Coloc Ep02 Des colocs chaleureux

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Coloc Ep02 Des colocs chaleureux Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Coloc Ep02 Des colocs chaleureux
Coloc Ep02
Des colocs chaleureux


On discutait un long moment puis sans prévenir un des mecs se relevait.

– Et au niveau endurance, il est comment ? Demandait-il à haute voix.

Sans ménagement mais avec une certaine douceur il me saisissait et me retournait sur le ventre.

– Écarte les jambes ! Me disait-il.

Je m'était à peine exécuté qu'il me tombait dessus. C'était fort, doux, et chaud. Il m'écrasait avec une incroyable douceur et m'embrassait le haut de mon dos, il me mordillait aussi et me faisait trembler de plaisir autant que de désir. J'avais déjà pris du plaisir et j'étais prêt pour recommencer.

Rapidement, sans que j'ai vraiment le temps de réagir, il se lubrifiait la queue et me l'enfournait dans un mouvement rapide. Là j'ai hurlé de plaisir.

Le premier m'avait déjà bien dilaté et ça passait tout seul, c'était le pied. Le plaisir rayonnait dans tout mon corps, je tremblais. Je vous jure j'avais presque du mal à tenir allongé. Je veux dire que j'aurais eu du mal à tenir debout mais bon allongé, ça allait !

Il m'écrasait, et me limait le cul avec vigueur. Il m'enfonçait sa bite dans le cul et la retirait avec force, et il recommençait, encore, et encore. Moi je gémissais, je criais même par moment, je criais à chaque fois que sa queue s'écrasait au fond de mes entrailles.

Là j'ai dégusté, j'ai aimé c'était le pied. Bien préparé, bien dilaté, mon cul recevait sans aucune difficulté cette bite généreuse qui glissait jusqu'au fond de mes entrailles.

Je convulsais, je tremblais, je demandais pitié, j'en redemandais, je …

Son corps glissait sur le mien, il était chaud, il était doux, ferme et musclé. Il me caressait avec ses bras. Me saisissait et me soulevait. Je retournais la tête et il m'embrassait. Il me redressait et s'enfonçait avec encore plus de force. Son ventre m'écrasait les fesses et je ne vous dis pas, dans mes fesses, c'était la panique. Du plaisir, bien sûr, beaucoup de plaisir c'était le paradis mais aussi un peu de douleur parfois plus qu'un peu, là c'était un peu l'enfer.

Mais j'en voulais encore.

Il se retirait et malgré la taille de son engin il revenait bien à fond dans un mouvement ultra rapide. Son ventre claquait contre mes fesses et je gueulais. Les trois autres nous regardaient, ils semblaient apprécier les prestations de leur camarade mais je pense qu'ils étaient surtout étonnés par mon endurance.

Il avait parlé d'endurance, je lui montrais que j'en avais. Il me lâchait le torse, je retombais, il ne me retenais que par le bassin, me tirant vers lui quand il avançait son bassin contre mes fesses, puis il me repoussait.

Je n'avais même plus la force de m'appuyer sur mes bras. Je retombais le visage sur le coussin, amorphe. Je recevais encore quelques coups violents mais délicieux, il râlait, il jouissait en moi, ça, je ne le sentais pas mais je le devinais.

Il me retenait contre lui, sa queue bien garée dans mon cul. Puis un long moment plus tard il se retirait. Je restais là, le cul en l'air presque mort mais heureux.

J'avais tenu le coup. Je reprenais mon souffle, je le sentais encore en moi mais je sais que ce n'était qu'une impression. Là je gémissais de plaisir, le calme était revenu et je me sentais tellement bien. Je jutais, je n'éjaculais pas, je jutais mon sperme coulait lentement dans un flot continu et n'était pas expulsé. Mais c'était bon.

Sans me prévenir, et sans me demander mon avis non plus un autre de ces joyeux luron me grimpais dessus. Il m'attrapait par les hanches et m'enfonçait violemment sa queue dans le cul. Au point ou j'en étais, il fallait juste un peu de gel sur sa queue, et pour le reste, j'étais prêt.

