Coloc Ep03 Deux autres colocataires
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Coloc Ep03 Deux autres colocataires
Coloc Ep03
Deux autres colocataires
A partir de là, tout allait très vite. On me proposait de m'installe tout de suite. Javais bien un logement mais pas terrible, je n'avais même pas de chambre donc j'ai dit oui.
– C'est d'accord mais les deux autres colocataire, vous êtes six, vous m'avez dit. Il en manque deux.
– Ne t'inquiète pas pour eux, on connaît leurs goûts et on sait qu'ils seront d'accord avec notre choix.
– Dans ce cas là … Concluais-je.
Luidji m'emmenait à mon, désormais, ancien logement. On prenait mes affaires. Tout tenait dans un sac à dos de taille moyenne, c'était bien tassé et il était lourd mais tout y était.
Je me remettais lentement de ma soirée. Je ne sentais pas vraiment la cage à bite. Je sentais encore quelque chose dans mon cul. C'était agréable, par moment j'avais encore presque le souvenir du plaisir, j'avais l'impression que le plaisir revenait, en fait il n'avait pas totalement disparu.
Je m'installais, on m'invitais au restau.
– Ça fait partie des privilèges ! Me disait Francis. On te baise et on te loge certes mais pas que …
Il me regardait avec un petit sourire narquois au moment ou nous sortions de l'appartement. Ils ne se moquaient pas de leur vide couilles ceux là. C'est vrai qu'ils avaient du fric. C'était pas vraiment mon cas.
Je récapitulais, ils me défonceraient le cul deux fois par jours, ils avaient des bites énormes mais très belles, ils avaient des corps superbes, ils me logeraient dans un appartement somptueux. Il devait y avoir un piège …
Mais quand, au restau, on m'a demandé si le homard ne me tentait pas, tous mes doutes ont disparu. Après tout quoi, c'est vrai, j'étais un vide couille de luxe. J'étais prêt à remettre ça ce soir … J'ai pris le homard !
Francis s'amusait à me voir, j'étais comme un gamin, je jubilais, on me gâtait avant de m'enculer. J'avais même droit à du champagne, on fêtait mon arrivée.
On a bien mangé, bien sûr je n'avais pas le droit de voir la facture. On terminait tranquillement la soirée puis on rentrait. Je me sentais toujours très bien. Par moment ma queue se réveillait, elle tentait une érection. La sensation était étrange, pas vraiment désagréable, pas douloureuse, mais un peu crispante quand même.
Je sentais cette pression autour de ma queue. C'était une sensation forte, le plus désagréable était l'anneau à la base de mon sexe. Mais c'était supportable. Je n'avais plus le choix, en cas de démission de mon rôle de vide couille, je garderais le dispositif jusqu'à la fin de l'année de fac mais je perdrais l'appartement. C'est ce qu'on avait convenu.
Finalement il valait mieux continuer, aller jusqu'au bout et me prendre des coups de bite tous les jours. Il faut dire que c'était tentant.
On rentrait aussitôt après le restau, nous étions juste arrivé je me retournais vers Raphaël.
– Tu te sens plus en forme toi ?
– Mais tu es du genre insatiable toi ?
On se déshabillait rapidement, je déposais mes vêtements sur mon lit et revenait dans le salon. Tout le monde se retrouvait à poil et bandait. Je me retournais vers Raphaël. Il avait une fière grosse queue qui se redressait dans ma direction.
On échangeait un regard, les trois autres nous observaient. Puis je me retombais à genoux, je lui caressais la queue. Oui je sais j'aurais du être rassasié, sexuellement rassasié je veux dire mais le homard m'avait remis sur pieds.
Je lui prenais la queue dans la bouche. Aussitôt je l'entendais gémir, lui aussi était bien monté, j'étais tombé dans un nid de grosses queue, finalement c'était bien mon jour de chance.
C'est avec une certaine délectation que je le suçais, je me régalais et lui ne se plaignait pas non plus. Il me caressait le corps, rapidement ses doigts se dirigeaient vers mon cul, il y rentrait deux doigts en même temps, ça résistait un peu, mon cul était sec. Il crachait et brusquement ça glissait rapidement, sans douleur, sans résistance.
