Colocation : La plage
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2023 dans la catégorie Plus on est
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Colocation : La plage
Colocation : La plage.
Nous sommes en Juin, il commence à faire chaud et avons l'habitude d’aller à la plage. Le bus nous emmène à Palavas mais nous préférons Villeneuve les Maguelone où nous pratiquons le naturisme après une petite marche.
C'est une cliente, France qui nous propose de nous emmener passer le week-end à Carnon et de là aller sur une plage immense et magnifique. Nous acceptons la proposition avec joie et entrainons Mikaël avec nous.
France est une belle femme d'une quarantaine d'années, divorcée, sans enfant. Elle est mince, brune, des yeux verts, la voix très sensuelle. Elle est très séduisante et convaincante. Elle possède une agence immobilière en centre ville.
Mickaël s'est assis devant dans la mini et nous derrière. Nous pouvons nous serrer et nos mains glissent sous nos tenues légères. Quand à France elle a posé la sienne sur la cuisse de Mickaël qu'elle drague effrontément.
Elle lui demande si nous avons couché ensembles, depuis quand il n'a pas baisé, s'il a déjà couché avec une mature…
Mickaël réponds volontiers et la situation l'excite. Ce qu'a très bien compris France. Sa main n'est pas inactive et s'est posé directement sur la bosse de son short.
Elle raconte également ses dernières frasques et la séduction qu'exercent sur elle les jeunes en particulier.
Elle vante la vigueur de la jeunesse, leur endurance en même temps que leur timidité. Elle aime prendre les choses en main et faire leur éducation.
Elle aime aussi les pousser à leur limites et voir ce que ses amants peuvent faire. Cela n'a pas l'air d'effrayer notre ami.
Elle ajoute qu'elle envie la grâce et la fraîcheur des jeunes filles aussi.
Ses propos nous émoustillent également, nous nous caressons et embrassons fougueusement. Marie se mord les lèvres puis jouit brutalement.
France nous dit que nous ne perdons pas de temps pour les coquineries et qu'elle est trempée. Nous rions de plus belle.
Nous sommes arrivés à la plage et entamons une bonne marche, dépassons la zone textile puis la partie familiale gérée par les clubs pour arriver dans une partie plus sauvage.
Aussitôt, nous nous jetons à l'eau dans le plus simple appareil. Quelle bonheur, nous chahutons et nos jeux se transforment en pelotage.
Les trois filles sont bien bronzées, seul Mickaël est blanc avec une peau de roux. Nous sommes deux à lui passer la crème solaire de tous les côtés et bien sûr nous insistons sur les fesses et la verge que nous malaxons si bien qu'il bande à nouveau
Pour nous, rien de vraiment nouveau mais pour France , elle admire l'engin, soupèse les bourses, dégage le gland et ne peut s'empêcher de le masturber.
Mickaël s'esquive et se couche sur le ventre pour se cacher des regards d'éventuels passants. Nous nous couchons de chaque côtés et reprenons nos questions indiscrètes et propos érotiques.
Nous lui susurrons des propositions salaces, nous lui demandons si nos quatre mains lui suffisent et recommençons à parcourir son dos puis ses fesses. Je remets un peu d'huile solaire et mon doigt effleure sa rosette, je tourne autour en appuyant légèrement. Il veut se retourner mais je bloque son mouvement, il est sur le côté, le dos contre ma poitrine, mes seins. Sa verge est accessible, tendue. Je l'attrape et la caresse lentement. France se colle à lui et l'embrasse sur les lèvres, le cou, la poitrine puis il ouvre la bouche et leurs langues s'enroulent pour un baiser profond et voluptueux.
Il oublie qu'il est à la plage à la vue de tous. Il prend ses seins à pleines mains et les malaxe, il descend et cherche son clitoris. A moitié couchée sur lui, elle est en partie cachée, il peut donc la pénétrer de ses doigts, elle est trempée, il pourrait y mettre la main. Avec trois doigts, il la besogne frénétiquement, elle coule littéralement et jouit en l'arrosant.
