COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (7/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (7/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Nous avons décollé Benoit et moi pour notre destination finale, ça dort dans la cabine de l’avion qui nous emmène à New York, j’ouvre la porte des toilettes ou je viens de me soulager, c’est à ce moment que ça se produit.
• Susy, j’ai vu ton nom sur la liste des passagers, j’ai flaché sur toi, j’ai envie de te baiser.
Tu dois être insatisfaite avec ton vieux barbot, je parie que c’est ton patron qui s’est fait sa jeune secrétaire !
Pour être direct, ça c’est direct, derrière la porte que je viens d’ouvrir Lourenço est là qui me repousse mes fesses venant se coller au petit lavabo.
Je suis un peu surprise, mais me venger de ma famille en prenant l’initiative de baiser avec ce steward me caresse l’esprit, surtout que je sens sa main sortir sa bite.
• Calmos, beau gosse, tu tombes bien je viens de me masturber et mon plaisir a été interrompu par le trou d’air que nous avons traversé.
L’endroit est exigu, mais je vais commencer par te sucer.
Je suis satisfaite de reprendre l’initiative, c’est en sorte une petite vengeance contre cette famille qui a oublié de me faire lire les petites lignes du contrat.
Je m’agenouille remontant ma jupe et comme elle est dehors, sans plus me poser de question, je le fais entrer dans ma bouche.
Moins gros que Benoit, je l’avale jusqu’au fond de ma gorge.
• Salope, une gorge profonde, j’ai bien fait de te choisir dommage que je me sois juré de rester célibataire, depuis que je vole et que je vois le nombre de femmes mariées, tromper leur mari.
Je suis à deux doigts de lui dire ferme ta gueule, mais je sais avoir peu de temps, à tout moment un passager peut avoir envie de ce petit réduit, nous isolant de tous.
Il est assez tendu, je le sens chercher dans sa poche.
• Donne, je vais te la mettre, sachons rester couverte.
Il m’assied sur le lavabo mes jambes touchant à peine le sol.
• Salope, j’avais doublement raison, tu as la chatte à l’air, tiens.
Il m’embroche sans le moindre problème, sans que je prenne le temps de lui dire que ma culotte est dans mon sac après une légère incontinence.
Est-ce la situation, j’ai rarement autant mouillé depuis que je me caresse ou que je me fais sauter par mes amants ou amantes.
Combien de temps dure notre coït, je sais seulement que derrière cet amant que je veux croire avoir choisi bien qu’il m’ait un peu forcé, ma bouche et maintenant ma chatte, je pense voir la poignée bouger.
Je m’entends hurler lorsqu’un de mes plus forts orgasmes me balaye le corps partant du lavabo vers mon cerveau.
Les soubresauts de mon nouvel amant me font voir qu’il est proche, lorsqu’un nouveau trou d’air fait longer l’avion heureusement peu longtemps, mais son dernier coup de verge me déchire, comme jamais je l’ai été.
Je hurle certainement deux fois plus fort que les fois précédentes et même de ma vie de femme et surtout de salope.
Il arrache sa capote, la jette dans les WC et tire la chasse, j’ignore si les toilettes d’un avion sont vidangées à une escale ou si la capote va être propulsée dans le ciel et retomber sur terre.
La tronche de celui ou de celle qui va la prendre sur sa figure se demandant d’où vient ce morceau de plastique remplie d’une substance un peu opaque.
Il sort, je me rajuste et je rejoins ma place à quelques mètres.
• Tu étais aux toilettes !
• Oui, tu dormais lorsque je m’y suis rendue.
• Qu’est-ce que vous avez fait, j’ai vu le steward en revenir juste avant toi et malgré le bruit des moteurs, j’ai cru entendre une femme hurler de plaisir ?
• J’ai fait comme toute ta famille, j’ai pris énormément de plaisir avec ce garçon.
Vous avez ouvert les vannes de ma débauche, j’en ai profité comme le fait ton fils en se faisant enculer.
• Tu as trompé ton mari avec ce bellâtre, tu mériterais que je lui dise que tu es une belle salope.