Son ventre claquait fort sur mes fesses, je criais de nouveau et c'était reparti. Je sentais un plaisir terrible qui montait depuis mon sexe, depuis l'intérieur de ma bite, j'avais une terrible envie d'éjaculer mais rien. Enfin rien, le flot de sperme continuait, mais toujours pas d'éjaculation spectaculaire.

J'avais pourtant bien l'impression que quelque chose de spectaculaire se passait. Je jouissais avec ma queue mais sans éjaculer, sans me stimuler, sans me toucher, je bandais comme un fou puis, quand je me touchais la queue, je constatait que, en fait, je ne bandais même pas. Je ne jutais plus non plus.

C'était un étrange plaisir que je ressentais. Comme un orgasme sans jouissance ou une jouissance sans orgasme. Je ne savais plus ce que je ressentais. J'étais sur les genoux, le cul en hauteur et la joue contre le tapis, il continuait à me limer le cul. J'étais mort, pour le deuxième fois ce soir là. Je ne me débattais pas, je me laissais faire.

Et sa queue limait, elle entrait et ressortait, plus rien ne pouvait la retenir. Chaque aller-retour me donnait un plaisir intense. Je n'en pouvais plus de trembler. Il ne se concentrait que sur son plaisir, il oubliait le mien et c'était tant mieux, s'il avait pensé à moi j'en aurais pas pris autant dans le cul.

Je n'avais plus la force d'en redemander, je laissait faire, j'étais tout mou, j'étais bien. Tous mes muscles étaient détendus, à commencer par tous ceux de mon cul, c'est vrai que là c'était préférable mais pour les autres …

Je ne savais même plus ou était mes bras, un peu plus tard j'ai remarqué qu'ils étaient toujours accrochés à mes épaules, c'était rassurant remarquez.

Cette phrase résume bien comment je me sentais. J'étais labouré, déchiré, écartelé, écrasé, mais j'étais bien .

Il se retirait sans prévenir, il n'avait pas non plus prévenu avant d'arriver. Il me lâchait, je me sentais tomber sur le côté. Il m'a fallu du temps, je sentais bien que je ne parvenais même pas tenir dans cette position qui pourtant ne demandait aucun effort de ma part et doucement au début, je me sentais pencher d'un côté puis je tombais, toujours dans la même position. Je me retrouvais sur le côté, sur le tapis, heureusement il était très épais.

– Ça va ? Me demandait un des gars.

Je tentais d'articuler une réponse en relevant une main, poing fermé et pouce en haut.

– Ça-a …

C'est tout ce que je pouvais faire.

– Pour ce qui est de l'endurance il est bon. Déclarait un des quatre
– Moi je ne l'ai pas essayé, mais c'est pas grave je me suis branlé et j'ai juté grave. Concluait le dernier.
– Ho-o ! parvenais-je à rajouter.
– Bon qui veut une bière ?

Tous les trois en réclamaient une et moi je tentais …

– M … oi ! J'v...eu b ien !
– Et n'oublie pas non plus Charly. Ça va le réveiller rajoutais un des trois mecs.

Ils éclataient tous de rire. Quelques instants plus tard on me déposait juste devant moi, au niveau des yeux une petite bouteille de bière sur un petit plateau. Je n'avais toujours pas bougé.

– R-ci ! Répondais-je.

Je me sentais bien mais dans mes entrailles c'était un peu le désordre, le vertige disparaissait et je récupérais. Un peu plus tard je me suis relevé brusquement et me suis précipité dans la salle de bain. Il m'avaient retourné les intestins et il fallait évacuer.

En fait il n'y avait pas grand chose à évacuer et je restais assis sur la cuvette des WC. Je me sentais bien.

– Ça va ! Me lançait-on.
– Super ! Répondais-je.

