Comme je les aime, juste mûres et juteuses!
Récit érotique écrit par Holou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comme je les aime, juste mûres et juteuses!
Cette histoire qui m'est arrivée au début de l'été dernier, je crois bien l'avoir rêvée au moins une fois, tout au moins dans sa forme. C'est vrai, j'aime les femmes plûtôt mûres, celles qui ont déjà de l'expérience, celles qui ont des traits plus qu'esquissés, celles qui ont souvent des seins un peu lourds, juste assez de rondeurs, là où il faut. D'ailleurs, elles ne se flattent pas assez de les avoir, ces rondeurs, leurs rondeurs bien féminines. Et la ritournelle de l'évocation nostalgique des vingt ans sonnent trop souvent à mon goût dans leur bouche que j'aime à penser gourmande. Je ne suis pas tout jeune non plus- la trentaine affirmée. Donc les femmes mûres autour de quarante, cinquante ans me font me retourner discrètement. Je suis plutôt du genre réservé, voire timide lorsque mes pas viennent à croiser ceux d'une femme qui m'émeut. Je ne cherche pas la beauté pure, mais davantage ce quelque chose qui donne du chien, de l'allure à une femme que les années ont un peu accompagnée avec plus ou moins de bonheur.
Me voici un après-midi de juin. Il fait chaud et j'ai besoin de vis pour terminer un petit travail de menuiserie. Avez-vous remarqué comme le grain d'un beau bois fruitier bien poncé est d'une douceur comparable à celle de la peau d'une femme, la souplesse en moins bien évidemment? Revenons à notre sujet! Une femme est devant moi, pas très grande, fière allure, vêtue d'une mini-jupe (c'est l'été tout de même!), chaussures à talons hauts. Il me faut la dépasser, l'effleurer, sentir son parfum. Je crois qu'il s'agit d'Eternity Moment de Calvin Klein. J'aime ses notes intenses de sensualité au point qu'il me retourne sans défense de ma part. Mais,chut!!!Ne le répétez-pas aux femmes de mon entourage! Certaines pourraient peut-être en user. Bref, je m'éloigne d'un pas alerte vers l'une des allées qui s'accomode de la quincaillerie-visserie et compagnie. En choisissant dans le rayonnage, voici que la femme en question passe à mes côtés . Je ne peux m'empêcher d'accompagner son déplacement du regard. Un peu plus loin, j'ai l'impression qu'elle se retourne avec un petit sourire qui me serait adressé. Puis, les vis au fond de mon petit panier bleu de grande surface,je m'accroupis vers un bac où se touve un lot de pinces à un prix dit promotionnel. A cet instant, je ne m'aperçois pas tout de suite que ma belle étrangère est à ma droite, une partir de sa cuisse gauche m'effleurant l'épaule. Que m'est-il passé par la tête au prix de me voir prendre un bonne giffle? Ma main touche doucement sa cheville et celle-ci remonte assez rapidement mais sans une grande pression vers le haut de sa cuisse , puis passant furtivement sous sa jupe, presse sa fesse gauche bien ronde qui est d'une fermeté réelle. Maintenant, je lui malaxe les fesses d'une façon assez vigoureuse. Elle a pris appui à l'une des étagères du rayonnage sous l'effet de l'insistance de ma pression. Elle n'a, vous l'aurez deviné, qu'un string, ce qui me permet de sentir la chaleur de son beau petit cul rebondi. Ma main se fraye alors un chemin entre ses cuisses bien galbées pour aller vers ce sexe qui est déjà, il me semble, un peu humide. Elle se fléchit légèrement pour écarter un peu plus ses cuisses et permettre le passage aisée de ma main. Me voici allant et venant dans ma caresse au contact de ce petit bout de tissu qui m'ennuie bien. Elle bouge d'avant en arrière, cherchant avec ardeur le contact de ma main. J'ai chaud, mon coeur s'emballe. Je retire prestement ma main, devinant plutôt que ne voyant, la présence de quelqu'un qui s'annonce au début de l'allée. Nous sommes quand même dans un grand magasin. A-t-il remarqué ce qui se passait? Je me redresse, elle remarque mon émoi et me sourit, me dit: "Vous avez fini vos courses?" Et elle se dirige sans attendre ma réponse vers les caisses. J'ai un petit temps d'hésitation avant de lui emboiter le pas. Rassurez-vous! Nous nous sommes retrouvés à l'extérieur de ce grand magasin. Allez savoir pourquoi, cette diablesse m'attendait. La suite importe peu mais ce fut bien bon. Et nous nous voyons régulièrement.