• C’est l’hôpital qui se fiche de la charité ou l’inverse, ta réflexion me navre, toi qui me baises et ceci même devant lui.
Sans oublier ta femme qui me bouffe la chatte alors que tu es au courant.
• Tu es hors de la philosophie de notre famille Susy, nous pouvons baiser les uns et les autres avec une tierce personne seulement lorsque les intérêts de la famille sont en jeu.
Si tu baises ou tu te fais baiser comme tu viens de le faire dans ton seul intérêt tu romps notre pack familial et je devrais le dire à Christophe à notre retour.
• Des bêtes, comme des bêtes, c’est une honte.
C’est une mémé de l’autre côté de l’aller qui a dû venir clancher à la porte lorsque Lourenço me baisait et qui doit avoir entendu une partie de notre conversation, je décide de la contrer.
• La bête elle te dit merde, vieille peau, tu aimerais bien avoir été à ma place, ta chatte doit avoir des toiles d’araignée depuis qu’elle est inutilisée.
La vieille se retourne, j’ai dû lui faire peur ou la traumatiser.
J’aurais dû prendre comme titre « une famille fêlée » en place de « bizarre ».
Comme je disais dans ma jeunesse, ma famille, car c’est devenu la mienne aurait été incapable de travailler chez Lustucru, car ils refusent les œufs fêlés dans cette société.
Nous nous posons sans encombre, à New York la sécurité est portée à son maximum, depuis qu’un Russe à attaquer un pays dont j’ignore le nom, la politique et moi cela fait deux.
Hôtel à New York très haut standing à Manhattan, près du central Park.
Une nouvelle fois la famille est maboule sous certains aspects, mais sait investir du fric pour pouvoir en gagner plus.
J’ai une chambre magnifique avec un énorme bouquet de roses sur la table du coin pour le déjeuner du matin, que je déguste après une fin d’après-midi bien utilisée.
La famille m’ayant attribué une carte gold avec une somme suffisante pour qu’il soir impossible d’un refus de cartes soir possible.
Benoit avait un autre rendez-vous, je me suis fait un petit plaisir hier au soir après avoir déposé mes emplettes à emmener dans ma chambre.
Je suis ressortie et je suis entrée dans un Mac Do, manger des sandwichs en m’en mettant plein les doigts me rappelant le temps de mes folles espérances de rencontrer un homme qui saurait me cajoler sans me vendre pour le bien de notre famille de cinglés.
Que de mieux que de retrouver ces burgers à la viande salade que je badigeonne avec mes doigts de sauce barbecue, que j’écrirais bien « barbe cul, » dégoulinante, encore et encore.
J’ai vingt-deux ans, je sais que dans des années mon diabète sera exponentiel au nombre de kilos de cette sauce ingurgitée, mais j’ai le temps de penser à tout ça surtout sur les pentes que mon mariage m’a entrainées dans les folies du cul jusque dans les chiotes d’un avion.
Il est 11 heures lorsque Benoit réapparaît, je vais enfin rencontrer cette Dee, qui doit aider ma famille à boucler son budget voire plus.
« Pointe d’asperge fraiche sur son lit de feuilles de vigne ! »
« Carrée d’agneau de pré-salée de France, dans un berceau de pâté en croute, avec feuilles d’endives braisées. »
« Fromage de nos montagnes de Californie.
Et pour terminer « Gelée de menthe avec ses cranberrys venues du Canada. »
Vous ajoutez à cela le café à la flotte moi qui apprécie les expressos italiens.
Vous vous dites que vous avez bienfait de vous bâfrer de burger hier au soir chez monsieur canard.
Nous sommes dans le plus grand restaurant Français de Manhattan à deux pas de notre hôtel mais que nous avons faits en taxi, c’est ça le luxe.
• Benoit, Alice et toi vous me prenez pour une conne, ou se trouve ta salope de femme avec ses vieilles miches.
Elle sait que je suis friande de petite oie blanche comme cette petite Susy.
Ma pauvre je connais trop bien ta pute de belle-mère, elle est capable de t’avoir fait épouser son fils pour que je signe ce putain de contrat avec vous.
