COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (6/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (6/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Me marier avec Christophe qui m’a dépucelé et me faire baiser par ces deux pneumologues Claude et Clovis oui je le veux.
Pneumologue à qui Alice ma belle-mère a réussi à leur vendre un MPRN29.
J’ignore ce qu’est un MPRN29 mais ça doit valoir bonbon chez ces praticiens, afin qu’Alice accepte que nos corps entrent en jeu, je pense que cela doit valoir la peine.
Nous venons de les sucer puis de nous faire prendre en missionnaire avant de passer à table.
• Susy, ça t’a plu de te faire prendre par une vraie bite.
As-tu senti la différence avec un gode ceintures ?
Je manque d’éclater de rire.
Qu’Alice est bête d’avoir inventé cette histoire de mariage lesbien avec sa fille.
• Tu me diras, s’il y avait une différence, tu étais très ouverte.
• J’ai beaucoup aimé, c’était plus chaud à l’intérieur de moi.
• Dit moi Alice avec son gode, quel nom à ta fille maman.
• Maman, tu te fous de ma gueule Clovis.
Il y a quelques minutes quand tu me mettais ta bite dans la bouche et la chatte impossible de m’appeler maman.
• Excuse-moi Alice, j’ai été maladroit, tu parles souvent de ta fille, nous ignorons son nom.
• Christine, Clovis, mon homme s’appelle Christine.
• Ton homme, là je décroche.
• Dans notre couple, Clovis, c’est Christine qui fait l’homme.
• Clovis, tu parlais de gode, que voulait tu dire.
• C’est à Susy que je vais m’adresser directement.
Susy quand ton homme fait l’homme.
Mais que c’est dur de parler de lesbiennes marquant leur code en restant mâle et femelle.
• Pas la peine de tourner autour du pot, c’est le cas de le dire.
Tu veux savoir si mon homme s’appelant Christine m’encule avec son gode ceintures.
• Euh oui…
• Bien sûre, étant sans aucun tabou, Christine me prend avec le plus gros que nous pouvons mettre dans le harnais.
• Vous en avez beaucoup.
• Des dizaines, des gros, des grands, des épais et même des noirs.
Je m’amuse, je vois la scène, Christine nom qui m’est venue en pensant à Christophe.
• Alors tu veux savoir si je me fais enculer par Christine.
• Euh…
Euh, oui bien sûr, demande à Alice elle aime être là quand mon homme m’encule.
• Nous sommes un couple moderne.
• Tu veux m’enculer.
Ton copain a eu ma chatte, vous avez tiré au sort pour ça, tu veux avoir ta part de la vierge gouine et tu penses à mon cul.
• Tiré au sort, que dois-je comprendre ?
• Cette pièce sur ta table de nuit, ose dire qu’elle est là pour faire joli.
Je sais qu’elle a servi à me tirer à pile ou face.
Ils éclatent de rire.
• Susy, tu te trompes, c’est la femme de chambre qui l’a trouvé sous le lit et qui l’a posé là.
Si nous t’avions tiré au sort nous aurions au moins pris un billet de 200 €.
• Pardons, je suis bête, c’est le verre de champagne qui me fait tourner la tête.
• Pour se faire pardonner, étant un peu âgée, je vous propose de vous occuper de ma belle-fille tous les deux.
Susy vous a dit que lorsque Christine l’encule avec mes godes, car ils sont à moi, j’adore être dans mon fauteuil du genre de celui qui est là près du lit.
Susy, ces messieurs vont te faire connaître le plaisir d’une double pénétration.
Voilà c’est fait, Clovis m’a pris la chatte pendant que Claude m’enculait.
Ils me montraient ainsi qu’ils avaient décidé sans tirage au sort.
Je suis dans la Porche, c’est Alice qui conduit.
J’ai dans mes mains le précontrat signé et je viens de me faire prendre en double pénétration, ce qui a été divin.
Sentir ces deux bites en moi se frottant l’une l’autre à travers ma petite membrane m’a apporté un orgasme durant même jusqu’à maintenant quand j’y repense.
• Alice, dit moi !
• Tu as été à la hauteur chérie, je sens que l’on va faire de grandes choses ensemble.
• C’est une autre question que j’allais te poser.
Ce qui me chagrine, c’est si vous avez été assez prudente lors de la signature avec Claude et Clovis.
Que ferons-nous si après la nuit que nous venons de passer, ils déchirent ce précontrat ?
• Ouvre et regarde-le, Susy, Benoît sait très bien remplir un précontrat.
Va à la dernière close, attend, j’allume le plafonnier, que lis-tu ?
S’il casse ce précontrat le dédit sera si fort que nous toucherons une somme qui va les en dissuader.
