Colocation
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Colocation
Colocation
Je m'appelle Marion, je travaille comme esthéticienne dans une grande ville du sud de la France. J'habite dans un immeuble récent bien situé près de mon travail en centre ville en colocation avec mon amie Marine qui elle, est coiffeuse. Nous nous connaissons depuis la maternelle car nous habitions dans le même petit village d'où nous sommes originaires.
Nous avons le même âge, le même parcours scolaire mais nous sommes très différentes : Marine est grande, mince, brune avec des mèches courtes et rebelles. Elle porte des jeans ou des leggings avec un tee shirt ou un polo et une veste en cuir. Elle est parfois sèche et brusque dans ses gestes. Elle est introvertie et peu bavarde.
Moi, au contraire, je suis une pipelette, plutôt menue, ronde sans être grosse avec un 85 D. Les mecs me charrient souvent mais j'en suis fière. Ce qui rare chez les filles. Marine, elle n'a pas de poitrine et souvent ne porte rien. Je suis toujours de bonne humeur, partante, prête à rigoler.
Je suis la bonne copine, quoi !
C'est un peu pour ça aussi que nous sommes ensembles.
Dans l'appartement, il y a deux mecs : Franck, étudiant en médecine qui ne sort pratiquement pas de sa chambre où il bosse nuit et jour et Mickaël, étudiant lui aussi.
Il y a trois chambres, un séjour, une petite cuisine et une salle de bain commune.
Les garçons ne mangent pratiquement qu'au resto universitaire, nous avons la cuisine pratiquement à notre usage exclusif. Nous faisons aussi beaucoup usage de la salle de bain. Aussi, même si nous occupons la même chambre avons décidé de partager le loyer et les charges en quatre parties égales.
Les garçons nous ont laissé la plus grande chambre et la plus ensoleillée. Ils vident les poubelles, nettoient les toilettes et font leur chambre et les parties communes à tour de rôle.
Bonnes filles, nous nous occupons du linge qui est parfois poisseux et occasionnent moqueries et fous rires.
Avec Marine, nous dormons ensemble, nous avons joint nos deux lits, ce qui libère de la place et nous avons un lit XXL.
Marine est lesbienne à 80%, elle n'est jamais vraiment sortie avec un garçon, elle est vierge à 23 ans. Moi, je collectionne les aventures. D'ailleurs, dans le village je passe pour la fille facile. Il faut dire qu'il m'est arrivée une histoire pas banale.
En boîte, je rencontre un beau mec qui me ramène chez lui, à l'époque j'habitais encore chez mes parents. Nous faisons l'amour avec beaucoup de fougue une bonne partie de la nuit, il avait commencé par un cuni de rêve, directif, mais doux et attentif à mon plaisir, m'abreuvant de compliments quant à ma plastique, un amant parfait qui au petit matin me demande s'il peut me filmer pour garder un souvenir de cette nuit de rêve. Je n'ai pas osé refuser, j'en ai même rajouté en faisant la pute. Il m'a filmé en faisant des gorges profondes, puis quand il a éjaculé sur mon visage.
Quelques jours après, j’étais sur la toile et tous les gars du village étaient au courant… J'ai même eu des propositions par téléphone pour faire des vidéos en amateur sur un site très connu dans la région.
C'est Marine qui a stoppé la rumeur en les menaçant de porter plainte pour diffamation, que ce n'était pas moi mais une sosie….
Moi, la rigolote, j'étais au fond du trou et l'hétero 100%, je suis tombé dans les bras de Marine et nous avons décidé de vivre ensemble.
Elle a d'abord été très câline, vitupérant contre ces salauds de machos, tous pareils qui oppriment les femmes depuis des millénaires, qu'il n'y a qu'entre femmes que la vie est possible…
Pour la colocation, il a fallu que je négocie ferme pour qu'elle accepte la présence des deux mecs qui eux n'ont fait aucune difficulté…
N'empêche, si moi, je me balade à poil dans l'appart, elle, ne sort jamais de la chambre sans une serviette autour de sa poitrine.
Nous nous faisons souvent de petits bisous même en ville, cela ne choque personne.
Aujourd'hui, je suis plutôt 50/50. J'ai besoin de sentir une vraie queue en moi, de me faire ramoner, reluire, défoncer comme une poupée.
C'est pas dans le cabinet d'esthétique que je rencontre des pygmalions, je les croise en ville, aux abords de la fac, en boîte et quelquefois sur des applis.
C'est mon activité principale en dehors du boulot.
Parfois je peux être une vraie salope, j'allume le mec en boîte, je me frotte à lui honteusement et je lui roule une pelle, je lui prends par la main , la colle sous ma jupe et l'amène aux toilettes.
Je lui roule à nouveau une pelle, le caresse et défait sa ceinture. Je le branle, le suce lui enfile une capote et me tourne les mains sur les toilettes. Le mec s'agite comme un fou, je vais à sa rencontre jusqu'à ce qu'il jouisse. Le tout en moins de cinq minutes chrono. Moi aussi je bande de ces relations kleenex. Pas un mot, je ressorts aussi sec des wc des mecs et même s'il y a du monde, j'assume.