France est une femme fontaine, ce qui surprend toujours et la met parfois dans l'embarras. Marie est restée à l'écart, spectatrice de nos jeux, surveillant les alentours. Elle m'avoue que France lui plaît et qu'elle a hâte de la connaître bibliquement.
Le soleil tape fort, nous nous baignons et recherchons l'ombre dans la pinède voisine pour déjeuner.
Il y a un peu de passage aussi nous décidons d'aller un peu plus loin pour faire une sieste crapuleuse comme nous disons chez nous.
Marie a envie de France , Mickaël n'a toujours pas joui, ni moi d'ailleurs. Nous installons sur nos serviettes un peu à l'écart. Mickaël est sur le dos, moi à genoux, ma bouche sur son sexe que j'embrasse doucement, il a les yeux fermés, France s'est assise sur lui face à moi, elle soulève son bassin pour que sa bouche se colle à sa vulve, elle sent sa langue s'insinuer en elle, elle bouge son bassin pour qu’il s'occupe de son clitoris. Il s'applique pour aller de l'un à l'autre. De ses mains, il a empaumé les seins qu'il soulève puis il caresse les pointes dressées.
De mon côté, j'ai pris son gland en bouche, je suce ce gros berlingot, il sent la mer et il est légèrement salé, j'enroule ma langue autour et je glisse le long de sa verge, mes lèvres serre ce membre palpitant, j'entame un profond vas et vient, je coulisse lentement en serrant la base d'une main et accélère puis je me redresse et je m'empale sur son vit. Je monte et descend face à France qui à son tour empoigne mes seins et agacent ses pointes. Je suis très sensibles des tétons, j' accélère et je sens la jouissance de Mickaël au fond de mon vagin. Son éjaculation semble ne pas finir et entraîne mon orgasme qui en expulse une partie. France m'embrasse longuement tandis que le sperme de Mickaël s'écoule le long de mes jambes et nous nous relevons.
France m'attrape par les hanches, s’assoit et colle sa bouche sur mon vagin. J'écarte machinalement mes cuisses et elle lape consciencieusement le jus , mélange de ma jouissance et celle de Mickaël, puis elle se relève et m'embrasse, je veux refuser ce baiser dans un premier temps mais ses yeux brillent et me font fondre. Sa volonté est plus forte et j'ouvre la bouche, nos salives se mélangent.
Je suis surprise par la saveur complexe, marine et légèrement salé. Marie me tend un grand verre de Coca pour me rincer la bouche puis m'embrasse à son tour.
France, elle, a choisi de nettoyer la verge de Mickaël.
Il manifeste le désir d'uriner, elle se met face à lui, s’accroupit et se lâche, le jet d'urine arrive au pied de Mickaël et elle lui demande de l'arroser à son tour. Il se lâche, arrose sa poitrine et son visage, elle ouvre la bouche et recueille l'urine qui dégouline sur elle.
Décidément, nous allons de découverte en découverte en sa compagnie. Nous retournons vite à l'eau pour effacer toute trace de nos turpitudes.
C'est à nouveau une séance de massage à l'huile solaire pour Mickaël puis nous restons sages sur nos serviettes. Mickaël avec France . Marie avec moi. Nous alternons sieste et baignade.
Le soir arrivant, nous rebroussons chemin par la pinède. Un attroupement s'est formé dans une clairière, curieux nous nous approchons.
Une femme est couchée sur un tronc horizontal le ventre appuyé sur une serviette les seins qui pendent d'un côté, un homme la besogne en levrette, un autre la bouche, plusieurs se masturbent en attendant leur tour sans doute. Effectivement celui qui baisait sa bouche lui éjacule sur le visage et les cheveux tandis qu'un autre prend sa place.
Un peu plus loin , nous assistons à la même scène sauf qu'il s'agit d'un homme à quatre pattes, une verge dans la bouche qui se fait sodomiser. Les partenaires inversent les rôles, des spectateurs éjaculent sur son dos.
France en profite pour questionner Mickaël qui rougit à moins que ce soit la marque du soleil…
Nous repartons pour Carnon où nous attend une nuit prometteuse.
