COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (5/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (5/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Quand j’ai prononcé ce vœu, devant le maire et le curé j’étais loin de penser que je rencontrerais une famille si bizarre sous certains aspects.
Sous d’autres elle est fascinante.
Comment peut-on s’investir dans son business avec autant d’immoralité ?
Ça m’amuse, l’argent qu’ils gagnent leur permettant de vivre une vie de luxe.
Le luxe, c’est ce qui me permet d’accepter les sexes de mes beaux-parents en plus de celui de leur fils.
Nous roulons vers la villa surplombant la mer dans la Porche de belle-maman ma maîtresse.
Je suis frustrée, la bite tendue de Claude l’homme blond qu’il frottait sur mon côté semblait fort appétissant.
• Je te sens pensive Suzy.
Je sais, ça m'a fait ça la première fois où ma belle-mère, paix à son âme, m’a fait comprendre que la jeune femme avec laquelle j’espérais passer la nuit m’était refusée.
Elle était jolie et travaillait avec son père qui venait de nous refuser un contrat.
• L’as-tu revu ?
• Oui, quinze ans plus tard, elle avait énormément grossi avec quatre mouflets dans les pattes.
Quand je me regarde, j’ai compris ce jour-là que j’avais fait le bon choix.
Soit sans crainte, tout est loin d’être perdu dans cette affaire.
La nuit va leur porter conseil.
Nous entrons directement dans leur chambre.
• Viens prendre un bain, je vais te montrer quelque chose, ça pourra te servir à New York.
Cette nuit-là, après que je l’ai lavé au plus profond de son corps, c’est le cas de le dire, car elle m’a montré que les filles étaient assez larges pour se fister.
Elle, pas moi, seulement trois doigts arrivent à me pénétrer.
Nous avons dû dormir quand je suis réveillée par la vibration d’un téléphone.
Je sens Alice le prendre sur sa table de nuit et le porter à son oreille en se levant allant vers la baie vitrée.
Dans le même temps, je sens une main posée sur ma chatte et un sexe tendu se frotter sur mon cul.
Benoît est rentré, le lit est grand, c’est lui qui est collé à moi.
• Oui, 12 heures, c’est possible.
J’ai compris, chambre 209, vous commandez un repas pour quatre.
Oui, Susy sera là avec moi.
Bien sûr, vous pouvez compter avec nous.
Elle raccroche.
• Benoît, réveil toi, il faut que tu prépares le précontrat pour les pneumologues de Toulouse dont je t’ai parlé hier.
• Il est fait, va sur mon bureau je l’ai imprimé en rentrant, il te restera à remplir les blancs.
Laissez-moi dormir, amusez-vous bien.
Alice me fait signe de la suivre.
• Tu vas être contente, les gars d’hier acceptent le contrat d’achat du MPRN29.
• Ils nous invitent à venir manger, tu sais ce que ça signifie.
Va t’habiller légèrement, je pense que nous ferons un festin assez court.
Je pense qu’ils veulent surtout nous voir nues.
• Mais Christophe est avec Romain dans notre chambre.
• Je vois, tu as peur de voir la queue de ton mari de nouveau dans la bouche ou le cul de son amant.
Soit sans crainte, je viens de me réveiller et je les ai entendu descendre vers la plage.
Elle a raison, je passe une robe et je remonte sur la terrasse.
Je suis attirée par la plage en contrebas.
Je m’approche derrière le buisson où j’ai vu Christophe avec son amant hier.
Ils sont bien là, allongés côte à côte.
Leurs bouches sont soudées et leurs mains masturbent leur queue.
Je suis subjugé par ce que je vois.
Romain quitte la bouche de mon mari pour glisser vers ce qui semble être son but.
Je découvre que les petits tétons des hommes semblent aussi sensibles que les deux obus qui sont sous ma robe légère.
Que j’aimerais que cette langue en fasse de même pour moi.
Je tourne la tête, Alice est absente.
Je regarde de nouveau.
Romain est arrivé à la verge de Christophe et le prend dans sa bouche le masturbant avec sa main.
Mon mari s’est mis sur le dos les bras le soutenant pour voir Romain le pomper.
Le bruit du ressac masque, le bruit de la sucette que doit faire cette bouche.
Je vois Christophe se tordre, le plaisir devant le frapper.
Romain retire sa bouche, mais continue de sa main.
Le sperme gicle et vient frapper le visage de son compagnon.
Il nettoie la verge avant de remonter son visage maculé vers la bouche de l’autre.
Christophe méticuleusement lèche le visage couvert de son sperme et l’avale laissant place propre.
