Combat à deux après l'aïkido
Récit érotique écrit par Fabrice Boyer [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Combat à deux après l'aïkido
J'étais jeune étudiant quand j'ai débuté ma courte formation en aïkido. Un événement inavouable m'a contraint à passer à autre chose, mais le traumatisme est resté. Cette histoire est une confession et personne ne l'a jamais entendue.
À cette époque, je fréquentais les terrasses des établissements de luxe, où je donnais mes premiers rendez-vous galants. C'est en fin d'une après-midi lascive, après un premier contact pas désagréable mais que je ne souhaitais pas prolonger, que j'ai compris que l'hôtel, où personne ne prêtait attention à mes activités libertines, prêtait au contraire un étroit auvent, un peu en retrait dans ses vastes jardins, à un dojo d'arts martiaux pour y proposer une animation sportive régulière à leurs clients. Son toit de roseaux tressés filtrait les derniers rayons du soleil, créant un jeu de lumière doux et apaisant sur le sol entièrement recouvert d'un praticable. L'endroit me semblait parfaitement adapté pour une pratique comme du yoga, j'avais du mal à imaginer des combats duels. Pourtant, ces silhouettes en kimono semblaient dérouler une chorégraphie en harmonie avec les drapés de voiles blancs flottants le long des poteaux et agités par la brise légère, tandis que des lanternes en osier suspendues de façon aléatoire diffusaient une lueur chaleureuse en fin de journée. Cet espace intime aurait pu offrir un refuge à l'écart de l'agitation de l'hôtel, où des amoureux pourraient se retrouver en toute tranquillité, bercés par le murmure des feuilles de bambou et le parfum enivrant de fleurs immenses et colorées. Je prenais note, pour plus tard, que pas grand monde ne passait dans ce jardin exotique en fin de journée.
Pas spécialement attiré par les débordements de sueur et d'hormones, j'étais quand même très soucieux de l'image que je renvoyais et prenais soin de mon corps, sans excès ; pouvoir pratiquer un sport sur mon temps libre, dans un lieu où je savais les rencontres plutôt faciles, n'était pas pour me déplaire et c'est naturellement que j'ai intégré ce cours. Une fois par semaine, je m'arrangeais pour boucler mon plan dans l'heure précédente, prenais ma douche dans la chambre quand j’y avais accès, ou directement sur place dans le vestiaire attenant, et regagnais le cours en keikogi blanc. Généralement apaisé par mon activité précédente, j'apprenais dans de bonnes dispositions et parvenais même à retenir les difficiles termes japonais répétés par le maître. En plus de développer ma souplesse et ma force, l'esprit de cet art me convenait parfaitement et je pensais avoir trouvé ma voie. Les jours où le professeur avait décidé de terminer sa séance par sept minutes de renforcement musculaire, j'étais bien heureux qu'il ne l'ait pas proposé en début de cours, car j'arrivais parfois en chancelant sur mes jambes ! Ce soir-là, la séance avait été technique, mais plutôt sereine et je n’avais pas jugé nécessaire de me doucher juste après. Est-ce l’odeur du sexe sur moi qui a attiré un prédateur dans mon sillage ? — Alors, p’tite pute, on cherche les ennuis ? Dans le vestiaire, la plupart des cabines étaient éteintes et les autres visiblement vides si je me souviens bien de la lueur qui remplissait le couloir par leur porte ouverte. Il ne me semblait pas avoir traîné, pourtant il ne restait plus grand monde, voire personne.