Conclusion de cette petite aventure: savoir s'attarder sur les fruits mûrs, surtout à la belle saison!
Me voici un après-midi de juin. Il fait chaud et j'ai besoin de vis pour terminer un petit travail de menuiserie. Avez-vous remarqué comme le grain d'un beau bois fruitier bien poncé est d'une douceur comparable à celle de la peau d'une femme, la souplesse en moins bien évidemment? Revenons à notre sujet! Une femme est devant moi, pas très grande, fière allure, vêtue d'une mini-jupe (c'est l'été tout de même!), chaussures à talons hauts. Il me faut la dépasser, l'effleurer, sentir son parfum. Je crois qu'il s'agit d'Eternity Moment de Calvin Klein. J'aime ses notes intenses de sensualité au point qu'il me retourne sans défense de ma part. Mais,chut!!!Ne le répétez-pas aux femmes de mon entourage! Certaines pourraient peut-être en user. Bref, je m'éloigne d'un pas alerte vers l'une des allées qui s'accomode de la quincaillerie-visserie et compagnie. En choisissant dans le rayonnage, voici que la femme en question passe à mes côtés . Je ne peux m'empêcher d'accompagner son déplacement du regard. Un peu plus loin, j'ai l'impression qu'elle se retourne avec un petit sourire qui me serait adressé. Puis, les vis au fond de mon petit panier bleu de grande surface,je m'accroupis vers un bac où se touve un lot de pinces à un prix dit promotionnel. A cet instant, je ne m'aperçois pas tout de suite que ma belle étrangère est à ma droite, une partir de sa cuisse gauche m'effleurant l'épaule. Que m'est-il passé par la tête au prix de me voir prendre un bonne giffle? Ma main touche doucement sa cheville et celle-ci remonte assez rapidement mais sans une grande pression vers le haut de sa cuisse , puis passant furtivement sous sa jupe, presse sa fesse gauche bien ronde qui est d'une fermeté réelle. Maintenant, je lui malaxe les fesses d'une façon assez vigoureuse. Elle a pris appui à l'une des étagères du rayonnage sous l'effet de l'insistance de ma pression. Elle n'a, vous l'aurez deviné, qu'un string, ce qui me permet de sentir la chaleur de son beau petit cul rebondi. Ma main se fraye alors un chemin entre ses cuisses bien galbées pour aller vers ce sexe qui est déjà, il me semble, un peu humide. Elle se fléchit légèrement pour écarter un peu plus ses cuisses et permettre le passage aisée de ma main. Me voici allant et venant dans ma caresse au contact de ce petit bout de tissu qui m'ennuie bien. Elle bouge d'avant en arrière, cherchant avec ardeur le contact de ma main. J'ai chaud, mon coeur s'emballe. Je retire prestement ma main, devinant plutôt que ne voyant, la présence de quelqu'un qui s'annonce au début de l'allée. Nous sommes quand même dans un grand magasin. A-t-il remarqué ce qui se passait? Je me redresse, elle remarque mon émoi et me sourit, me dit: "Vous avez fini vos courses?" Et elle se dirige sans attendre ma réponse vers les caisses. J'ai un petit temps d'hésitation avant de lui emboiter le pas. Rassurez-vous! Nous nous sommes retrouvés à l'extérieur de ce grand magasin. Allez savoir pourquoi, cette diablesse m'attendait. La suite importe peu mais ce fut bien bon. Et nous nous voyons régulièrement.
Conclusion de cette petite aventure: savoir s'attarder sur les fruits mûrs, surtout à la belle saison!
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