Il agitait ses doigts et un immense plaisir m'envahissait. Il tambourinait sur ma prostate et sans sa queue dans ma bouche j'aurais certainement crié de plaisir mais là, sans le vouloir il me faisait taire.
Puis il décidait de prendre en main les opérations. Il se retirait, il me retournait, bien sûr, je me laissais faire. Il prenait position, la queue juste en face de mon cul, il rajoutait un peu de gel lubrifiant et en un mouvement rapide et ferme il m'enculait jusqu'à la garde. Son ventre s'écrasait et claquait sur mes fesses.
J'avais été bien dilaté en tout début de soirée et ça passait tout seul, aucune douleur, que du plaisir. Sans attendre il se retirait et revenait à la charge, ensuite il me limait longuement le cul. Il le faisait avec des mouvements lents et amples. Il se retirait totalement, marquait une pause puis revenait bien à fond, toujours lentement, le plaisir devenait bientôt intense.
Il accélérait et ses mouvements devenaient soudainement rapide, plus sec, moins amples. C'était une toute autre sensation, toujours aussi bon mais plus violente.
Puis ses mouvements redevenaient plus amples, comme au début mais toujours très rapide, là il fallait encaisser, et j'encaissais. J'y prenais un immense plaisir, ample et rapide c'était terrible.
Il jouait aussi avec une certaine violence, par moment il frappait fort son ventre contre mes fesses, ça claquait sec dans la salle et je gueulais de plaisir.
Ce jeux devait durer un moment puis je le sentais, il s'énervait. Il me cramponnait et me tirait vers lui. Je l'ai senti frémir, trembler même. Je l'ai entendu gémir puis crier au moment ou il jouissait dans mon cul.
Ensuite il me lâchait, je tombais de tout mon poids sur le tapis, j'avais l'impression de ne plus pouvoir bouger, mais je me sentais bien, incroyable bien. Je sentais ma queue toute dure, de petite taille mais bien dure. Je sentais le plaisir qui montait à l'intérieur même de ma queue. Je sentais que j'allais jouir, je glissait ma main sur ma cage et je sentais ma queue toute petite et toute molle dans sa cage, pas une goutte ne perlait. Ma bite était et restait parfaitement sèche.
Je ne portais le dispositif de chasteté que depuis quelques heures mais déjà il semblait fonctionner, il semblait me stimuler d'une manière que je ne connaissais pas. C'était étrange, c'était aussi jouissif. Jouissif mais sans véritable plaisir, c'était juste à la limite du plaisir.
Après cette soirée, j'étais épuisé et je n'ai pas traîné avant d'aller au lit. A peine les yeux fermés, je m'endormais profondément. Rapidement je rêvais. J'étais dans un palais ou on me servait, un palais ou je me faisais enculer, un palais ou …
Doucement on me touchait le bras pour me réveiller. J'ouvrais un œil. C'était Raphaël qui était là, juste à côté de moi, il était nu et bandait.
– Nos deux amis sont arrivés et ils aimeraient bien faire ta connaissance. Me disait-il.
Je regardais sa queue qui était magnifique et aussitôt je sentais mon cul qui se réveillait, il en avait envie. J'éprouvais déjà du plaisir en le contractant. Et ma queue protestait un peu plus, là, c'était moins agréable, je bandais et ma queue se sentait comme étranglée dans sa cage.
Je me levais, j'étais à poil, tout le monde était là, dans la salon. Il y avait bien sûr les quatre premiers que je connaissais, intimement maintenant, et il y avait aussi deux autres garçons.
On me présentait Kevin et Manuel. Ils avaient une bonne tête, ils s'approchaient de moi et sans se gêner me caressaient le corps.
L'un insistait sur mes couilles, l'autre sur mes fesses.
– On peut l'essayer ? Demandait Kevin.
– On lui est passé sur le corps tous les quatre ! Lui répondait Luidji.
Et moi il fallait que j'en rajoute …
– Même pas peur ! Disais-je.