Quand il est sorti de nulle part ou quand il m’a conduit au sol par une clé de bras, je n’ai pas pu voir son visage, mais je me doutais bien que c’était lui : un petit homme trapu, au crâne étroit et chauve. Je l’avais aperçu parmi les élèves du cours, mais nos gabarits ont fait qu’on ne se rencontrait pas ; bien que ce ne soit pas un critère en aïkido, cette disposition rassure les débutants. Un peu plus tard, j’ai eu tout loisir de l’observer et ses traits, déformés par la rage ou la précipitation, sont encore dans ma mémoire. Même après l’entraînement, il ne sentait pas plus mauvais que moi ou qu’un autre, mais sa sueur amère, aux relents de viande crue, me remplissait les narines. Une fois paralysé par la douleur et sous son poids, ne pouvant plus fuir, il ne me restait plus qu’à me débattre ; au lieu de m’épuiser inutilement à le faire, j’ai choisi d’accompagner l’agresseur dans ses mouvements. Je savais exactement ce qu’il attendait de moi. À genoux derrière moi, il avait déjà défait son obi et son hakama bleu marine. D’une main, il me pressait au sol en crochetant mon bras haut, entre mes omoplates ; de l’autre, il farfouillait sous ma veste, dans la hâte d’en défaire les lacets. Moi qui ai l’habitude de porter des strings, pour le sport je préférais les slips ergonomiques, pour réduire les frottements sur ma peau sensible et épilée ; il ne fit aucun cas de ces considérations en le tirant fermement vers le bas avec mon pantalon de coton moite.
À cette époque, j’avais déjà une pratique régulière de la sodomie et mon petit cul ferme en avait vu passer des bittes, parfois deux à la fois. Mon anus très souple était capable d’accueillir d’énormes matraques : plus elles étaient longues ou grosses, plus j’étais fier de mon exploit. Malgré la sueur qui me coulait entre les fesses, malgré le mucus que j’avais dû accumuler depuis ma partie de baise de l’après-midi et malgré la salive qu’il me crachait dans la raie, ce type ne parvenait pas à entrer. Mes muscles étaient tendus par l’exercice et franchement, je n’avais pas envie de lui. — Putain ! M’oblige pas à te faire mal, laisse-moi rentrer dans ton p’tit cul ! C’est sûr qu’en m’insultant ou en me menaçant, il obtiendrait mon consentement. Habitué à me retenir parfois une heure, quand je prends le bus pour rentrer, après avoir pris trois ou quatre grosses fournées de sperme, j’étais assez certain qu’il fatiguerait avant moi. Il a tout essayé : accroupi au-dessus de mes cuisses, à genoux pour descendre plus bas, allongé sur moi de tout son poids et de sa sueur répugnante. Je sentais sa queue fouiller mon périnée, pointer maladroitement autour de mon scrotum, forcer ma rondelle définitivement close. Alors, d’une seule de ses larges paluches, il saisit mes poignets en essayant de soulever mon bassin. Deux fois, trois fois, me déboitant les épaules à chacun de ses échecs. Ayant réussi à me cambrer, il réessaya de me violer. C’était pire : sa queue glissait dans ma sueur et il se branlait en fait entre mes fesses. Puis il finit par renoncer : — Aller… fais pas ta mijaurée… je sais qu’t’es qu’une pédale… Tordu sous la pression plus forte de ses deux étaux dans mon dos, je parvenais enfin à tourner la tête vers lui, mais ce n’était pas son regard furieux et déçu que je vis. Je ne pouvais détacher mes yeux de son phallus, un objet difforme, au gland pointu et à la base énorme. Comme s’il s’était fait injecter de l’acide botulique ou de la graisse sous la peau, et que tout avait plus ou moins fini par se tasser dans le bas. Plus surprenant encore, sa couleur : j’avais vu des glands blêmes ou gris, de toutes les teintes de roses et de violets, mais jamais rouge comme le sien. Comme s’il était irrité au sang de la pointe au milieu de la hampe conique.
Il me fallait ce spécimen dans ma collection ! Alors, tant bien que mal, je parvenais à ramener une jambe, puis l’autre, pour me présenter le cul en l’air devant lui. Il était décontenancé, mais ne lâchait pas sa victime. Ouvrant le sphincter, je lui offrais mieux qu’une bouche gourmande ou une chatte docile : un anus puissant, moelleux et expérimenté. Ayant approché son dôme pointu de mon orifice, il m’encula enfin d’un seul coup de rein. Je sentais bien son tison brûlant quelque part en moi, mais surtout l’impression qu’un mollusque essayait de s’introduire par ma porte de service. Effectivement, il m’avait libéré de sa contrainte pour tenter de faire rentrer ses bourrelets manuellement ; ce qu’il enfonçait de ses doigts d’un côté ressortait de l’autre. Il lutta ainsi plusieurs minutes et quand enfin il fût en entier dans mon cul, je resserrais pour mieux le garder. Alors il gigota fébrilement, des mouvements sans amplitude, comme s’il craignait en sortant de tout devoir remettre en dedans. De mes muscles, je l’aspirais littéralement en moi et commençais enfin à sentir sa présence molle.
