Comme on connait ses seins on les honore

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Comme on connait ses seins on les honore Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comme on connait ses seins on les honore
‌Quatre portraits de femmes remarquables par le volume de leur poitrine avec les avantages sexuels qu'elles en tirent.‌

‌Viviane

Aide soignante à l'hôpital depuis une vingtaine d'années; Viviane arborait comme ses collègues femmes la tenue réglementaire, blouse et pantalon, très éloignée des uniformes propres à susciter les fantasmes des patients, des médecins ou du personnel mâle. Néanmoins, cet uniforme était impuissant à dissimuler la forte excroissance marquant la blouse, à savoir une paire de seins qui l'avait complexée à l'adolescence mais était devenue avec le temps une espèce de fierté et un atout sexuel majeur. Divorcée depuis dix ans, son mari s'étant lassé de ses infidélités, Viviane n'avait jamais fait mystère de son goût prononcé pour le sexe. Cela ne lui attirait pas la sympathie de ses collègues femmes, jalouses de la popularité de Viviane auprès des collègues et des patients hommes, mais aussi des médecins, ce qui était plus grave à leurs yeux.

Viviane était généreuse de son corps. Cette générosité allait parfois jusqu'à montrer ses seins nus à un malade en fin de vie, qui lui demandait cette faveur, et même à le laisser toucher. Plus fréquemment, pour faire baisser la tension de ce métier éprouvant dans son équipe médicale, elle offrait à un collègue la possibilité d'une branlette espagnole en offrant son sillon mammaire profond à une queue impatiente, suivie d'une pipe.
Soucieuse de hiérarchie, elle baisait utile. Seuls les médecins avaient accès à son entrecuisses, voire à son cul, aussi pulpeux que ses seins. Cela se passait dans un bureau fermé à clé. Le médecin baisait Viviane entièrement nue, assise sur son bureau, lui debout le nez dans ses nibards, les reins verrouillés par ses mollets nerveux, ou carrément à même le sol. Elle le chevauchait en faisant valser ses nichons qui claquaient en frappant son torse. Un moment érotique inoubliable pour l'homme, en général moins bien servi par son épouse. Si Viviane restait aide soignante, elle bénéficiait de primes annuelles qui n'étaient pas pour rien dans les jalousies de collègues féminines, moins prolixes de leur cul. Les hommes, en revanche, ne pipaient mot, c'est le cas de le dire, trop heureux d'être sucé et branlé les nuits de service, plus pratiques et discrètes que les journées dans le cadre des trois huit. Viviane valait tous les psychologues pour soutenir le moral des soignants.

Elle ne vivait plus en couple mais avec son fils étudiant. Déçue par son mariage, elle préférait conserver sa liberté, sexuelle en particulier. A 48 ans, elle savait qu'elle vivait ses meilleures années, le corps encore désirable et servi par une expérience qui faisait jouir ses partenaires, mais aussi jouir elle-même car sa sensualité était vivace. Hors service, elle portait des décolletés plongeants quand elle se promenait, particulièrement quand elle avait envie de baiser. Sortant le soir avec son amie Magali, une podologue plus âgée, plus menue, divorcée elle aussi, toutes les deux se laissaient draguer dans les fêtes ou les bistrots par des hommes plus jeunes amateurs de femmes mûres, menues ou bien en chair. La seule exigence de Viviane était que Magali soit également baisée par son prétendant du soir, et réciproquement si la podologue était courtisée, ce qui donnait lieu à des trios, voire des quatuors qui soulaient les deux femmes de volupté. Et leurs partenaires idem.
En revanche, Viviane interdisait systématiquement l'accès de son lit. Pas question de s'envoyer en l'air à son domicile, en présence ou non de son fils. Il y avait suffisamment d'endroits pour le sexe. On voit par là que pour avoir la cuisse légère et le sein accueillant, Viviane n'en était pas moins une femme de principe...