Ils ont tous éclaté de rire, et rapidement les deux nouveaux arrivés retiraient leurs vêtements. Ils étaient bien bâtis, eux aussi avaient un corps superbe et je me rendais compte peu après qu'ils avaient également une bite effrayante.
Mais comme je l'avais dit … '' Même pas peur ! ''.
Un d'entre eux mettait sa main sur mon épaule me tirait doucement vers lui et m'embrassait. Ensuite il appuyait doucement et je comprenais, je m'accroupissais devant lui et prenait sa queue dans ma bouche.
Il faut dire que je commençais à avoir l'habitude, depuis le début de la soirée il n'était jamais que le cinquième.
Comme je vous l'avais dit, j'étais bien tombé dans un nid de grosses bites. Il y mettait de la douceur, viril mais doux. C'est avec une grande douceur qu'il appuyait sur ma tête et sa queue glissait sur ma langue. J'arrivais encore à y prendre du plaisir, du coin de l’œil je pouvais constater que son pote, le dernier en avait lui aussi une grosse.
C'était de la folie, ils avaient tous une grosse bite je vous dis. Dans mon contrat je devais m'en prendre deux dans le cul tous les jours. Un court instant je réfléchissait à cet engagement.
Sa queue s'écrasait dans ma gorge. Les muscles de ma bouche fatiguaient mais à par ça, tout allait bien. Manuel jouait du coude avec son camarade pour prendre sa place.
– Il a l'air de faire ça bien, fais voir, laisse moi la place ! Disait-il à Kevin qui s'écartait.
C'est une nouvelle queue que je prenais dans ma bouche. Encore une grosse bite. Il me donnait quelques coups de bassin plus violents que ceux de son camarade Kevin. Il s'amusait à écraser son ventre sur mon nez.
Oui je sais, ce ne serait pas facile tous les jours !
Kevin s'agaçait et repoussait Manuel et reprenait sa place dans ma bouche.
Manuel râlait un peu mais s'écartait. Je retrouvais un peu de douceur, mais rapidement un main me caressait le cul. Un doigt glissait un peu de gel, il rentrait rapidement et surtout facilement. Kevin me retenait, et Manuel qui avait pris position m'enfonçait sa queue dans le cul en un mouvement rapide et violent.
Avec tout ce que je m'étais pris dans le cul, je vous jure que c'est rentré tout seul. Son ventre s'écrasait sur mes fesses, ça me rappelait quelque chose ça, et même que c'était pas très vieux. Sans attendre il me limait le cul sans la moindre retenue, il y allait franco. Kevin, lui toujours plus calme, toujours plus doux me limait la bouche mais avec tendresse.
C'est lui qui à juté en premier. Il a été rapide en fait. Il me lâchait une généreuse dose de sperme que je dégustais sans faire de manière, simplement je faisais très attention à ne pas en perdre, j'avalais tout. Quand il se retirait il appréciait. Manuel ne s'arrêtait pas.
– Ça te dérange Charly si je conclu rapidement, je suis épuisé et je voudrais aller me coucher.
– Tu peux y aller ! Tu peux conclure ! Lui répondais-je.
Il se lâchait alors avec une violence à laquelle je ne m'attendais pas. Les coups de bite claquaient sur mes fesses. Il pressait les événements.
Quelques instants plus tard il criait de plaisir en éjaculant dans mon cul. Il me donnait encore quelques coups, ne bougeait plus puis se retirait.
– Tu es un bon coup toi ! Me disait-il.
Puis on se retrouvait sous la douche, on parlait un peu, Kevin et Manuel avait fait beaucoup de route avant d'arriver et étaient fatigués.
– Au moins, on dormira bien ! Déclarait Kevin.
– Rien de tel avant d'aller se coucher ! Continuait Manuel.
Ils me donnaient un baiser sur les lèvres avant de disparaître dans leurs chambres respectives. J'en faisais de même et reprenais mon rêve là ou il s'était arrêté.
