Comme un dernier souhait.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comme un dernier souhait.
Odile défait son corsage, le plie soigneusement, puis le dépose à ses pieds.
-Tu veux que je t’aide ? Fais-je.
-Non… je veux que tu ne bouge pas !
Elle dégrafe sa jupe et la laisse glisser le long de ses jambes. Elle la ramasse, la plie à son tour, la pose sur le corsage. Enfin elle quitte ses mules que se penchant, et demeure quelques instants tête baissée. Je balade mon regard du soutien-gorge blanc, au porte-jarretelles en dentelle. Finalement je pose mes rétines sur la culotte de soie.
-Alors ? Comment me trouves-tu ?
-Excitante.
-Je l’ai acheté à la Redoute spécialement pour toi.
Elle fait les quelques pas qui la sépare de moi et colle son sexe enveloppé de soie sur ma bouche. Elle m’étouffe, aplatissant sa chatte comme une crêpe sur son visage.
-Allez, enfile-moi… au boulot ! Tu vois bien que je n’en peux plus… Il est tant de donner à boire à ma chatte… n’est-ce pas pour cela que tu es là ?
Lui rendant la monnaie de sa pièce, pour m’avoir demandé de ne pas bouger, je la regarde avec un air idiot.
- Je t’en pris, Alain ! Aller… maintenant, viens… je ne tiens plus…
Elle se cambre, fait tomber son slip en soie le long de ses jambes. Je me place derrière. Je fais descendre ma main et le plonge dans sa touffe humide.
-Oui, gémit-elle, en écartant impudiques les cuisses pour mieux se laisser fouillé.
-Tu aimes ça, hein,? Tu aimes que je te tripote la chatte.
Mes doigts traversent la jungle odorante et l’explore minutieusement les tendres replis charnus. Sans hâte, ils s’aventurent à l’intérieur du calice dilaté et brûlant, s’emparent de la crête durcie du clitoris.
Je ne la fais pas attendre plus longtemps. Empaumant le buisson velu, écrasant et broyant le clitoris. Je replis mon index et mon médium et les enfourche d’un coup, violemment à l’intérieur du vagin. Puis tout en vissant mes deux doigts dans les chairs distendues.
L’odeur épicée de la chatte bien fournie en poils, en chair et en suc me transmette une envie folle de lui bouffer la foufoune.
Je me laisse tomber à genoux devant elle, et colle ma bouche sur son buisson. Tout de suite je sens des coulées me dégouliner dans la bouche. Mes narines baignent dans une senteur forte aux relents épicés. J’écarte les cuisses et passe par-dessous. Les replis de chair intimes pendent entre les poils. Je la lèche par-dessous à grand bruit de langue. Odile geint d’émotion et agrippe ma tête à deux mains pour la coller contre sa fente.
Je désire maintenant l’anus. Je le flaire à plusieurs reprises, pour enfin le lécher du bout de la langue. Elle se penche en avant. Prend appui sur l’accoudoir du divan à l’aide des paumes. J’écarte les fesses pour faire apparaître l’œillet brun, remarquablement froncé.
J’écrase mon visage entre ses fesses. Elle a tellement transpiré de ce côté-là, que son orifice est lubrifié. Son anus a un petit goût amer. Il sent ce qu’il doit sentir. Et j’avoue, une fois de plus que j’aime son odeur. D’ailleurs j’y plonge ma langue avec avidité. Je lèche bien le pourtour. Je parcoure les tries marquées. Je nettoie les poils qui ceinturent le trou. Je pousse ma langue au centre du cratère pour l’enfoncer. Comme à son habitude Odile est dans tous les états.
Son trou de balle s’élargie avec une belle aisance. Je me mets à le bouffer en grognant. J’envoie ma main droite au contact de sa chatte, et enfile deux doigts dans le vagin. Tout en limant son antre, je retire ma langue de son anus. Il est dilaté et béant. Je me lève et fais disparaître mon gland dans l’orifice.
- Entre tout, a-t-elle presque hurlé Odile.
Alors j’ai tout mis. La coquine remue à chaque mouvement. Sa tête balance de droite à gauche. Son cul va au-devant de mes coups de boutoirs pour ingérer mon pénis au maximum.
-Alain, Alain, je, je… ooh !
Une vague de chaleur m’empoigne les reins, tandis que nos deux corps semblent fusionner. Odile gémit tandis que je me déverse en elle, encore et encore. Nous nous retrouvons, bouche contre bouche, ventre contre fesses, à-demi allongés sur le divan. Je bande toujours, mais mon sexe est devenu si sensible que je bouge plus.
Odile se défait, et s’allonge sur le divan. J’en fais de même. Je contemple émerveillé ce corps étendu, offert à mon regard. Odile de son côté lorgne d’un air gourmand cette ma verge qui ne daigne toujours pas baisser la tête. Elle le caresse tout d’abord d’une main distraite, puis, dépose un petit baiser sur le gland rubicond.