Je me lavais bien le cul, tout allait bien. Je me sentais comme vidé, un peu comme un poulet juste avant de passer au four. A par que moi je me sentais bien, super bien. J'avais joui comme jamais et je revenais dans le salon, ou j'étais applaudi.

J'enfilais ma bière cul sec.

– Alors là tu nous a épaté. Me disait Luidji.
– Tu m'excuse si je ne t'ai pas enculé. Me disais Raphaël, mais je me suis bien vidé les couilles en vous regardant faire.
– On verra ça demain. Lui répondais-je avec le sourire.
– J'aime ce genre de mentalité ! Me répondait-il. Je vote pour ta candidature ! Rajoutait-il à l'intention des autres.

Tous acquiesçaient à ce vote. J'avais trouvé un logement et en plus je savais que je ne m’ennuierais pas le soir. Je me sentais terriblement bien. Si le petit dernier avait voulu me défoncer le cul, vous savez, j'aurais pas dit non. Je lui aurais juste demandé une petite pause.

Ensuite on réglait les détails.

– On a remarqué, chacun dans nos expériences, que pour être sûr que le vide couilles reste disponible, il n'était pas totalement inutile de le laisser dans un état de frustration. Commençait à expliquer Luidji.
– L'idéal est que la frustration soit permanente … Rajoutait Francis.

Puis c'est tous les trois qui prenaient la parole, se coupaient la parole, se complétaient. Le discours était rodé mais je ne voyais pas du tout ou ils voulaient en venir.

– Tu ne te sens pas frustré, en manque de sexe en ce moment ? Me demandait Roméo.
– Sinon tu me dis et je vais me sacrifier et faire un effort ! Rajoutais Raphaël avant que j'ai le temps de répondre.
– Non là ça va, là ça va. Finissais-je par répondre avec un large sourire.

C'est vrai qu'à ce moment je me sentais bien, je sentais encore la présence de quelque chose dans mon cul. C'était juste le souvenir physique de ce qu'ils m'avaient fait subir. J'aurais presque eu envie de recommencer. Je me sentais vraiment bien.

Suivait un moment de silence. On se regardait. Puis brusquement Luidji posait une petite boite devant moi.

– On pense donc que notre vide couilles doit porter ça en permanence !

Je regardais sans comprendre, il me regardaient tous avec un sourire forcée. J'ouvrais la boite et là j'ai sentis comme un appel. Comme une envie qui m'attendait, que j'avais sans le savoir.

C'était un dispositif de chasteté. Et c'était pas de la merde, il était de marque PK Compagnie.

Je ressentais comme un désir au niveau de mon cœur, une, envie, un manque. Comme tout le monde j'avais entendu parler de ce genre de truc, même si ce n'était pas une mode. Certains tentaient de le faire connaître mais c'était encore à cette époque un objet exotique.

En quelques secondes j'ai revécu toute ma soirée, revisité dans ma tête tout l'appartement, revu les quatre corps magnifique et imaginer que Raphaël m'avait lui aussi enculé, j'ai …

Sans aucune hésitation, avec toutefois un tremblement interne qui ne se voyait pas mais que je ressentais fort, j'ai passé une couille puis l'autre dans l'anneau. Je l'ai bien ajusté. Ensuite ,sans même reprendre ma respiration, je glissais ma queue dans la cage. Je ne bandais pas, j'avais l'impression d'une érection ferme et décidée mais en fait ma queue restait à sa taille mini.

Luidji me tendait la clé sur laquelle il y avait le cadenas. Je glissais le cadenas dans la fente prévue à cet effet et verrouillais.

Tous le monde applaudissait.

– Soit le bienvenu chez toi. Me lançais Roméo.

Tous se penchaient vers moi en me tendant la main, je leur tendais la mienne, mais ils voulaient juste me tripoter les couilles, et c'est ce qu'ils ont fait !


A suivre


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Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super histoire ! Merci.



Texte coquin : Coloc Ep02 Des colocs chaleureux
Histoire sexe : Une rose rouge
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