Caroline

Gérard et Caroline tenaient une entreprise de légumes bio, ce qui correspondait bien à leur conception de la vie depuis leur jeunesse. Sensibles à l'écologie, amoureux de la nature, libertaires de corps et d'esprit, ils vivaient leur début de cinquantaine comme des jeunes contestataires avec en prime l'atout de l'expérience. Caroline refusait de se teindre les cheveux, qu'elle avait grisonnants et abondants, ne se rasait pas les aisselles, ne portait jamais de soutien-gorge et même de slip par temps chaud. En laissant son abondante poitrine, qui contrastait avec son torse menu, suivre les mouvements de ses pas, elle affichait clairement sa sexualité, ce qui lui valait sur les marchés une clientèle assidue d'hommes, fascinés par cette femelle si libre de son corps.

A ses côtés, Gérard regardait le manège avec amusement. Il voyait bien que les clients en question l'enviaient d'être celui qui baisait Caroline. Il les provoquait même derrière leur étal en lui tapotant parfois la croupe qu'elle avait aussi généreuse que le buste, l'air de dire : "c'est à moi ça". Il n'allait cependant pas à glisser sa main sous la robe pour vérifier la présence de slip, ce qu'il faisait couramment à la ferme, prélude en général à une copulation à la hussarde. Au marché, Caroline faisait mine de s'en offusquer en tapant sur sa main en gloussant, mais c'était un jeu entre eux. Ses nichons s'agitaient sous la robe profondément décolletée et les clients guettaient le moment où, penchée en avant, elle découvrirait peut-être le début d'une aréole.

Ce petit jeu les excitait tellement qu'au retour à la ferme, si le temps était au beau, ils s'arrêtaient dans un coin tranquille. Gérard sortait une couverture de la camionnette et ils baisaient sous le soleil, Caroline criant son plaisir sans risquer de choquer leurs deux adolescents au bercail.
Mais cet esprit libertaire qu'ils cultivaient depuis leur jeunesse comportait aussi une traduction dans leur couple. Ils n'étaient pas hostiles, pour casser la routine, à des intervenants extérieurs. Un couple de restaurateurs, clients de leur production, participait à leurs ébats les jours de fermeture du restaurant, à l'étage de celui-ci. Le restaurateur était fan des seins de Caroline, qu'il empaumait, soupesait et pétrissait en l'honorant de sa queue tandis que Gérard limait la restauratrice, mince aux nichons pointus, à l'opposé de ceux de l'agricultrice bio mais particulièrement salope.

Mais ce qui excitait surtout Gérard, c'était le trio. Il adorait regarder Caroline baiser avec un autre homme, de préférence bien monté, et venir se mêler à leurs jeux. C'était toujours un inconnu recruté sur internet, amateur de femmes mûres bien en chair, souvent à la peau ambrée pour plaire à Caroline. Les rendez-vous se déroulaient dans un hôtel de périphérie. Gérard se régalait à la voir tressauter sur la bite de l'invité, ses lourdes mamelles opérant une sorte de danse au rythme de ses coups de reins. Si l'homme était d'accord, ce qui était en général le cas, Gérard venait dans le dos de son épouse et la sodomisait en même temps qu'elle cavalait sur la queue. Cette double pénétration anale-vaginale marquait le summum de cet accouplement et Gérard giclait dans la belle croupe tout en pétrissant les seins, laissant Caroline anéantie de plaisir.

Ces intermèdes érotiques permettaient au couple de mieux vivre un métier plein d'aléas, à la clientèle fidèle mais réduite. La vie au grand air leur octroyait néanmoins une santé dont ils entendaient profiter le plus longtemps possible, la sensualité de Caroline se mariant parfaitement avec la vitalité de Gérard.

Nathalie

Nathalie était l'une des employées les plus anciennes de cette grande librairie de centre-ville dont elle était l'une des caissières, ou si on préfère, hôtesse de caisse, dénomination qui lui ira mieux dans ce récit, comme on va le voir. De petite taille (1,55m), l'opulente chevelure argentée savamment entretenue, elle se tenait assise derrière son comptoir pendant plusieurs heures, attendant le livre du client pour le scanner et enregistrer son paiement. On lui donnait la quarantaine parce que peu ridée, et malgré sa chevelure grisonnante. De fait, elle avait 45 ans. Mais ce qui retenait surtout, c'était son buste. En payant son livre, le client bénéficiait d'une vue plongeante sur une paire d'obus qu'elle mettait un malin plaisir à découvrir, selon les jours, au tiers, à moitié, voire aux deux tiers. Vision si spectaculaire que les clients ignoraient souvent les autres caissières pour avoir le plaisir (frustrant) de mater ces globes magnifiques rehaussés par des soutifs à balconnets.