Prenant peu à peu confiance, il se mit à donner des coups de queue en me tenant par les hanches. À quatre pattes, je pouvais à présent l’observer par dessus mon épaule : beaucoup plus petit que moi, il se tenait debout, les jambes assez largement écartées et me baisait maladroitement en faisait des grimaces aussi ridicules qu’inutiles. Je ne ressentais absolument aucun plaisir. Son dard devait coulisser dans ses amas graisseux aussi épais que ces masturbateurs jetables pour homme qu’on trouve en distributeur dans les gares japonaises. Alors, pour améliorer mes sensations, je poussais quand je devinais, au contact de son ventre contre mes fesses, qu’il était « entré » et cela me procura quelques frissons, jusqu’à ce que je finisse par me sentir de plus en plus rempli… merde… je m’étais lâché.
Toujours frileux, il continuait ses va-et-vient sans envergure, mais ressentait aussi les changements, confortables sans savoir ce que c’était : — Oh putain ! C’est trop bon ! Je suis un dieu ! Ses mouvements ne tardèrent pas à devenir encore plus saccadés. Je compris qu’il allait lâcher sa purée que j’imaginais déjà abondante et collante. Alors je pris mes jambes à mon cou et mon sac de sport au passage, pour ne jamais revenir, le laissant sa queue pointue enrobée mes excréments jaune doré.
À cette époque, je fréquentais les terrasses des établissements de luxe, où je donnais mes premiers rendez-vous galants. C'est en fin d'une après-midi lascive, après un premier contact pas désagréable mais que je ne souhaitais pas prolonger, que j'ai compris que l'hôtel, où personne ne prêtait attention à mes activités libertines, prêtait au contraire un étroit auvent, un peu en retrait dans ses vastes jardins, à un dojo d'arts martiaux pour y proposer une animation sportive régulière à leurs clients. Son toit de roseaux tressés filtrait les derniers rayons du soleil, créant un jeu de lumière doux et apaisant sur le sol entièrement recouvert d'un praticable. L'endroit me semblait parfaitement adapté pour une pratique comme du yoga, j'avais du mal à imaginer des combats duels. Pourtant, ces silhouettes en kimono semblaient dérouler une chorégraphie en harmonie avec les drapés de voiles blancs flottants le long des poteaux et agités par la brise légère, tandis que des lanternes en osier suspendues de façon aléatoire diffusaient une lueur chaleureuse en fin de journée. Cet espace intime aurait pu offrir un refuge à l'écart de l'agitation de l'hôtel, où des amoureux pourraient se retrouver en toute tranquillité, bercés par le murmure des feuilles de bambou et le parfum enivrant de fleurs immenses et colorées. Je prenais note, pour plus tard, que pas grand monde ne passait dans ce jardin exotique en fin de journée.
Pas spécialement attiré par les débordements de sueur et d'hormones, j'étais quand même très soucieux de l'image que je renvoyais et prenais soin de mon corps, sans excès ; pouvoir pratiquer un sport sur mon temps libre, dans un lieu où je savais les rencontres plutôt faciles, n'était pas pour me déplaire et c'est naturellement que j'ai intégré ce cours. Une fois par semaine, je m'arrangeais pour boucler mon plan dans l'heure précédente, prenais ma douche dans la chambre quand j’y avais accès, ou directement sur place dans le vestiaire attenant, et regagnais le cours en keikogi blanc. Généralement apaisé par mon activité précédente, j'apprenais dans de bonnes dispositions et parvenais même à retenir les difficiles termes japonais répétés par le maître. En plus de développer ma souplesse et ma force, l'esprit de cet art me convenait parfaitement et je pensais avoir trouvé ma voie. Les jours où le professeur avait décidé de terminer sa séance par sept minutes de renforcement musculaire, j'étais bien heureux qu'il ne l'ait pas proposé en début de cours, car j'arrivais parfois en chancelant sur mes jambes ! Ce soir-là, la séance avait été technique, mais plutôt sereine et je n’avais pas jugé nécessaire de me doucher juste après. Est-ce l’odeur du sexe sur moi qui a attiré un prédateur dans mon sillage ? — Alors, p’tite pute, on cherche les ennuis ? Dans le vestiaire, la plupart des cabines étaient éteintes et les autres visiblement vides si je me souviens bien de la lueur qui remplissait le couloir par leur porte ouverte. Il ne me semblait pas avoir traîné, pourtant il ne restait plus grand monde, voire personne.
