez de nous permettre de récupérer un MPRN29 au plus juste prix.
Mon ami et mon associé s’appelle Claude, moi Clovis.
Je sais interdit de rire.
• Sans problème avec une jolie partie de jambes en l’air en prime.
Sur ces mots nous sautons de nos tabourets de bar et nous les quittons retournant vers la Porche.
• Tu vois Susy, il faut savoir baiser utile.
La nuit va leur porter conseil.
Je suis frustrée, le dénommé Claude se frottait à moi sa queue semblait fort intéressante…
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille d’Alice et Benoît en épousant leur fils Christophe.
Ils nous rejoignent dans leur villa de vacances surplombant la mer et ayant une petite plage privée inaccessible autrement que par l’escalier partant de la terrasse.
Terrasse où Alice me fait voir Christophe sur la plage se faisant sodomiser par Romain un homme qu’il devait recevoir.
Je vais pour hurler tellement la vision est surprenante, mais Alice me bâillonne et me dit qu’elle va toute m’expliquer.
Sa Porche qu’elle conduit file jusqu’à la ville voisine.
Nous croisons plusieurs panneaux lumineux parlant d’un congrès des pneumologues de France.
• Regarde Susy, ce congrès, c’est le but de notre soirée.
Avant nous allons faire du shopping.
Christophe, ton mari nous permet de faire chauffer notre Carte bleue.
S’il a accepté de se faire enculer, c’est que son amant avait signé le contrat nous liant à sa société.
Il y a deux mois qu’il travaille sur cette affaire.
Romain cherchait un financement pour démarrer son entreprise de transports.
Avec Benoît nous avons travaillé sur le dossier avec notre fils.
Nos renseignements nous ont appris qu’il était homo.
Christophe lui a fait comprendre que s’il signait le plan que nous lui apportions il lui céderait.
Dans la famille, on peut baiser hors mariage mais seulement pour que ça rapporte.
Tu dois savoir ce qu’un plan cul peut faire faire à nos clients s’ils ont envie de nous.
C’est pour ça que tu vas partir avec Benoît rencontrer une américaine lesbienne aimant les jeunes biches comme toi.
Elle travaille dans un groupement d’hôpitaux américains et à la charge de remplacer tous les IRMs.
Nous avons un fournisseur intéressé par ce contrat et qui nous rétrocédera une grosse part de ses bénéfices.
Ton DUT te sera utile, ils t’ont appris les bases du commerce.
À ce que j’ai vu les nuits dernières, nous avons fait le bon choix en te permettant d’épouser notre fils.
En moi-même, je me dis qu’ils se sont payé une pute avec bagouse au doigt.
Je mets ma pudeur dans ma poche, je me vois mal revenir chez mes parents en leur disant que papa rende sa voiture et que maman se retrouve au chômage.
J’ignore où tout cela me mènera, mais les boutiques de vêtements et chaussures que nous dévalisons, m’enlèvent tous scrupules.
C’est dans un hôtel-restaurant proche du Palais des Congrès qu’elle me conduit pour dîner.
Il y a beaucoup de monde, mais quand elle donne son nom, la cheffe de salle nous amène à une table qu’elle avait réservée.
• À partir de maintenant nous sommes au travail.
Observe tout et tous.
Dans quelques minutes je te poserais des questions.
Faire la pute familiale pour manger régulièrement des petits plats aussi bons, je suis partante.
Autour de moi les serveurs s’activent.
Je suis étonnée du nombre de couteaux, fourchettes et cuillères autour de notre assiette.
Je choisis des coquilles saint Jacques.
Plus particulièrement, « Brochette de noix de Saint-Jacques au bacon grillé » cuite sur un feu de bois dans la grande cheminée du restaurant.
J’oubliais en entrer le foie gras du Gers façon du chef.
Les couverts inutiles disparaissent pour laisser place à ceux qui me seront nécessaires.
Un rosé d’été, un sommelier est là pour le servir, j’ai quelques connaissances des vins et le choix est loin d’être judicieux avec le foie gras.
Nous refusons le plateau de fromages, cette chère belle-maman veut que je garde ma taille de guêpe.
Que ferait-elle d’une belle-fille obèse pour les années futures ?
À un moment elle se lève, passe vers deux hommes d’une quarantaine d’années et va aux toilettes.
Elle revient et s’installe.
• Voilà nos futurs clients Susy.
Fais comme moi, tu vas aux toilettes et tu passes vers ces hommes comme je l’ai fait.
Au, retour tu me diras si certaines choses peuvent nous être utiles pour les rencontrer !
• J’ignore ce que je dois chercher, mais si tu me le demande je le fais.
Je descends l’homme face à moi me détail de la tête aux pieds.
J’ai l’impression d’être aussi nue que sur notre petite plage privée.
Je suis très bien maquillé, avant de partir Alice ai tout contrôlé comme elle semble tout contrôler.
Au retour ils ont dû discuter entre eux pendant que j’étais aux toilettes, celui qui est face à moi me fait un léger clin d’œil.
• Alors, qu’as-tu vu qui pourrais nous intéresser dans notre business.
• Notre business ?