Nous sommes en Juin, il commence à faire chaud et avons l'habitude d’aller à la plage. Le bus nous emmène à Palavas mais nous préférons Villeneuve les Maguelone où nous pratiquons le naturisme après une petite marche.
C'est une cliente, France qui nous propose de nous emmener passer le week-end à Carnon et de là aller sur une plage immense et magnifique. Nous acceptons la proposition avec joie et entrainons Mikaël avec nous.
France est une belle femme d'une quarantaine d'années, divorcée, sans enfant. Elle est mince, brune, des yeux verts, la voix très sensuelle. Elle est très séduisante et convaincante. Elle possède une agence immobilière en centre ville.
Mickaël s'est assis devant dans la mini et nous derrière. Nous pouvons nous serrer et nos mains glissent sous nos tenues légères. Quand à France elle a posé la sienne sur la cuisse de Mickaël qu'elle drague effrontément.
Elle lui demande si nous avons couché ensembles, depuis quand il n'a pas baisé, s'il a déjà couché avec une mature…
Mickaël réponds volontiers et la situation l'excite. Ce qu'a très bien compris France. Sa main n'est pas inactive et s'est posé directement sur la bosse de son short.
Elle raconte également ses dernières frasques et la séduction qu'exercent sur elle les jeunes en particulier.
Elle vante la vigueur de la jeunesse, leur endurance en même temps que leur timidité. Elle aime prendre les choses en main et faire leur éducation.
Elle aime aussi les pousser à leur limites et voir ce que ses amants peuvent faire. Cela n'a pas l'air d'effrayer notre ami.
Elle ajoute qu'elle envie la grâce et la fraîcheur des jeunes filles aussi.
Ses propos nous émoustillent également, nous nous caressons et embrassons fougueusement. Marie se mord les lèvres puis jouit brutalement.
France nous dit que nous ne perdons pas de temps pour les coquineries et qu'elle est trempée. Nous rions de plus belle.
Nous sommes arrivés à la plage et entamons une bonne marche, dépassons la zone textile puis la partie familiale gérée par les clubs pour arriver dans une partie plus sauvage.
Aussitôt, nous nous jetons à l'eau dans le plus simple appareil. Quelle bonheur, nous chahutons et nos jeux se transforment en pelotage.
Les trois filles sont bien bronzées, seul Mickaël est blanc avec une peau de roux. Nous sommes deux à lui passer la crème solaire de tous les côtés et bien sûr nous insistons sur les fesses et la verge que nous malaxons si bien qu'il bande à nouveau
Pour nous, rien de vraiment nouveau mais pour France , elle admire l'engin, soupèse les bourses, dégage le gland et ne peut s'empêcher de le masturber.
Mickaël s'esquive et se couche sur le ventre pour se cacher des regards d'éventuels passants. Nous nous couchons de chaque côtés et reprenons nos questions indiscrètes et propos érotiques.
Nous lui susurrons des propositions salaces, nous lui demandons si nos quatre mains lui suffisent et recommençons à parcourir son dos puis ses fesses. Je remets un peu d'huile solaire et mon doigt effleure sa rosette, je tourne autour en appuyant légèrement. Il veut se retourner mais je bloque son mouvement, il est sur le côté, le dos contre ma poitrine, mes seins. Sa verge est accessible, tendue. Je l'attrape et la caresse lentement. France se colle à lui et l'embrasse sur les lèvres, le cou, la poitrine puis il ouvre la bouche et leurs langues s'enroulent pour un baiser profond et voluptueux.
Il oublie qu'il est à la plage à la vue de tous. Il prend ses seins à pleines mains et les malaxe, il descend et cherche son clitoris. A moitié couchée sur lui, elle est en partie cachée, il peut donc la pénétrer de ses doigts, elle est trempée, il pourrait y mettre la main. Avec trois doigts, il la besogne frénétiquement, elle coule littéralement et jouit en l'arrosant.