• C’est beau deux hommes faisant l’amour.
Comment être lassé de ces images quand j’en vois même si mon fils est l’un d'eux ?
Viens, nous allons être en retard.
Tout cela dit d’un ton doux sa main sur mon épaule.
En bas, tout semble terminé, les deux hommes sont revenus l’un contre l’autre.
C’est à temps que nous nous présentons à la porte de la chambre de Claude et Clovis.
En réalité deux, car une porte intérieure permet d’aller d’un côté ou de l’autre.
Si je regarde les choses en face, ce sera la première fois qu’hors de la famille, je me ferais baiser cassant mon contrat même si la famille et mon homme sont solidaires.
La façon dont Alice embrasse Clovis.
Quel nom de con.
À la façon donc, je vois que ce genre de scrupule s’ils ont traversé son esprit est loin derrière elle.
Le tailleur qu’elle a passé, en fait une femme respectable alors que depuis hier où ma main jusqu’au poignet était dans sa chatte.
Je sais, en ce qui concerne le côté pudeur concernant le sexe, elle est sans tabou.
Dans un premier temps, elle sort le précontrat avec un stylo.
Clovis le prend, le lie fait signe à Claude que c’est ok et le paraphe.
Claude le prend et le signe aussi.
• C’est très bien, messieurs, je vois que vous assumez et que vous avez remis vos alliances, nous aussi nous assumons.
Elle s’approche d’une chaise et pose ses vêtements bien comme il faut.
Je sens qu’elle veut apparaître comme une grande dame alors que c’est une salope se servant de son cul pour gagner de l’argent.
Combien ce moment de plaisir qui s’annonce va nous rapporter malgré nos dépenses hier après-midi ?
Combien ce week-end entre Christophe et nous rapportera à notre famille ?
Merde, je suis gangrenée, je pense famille alors que Claude m’enlève mes vêtements m’ayant pris dans ses bras.
Quelques boutons et c'est dit, je me retrouve aussi nue.
Pourquoi mettre le moindre sous-vêtement quand je suis partie de la villa ?
Le long de mon corps, je retrouve la queue que j’avais sentie sur ma hanche assise sur le tabouret de bar.
Je défais la ceinture et rapidement après la bite de Benoît, c’est un nouveau sexe que je découvre hormis celui de mon mari.
• Suce ma belle, c’est moi qui vais te faire connaître le plaisir d’une verge.
Une fraction de seconde je me demande de quoi il me parle.
C’est vrai, je suis la belle-fille d’Alice, mariée avec sa fille, une lesbienne et ce sera la première fois qu’une vraie bite me pointera.
Le « c'est-moi » lâcher par Claude fait penser qu’ils m’ont tiré à pile ou face pour savoir celui qui se ferait la pucelle.
J’ai envie d’éclater de rire, mais la verge en gorge profonde qui est dans ma bouche m’en empêche.
Je m’agenouille et ce que j’avais prévu hier au soir m'arrive.
Pourquoi parler dans ces moments-là ?
Alice aussi est muette, c’est elle qui se redresse va s’allonger sur le lit entraînant son amant avec elle.
J’en fais autant.
Elle me prend la main au moment où mon blond entre en moi dans une classique position du missionnaire.
Savoir que mon mari doit savoir à cette heure par son père que je suis partie honorer un contrat le cocufiant, la position m’importe peu et je jouis plus rapidement que ma belle-mère.
• Merci mesdames, c’était divin, nous sommes satisfaits de notre décision prise cette nuit de signer un contrat avec vous.
Et si nous passions à table !
Nous avons une bouteille de champagne dans son seau qui doit être frappée à point.
Nues, nous nous levons après un passage à la salle de bain nous nettoyer nos chattes.
Alice face à moi prend des olives vertes les met dans sa bouche et les fait manger à son amant.
De mon côté j’adore embrasser Claude et entre deux bouchers de saumons fumés qu’il pose sûr des toasts, nous nous roulons des pelles monumentales.
Je suis près de la table de chevet.
Une pièce de monnaie attire mon regard.
Ça me confirme que j’ai été joué à pile ou face pour savoir qui s’occuperait en premier de la vierge au sexe des hommes…
Voilà les 5 premier chapitres de cette histoire en 10, un ou deux petits textes publiés avant de vous offrir les 5 derniers le temps de les relire, soyez patient.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Quand j’ai prononcé ce vœu, devant le maire et le curé j’étais loin de penser que je rencontrerais une famille si bizarre sous certains aspects.
Sous d’autres elle est fascinante.