Je croyais que tu avais envie de finir la soirée avec eux avant de rentrer.
Mais comme tu m’as dit qu’il fallait baiser utile, je me suis concentrée sur leur personne.
• Et qu’as-tu vu ?
• Celui face à moi doit avoir un peu plus de la quarantaine, blonds, costume trois-pièces fait sur mesure.
• Le costume parfait et l’autre ?
• Certainement assez grand, même costume élégant cheveux poivre et sel.
• C’est tout.
À moi.
Ils sont tous les deux pneumologues.
• C’est en les regardant que tu as vu cela !
• Non, je t’ai dit en arrivant quand j’ai vu les panneaux lumineux de la mairie que le congrès des pneumologues était notre but du soir.
Claude a parlé tout le repas d’un appareil MPRN29.
C’est un appareil qui coûte très cher.
• Claude, le blond le connais-tu ?
• Non, mais j’ai appris à lire sur les lèvres.
L’autre j’ignore son nom, il était de dos pour moi, nous l’apprendrons bien assez tôt.
De plus, je savais en m’asseyant à cette table qu’il était au congrès.
C’est à dessein que je suis venue manger ici.
La nuit dernière, j’ai prétexté mon mal de tête pour pouvoir être tranquille.
J’avais vu les panneaux quand nous sommes arrivés et avec Benoît nous avons étudié sur Internet ce que nous pourrions apporter à des pneumologues.
Quand nous allions entrer dans le restaurant je les ai vus sortir de la salle où se tient le congrès et rentrer dans la salle du restaurant devant nous.
Ils ont parlé du MPRN29, là encore je l’ai lu sur les lèvres.
Pendant que tu étais aux toilettes, j’ai écrit un mail à Benoît qui vient de me renvoyer quelques éléments qui vont nous servir si comme je le pense ils vont nous coller aux fesses.
• Es-tu sûr qu’ils vont nous suivre ?
• Oui, le renseignement le plus important semble t’avoir échappé.
Ils sont mariés et ont enlevé leur alliance pour partir en goguette ce soir.
À la façon dont ils nous regardent, nous sommes leur proie alors qu’ils ignorent que ce sont eux qui sont notre gibier.
Nous nous levons, nous sortons et du restaurant et de l’hôtel.
J’ai l’impression qu’elle sait où elle va.
C’est ça, à quelques mètres de là nous passons, devant notre voiture sans nous arrêter pour cinquante mètres plus loin, entrer dans un établissement marqué « Club privé ».
• Tu vois Susy, j’avais préparé notre sortie et je savais que ce bar était ouvert tous les samedis soir.
Attendons, nos pigeons vont arriver, viens, allons nous asseoir au bar.
Au-dessus du grand bar en zinc il y a une glace.
Sans me retourner, je les vois arriver et se diriger vers nous.
• Le monde est petit, mesdames, nous étions au restaurant où nous avions remarqué votre beauté.
Nous décidons d’aller prendre un verre avant de rentrer nous coucher et nous tombons sur vous.
Croyez-vous au destin ?
• Pas plus que vous qui alliez nous dire que vous êtes célibataire alors que vos alliances sont dans la poche de votre gilet.
• Qui êtes-vous ?
• Des femmes qui peuvent vous aider à acquérir un MPRN29.
• Je voudrais comprendre, vous êtes des lobbyistes !
• Non, des femmes d’affaires qui peuvent vous aider à acquérir un tel appareil.
Je vais être directe, soit nous montons un dossier et nous finissons la nuit ma belle-fille et moi dans vos chambres.
Sois-vous êtes incertain et nous attendrons l’engagement d’un contrat pour nous amuser un peu.
Ce serait dommage, vous êtes beau gosse et Susy voulait gouter à une vraie bite ce soir.
• Une vraie bite, pardon !
• Oui, elle est mariée avec ma fille et seul un gode ceintures l’a pénétré.
Je lui avais promis pendant le repas que vous monsieur seriez le premier à la satisfaire.
• Nous serions partants, mais c’est un investissement très lourd pour notre cabinet.
• Vous êtes où, où est votre cabinet.
• À Toulouse la ville rose.
• Nous sommes bordelaises, voici notre carte, une petite signature au bas d’un contrat permettant de vous fournir au plus juste prix et vous aurez deux femelles dans vos chambres dont une toute neuve de la verge des hommes.
Alice grande dame sort de son baise-en-ville un bristol où sont placés son nom et son numéro de portable.
• Alice on va réfléchir, vous nous promettez de nous permettre de récupérer un MPRN29 au plus juste prix.
Mon ami et mon associé s’appelle Claude, moi Clovis.
Je sais interdit de rire.
• Sans problème avec une jolie partie de jambes en l’air en prime.
Sur ces mots nous sautons de nos tabourets de bar et nous les quittons retournant vers la Porche.
• Tu vois Susy, il faut savoir baiser utile.
La nuit va leur porter conseil.
Je suis frustrée, le dénommé Claude se frottait à moi sa queue semblait fort intéressante…
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Histoire rondement menée, Maître Chris....
Pauvre petit gars...
Cyrille
Pauvre petit gars...
Cyrille