Peut d’entre eux quand ils sont en attente de nous baiser lisent les dernières lignes, toi-même lis-tu tous ce qu’il y a dans les contrats que tu signes.
Pensais-tu trouver une famille comme la nôtre portée sur le fric passant si besoin par le sexe en disant ton « oui » à Christophe et ta signature chez le curé et à la mairie ?
Nous arrivons, Benoît est là ainsi que Christophe, ils boivent un whisky.
Je suis crevée, je les embrasse et je pars vers ma chambre.
Je dors quand je sens une verge se frotter à mon cul.
Pour une fois je dors avec mon mari.
Sans aucune rancune quand il veut m’écarter la chatte tout en dormant je me laisse faire.
Dire que cette verge a été dans le cul de Romain !
Les vacances sont terminées, nous rentrons tous à Bordeaux.
Je suis briffée pour le voyage à New York.
La jeune femme que je dois rencontrer s’appelle Dee, quel drôle de prénom, Clovis, Dee, ces rencontres me font rencontrer des gens aux prénoms bizarres comme notre famille.
Nous devons partir dans deux semaines, pendant ce temps, nous faisons d’autres affaires nous enrichissant tranquillement.
Affaires trop petites pour avoir là nécessité de donner de nos personnes mâle ou femelle.
Parmi celles-là, j’en réussis deux.
J’aime prendre la Porche me la pétant surtout quand je vais voir papa et maman.
J’aime les inviter dans les meilleurs restaurants de notre ville.
Si maman savait que c’est un peu avec mon cul que je peux leur payer ces moments de plaisir.
Enfin le jour du départ est là.
• C’est dans la voiture de la société que Christophe nous conduit à l’aéroport de Bordeaux Mérignac.
Nous aurons une escale à Lisbonne.
Départ 23 heures avec le décalage horaire New York 11 heures du matin.
Je suis anxieuse mais quand Christophe m’embrasse avant l’embarquement, il m’apporte sa sérénité.
Depuis que je l’ai vu se faire enculer par un homme, je sais qu’il sait que je sais, pas un mot sur cette séquence.
Pour lui la vie semble se poursuivre normalement pourtant dans cette bizarre famille.
Tout va bien jusqu’à Lisbonne.
Nous venons de décoller direction notre étape finale quand un steward s’approche de nous.
Nos places sont les plus à l’arrière de l’appareil celle dont on dit que nous avons le plus de chances d’en sortir vivant en cas de crash.
Je préfèrerais éviter de vérifier, le steward donc s’approche.
• Félicitation monsieur, vous avez une très jolie femme.
Il doit nous prendre pour des amoureux sans savoir que Benoît est mon amant doublé de mon beau-père.
Il a très peur du décollage et me tient les mains comme un couple amoureux pourrait le faire.
Ce qui montre nos alliances.
• Je vous apporte une couverture, vous serez plus tranquille.
Pour dormir il va de soi.
Goujat, il fait un clin d’œil à Benoît qui une fraction de seconde lui rend.
Un badge sur sa poitrine me montre qu’il se prénomme Lourenço, il nous parle dans un français parfait, avant de retourner à son service.
La couverture est apportée par Françoise, une brune à grosse lunette, j’aurais bien voulu revoir Lourenço que je vois déambuler parmi les passagers avant que tout ce calme dans la cabine.
Sous la couverture que nous avons placée devant nous, je sens la main de Benoit venir se poser sur ma chatte, comme s’il voulait prendre possession de moi.
C’est ainsi que nous nous endormons jusqu’à ce qu’une envie de pipi me réveille.
C’est mon premier voyage en avion, mais j’ai la chance que mon beau steward se déplace dans l’aller lorsque j’écarte la main de mon voisin.
Je me lève lui parlant presque à l’oreille je lui demande les toilettes.
C’est dans mon dos, que je dois me rentre dans cet endroit exigu, mais assez vaste pour ce qui va suivre.
Je m’y rends, je fais mon pissou et après m’être essuyée je vais pour rabaisser ma jupe.
À ce moment-là un léger trou d’air me fait perdre l’équilibre et ma vessie que je pensais avoir complètement vidée laisse échapper un petit jet qui mouille ma petite culotte.
Je la fais redescendre et je m’essuie de nouveau.
Elle est trop mouillée, je l’enlève et je la place dans mon sac à main que j’avais pris avec moi.
Être nue chez mes beaux-parents ou la chatte à l’air sous ma jupe, je prends l’habitude d’avoir les fesses à l’air, en l’air.
Je me lave les mains, c’est primordial avec mon éducation.
J’ouvre la porte pour sortir, c’est à ce moment que ça se produit...