Je sais les millions que cela représente pour ta famille Benoit.
En venant vous rencontrer, j’étais prête à signer, mais comme on me prend pour une conne, je crois que je vais te faire poiroter pendant la semaine.
Je dois me rendre dans mon chalet près du lac et de mes forêts du Canada demain dans mon hélicoptère.
Susy, tu es mignonne et tu me plait énormément, Benoit, je l’emmène toute cette semaine et si je m’éclate avec elle, je signe ce contrat avant de vous la rendre surtout à ce grand couillon de Christophe que j’ai vu grandir tout au long de nos transactions ensemble.
C’est ainsi que je retourne faire ma valise, que je me demande ce que je vais encore découvrir dans cette semaine en compagnie de cette femme, la quarantaine que je me suis préparé à séduire avec Alice ma belle-mère.
Dee, connaissant bien la famille que j’ai intégrée par mon mariage et tiens à garder le leadership sur les transactions que j’ignore de quoi ils en ressortent.
En dégonflant la baudruche préparée par Alice, Dee magnifique femme dont la prestance me submerge me fait aimer mon mariage avec mon mari.
• Regarde Susy, ces grandes étendues, je suis venue un jour dans ce pays et j’en suis tombée amoureuse.
Il y a plus de dix ans que je viens dans mon hélicoptère le poser près de cette grande maison, que tu vois aux dessous de nous.
Il y a une route, mais même avec les voitures puissantes que nous avons, il faudrait des jours pour faire le même parcours que celui que nous venons de parcourir.
La maison, sur le versant d’une montagne dominant un lac ou de temps en temps, je vois des poissons sauter et faire des ronds dans l’eau.
Une petite cascade descendant de la montagne sur plusieurs mètres avant d’alimenter le lac ou les pins et les sapins pullule.
Nous nous possons que vais-je encore découvrir à l’approche de Dee, femme d’exception...
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Nous avons décollé Benoit et moi pour notre destination finale, ça dort dans la cabine de l’avion qui nous emmène à New York, j’ouvre la porte des toilettes ou je viens de me soulager, c’est à ce moment que ça se produit.
• Susy, j’ai vu ton nom sur la liste des passagers, j’ai flaché sur toi, j’ai envie de te baiser.
Tu dois être insatisfaite avec ton vieux barbot, je parie que c’est ton patron qui s’est fait sa jeune secrétaire !
Pour être direct, ça c’est direct, derrière la porte que je viens d’ouvrir Lourenço est là qui me repousse mes fesses venant se coller au petit lavabo.
Je suis un peu surprise, mais me venger de ma famille en prenant l’initiative de baiser avec ce steward me caresse l’esprit, surtout que je sens sa main sortir sa bite.
• Calmos, beau gosse, tu tombes bien je viens de me masturber et mon plaisir a été interrompu par le trou d’air que nous avons traversé.
L’endroit est exigu, mais je vais commencer par te sucer.
Je suis satisfaite de reprendre l’initiative, c’est en sorte une petite vengeance contre cette famille qui a oublié de me faire lire les petites lignes du contrat.
Je m’agenouille remontant ma jupe et comme elle est dehors, sans plus me poser de question, je le fais entrer dans ma bouche.
Moins gros que Benoit, je l’avale jusqu’au fond de ma gorge.
• Salope, une gorge profonde, j’ai bien fait de te choisir dommage que je me sois juré de rester célibataire, depuis que je vole et que je vois le nombre de femmes mariées, tromper leur mari.
Je suis à deux doigts de lui dire ferme ta gueule, mais je sais avoir peu de temps, à tout moment un passager peut avoir envie de ce petit réduit, nous isolant de tous.
Il est assez tendu, je le sens chercher dans sa poche.
• Donne, je vais te la mettre, sachons rester couverte.
Il m’assied sur le lavabo mes jambes touchant à peine le sol.
• Salope, j’avais doublement raison, tu as la chatte à l’air, tiens.
Il m’embroche sans le moindre problème, sans que je prenne le temps de lui dire que ma culotte est dans mon sac après une légère incontinence.