Je me sentais bien, vidé mais bien. Bon je ne referais pas ça tous les jours mais une fois de temps en temps … Six grosses bites dans le cul ça fait du bien.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Deux autres colocataires
A partir de là, tout allait très vite. On me proposait de m'installe tout de suite. Javais bien un logement mais pas terrible, je n'avais même pas de chambre donc j'ai dit oui.
– C'est d'accord mais les deux autres colocataire, vous êtes six, vous m'avez dit. Il en manque deux.
– Ne t'inquiète pas pour eux, on connaît leurs goûts et on sait qu'ils seront d'accord avec notre choix.
– Dans ce cas là … Concluais-je.
Luidji m'emmenait à mon, désormais, ancien logement. On prenait mes affaires. Tout tenait dans un sac à dos de taille moyenne, c'était bien tassé et il était lourd mais tout y était.
Je me remettais lentement de ma soirée. Je ne sentais pas vraiment la cage à bite. Je sentais encore quelque chose dans mon cul. C'était agréable, par moment j'avais encore presque le souvenir du plaisir, j'avais l'impression que le plaisir revenait, en fait il n'avait pas totalement disparu.
Je m'installais, on m'invitais au restau.
– Ça fait partie des privilèges ! Me disait Francis. On te baise et on te loge certes mais pas que …
Il me regardait avec un petit sourire narquois au moment ou nous sortions de l'appartement. Ils ne se moquaient pas de leur vide couilles ceux là. C'est vrai qu'ils avaient du fric. C'était pas vraiment mon cas.
Je récapitulais, ils me défonceraient le cul deux fois par jours, ils avaient des bites énormes mais très belles, ils avaient des corps superbes, ils me logeraient dans un appartement somptueux. Il devait y avoir un piège …
Mais quand, au restau, on m'a demandé si le homard ne me tentait pas, tous mes doutes ont disparu. Après tout quoi, c'est vrai, j'étais un vide couille de luxe. J'étais prêt à remettre ça ce soir … J'ai pris le homard !
Francis s'amusait à me voir, j'étais comme un gamin, je jubilais, on me gâtait avant de m'enculer. J'avais même droit à du champagne, on fêtait mon arrivée.
On a bien mangé, bien sûr je n'avais pas le droit de voir la facture. On terminait tranquillement la soirée puis on rentrait. Je me sentais toujours très bien. Par moment ma queue se réveillait, elle tentait une érection. La sensation était étrange, pas vraiment désagréable, pas douloureuse, mais un peu crispante quand même.
Je sentais cette pression autour de ma queue. C'était une sensation forte, le plus désagréable était l'anneau à la base de mon sexe. Mais c'était supportable. Je n'avais plus le choix, en cas de démission de mon rôle de vide couille, je garderais le dispositif jusqu'à la fin de l'année de fac mais je perdrais l'appartement. C'est ce qu'on avait convenu.
Finalement il valait mieux continuer, aller jusqu'au bout et me prendre des coups de bite tous les jours. Il faut dire que c'était tentant.
On rentrait aussitôt après le restau, nous étions juste arrivé je me retournais vers Raphaël.
– Tu te sens plus en forme toi ?
– Mais tu es du genre insatiable toi ?
On se déshabillait rapidement, je déposais mes vêtements sur mon lit et revenait dans le salon. Tout le monde se retrouvait à poil et bandait. Je me retournais vers Raphaël. Il avait une fière grosse queue qui se redressait dans ma direction.
On échangeait un regard, les trois autres nous observaient. Puis je me retombais à genoux, je lui caressais la queue. Oui je sais j'aurais du être rassasié, sexuellement rassasié je veux dire mais le homard m'avait remis sur pieds.
Je lui prenais la queue dans la bouche. Aussitôt je l'entendais gémir, lui aussi était bien monté, j'étais tombé dans un nid de grosses queue, finalement c'était bien mon jour de chance.
C'est avec une certaine délectation que je le suçais, je me régalais et lui ne se plaignait pas non plus. Il me caressait le corps, rapidement ses doigts se dirigeaient vers mon cul, il y rentrait deux doigts en même temps, ça résistait un peu, mon cul était sec. Il crachait et brusquement ça glissait rapidement, sans douleur, sans résistance.