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Me marier avec Christophe qui m’a dépucelé et me faire baiser par ces deux pneumologues Claude et Clovis oui je le veux.
Pneumologue à qui Alice ma belle-mère a réussi à leur vendre un MPRN29.
J’ignore ce qu’est un MPRN29 mais ça doit valoir bonbon chez ces praticiens, afin qu’Alice accepte que nos corps entrent en jeu, je pense que cela doit valoir la peine.
Nous venons de les sucer puis de nous faire prendre en missionnaire avant de passer à table.
• Susy, ça t’a plu de te faire prendre par une vraie bite.
As-tu senti la différence avec un gode ceintures ?
Je manque d’éclater de rire.
Qu’Alice est bête d’avoir inventé cette histoire de mariage lesbien avec sa fille.
• Tu me diras, s’il y avait une différence, tu étais très ouverte.
• J’ai beaucoup aimé, c’était plus chaud à l’intérieur de moi.
• Dit moi Alice avec son gode, quel nom à ta fille maman.
• Maman, tu te fous de ma gueule Clovis.
Il y a quelques minutes quand tu me mettais ta bite dans la bouche et la chatte impossible de m’appeler maman.
• Excuse-moi Alice, j’ai été maladroit, tu parles souvent de ta fille, nous ignorons son nom.
• Christine, Clovis, mon homme s’appelle Christine.
• Ton homme, là je décroche.
• Dans notre couple, Clovis, c’est Christine qui fait l’homme.
• Clovis, tu parlais de gode, que voulait tu dire.
• C’est à Susy que je vais m’adresser directement.
Susy quand ton homme fait l’homme.
Mais que c’est dur de parler de lesbiennes marquant leur code en restant mâle et femelle.
• Pas la peine de tourner autour du pot, c’est le cas de le dire.
Tu veux savoir si mon homme s’appelant Christine m’encule avec son gode ceintures.
• Euh oui…
• Bien sûre, étant sans aucun tabou, Christine me prend avec le plus gros que nous pouvons mettre dans le harnais.
• Vous en avez beaucoup.
• Des dizaines, des gros, des grands, des épais et même des noirs.
Je m’amuse, je vois la scène, Christine nom qui m’est venue en pensant à Christophe.
• Alors tu veux savoir si je me fais enculer par Christine.
• Euh…
Euh, oui bien sûr, demande à Alice elle aime être là quand mon homme m’encule.
• Nous sommes un couple moderne.
• Tu veux m’enculer.
Ton copain a eu ma chatte, vous avez tiré au sort pour ça, tu veux avoir ta part de la vierge gouine et tu penses à mon cul.
• Tiré au sort, que dois-je comprendre ?
• Cette pièce sur ta table de nuit, ose dire qu’elle est là pour faire joli.
Je sais qu’elle a servi à me tirer à pile ou face.
Ils éclatent de rire.
• Susy, tu te trompes, c’est la femme de chambre qui l’a trouvé sous le lit et qui l’a posé là.
Si nous t’avions tiré au sort nous aurions au moins pris un billet de 200 €.
• Pardons, je suis bête, c’est le verre de champagne qui me fait tourner la tête.
• Pour se faire pardonner, étant un peu âgée, je vous propose de vous occuper de ma belle-fille tous les deux.
Susy vous a dit que lorsque Christine l’encule avec mes godes, car ils sont à moi, j’adore être dans mon fauteuil du genre de celui qui est là près du lit.
Susy, ces messieurs vont te faire connaître le plaisir d’une double pénétration.
Voilà c’est fait, Clovis m’a pris la chatte pendant que Claude m’enculait.
Ils me montraient ainsi qu’ils avaient décidé sans tirage au sort.
Je suis dans la Porche, c’est Alice qui conduit.
J’ai dans mes mains le précontrat signé et je viens de me faire prendre en double pénétration, ce qui a été divin.
Sentir ces deux bites en moi se frottant l’une l’autre à travers ma petite membrane m’a apporté un orgasme durant même jusqu’à maintenant quand j’y repense.
• Alice, dit moi !
• Tu as été à la hauteur chérie, je sens que l’on va faire de grandes choses ensemble.
• C’est une autre question que j’allais te poser.
Ce qui me chagrine, c’est si vous avez été assez prudente lors de la signature avec Claude et Clovis.
Que ferons-nous si après la nuit que nous venons de passer, ils déchirent ce précontrat ?
• Ouvre et regarde-le, Susy, Benoît sait très bien remplir un précontrat.
Va à la dernière close, attend, j’allume le plafonnier, que lis-tu ?
S’il casse ce précontrat le dédit sera si fort que nous toucherons une somme qui va les en dissuader.