Est-ce la situation, j’ai rarement autant mouillé depuis que je me caresse ou que je me fais sauter par mes amants ou amantes.
Combien de temps dure notre coït, je sais seulement que derrière cet amant que je veux croire avoir choisi bien qu’il m’ait un peu forcé, ma bouche et maintenant ma chatte, je pense voir la poignée bouger.
Je m’entends hurler lorsqu’un de mes plus forts orgasmes me balaye le corps partant du lavabo vers mon cerveau.
Les soubresauts de mon nouvel amant me font voir qu’il est proche, lorsqu’un nouveau trou d’air fait longer l’avion heureusement peu longtemps, mais son dernier coup de verge me déchire, comme jamais je l’ai été.
Je hurle certainement deux fois plus fort que les fois précédentes et même de ma vie de femme et surtout de salope.
Il arrache sa capote, la jette dans les WC et tire la chasse, j’ignore si les toilettes d’un avion sont vidangées à une escale ou si la capote va être propulsée dans le ciel et retomber sur terre.
La tronche de celui ou de celle qui va la prendre sur sa figure se demandant d’où vient ce morceau de plastique remplie d’une substance un peu opaque.
Il sort, je me rajuste et je rejoins ma place à quelques mètres.
• Tu étais aux toilettes !
• Oui, tu dormais lorsque je m’y suis rendue.
• Qu’est-ce que vous avez fait, j’ai vu le steward en revenir juste avant toi et malgré le bruit des moteurs, j’ai cru entendre une femme hurler de plaisir ?
• J’ai fait comme toute ta famille, j’ai pris énormément de plaisir avec ce garçon.
Vous avez ouvert les vannes de ma débauche, j’en ai profité comme le fait ton fils en se faisant enculer.
• Tu as trompé ton mari avec ce bellâtre, tu mériterais que je lui dise que tu es une belle salope.
• C’est l’hôpital qui se fiche de la charité ou l’inverse, ta réflexion me navre, toi qui me baises et ceci même devant lui.
Sans oublier ta femme qui me bouffe la chatte alors que tu es au courant.
• Tu es hors de la philosophie de notre famille Susy, nous pouvons baiser les uns et les autres avec une tierce personne seulement lorsque les intérêts de la famille sont en jeu.
Si tu baises ou tu te fais baiser comme tu viens de le faire dans ton seul intérêt tu romps notre pack familial et je devrais le dire à Christophe à notre retour.
• Des bêtes, comme des bêtes, c’est une honte.
C’est une mémé de l’autre côté de l’aller qui a dû venir clancher à la porte lorsque Lourenço me baisait et qui doit avoir entendu une partie de notre conversation, je décide de la contrer.
• La bête elle te dit merde, vieille peau, tu aimerais bien avoir été à ma place, ta chatte doit avoir des toiles d’araignée depuis qu’elle est inutilisée.
La vieille se retourne, j’ai dû lui faire peur ou la traumatiser.
J’aurais dû prendre comme titre « une famille fêlée » en place de « bizarre ».
Comme je disais dans ma jeunesse, ma famille, car c’est devenu la mienne aurait été incapable de travailler chez Lustucru, car ils refusent les œufs fêlés dans cette société.
Nous nous posons sans encombre, à New York la sécurité est portée à son maximum, depuis qu’un Russe à attaquer un pays dont j’ignore le nom, la politique et moi cela fait deux.
Hôtel à New York très haut standing à Manhattan, près du central Park.
Une nouvelle fois la famille est maboule sous certains aspects, mais sait investir du fric pour pouvoir en gagner plus.
J’ai une chambre magnifique avec un énorme bouquet de roses sur la table du coin pour le déjeuner du matin, que je déguste après une fin d’après-midi bien utilisée.
La famille m’ayant attribué une carte gold avec une somme suffisante pour qu’il soir impossible d’un refus de cartes soir possible.
Benoit avait un autre rendez-vous, je me suis fait un petit plaisir hier au soir après avoir déposé mes emplettes à emmener dans ma chambre.
