COLLECTION ZONE ROUGE. Une oie blanche (1/1) - histoire érotique

• Bonjour monsieur, Christian à ce que m’a dit votre secrétaire.
Vous êtes mon premier client pour ce premier jour d’ouverture de ce gîte.
Les vicissitudes de la vie font que je dois partager mon espace avc d’autres, mais vous êtes le bienvenu.
• Bonjour madame, Jade à ce que m’a dit ma secrétaire.
Qui est cette jeune fille que je viens de croiser à l’entrée de votre parc lorsque je suis arrivé avec ma voiture.
• C’est ma fille Blanche, la prunelle de mes yeux qui vous a ouvert le portail monsieur Christian.
Blanche est une jeune fille pure, que je vous demanderais de respecter si vous la croisée !

Les présentations faites, je vois Blanche revenir et rentrer dans le manoir vieille époque qui m’accueille pendant ma semaine de prospection afin de développer ma clientèle dans le centre de la France.

Deux jours avant la fin de mon séjour, Jade me fait entrer dans son salon alors qu’elle est en peignoir, première fois où je la vois en tenue intime.
Une fois dans ce petit boudoir, elle ouvre son vêtement m’apparaissant nue.
Elle a les seins d’une femme la cinquantaine tombant légèrement, mais qui sont encore fort appétissants pour un homme dans la quarantaine.
Sa chatte de blonde a tendance à blanchir légèrement comme ses cheveux qui doivent être teints.
Pour ma part, je suis un homme ayant les tempes grisonnantes faisant de moi, un homme ayant énormément de succès auprès des femmes.
Jade pour sa part m’étonne de s’offrir alors que dans ses tailleurs de couleurs différentes qu’elle porte en temps normal, elle fait dame BCBG avec ses yeux bleus.

• Monsieur Christian, malgré ma recommandation à votre arrivée, j’ai vu que vous aviez tendance à tourner autour de ma fille.
Je veux la préserver de prédateur comme vous comme l’a été son père qui m’en a fait cadeau et qui s’est bien gardé de l’élever.
Il a seulement assuré son bien-être matériel jusqu’à sa mort, il y a quelques mois, m’obligeant à créer ce gîte, sa légitime refusant de continuer à payer son éducation.
Laissez ma fille et prenez-moi, je vais me sacrifier à sa place.
• Madame Jade cachez ces seins fort appétissants ma foi.
Je vais vous prouver la pureté de mes sentiments, j’ai demandé Blanche en mariage hier au soir.
Elle a accepté la bague que je lui ai offerte.
Elle m’a parlé de sa pureté et qu’elle se donnerait à l’homme de sa vie le soir de ses noces.
Je respecte ce sentiment et c’est tout naturellement que je la ferais femme dans un mois quand nous aurons scellé notre union.
• Monsieur Christian, je vous remercie d’avoir respecté ma fille, j’accepte votre union.

C’est ainsi, qu’un mois plus tard, je suis dans la chambre nuptiale à dénuder le sosie de sa maman par sa blondeur aux yeux bleus, à la seule différence, les seins bien plus fermes que ceux de sa maman.

• Christian, comme je te l’ai dit, tu es le premier et mère m’as éduqué sans jamais me perler de ce que je dis faire pour plaire à l’homme de ma vie !
• Me fais-tu confiance ?
• Plus que tout au monde, je croyais que je resterais vieille fille.
Mère étant très possessive et surtout ayant très peur de vous les hommes depuis la trahison de mon géniteur.
• Tu sais donc comment on fait pour satisfaire un homme ?
• J’ai vu des photos dans le dictionnaire, sans qu’elle le sache, c’est elle qui m’a fait l’école tant que c’était obligatoire.
• Enlève-moi mes vêtements je vais te montrer.

Maladroitement, elle m’enlève mes vêtements pendant que je lui ôte sa robe de mariée.

• Oh, c’est tout droit et c’est tout dur, comparé au dessin que j’ai vu !

Cruche, ramollie du bulbe, neu-neu, non, simplement une oie blanche.
La jeune femme que j’ai épousée, moi qui aime baiser tout ce qui bouge jusqu’à ce jour, a épousé une oie blanche comme son nom que je décide de façonner à mon goût.

• Je te guide, tu me suis !
• Oui, Christian.
• Agenouille-toi et met mon sexe dans ta bouche, ça s’appelle une fellation.

Oie blanche, mais bonne élève, elle me prend dans sa bouche, sachant que je suis le premier à entrer avec ma verge, je bande comme jamais.
Je la guide pour qu’elle me masturbe tout en me suçant.
Elle apprend vite, finissant même par me faire une gorge profonde

• Allonge-toi sur ce lit couvert de pétales de roses, je vais t’enlever ton pucelage.