Comment peut-on s’investir dans son business avec autant d’immoralité ?
Ça m’amuse, l’argent qu’ils gagnent leur permettant de vivre une vie de luxe.
Le luxe, c’est ce qui me permet d’accepter les sexes de mes beaux-parents en plus de celui de leur fils.
Nous roulons vers la villa surplombant la mer dans la Porche de belle-maman ma maîtresse.
Je suis frustrée, la bite tendue de Claude l’homme blond qu’il frottait sur mon côté semblait fort appétissant.
• Je te sens pensive Suzy.
Je sais, ça m'a fait ça la première fois où ma belle-mère, paix à son âme, m’a fait comprendre que la jeune femme avec laquelle j’espérais passer la nuit m’était refusée.
Elle était jolie et travaillait avec son père qui venait de nous refuser un contrat.
• L’as-tu revu ?
• Oui, quinze ans plus tard, elle avait énormément grossi avec quatre mouflets dans les pattes.
Quand je me regarde, j’ai compris ce jour-là que j’avais fait le bon choix.
Soit sans crainte, tout est loin d’être perdu dans cette affaire.
La nuit va leur porter conseil.
Nous entrons directement dans leur chambre.
• Viens prendre un bain, je vais te montrer quelque chose, ça pourra te servir à New York.
Cette nuit-là, après que je l’ai lavé au plus profond de son corps, c’est le cas de le dire, car elle m’a montré que les filles étaient assez larges pour se fister.
Elle, pas moi, seulement trois doigts arrivent à me pénétrer.
Nous avons dû dormir quand je suis réveillée par la vibration d’un téléphone.
Je sens Alice le prendre sur sa table de nuit et le porter à son oreille en se levant allant vers la baie vitrée.
Dans le même temps, je sens une main posée sur ma chatte et un sexe tendu se frotter sur mon cul.
Benoît est rentré, le lit est grand, c’est lui qui est collé à moi.
• Oui, 12 heures, c’est possible.
J’ai compris, chambre 209, vous commandez un repas pour quatre.
Oui, Susy sera là avec moi.
Bien sûr, vous pouvez compter avec nous.
Elle raccroche.
• Benoît, réveil toi, il faut que tu prépares le précontrat pour les pneumologues de Toulouse dont je t’ai parlé hier.
• Il est fait, va sur mon bureau je l’ai imprimé en rentrant, il te restera à remplir les blancs.
Laissez-moi dormir, amusez-vous bien.
Alice me fait signe de la suivre.
• Tu vas être contente, les gars d’hier acceptent le contrat d’achat du MPRN29.
• Ils nous invitent à venir manger, tu sais ce que ça signifie.
Va t’habiller légèrement, je pense que nous ferons un festin assez court.
Je pense qu’ils veulent surtout nous voir nues.
• Mais Christophe est avec Romain dans notre chambre.
• Je vois, tu as peur de voir la queue de ton mari de nouveau dans la bouche ou le cul de son amant.
Soit sans crainte, je viens de me réveiller et je les ai entendu descendre vers la plage.
Elle a raison, je passe une robe et je remonte sur la terrasse.
Je suis attirée par la plage en contrebas.
Je m’approche derrière le buisson où j’ai vu Christophe avec son amant hier.
Ils sont bien là, allongés côte à côte.
Leurs bouches sont soudées et leurs mains masturbent leur queue.
Je suis subjugé par ce que je vois.
Romain quitte la bouche de mon mari pour glisser vers ce qui semble être son but.
Je découvre que les petits tétons des hommes semblent aussi sensibles que les deux obus qui sont sous ma robe légère.
Que j’aimerais que cette langue en fasse de même pour moi.
Je tourne la tête, Alice est absente.
Je regarde de nouveau.
Romain est arrivé à la verge de Christophe et le prend dans sa bouche le masturbant avec sa main.
Mon mari s’est mis sur le dos les bras le soutenant pour voir Romain le pomper.
Le bruit du ressac masque, le bruit de la sucette que doit faire cette bouche.
Je vois Christophe se tordre, le plaisir devant le frapper.
Romain retire sa bouche, mais continue de sa main.
Le sperme gicle et vient frapper le visage de son compagnon.
Il nettoie la verge avant de remonter son visage maculé vers la bouche de l’autre.
Christophe méticuleusement lèche le visage couvert de son sperme et l’avale laissant place propre.
• C’est beau deux hommes faisant l’amour.
Comment être lassé de ces images quand j’en vois même si mon fils est l’un d'eux ?
Viens, nous allons être en retard.