Dix minutes plus tard, je suis à la maison où je retrouve Marine. Elle est mon port d'attache, elle m'apporte la sécurité. Dans ses bras, je me fais chatte.
Je la laisse prendre l'initiative : elle me serre dans ses bras, elle a allumé une bougie et de l'encens se répend dans la pièce. C'est le signe tacite du début de nos étreintes, cela se terminera par la douche chaude en commun. Nous sommes souvent en pyjama le soir, ses mains glissent à la rencontre de mes seins et mes fesses. Puis elle m'embrasse partout, elle me lèche aussi et me fait des petits suçons qui laisseront des traces.
A mon tour, je m'empare de sa bouche, j'introduis ma langue au plus profond de son palais, nos langues dansent, je la bois, elle m'aspire, je la dévore. Nos embrassades peuvent durer très longtemps, nous ne sommes jamais rassasiées.
Nos mains ne restent pas inactives bien au contraire. Elles caressent, frottent, serrent, palpent dans une symphonie des sens.
Elle n'a pas de poitrine mais un léger bombé, par contre ses tétons sont hypersensibles, peut être du fait de ne pas porter de soutien gorge, ils sont toujours en érection. Je la tète, la mordille pendant que je vais à la recherche de son clitoris. Ensuite, nous nous plaçons face-à-face les jambes écartées, un petit miroir entre nous, nous masturbons réciproquement, nous prenons un peu de nos sécrétions et jouons avec nos index et majeurs, les yeux dans les yeux en chuchotant des mots d'amour. Puis nos langues remplacent les doigts, les doigts glissent dans nos vagins à la recherche du supposé point G… Pour ma partje m'allonge sur le dos, genoux fléchis, et j'attends qu'elle me fouille avec sa main frénétiquement. Je sens alors l'orgasme arriver et m'emporter. Il me faut quelque chose de violent…
Il m'arrive d’inonder sa main et les draps. Je suis paraît il une femme fontaine. Ensuite, je suis vidée, une chiffe molle. Elle me douche et je m'endors.
Les garçons qui ont remarqué que je criais en jouissant me charrient invariablement. J'aimerais les dédommager en nature mais Marine me le déconseille formellement. Serait elle jalouse. Elle dit que cela va créer des embrouilles et rompre l'équilibre entre nous. J'en ai parlé en plaisantant, Mickaël est partant à 2, 3 ou plus…. Je savais que sous son air de gendre idéal se cache un libertin.
Il est prêt à nous quitter si cela dérange et à nous quitter si on ne le fait pas.
Qu'en pensez-vous ?
Je m'appelle Marion, je travaille comme esthéticienne dans une grande ville du sud de la France. J'habite dans un immeuble récent bien situé près de mon travail en centre ville en colocation avec mon amie Marine qui elle, est coiffeuse. Nous nous connaissons depuis la maternelle car nous habitions dans le même petit village d'où nous sommes originaires.
Nous avons le même âge, le même parcours scolaire mais nous sommes très différentes : Marine est grande, mince, brune avec des mèches courtes et rebelles. Elle porte des jeans ou des leggings avec un tee shirt ou un polo et une veste en cuir. Elle est parfois sèche et brusque dans ses gestes. Elle est introvertie et peu bavarde.
Moi, au contraire, je suis une pipelette, plutôt menue, ronde sans être grosse avec un 85 D. Les mecs me charrient souvent mais j'en suis fière. Ce qui rare chez les filles. Marine, elle n'a pas de poitrine et souvent ne porte rien. Je suis toujours de bonne humeur, partante, prête à rigoler.
Je suis la bonne copine, quoi !
C'est un peu pour ça aussi que nous sommes ensembles.
Dans l'appartement, il y a deux mecs : Franck, étudiant en médecine qui ne sort pratiquement pas de sa chambre où il bosse nuit et jour et Mickaël, étudiant lui aussi.
Il y a trois chambres, un séjour, une petite cuisine et une salle de bain commune.
Les garçons ne mangent pratiquement qu'au resto universitaire, nous avons la cuisine pratiquement à notre usage exclusif. Nous faisons aussi beaucoup usage de la salle de bain. Aussi, même si nous occupons la même chambre avons décidé de partager le loyer et les charges en quatre parties égales.
Les garçons nous ont laissé la plus grande chambre et la plus ensoleillée. Ils vident les poubelles, nettoient les toilettes et font leur chambre et les parties communes à tour de rôle.
Bonnes filles, nous nous occupons du linge qui est parfois poisseux et occasionnent moqueries et fous rires.
Avec Marine, nous dormons ensemble, nous avons joint nos deux lits, ce qui libère de la place et nous avons un lit XXL.
Marine est lesbienne à 80%, elle n'est jamais vraiment sortie avec un garçon, elle est vierge à 23 ans. Moi, je collectionne les aventures. D'ailleurs, dans le village je passe pour la fille facile. Il faut dire qu'il m'est arrivée une histoire pas banale.