Je suis ressortie et je suis entrée dans un Mac Do, manger des sandwichs en m’en mettant plein les doigts me rappelant le temps de mes folles espérances de rencontrer un homme qui saurait me cajoler sans me vendre pour le bien de notre famille de cinglés.
Que de mieux que de retrouver ces burgers à la viande salade que je badigeonne avec mes doigts de sauce barbecue, que j’écrirais bien « barbe cul, » dégoulinante, encore et encore.
J’ai vingt-deux ans, je sais que dans des années mon diabète sera exponentiel au nombre de kilos de cette sauce ingurgitée, mais j’ai le temps de penser à tout ça surtout sur les pentes que mon mariage m’a entrainées dans les folies du cul jusque dans les chiotes d’un avion.
Il est 11 heures lorsque Benoit réapparaît, je vais enfin rencontrer cette Dee, qui doit aider ma famille à boucler son budget voire plus.
« Pointe d’asperge fraiche sur son lit de feuilles de vigne ! »
« Carrée d’agneau de pré-salée de France, dans un berceau de pâté en croute, avec feuilles d’endives braisées. »
« Fromage de nos montagnes de Californie.
Et pour terminer « Gelée de menthe avec ses cranberrys venues du Canada. »
Vous ajoutez à cela le café à la flotte moi qui apprécie les expressos italiens.
Vous vous dites que vous avez bienfait de vous bâfrer de burger hier au soir chez monsieur canard.
Nous sommes dans le plus grand restaurant Français de Manhattan à deux pas de notre hôtel mais que nous avons faits en taxi, c’est ça le luxe.
• Benoit, Alice et toi vous me prenez pour une conne, ou se trouve ta salope de femme avec ses vieilles miches.
Elle sait que je suis friande de petite oie blanche comme cette petite Susy.
Ma pauvre je connais trop bien ta pute de belle-mère, elle est capable de t’avoir fait épouser son fils pour que je signe ce putain de contrat avec vous.
Je sais les millions que cela représente pour ta famille Benoit.
En venant vous rencontrer, j’étais prête à signer, mais comme on me prend pour une conne, je crois que je vais te faire poiroter pendant la semaine.
Je dois me rendre dans mon chalet près du lac et de mes forêts du Canada demain dans mon hélicoptère.
Susy, tu es mignonne et tu me plait énormément, Benoit, je l’emmène toute cette semaine et si je m’éclate avec elle, je signe ce contrat avant de vous la rendre surtout à ce grand couillon de Christophe que j’ai vu grandir tout au long de nos transactions ensemble.
C’est ainsi que je retourne faire ma valise, que je me demande ce que je vais encore découvrir dans cette semaine en compagnie de cette femme, la quarantaine que je me suis préparé à séduire avec Alice ma belle-mère.
Dee, connaissant bien la famille que j’ai intégrée par mon mariage et tiens à garder le leadership sur les transactions que j’ignore de quoi ils en ressortent.
En dégonflant la baudruche préparée par Alice, Dee magnifique femme dont la prestance me submerge me fait aimer mon mariage avec mon mari.
• Regarde Susy, ces grandes étendues, je suis venue un jour dans ce pays et j’en suis tombée amoureuse.
Il y a plus de dix ans que je viens dans mon hélicoptère le poser près de cette grande maison, que tu vois aux dessous de nous.
Il y a une route, mais même avec les voitures puissantes que nous avons, il faudrait des jours pour faire le même parcours que celui que nous venons de parcourir.
La maison, sur le versant d’une montagne dominant un lac ou de temps en temps, je vois des poissons sauter et faire des ronds dans l’eau.
Une petite cascade descendant de la montagne sur plusieurs mètres avant d’alimenter le lac ou les pins et les sapins pullule.
Nous nous possons que vais-je encore découvrir à l’approche de Dee, femme d’exception...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Demain la chippie
A quand le 8
La chipie
La chipie
Ah mon cher Chris, quel bonheur de te lire...
C'est romanesque, érotique et excitant...
Cyrille
C'est romanesque, érotique et excitant...
Cyrille
Bravo pour les rebondissements !
Vraiment haletant
Nico
Vraiment haletant
Nico