Il agitait ses doigts et un immense plaisir m'envahissait. Il tambourinait sur ma prostate et sans sa queue dans ma bouche j'aurais certainement crié de plaisir mais là, sans le vouloir il me faisait taire.
Puis il décidait de prendre en main les opérations. Il se retirait, il me retournait, bien sûr, je me laissais faire. Il prenait position, la queue juste en face de mon cul, il rajoutait un peu de gel lubrifiant et en un mouvement rapide et ferme il m'enculait jusqu'à la garde. Son ventre s'écrasait et claquait sur mes fesses.
J'avais été bien dilaté en tout début de soirée et ça passait tout seul, aucune douleur, que du plaisir. Sans attendre il se retirait et revenait à la charge, ensuite il me limait longuement le cul. Il le faisait avec des mouvements lents et amples. Il se retirait totalement, marquait une pause puis revenait bien à fond, toujours lentement, le plaisir devenait bientôt intense.
Il accélérait et ses mouvements devenaient soudainement rapide, plus sec, moins amples. C'était une toute autre sensation, toujours aussi bon mais plus violente.
Puis ses mouvements redevenaient plus amples, comme au début mais toujours très rapide, là il fallait encaisser, et j'encaissais. J'y prenais un immense plaisir, ample et rapide c'était terrible.
Il jouait aussi avec une certaine violence, par moment il frappait fort son ventre contre mes fesses, ça claquait sec dans la salle et je gueulais de plaisir.
Ce jeux devait durer un moment puis je le sentais, il s'énervait. Il me cramponnait et me tirait vers lui. Je l'ai senti frémir, trembler même. Je l'ai entendu gémir puis crier au moment ou il jouissait dans mon cul.
Ensuite il me lâchait, je tombais de tout mon poids sur le tapis, j'avais l'impression de ne plus pouvoir bouger, mais je me sentais bien, incroyable bien. Je sentais ma queue toute dure, de petite taille mais bien dure. Je sentais le plaisir qui montait à l'intérieur même de ma queue. Je sentais que j'allais jouir, je glissait ma main sur ma cage et je sentais ma queue toute petite et toute molle dans sa cage, pas une goutte ne perlait. Ma bite était et restait parfaitement sèche.
Je ne portais le dispositif de chasteté que depuis quelques heures mais déjà il semblait fonctionner, il semblait me stimuler d'une manière que je ne connaissais pas. C'était étrange, c'était aussi jouissif. Jouissif mais sans véritable plaisir, c'était juste à la limite du plaisir.
Après cette soirée, j'étais épuisé et je n'ai pas traîné avant d'aller au lit. A peine les yeux fermés, je m'endormais profondément. Rapidement je rêvais. J'étais dans un palais ou on me servait, un palais ou je me faisais enculer, un palais ou …
Doucement on me touchait le bras pour me réveiller. J'ouvrais un œil. C'était Raphaël qui était là, juste à côté de moi, il était nu et bandait.
– Nos deux amis sont arrivés et ils aimeraient bien faire ta connaissance. Me disait-il.
Je regardais sa queue qui était magnifique et aussitôt je sentais mon cul qui se réveillait, il en avait envie. J'éprouvais déjà du plaisir en le contractant. Et ma queue protestait un peu plus, là, c'était moins agréable, je bandais et ma queue se sentait comme étranglée dans sa cage.
Je me levais, j'étais à poil, tout le monde était là, dans la salon. Il y avait bien sûr les quatre premiers que je connaissais, intimement maintenant, et il y avait aussi deux autres garçons.
On me présentait Kevin et Manuel. Ils avaient une bonne tête, ils s'approchaient de moi et sans se gêner me caressaient le corps.
L'un insistait sur mes couilles, l'autre sur mes fesses.
– On peut l'essayer ? Demandait Kevin.
– On lui est passé sur le corps tous les quatre ! Lui répondait Luidji.
Et moi il fallait que j'en rajoute …
– Même pas peur ! Disais-je.