En boîte, je rencontre un beau mec qui me ramène chez lui, à l'époque j'habitais encore chez mes parents. Nous faisons l'amour avec beaucoup de fougue une bonne partie de la nuit, il avait commencé par un cuni de rêve, directif, mais doux et attentif à mon plaisir, m'abreuvant de compliments quant à ma plastique, un amant parfait qui au petit matin me demande s'il peut me filmer pour garder un souvenir de cette nuit de rêve. Je n'ai pas osé refuser, j'en ai même rajouté en faisant la pute. Il m'a filmé en faisant des gorges profondes, puis quand il a éjaculé sur mon visage.
Quelques jours après, j’étais sur la toile et tous les gars du village étaient au courant… J'ai même eu des propositions par téléphone pour faire des vidéos en amateur sur un site très connu dans la région.
C'est Marine qui a stoppé la rumeur en les menaçant de porter plainte pour diffamation, que ce n'était pas moi mais une sosie….
Moi, la rigolote, j'étais au fond du trou et l'hétero 100%, je suis tombé dans les bras de Marine et nous avons décidé de vivre ensemble.
Elle a d'abord été très câline, vitupérant contre ces salauds de machos, tous pareils qui oppriment les femmes depuis des millénaires, qu'il n'y a qu'entre femmes que la vie est possible…
Pour la colocation, il a fallu que je négocie ferme pour qu'elle accepte la présence des deux mecs qui eux n'ont fait aucune difficulté…
N'empêche, si moi, je me balade à poil dans l'appart, elle, ne sort jamais de la chambre sans une serviette autour de sa poitrine.
Nous nous faisons souvent de petits bisous même en ville, cela ne choque personne.
Aujourd'hui, je suis plutôt 50/50. J'ai besoin de sentir une vraie queue en moi, de me faire ramoner, reluire, défoncer comme une poupée.
C'est pas dans le cabinet d'esthétique que je rencontre des pygmalions, je les croise en ville, aux abords de la fac, en boîte et quelquefois sur des applis.
C'est mon activité principale en dehors du boulot.
Parfois je peux être une vraie salope, j'allume le mec en boîte, je me frotte à lui honteusement et je lui roule une pelle, je lui prends par la main , la colle sous ma jupe et l'amène aux toilettes.
Je lui roule à nouveau une pelle, le caresse et défait sa ceinture. Je le branle, le suce lui enfile une capote et me tourne les mains sur les toilettes. Le mec s'agite comme un fou, je vais à sa rencontre jusqu'à ce qu'il jouisse. Le tout en moins de cinq minutes chrono. Moi aussi je bande de ces relations kleenex. Pas un mot, je ressorts aussi sec des wc des mecs et même s'il y a du monde, j'assume.
Dix minutes plus tard, je suis à la maison où je retrouve Marine. Elle est mon port d'attache, elle m'apporte la sécurité. Dans ses bras, je me fais chatte.
Je la laisse prendre l'initiative : elle me serre dans ses bras, elle a allumé une bougie et de l'encens se répend dans la pièce. C'est le signe tacite du début de nos étreintes, cela se terminera par la douche chaude en commun. Nous sommes souvent en pyjama le soir, ses mains glissent à la rencontre de mes seins et mes fesses. Puis elle m'embrasse partout, elle me lèche aussi et me fait des petits suçons qui laisseront des traces.
A mon tour, je m'empare de sa bouche, j'introduis ma langue au plus profond de son palais, nos langues dansent, je la bois, elle m'aspire, je la dévore. Nos embrassades peuvent durer très longtemps, nous ne sommes jamais rassasiées.
Nos mains ne restent pas inactives bien au contraire. Elles caressent, frottent, serrent, palpent dans une symphonie des sens.
Elle n'a pas de poitrine mais un léger bombé, par contre ses tétons sont hypersensibles, peut être du fait de ne pas porter de soutien gorge, ils sont toujours en érection. Je la tète, la mordille pendant que je vais à la recherche de son clitoris. Ensuite, nous nous plaçons face-à-face les jambes écartées, un petit miroir entre nous, nous masturbons réciproquement, nous prenons un peu de nos sécrétions et jouons avec nos index et majeurs, les yeux dans les yeux en chuchotant des mots d'amour. Puis nos langues remplacent les doigts, les doigts glissent dans nos vagins à la recherche du supposé point G… Pour ma partje m'allonge sur le dos, genoux fléchis, et j'attends qu'elle me fouille avec sa main frénétiquement. Je sens alors l'orgasme arriver et m'emporter. Il me faut quelque chose de violent…
Il m'arrive d’inonder sa main et les draps. Je suis paraît il une femme fontaine. Ensuite, je suis vidée, une chiffe molle. Elle me douche et je m'endors.
Les garçons qui ont remarqué que je criais en jouissant me charrient invariablement. J'aimerais les dédommager en nature mais Marine me le déconseille formellement. Serait elle jalouse. Elle dit que cela va créer des embrouilles et rompre l'équilibre entre nous. J'en ai parlé en plaisantant, Mickaël est partant à 2, 3 ou plus…. Je savais que sous son air de gendre idéal se cache un libertin.
Il est prêt à nous quitter si cela dérange et à nous quitter si on ne le fait pas.
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