Tout cela dit d’un ton doux sa main sur mon épaule.
En bas, tout semble terminé, les deux hommes sont revenus l’un contre l’autre.
C’est à temps que nous nous présentons à la porte de la chambre de Claude et Clovis.
En réalité deux, car une porte intérieure permet d’aller d’un côté ou de l’autre.
Si je regarde les choses en face, ce sera la première fois qu’hors de la famille, je me ferais baiser cassant mon contrat même si la famille et mon homme sont solidaires.
La façon dont Alice embrasse Clovis.
Quel nom de con.
À la façon donc, je vois que ce genre de scrupule s’ils ont traversé son esprit est loin derrière elle.
Le tailleur qu’elle a passé, en fait une femme respectable alors que depuis hier où ma main jusqu’au poignet était dans sa chatte.
Je sais, en ce qui concerne le côté pudeur concernant le sexe, elle est sans tabou.
Dans un premier temps, elle sort le précontrat avec un stylo.
Clovis le prend, le lie fait signe à Claude que c’est ok et le paraphe.
Claude le prend et le signe aussi.
• C’est très bien, messieurs, je vois que vous assumez et que vous avez remis vos alliances, nous aussi nous assumons.
Elle s’approche d’une chaise et pose ses vêtements bien comme il faut.
Je sens qu’elle veut apparaître comme une grande dame alors que c’est une salope se servant de son cul pour gagner de l’argent.
Combien ce moment de plaisir qui s’annonce va nous rapporter malgré nos dépenses hier après-midi ?
Combien ce week-end entre Christophe et nous rapportera à notre famille ?
Merde, je suis gangrenée, je pense famille alors que Claude m’enlève mes vêtements m’ayant pris dans ses bras.
Quelques boutons et c'est dit, je me retrouve aussi nue.
Pourquoi mettre le moindre sous-vêtement quand je suis partie de la villa ?
Le long de mon corps, je retrouve la queue que j’avais sentie sur ma hanche assise sur le tabouret de bar.
Je défais la ceinture et rapidement après la bite de Benoît, c’est un nouveau sexe que je découvre hormis celui de mon mari.
• Suce ma belle, c’est moi qui vais te faire connaître le plaisir d’une verge.
Une fraction de seconde je me demande de quoi il me parle.
C’est vrai, je suis la belle-fille d’Alice, mariée avec sa fille, une lesbienne et ce sera la première fois qu’une vraie bite me pointera.
Le « c'est-moi » lâcher par Claude fait penser qu’ils m’ont tiré à pile ou face pour savoir celui qui se ferait la pucelle.
J’ai envie d’éclater de rire, mais la verge en gorge profonde qui est dans ma bouche m’en empêche.
Je m’agenouille et ce que j’avais prévu hier au soir m'arrive.
Pourquoi parler dans ces moments-là ?
Alice aussi est muette, c’est elle qui se redresse va s’allonger sur le lit entraînant son amant avec elle.
J’en fais autant.
Elle me prend la main au moment où mon blond entre en moi dans une classique position du missionnaire.
Savoir que mon mari doit savoir à cette heure par son père que je suis partie honorer un contrat le cocufiant, la position m’importe peu et je jouis plus rapidement que ma belle-mère.
• Merci mesdames, c’était divin, nous sommes satisfaits de notre décision prise cette nuit de signer un contrat avec vous.
Et si nous passions à table !
Nous avons une bouteille de champagne dans son seau qui doit être frappée à point.
Nues, nous nous levons après un passage à la salle de bain nous nettoyer nos chattes.
Alice face à moi prend des olives vertes les met dans sa bouche et les fait manger à son amant.
De mon côté j’adore embrasser Claude et entre deux bouchers de saumons fumés qu’il pose sûr des toasts, nous nous roulons des pelles monumentales.
Je suis près de la table de chevet.
Une pièce de monnaie attire mon regard.
Ça me confirme que j’ai été joué à pile ou face pour savoir qui s’occuperait en premier de la vierge au sexe des hommes…
Voilà les 5 premier chapitres de cette histoire en 10, un ou deux petits textes publiés avant de vous offrir les 5 derniers le temps de les relire, soyez patient.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille
Merci pour cette nouvelle série qui tient toutes ses promesses de renouvellement autour d'un thème excellemment maîtrisé !
Au plaisir de découvrir les 5 suivants...
Nico
Au plaisir de découvrir les 5 suivants...
Nico
Merci Chris...
Toujours aussi passionnant de te lire..
Cyrille
Toujours aussi passionnant de te lire..
Cyrille