Ils ont tous éclaté de rire, et rapidement les deux nouveaux arrivés retiraient leurs vêtements. Ils étaient bien bâtis, eux aussi avaient un corps superbe et je me rendais compte peu après qu'ils avaient également une bite effrayante.
Mais comme je l'avais dit … '' Même pas peur ! ''.
Un d'entre eux mettait sa main sur mon épaule me tirait doucement vers lui et m'embrassait. Ensuite il appuyait doucement et je comprenais, je m'accroupissais devant lui et prenait sa queue dans ma bouche.
Il faut dire que je commençais à avoir l'habitude, depuis le début de la soirée il n'était jamais que le cinquième.
Comme je vous l'avais dit, j'étais bien tombé dans un nid de grosses bites. Il y mettait de la douceur, viril mais doux. C'est avec une grande douceur qu'il appuyait sur ma tête et sa queue glissait sur ma langue. J'arrivais encore à y prendre du plaisir, du coin de l’œil je pouvais constater que son pote, le dernier en avait lui aussi une grosse.
C'était de la folie, ils avaient tous une grosse bite je vous dis. Dans mon contrat je devais m'en prendre deux dans le cul tous les jours. Un court instant je réfléchissait à cet engagement.
Sa queue s'écrasait dans ma gorge. Les muscles de ma bouche fatiguaient mais à par ça, tout allait bien. Manuel jouait du coude avec son camarade pour prendre sa place.
– Il a l'air de faire ça bien, fais voir, laisse moi la place ! Disait-il à Kevin qui s'écartait.
C'est une nouvelle queue que je prenais dans ma bouche. Encore une grosse bite. Il me donnait quelques coups de bassin plus violents que ceux de son camarade Kevin. Il s'amusait à écraser son ventre sur mon nez.
Oui je sais, ce ne serait pas facile tous les jours !
Kevin s'agaçait et repoussait Manuel et reprenait sa place dans ma bouche.
Manuel râlait un peu mais s'écartait. Je retrouvais un peu de douceur, mais rapidement un main me caressait le cul. Un doigt glissait un peu de gel, il rentrait rapidement et surtout facilement. Kevin me retenait, et Manuel qui avait pris position m'enfonçait sa queue dans le cul en un mouvement rapide et violent.
Avec tout ce que je m'étais pris dans le cul, je vous jure que c'est rentré tout seul. Son ventre s'écrasait sur mes fesses, ça me rappelait quelque chose ça, et même que c'était pas très vieux. Sans attendre il me limait le cul sans la moindre retenue, il y allait franco. Kevin, lui toujours plus calme, toujours plus doux me limait la bouche mais avec tendresse.
C'est lui qui à juté en premier. Il a été rapide en fait. Il me lâchait une généreuse dose de sperme que je dégustais sans faire de manière, simplement je faisais très attention à ne pas en perdre, j'avalais tout. Quand il se retirait il appréciait. Manuel ne s'arrêtait pas.
– Ça te dérange Charly si je conclu rapidement, je suis épuisé et je voudrais aller me coucher.
– Tu peux y aller ! Tu peux conclure ! Lui répondais-je.
Il se lâchait alors avec une violence à laquelle je ne m'attendais pas. Les coups de bite claquaient sur mes fesses. Il pressait les événements.
Quelques instants plus tard il criait de plaisir en éjaculant dans mon cul. Il me donnait encore quelques coups, ne bougeait plus puis se retirait.
– Tu es un bon coup toi ! Me disait-il.
Puis on se retrouvait sous la douche, on parlait un peu, Kevin et Manuel avait fait beaucoup de route avant d'arriver et étaient fatigués.
– Au moins, on dormira bien ! Déclarait Kevin.
– Rien de tel avant d'aller se coucher ! Continuait Manuel.
Ils me donnaient un baiser sur les lèvres avant de disparaître dans leurs chambres respectives. J'en faisais de même et reprenais mon rêve là ou il s'était arrêté.
Je me sentais bien, vidé mais bien. Bon je ne referais pas ça tous les jours mais une fois de temps en temps … Six grosses bites dans le cul ça fait du bien.
Fin
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