C’est fait, elle a crié un cri quand je déchire son hymen.
L’encore première fois pour moi, toutes les salopes que j’ai sautées, l’avaient perdu depuis longtemps.
Dans la nuit, je remets le couvert, lui apportant son premier orgasme.
Au début d’après-midi, nous nous réveillons.
C’est d’elle-même qui vient me sucer divinement avant que je lui apprenne la levrette, l’une des nombreuses positions que nous pratiquons chaque fois que nous baisons, dans son appartement au-dessus de mon entreprise.
Blanche, téléphone à Jade sa mère chaque jour, avec le téléphone portable que ma secrétaire est allée acheter pour elle.
Comme je l’ai dit, je la façonne à mon envie, jusqu’à la sodomie qu’elle trouve très naturelle puisque c’est son mari qui lui propose.
On dit que l’homme propose alors que la femme dispose.
Avec une oie blanche, l’homme propose et l’oie se laisse mettre.

Quelques semaines que nous baisons, je décide de franchir une étape.
Son portable est simplement fait pour qu’elle téléphone, pas d’Internet, lui permettant d’apprendre les choses de la vie, me frustrant de ce que je décide de lui demander.
C’est le cas ce soir, Jean mon copain d’enfance, témoin à mon mariage, est notre invité.
J’ai choisi à Blanche, l’une de ses nouvelles tenues que je lui ai achetée.
Le repas qu’elle a préparé, Jade, l’ayant initiée à être une bonne cuisinière, est parfait comme la jolie salope que j’ai façonnée dans notre lit ou à tout autre endroit de notre logement.
Je l’ai baisé même dans mon bureau et les ateliers les week-ends et jours fériés.

• Blanche, agenouille-toi devant Jean, sort sa queue comme tu le fais pour moi et suces le.
Il est comme mon frère et il aime ça.
• Ça se fait, je l’ignorais.
• Bien sûr, et bien plus, je te rappelle, que je te demande, tu le fais.

Libertin et un tantinet voyeur, elle le suce avant d’aller sur le canapé se faire prendre en levrette position qu’affectionne Jean.
Je le sais, j’ai beaucoup baisé dans son club libertin non loin de chez nous.
J’adore la voir se faire prendre.

• Mère, Christian est un mari prévenant !
• Je sais maintenant quel est mon rôle de femme.

Une fraction de seconde, j’ai peur qu’elle parle de libertinage, mais toujours oie blanche, elle parle d’autre chose.

• Merci mon gendre, d’avoir respecté ma fille.

Bref, elle repart satisfaite que sa fille soit épanouie.

• Blanche, ce soir nos sommes de sortie, met la tenue que je t’ai sortie sur le lit.

Sans se poser de question, elle met le short rouge à paillettes ras la chatte avec des cuissardes et un simple gilet lui laissant les seins découverts dès qu’elle bouge un peu.

• Bonjours Jean, je t’amène ma petite chérie, fais-lui découvrir les plaisirs de ton club.
Blanche, tu vois cette mezzanine, je vais monter m’asseoir et te voir te donner à tous ceux qui ont envie de toi.
Tu seras une parfaite petite épouse, apprenant à faire plaisir à ton mari.
• Si Jean me guide et qu’une bonne épouse le faire, je le ferai.
• Même si une femme veut de toi, ta chatte et à sa disposition.
Apprends à baiser une autre épouse aussi fidèle à ton mari que toi.

Je suis à peine installé, surplombant le terrain de jeu où Jean trentaine.
Une grande rousse que je connais bien, je la baise régulièrement chaque fois que je viens chez mon copain est là ce que j’espérais.
Elle lui prend la main et la conduit sur un canapé sans dossier et dès qu’elles sont installées, elle l’embrasse.
J’adore voir la nouvelle étape que Blanche franchit allègrement.
Je vois sans entendre, Carla la rousse lui parler entre deux baisers et les deux femmes s’allonger Carla dessous, Blanche dessus dans un magnifique 69.
La musique d’ambiance me cache les cris de jouissance des deux femmes.
C’est à ce moment que je vois un monstre de muscles noir entrer et venir près d’elles.
Heureusement, que je sodomise ma femme régulièrement quand je vois l’homme que je vois pour la première fois sortir un chibre,deux fois supérieur au mien.
J’en ai mal pour ma petite soumise quoi que se faire baiser par tous les trous alors que l’on est une oie blanche, est-on soumise ?

C’est au retour chez nous que je la prends sauvagement, la voir baiser comme une folle du cul me fait tendre la queue.

Quelques jours passent et je vais chez ma belle-mère.

• Christian, je suis heureuse de vous voir.
Merci d’avoir pris soin de ma fille comme vous le faite.
J’avais peur que vous soyez un affreux phallocrate comme l’était son père.
• Laissez ma fille et prenez-moi, je vais me sacrifier à sa place.
C’est ce que tu m’as dit Jade au début avant mon mariage.
Ta fille est dans un avion en route pour Dakar avec mon ami Jean.
Elle a pris goût à la sodomie et aux grosses verges noires !
Tout le long de son séjour, elle va se faire baiser comme la salope que j’ai fait d’elle.
Quand elle rentrera, je vais la sauter pour te faire un héritier.
Je suis un serial baiseur.
Pendant son absence et sa grossesse, je te prends au mot.
« Prenez-moi, je vais me sacrifier à sa place. »
À genoux et suce-moi, ta fille le fait en gorge profonde.

La fille était une oie blanche que j’ai su façonner à ma mesure et à mon envie.
Je suis sûr que sa mère saura, elle aussi être ma soumise et ma salope.