Quand parfois elle sortait de son comptoir pour se décontracter en marchant dans la librairie, à petits pas vue la courte longueur de ses jambes, Nathalie donnait l'impression d'être précédée de ses seins, à se demander s'ils n'allaient pas la faire basculer vers l'avant. Parfaitement consciente de l'attrait de son physique pour une certaine catégorie d'hommes amateurs de formes généreuses, elle en jouait avec une certaine perversité, ondulant en outre de la croupe qu'elle avait bombée, souriant aux clients qui la dévoraient du regard mais sans pousser son avantage.
Car Nathalie était mariée et seul Ludovic, son mari, avait le droit de "toucher". Leur union, de vingt ans d'âge, était marquée par une vie sexuelle épanouie, le mari étant particulièrement excité de savoir son épouse désirée par tant d'hommes.

Un événement allait toutefois introduire une évolution dans ces rapports conjugaux. Jean-Michel, le patron de la librairie, parfaitement conscient de l'atout buste que représentait Nathalie pour son entreprise, lui annonça la visite d'un écrivain renommé pour une signature de son dernier roman. Il demanda à son employée de l'assister dans cette opération promotionnelle, censée attirer de nombreux lecteurs et surtout lectrices, l'homme ayant une grosse cote dans la gent féminine. Le but caché était de maintenir la vedette dans la librairie et un peu au-delà, au détriment de la concurrente du centre commercial périphérique. Celle-ci attendait en effet l'écrivain le soir même, en nocturne, et le libraire ambitionnait de faire capoter son intervention.
Pour ce faire, il avait besoin de Nathalie. Amateur de femmes, l'écrivain serait sans doute sensible à la présence à ses côtés, pour lui tendre les livres à signer, de cette belle plante à la sexualité si ostentatoire.
- Nathalie, j'ai besoin de vous pour que notre écrivain rate son rendez-vous suivant. Et donc après la signature. Débrouillez-vous comme vous voulez, je ne veux rien savoir, mais si vous réussissez, je ne l'oublierai pas. Je vous signale que nous lui avons réservé une chambre d'hôtel près de la librairie.

L'allusion était transparente. Nathalie devait user de son charme pour séduire l'écrivain, mais jusqu'à quel point ? La situation était embarrassante. Néanmoins, elle revêtit son plus beau décolleté, une robe courte ouverte devant et derrière au carré. Quand il la vit s'asseoir à côté de lui, l'écrivain en oublia de signer le premier livre qu'on lui tendait, littéralement fasciné par le sillon mammaire de sa voisine de table. Une paire de roberts pareille, ça faisait un bail qu'il n'en avait pas vue. Il se mit néanmoins à la tâche, oubliant les sourires des lectrices pour jeter un oeil à côté, des fois que les obus auraient pris la tangente. Mais non, Nathalie remplissait avec zèle son office, et avec le sourire, consciente du charme qui opérait sur son illustre voisin.

Il lui plaisait assez avec ses cheveux grisonnants et ondulés, sa peau bronzée, ses mains fines et ses yeux de braise, qui la déshabillaient du regard. Mais de là à coucher avec lui, non, vraiment, elle restait une femme fidèle. Elle accepta juste de prendre un verre avec lui au bar de l'hôtel, à la fermeture de la librairie, une fois la pile impressionnante de livres signés par l'auteur. Il lui fallait juste faire durer un peu les choses pour qu'il ne s'aperçoive pas qu'on avait atteint l'horaire fatidique de 21h où il devait se rendre chez le concurrent.