France est une femme fontaine, ce qui surprend toujours et la met parfois dans l'embarras. Marie est restée à l'écart, spectatrice de nos jeux, surveillant les alentours. Elle m'avoue que France lui plaît et qu'elle a hâte de la connaître bibliquement.
Le soleil tape fort, nous nous baignons et recherchons l'ombre dans la pinède voisine pour déjeuner.
Il y a un peu de passage aussi nous décidons d'aller un peu plus loin pour faire une sieste crapuleuse comme nous disons chez nous.
Marie a envie de France , Mickaël n'a toujours pas joui, ni moi d'ailleurs. Nous installons sur nos serviettes un peu à l'écart. Mickaël est sur le dos, moi à genoux, ma bouche sur son sexe que j'embrasse doucement, il a les yeux fermés, France s'est assise sur lui face à moi, elle soulève son bassin pour que sa bouche se colle à sa vulve, elle sent sa langue s'insinuer en elle, elle bouge son bassin pour qu’il s'occupe de son clitoris. Il s'applique pour aller de l'un à l'autre. De ses mains, il a empaumé les seins qu'il soulève puis il caresse les pointes dressées.
De mon côté, j'ai pris son gland en bouche, je suce ce gros berlingot, il sent la mer et il est légèrement salé, j'enroule ma langue autour et je glisse le long de sa verge, mes lèvres serre ce membre palpitant, j'entame un profond vas et vient, je coulisse lentement en serrant la base d'une main et accélère puis je me redresse et je m'empale sur son vit. Je monte et descend face à France qui à son tour empoigne mes seins et agacent ses pointes. Je suis très sensibles des tétons, j' accélère et je sens la jouissance de Mickaël au fond de mon vagin. Son éjaculation semble ne pas finir et entraîne mon orgasme qui en expulse une partie. France m'embrasse longuement tandis que le sperme de Mickaël s'écoule le long de mes jambes et nous nous relevons.
France m'attrape par les hanches, s’assoit et colle sa bouche sur mon vagin. J'écarte machinalement mes cuisses et elle lape consciencieusement le jus , mélange de ma jouissance et celle de Mickaël, puis elle se relève et m'embrasse, je veux refuser ce baiser dans un premier temps mais ses yeux brillent et me font fondre. Sa volonté est plus forte et j'ouvre la bouche, nos salives se mélangent.
Je suis surprise par la saveur complexe, marine et légèrement salé. Marie me tend un grand verre de Coca pour me rincer la bouche puis m'embrasse à son tour.
France, elle, a choisi de nettoyer la verge de Mickaël.
Il manifeste le désir d'uriner, elle se met face à lui, s’accroupit et se lâche, le jet d'urine arrive au pied de Mickaël et elle lui demande de l'arroser à son tour. Il se lâche, arrose sa poitrine et son visage, elle ouvre la bouche et recueille l'urine qui dégouline sur elle.
Décidément, nous allons de découverte en découverte en sa compagnie. Nous retournons vite à l'eau pour effacer toute trace de nos turpitudes.
C'est à nouveau une séance de massage à l'huile solaire pour Mickaël puis nous restons sages sur nos serviettes. Mickaël avec France . Marie avec moi. Nous alternons sieste et baignade.
Le soir arrivant, nous rebroussons chemin par la pinède. Un attroupement s'est formé dans une clairière, curieux nous nous approchons.
Une femme est couchée sur un tronc horizontal le ventre appuyé sur une serviette les seins qui pendent d'un côté, un homme la besogne en levrette, un autre la bouche, plusieurs se masturbent en attendant leur tour sans doute. Effectivement celui qui baisait sa bouche lui éjacule sur le visage et les cheveux tandis qu'un autre prend sa place.
Un peu plus loin , nous assistons à la même scène sauf qu'il s'agit d'un homme à quatre pattes, une verge dans la bouche qui se fait sodomiser. Les partenaires inversent les rôles, des spectateurs éjaculent sur son dos.
France en profite pour questionner Mickaël qui rougit à moins que ce soit la marque du soleil…
Nous repartons pour Carnon où nous attend une nuit prometteuse.
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