Quand il est sorti de nulle part ou quand il m’a conduit au sol par une clé de bras, je n’ai pas pu voir son visage, mais je me doutais bien que c’était lui : un petit homme trapu, au crâne étroit et chauve. Je l’avais aperçu parmi les élèves du cours, mais nos gabarits ont fait qu’on ne se rencontrait pas ; bien que ce ne soit pas un critère en aïkido, cette disposition rassure les débutants. Un peu plus tard, j’ai eu tout loisir de l’observer et ses traits, déformés par la rage ou la précipitation, sont encore dans ma mémoire. Même après l’entraînement, il ne sentait pas plus mauvais que moi ou qu’un autre, mais sa sueur amère, aux relents de viande crue, me remplissait les narines. Une fois paralysé par la douleur et sous son poids, ne pouvant plus fuir, il ne me restait plus qu’à me débattre ; au lieu de m’épuiser inutilement à le faire, j’ai choisi d’accompagner l’agresseur dans ses mouvements. Je savais exactement ce qu’il attendait de moi. À genoux derrière moi, il avait déjà défait son obi et son hakama bleu marine. D’une main, il me pressait au sol en crochetant mon bras haut, entre mes omoplates ; de l’autre, il farfouillait sous ma veste, dans la hâte d’en défaire les lacets. Moi qui ai l’habitude de porter des strings, pour le sport je préférais les slips ergonomiques, pour réduire les frottements sur ma peau sensible et épilée ; il ne fit aucun cas de ces considérations en le tirant fermement vers le bas avec mon pantalon de coton moite.
À cette époque, j’avais déjà une pratique régulière de la sodomie et mon petit cul ferme en avait vu passer des bittes, parfois deux à la fois. Mon anus très souple était capable d’accueillir d’énormes matraques : plus elles étaient longues ou grosses, plus j’étais fier de mon exploit. Malgré la sueur qui me coulait entre les fesses, malgré le mucus que j’avais dû accumuler depuis ma partie de baise de l’après-midi et malgré la salive qu’il me crachait dans la raie, ce type ne parvenait pas à entrer. Mes muscles étaient tendus par l’exercice et franchement, je n’avais pas envie de lui. — Putain ! M’oblige pas à te faire mal, laisse-moi rentrer dans ton p’tit cul ! C’est sûr qu’en m’insultant ou en me menaçant, il obtiendrait mon consentement. Habitué à me retenir parfois une heure, quand je prends le bus pour rentrer, après avoir pris trois ou quatre grosses fournées de sperme, j’étais assez certain qu’il fatiguerait avant moi. Il a tout essayé : accroupi au-dessus de mes cuisses, à genoux pour descendre plus bas, allongé sur moi de tout son poids et de sa sueur répugnante. Je sentais sa queue fouiller mon périnée, pointer maladroitement autour de mon scrotum, forcer ma rondelle définitivement close. Alors, d’une seule de ses larges paluches, il saisit mes poignets en essayant de soulever mon bassin. Deux fois, trois fois, me déboitant les épaules à chacun de ses échecs. Ayant réussi à me cambrer, il réessaya de me violer. C’était pire : sa queue glissait dans ma sueur et il se branlait en fait entre mes fesses. Puis il finit par renoncer : — Aller… fais pas ta mijaurée… je sais qu’t’es qu’une pédale… Tordu sous la pression plus forte de ses deux étaux dans mon dos, je parvenais enfin à tourner la tête vers lui, mais ce n’était pas son regard furieux et déçu que je vis. Je ne pouvais détacher mes yeux de son phallus, un objet difforme, au gland pointu et à la base énorme. Comme s’il s’était fait injecter de l’acide botulique ou de la graisse sous la peau, et que tout avait plus ou moins fini par se tasser dans le bas. Plus surprenant encore, sa couleur : j’avais vu des glands blêmes ou gris, de toutes les teintes de roses et de violets, mais jamais rouge comme le sien. Comme s’il était irrité au sang de la pointe au milieu de la hampe conique.