Peut d’entre eux quand ils sont en attente de nous baiser lisent les dernières lignes, toi-même lis-tu tous ce qu’il y a dans les contrats que tu signes.
Pensais-tu trouver une famille comme la nôtre portée sur le fric passant si besoin par le sexe en disant ton « oui » à Christophe et ta signature chez le curé et à la mairie ?
Nous arrivons, Benoît est là ainsi que Christophe, ils boivent un whisky.
Je suis crevée, je les embrasse et je pars vers ma chambre.
Je dors quand je sens une verge se frotter à mon cul.
Pour une fois je dors avec mon mari.
Sans aucune rancune quand il veut m’écarter la chatte tout en dormant je me laisse faire.
Dire que cette verge a été dans le cul de Romain !
Les vacances sont terminées, nous rentrons tous à Bordeaux.
Je suis briffée pour le voyage à New York.
La jeune femme que je dois rencontrer s’appelle Dee, quel drôle de prénom, Clovis, Dee, ces rencontres me font rencontrer des gens aux prénoms bizarres comme notre famille.
Nous devons partir dans deux semaines, pendant ce temps, nous faisons d’autres affaires nous enrichissant tranquillement.
Affaires trop petites pour avoir là nécessité de donner de nos personnes mâle ou femelle.
Parmi celles-là, j’en réussis deux.
J’aime prendre la Porche me la pétant surtout quand je vais voir papa et maman.
J’aime les inviter dans les meilleurs restaurants de notre ville.
Si maman savait que c’est un peu avec mon cul que je peux leur payer ces moments de plaisir.
Enfin le jour du départ est là.
• C’est dans la voiture de la société que Christophe nous conduit à l’aéroport de Bordeaux Mérignac.
Nous aurons une escale à Lisbonne.
Départ 23 heures avec le décalage horaire New York 11 heures du matin.
Je suis anxieuse mais quand Christophe m’embrasse avant l’embarquement, il m’apporte sa sérénité.
Depuis que je l’ai vu se faire enculer par un homme, je sais qu’il sait que je sais, pas un mot sur cette séquence.
Pour lui la vie semble se poursuivre normalement pourtant dans cette bizarre famille.
Tout va bien jusqu’à Lisbonne.
Nous venons de décoller direction notre étape finale quand un steward s’approche de nous.
Nos places sont les plus à l’arrière de l’appareil celle dont on dit que nous avons le plus de chances d’en sortir vivant en cas de crash.
Je préfèrerais éviter de vérifier, le steward donc s’approche.
• Félicitation monsieur, vous avez une très jolie femme.
Il doit nous prendre pour des amoureux sans savoir que Benoît est mon amant doublé de mon beau-père.
Il a très peur du décollage et me tient les mains comme un couple amoureux pourrait le faire.
Ce qui montre nos alliances.
• Je vous apporte une couverture, vous serez plus tranquille.
Pour dormir il va de soi.
Goujat, il fait un clin d’œil à Benoît qui une fraction de seconde lui rend.
Un badge sur sa poitrine me montre qu’il se prénomme Lourenço, il nous parle dans un français parfait, avant de retourner à son service.
La couverture est apportée par Françoise, une brune à grosse lunette, j’aurais bien voulu revoir Lourenço que je vois déambuler parmi les passagers avant que tout ce calme dans la cabine.
Sous la couverture que nous avons placée devant nous, je sens la main de Benoit venir se poser sur ma chatte, comme s’il voulait prendre possession de moi.
C’est ainsi que nous nous endormons jusqu’à ce qu’une envie de pipi me réveille.
C’est mon premier voyage en avion, mais j’ai la chance que mon beau steward se déplace dans l’aller lorsque j’écarte la main de mon voisin.
Je me lève lui parlant presque à l’oreille je lui demande les toilettes.
C’est dans mon dos, que je dois me rentre dans cet endroit exigu, mais assez vaste pour ce qui va suivre.
Je m’y rends, je fais mon pissou et après m’être essuyée je vais pour rabaisser ma jupe.
À ce moment-là un léger trou d’air me fait perdre l’équilibre et ma vessie que je pensais avoir complètement vidée laisse échapper un petit jet qui mouille ma petite culotte.
Je la fais redescendre et je m’essuie de nouveau.
Elle est trop mouillée, je l’enlève et je la place dans mon sac à main que j’avais pris avec moi.
Être nue chez mes beaux-parents ou la chatte à l’air sous ma jupe, je prends l’habitude d’avoir les fesses à l’air, en l’air.
Je me lave les mains, c’est primordial avec mon éducation.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Nico de suivre cette histoire
Humm curieux, et même avide, de la suite
Nico
Nico