Durant cet intermède, l'écrivain déploya tout son charme de séducteur invétéré. Sans s'en rendre compte, Nathalie avalait son pineau des Charentes, de verre en verre, riait d'un rien, le rose aux joues, la tête embrumée, en écoutant son interlocuteur lui débiter des compliments bien tournés. Aussi, quand il lui proposa de poursuivre l'entretien dans sa chambre, il était 20h45 et le contrat de Nathalie n'était pas encore tout à fait rempli. Elle protesta qu'elle était mariée, montrant son alliance, que son mari l'attendait pour diner mais que pour un petit quart d'heure, oui, elle voulait bien monter avec lui, mais pas plus longtemps, hein ?
L'autre se voyait déjà prendre ses fabuleux nibards à pleines mains et y enfouir son museau, la queue raide d'impatience. Il regarda sa croupe dans le couloir des chambres et se dit qu'elle avait à l'arrière autant d'arguments qu'à l'avant.

Nathalie entra dans la chambre en titubant légèrement, fit valser ses escarpins ce qui était une erreur car tout commence par les pieds. L'écrivain la poussa sur le lit où elle s'affala, la robe à hauteur de la culotte. La suite fut un petit combat perdu d'avance par l'hôtesse de caisse. Dès que l'écrivain logea son museau sur son entrecuisses et la brouta en écartant la culotte, elle capitula sans condition. Quand elle fut nue, il n'eut même pas besoin de lui écarter les jambes. Elle lui prit la queue raidie à pleine main et la porta à son sexe béant et juteux. Il était 21h et quelques minutes quand elle se mit à lui talonner les reins en criant "encore encore c'est bon continue..." tandis qu'il se régalait aux amples mouvements de son buste plantureux sous l'effet de ses coups de bite. Elle le chevaucha, les nibards en folie puis il la prit par derrière devant l'armoire vitrée de la chambre pour mater le balancement de ses nichons et il lui demanda, fort civilement, si elle était d'accord pour "être enculée" car son cul l'inspirait autant que ses roberts.

Oui, elle était d'accord, à condition qu'il mette la langue d'abord. Ainsi donc, l'hôtesse était une jolie petite salope cachée, ce qui ne l'étonna qu'à moitié. Pendant qu'il la sodomisait, elle tournait la tête vers lui pour l'encourager, "allez allez vas y j'aime ça", ce qui eut finalement raison de sa résistance. Il gicla dans son rectum à 21h30, bien au-delà du rendez-vous convenu, désormais obsolète.
D'autant qu'après la douche prise en commun, durant laquelle elle réveilla son désir d'une pipe entre ses deux globes, il remit le couvert, trop heureux de profiter d'un coup pareil, avant de s'endormir, rincé. Nathalie se rhabilla alors discrètement, laissant l'écrivain ronfler et regagna son domicile, en préparant son discours à son mari pour expliquer son retard car il faisait maintenant bien nuit. C'est à ce moment qu'elle reçut par SMS les félicitations patronales auxquelles elle répondit simplement : "je compte sur vous pour me servir d'alibi".

Muriel

Bien que n'exerçant un simple emploi administratif, Muriel était une figure bien connue de la grande collectivité territoriale où elle travaillait depuis vingt ans. La raison : son physique un rien provoquant avec des tenues affriolantes qui tentaient de faire oublier qu'elle avait désormais cinquante ans. Il faut dire qu'elle avait toujours été très belle femme, et l'était restée pour nombre d'hommes amateurs de corps pulpeux transpirant l'érotisme. Blonde à mèches, ses cheveux raides frisant ses épaules, longiligne toute en jambes, le visage au nez fort, elle se remarquait surtout par son goût prononcé pour les bustiers mettant en valeur une paire de seins à donner le vertige aux amateurs de poitrines agressives et charnues. La moitié des hommes de l'administration rêvaient de la baiser, malgré ou à cause de son âge, d'autant qu'elle était divorcée depuis plusieurs années et libre comme l'air.

Le président lui-même, un homme à femmes, avait tenté sa chance en l'invitant à déjeuner, en l'intégrant un temps dans son cabinet mais voilà, Muriel, contrairement à ce qu'on pouvait croire, ne baisait pas sur commande. Elle choisissait ses amants et le président ne l'excitait pas. Aux costards cravate bardés de diplômes, elle préférait par exemple un ouvrier de la maintenance, costaud et bien membré, qui la prenait à la hussarde dans son atelier les jours où elle était en manque de sexe.