Il me fallait ce spécimen dans ma collection ! Alors, tant bien que mal, je parvenais à ramener une jambe, puis l’autre, pour me présenter le cul en l’air devant lui. Il était décontenancé, mais ne lâchait pas sa victime. Ouvrant le sphincter, je lui offrais mieux qu’une bouche gourmande ou une chatte docile : un anus puissant, moelleux et expérimenté. Ayant approché son dôme pointu de mon orifice, il m’encula enfin d’un seul coup de rein. Je sentais bien son tison brûlant quelque part en moi, mais surtout l’impression qu’un mollusque essayait de s’introduire par ma porte de service. Effectivement, il m’avait libéré de sa contrainte pour tenter de faire rentrer ses bourrelets manuellement ; ce qu’il enfonçait de ses doigts d’un côté ressortait de l’autre. Il lutta ainsi plusieurs minutes et quand enfin il fût en entier dans mon cul, je resserrais pour mieux le garder. Alors il gigota fébrilement, des mouvements sans amplitude, comme s’il craignait en sortant de tout devoir remettre en dedans. De mes muscles, je l’aspirais littéralement en moi et commençais enfin à sentir sa présence molle.
Prenant peu à peu confiance, il se mit à donner des coups de queue en me tenant par les hanches. À quatre pattes, je pouvais à présent l’observer par dessus mon épaule : beaucoup plus petit que moi, il se tenait debout, les jambes assez largement écartées et me baisait maladroitement en faisait des grimaces aussi ridicules qu’inutiles. Je ne ressentais absolument aucun plaisir. Son dard devait coulisser dans ses amas graisseux aussi épais que ces masturbateurs jetables pour homme qu’on trouve en distributeur dans les gares japonaises. Alors, pour améliorer mes sensations, je poussais quand je devinais, au contact de son ventre contre mes fesses, qu’il était « entré » et cela me procura quelques frissons, jusqu’à ce que je finisse par me sentir de plus en plus rempli… merde… je m’étais lâché.
Toujours frileux, il continuait ses va-et-vient sans envergure, mais ressentait aussi les changements, confortables sans savoir ce que c’était : — Oh putain ! C’est trop bon ! Je suis un dieu ! Ses mouvements ne tardèrent pas à devenir encore plus saccadés. Je compris qu’il allait lâcher sa purée que j’imaginais déjà abondante et collante. Alors je pris mes jambes à mon cou et mon sac de sport au passage, pour ne jamais revenir, le laissant sa queue pointue enrobée mes excréments jaune doré.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le sexe initialement non-consenti peut être une assez bonne surprise au final, mais une baise maladroite et égoïste est impardonnable, alors la hantise de tout bottom qui se respecte un minimum, en mode vengeance (pas exactement volontaire mais bon...), j'ai étrangement adoré :D Je commençais à sérieusement me lasser des textes vraiment trop irréalistes, blindés de mecs trop beaux à la queue trop parfaite et de (parfois doubles) pénétrations qui donnent immanquablement à des passifs trop avides des orgasmes anaux à répétition, mais là, question réalisme, je suis servi.
Tu as écrit le récit (presque anti-érotique, faut dire) le plus... pas excitant stricto sensu, mais intéressant que j'aie lu depuis un bout de temps, donc, merci pour le beau moment de lecture, je suppose ^^
Tu as écrit le récit (presque anti-érotique, faut dire) le plus... pas excitant stricto sensu, mais intéressant que j'aie lu depuis un bout de temps, donc, merci pour le beau moment de lecture, je suppose ^^