En fait, Muriel ne comptait que deux amants réguliers. Un ami de longue date, légèrement handicapé suite à un accident qui lui avait raccourci une jambe (mais pas sa queue), libertin avéré, prénommé Patrick, et un voisin de son groupe d'immeubles, un trentenaire marié prénommé Thierry. Avec Patrick, elle multipliait les expériences, allant de la photo de nu en plein air à une soirée échangiste dans un lieu privé. Avec Thierry, c'était plus sauvage et plus spontané. Il venait le soir en voisin, subrepticement, ignorait ses protestations devant son manque de préparation (elle était déjà en pyjama) et arrivait toujours à ses fins dès qu'il parvenait à l'enlacer et à la pousser sur son sofa où il la culbutait, le nez dans ses nibards en la faisant bramer de plaisir. Elle se jurait toujours, après l'avoir mis à la porte, que c'était la dernière fois... et il revenait avec le même succès car Muriel était folle de son corps et de sa queue.

Il faut dire aussi qu'elle procurait des joies érotiques intenses à ceux qui avaient la chance d'arriver entre ses cuisses. Muriel n'avait aucun tabou. Elle avalait le sperme et se faisait sodomiser sans réticence, bien qu'elle préférât de beaucoup la pénétration vaginale à l'anale. Mais son cul magnifiquement galbé était trop tentant aux amateurs pour qu'elle le leur refuse. La question de la sodomie, elle l'évoquait parfois avec sa collègue Nicole, une brune proche de la cinquantaine également pulpeuse, mais plus de la croupe que du buste et fan du petit trou. Mariée, elle faisait porter des cornes à son légitime, estimant qu'à son âge, toute occasion était bonne à prendre alors qu'elle était encore désirable. C'est ainsi que lors de la visite d'intervenants extérieurs qu'elle avait pilotés dans l'administration, elle avait réussi à entrainer Muriel dans la chambre d'hôtel de deux d'entre eux pour une partie à quatre endiablée où les deux fonctionnaires territoriales s'étaient découvertes dans le sexe. C'est à cette occasion que la blonde avait constaté le goût prononcé de la brune pour la sodomie, les deux intervenants s'étant relayés entre ses fesses joufflues sous l'oeil curieux de Muriel. Celle-ci avait pour sa part régalé les deux comparses en goguette d'une cravate de notaire entre ses obus, l'un des deux en ayant giclé dans sa capote.
Une vraie complicité était née ce jour là entre les deux collègues.

Néanmoins, le temps passant, Muriel aspirait à une vie plus rangée. Lors d'une soirée entre amis, elle fit la connaissance de Klaus, un quinquagénaire militant de la cause animale. Après l'avoir baisée comme il se doit, il lui raconta sa passion avec une telle ferveur que Muriel y adhéra dans la foulée. Lors de leurs actions sur le terrain, elle ne portait plus de décolleté plongeant mais de simples blouses qui ne parvenaient pas néanmoins à masquer totalement les glorieux nichons, lesquels pointaient sous la toile avec arrogance. Désormais en couple, Klaus et Muriel ajoutaient à la cause animale des parties de jambes en l'air campagnardes complètement à poil sous le regard d'un âne, d'un cheval ou de quelques moutons, ce qui avait le don d'exciter les deux amants. Après tout, n'y a-t-il pas de l'animalité chez certains humains ? Ainsi s'acheva pour Muriel une vie libertine qui fit deux malheureux, Thierry et Patrick. Mais la chair est faible...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
A toi lecteur amateur de poitrines voluptueuses j'aimerai te faire découvrir la mienne généreuse et pulpeuse avec ses adorables petits tétons et agrémentée d'un joli soutien gorge chic et sexy

Histoire Erotique
Belle écriture, belle description, mais pourquoi j’adore les poitrines voluptueuses ?

Histoire Libertine
Vous avez raison cher Micky nos seins quelque soient leurs tailles font tout notre charme, pour ma part j'en ai deux très jolis qui tiendraient bien dans les mains d'un honnête homme comme vous

Histoire Erotique
Micky,
Merci pour cette formidable ode à la femme et à ces incontournable attributs qui font, quelque soit leurs tailles, tout le charme de la gent féminine...
Didier



Texte coquin : Comme on connait ses seins on les honore
Histoire sexe : Une rose rouge
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