Un sourire extasié fleurit sur ses lèvres gourmandes et, ses yeux rivés aux miens, se redresse, m’enjambe et guide ma queue dans son vagin d’un geste des plus naturels. Elle monte et descend, en appui sur ses jambes repliées. Ses mains en coupe caressent les deux collines de sa poitrine qu’elle semble m’offrir, les yeux brillants. Je ne bouge pas, fasciné de voir ma verre apparaître et disparaître, de plus en plus vite. Odile gémit, ralentis le rythme de sa cavalcade. Je sens ses muscles internes se contracter autour de moi, tandis qu’elle jouit.
Je reste en elle, tandis qu’elle s’abat sur mon torse et c’est moi qui prends le relais, la soulevant à demi, je m’enfonce en elle d’une seule poussée puis ressors complètement. Je caresse de mon gland l’entrée de sa chatte serrée et repars à l’assaut. Encore et encore, Odile en redemande, m’embrasse, me mord la langue lorsque de nouveau je me répands en elle.
Nous restons enlacés de longues minutes, silencieux, épuisés.
Alors que je sors du hall, je tombe sur Hervé, le mari.
-Mais dis-moi, me fait-il, toi ici. J’espère que tu ne rends pas une visite à ma femme pendant mon absence.
-Où vas-tu chercher ça Hervé. Je rendais une visite à un ami.
-Un ami dans cette gage d’escalier ! Il n’y vit que des vieux !
Connaissant un peu les locataires, je lui sors un nom à la volé.
- Oui je reconnais qu’il est sympa. Mais dis-moi, il ne se trouve pas en ce moment dans le midi chez son fils ? Par contre il y a sa femme. C’est ça ?
-Non…non !
-Elle n’est pas aussi belle qu’Odile, mais bon !
-Sûr…
-Tu es d’accord avec moi ?
-Oui…
-Tiens, tu la trouves comment ma femme ?
Je garde le silence ne sachant que dire.
-Aller je t’écoute. Je reconnais qu’elle a un certain âge. Mais bon, comme dit le dicton, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Tu n’es pas d’accord avec moi ?
-Oui, peut-être…
-Tiens accompagne-moi jusqu’à la maison.
-C’est que Hervé…
-Monte je te dis.
Bien sûr arrivé chez lui, j’ai salué Odile comme si je ne l’avais pas vue auparavant.
-Tu sais ce qui m’a dit Alain ;
-Non…non… ! Fait Odile.
-Que tu ne le laissais pas indifférent.
-Eh bien si je m’attendais à ça. Surtout venant de la bouche d’un si beau jeune homme comme toi.
-Puisque tu aimes les femmes mûres, tu tombes bien, cette cochonne adore montrer ses fesses aux jeunes hommes. N’est-ce pas Odile ?
- Euh… voyant Hervé…
-Ne dit pas le contraire ma chéri ! Avoue-le !
-Oui, Alain, glousse-t-elle, interloquée.
Les questions d’Hervé n’admettent que des réponses positives de la part de sa femme. Il lui fait même soulever l’ourlet de sa jupe. Odile la remonte au-dessus de son ventre. Son slip m’apparait. Pas celle en soie vue un peu plus. Celle qu’elle porte est brodée de petites fleurs.
- Regarde, Alain, elle est belle sa culotte ?
Sans quitter des yeux les dessous affriolants d’Odile, j’hoche la tête.
- Alors Alain, profites-en, rince-toi l’œil.
Je n’en crois pas ses yeux, ni ses oreilles. Devant mon hésitation, Hervé demande à sa femme de s’exhiber davantage.
- Déboutonne ton chemiser, et montre-lui tes nichons.
-Hervé…
-Quoi Hervé…je suis sûre qu’il demande que ça de reluquer tes mamelles.
Si bien qu’Odile s’exécute, et m’exhibe une fois encore deux obus de chair.
- Tu peux toucher Alain ? Je suis un peu près certain que c’est le souhait d’Odile…N’est-ce pas chéri ?
Poussé à la consommation, j’agace les bouts. Hervé halète, en apercevant mes mains crispées sur les nichons tièdes de sa femme. L’époux m’incite :
- Tu peux les téter, elle aime ça.
Je crois rêver. Sous ses encouragements, je passe de l’un à l’autre. Je salive goulûment sur les tétons dardés. Hervé ne lâche rien, au point de dire :
-La culotte, maintenant chéri. Allez, pas de manière, montre-lui tout.
-Hervé tu exagères… c’est tout de même le fils de…
-Foutaise ! Fais ce que je te dis :
Avec sa fourberie que je lui connais, Odile fait durer le plaisir. Sans cesser de me fixer, les cuisses serrées, elle abaisse l’élastique de son slip sous son nombril puis, soulevant son derrière, le fait glisser à ses genoux.
-Aller Alain, sers-toi ! Lâche-toi bon Dieu…fait Hervé.
Fou de désir, j’ose malgré la présence du mari, de glisser ma main entre les genoux joints d’Odile, entravés par sa culotte. Elle me repousse maladroitement. Hervé la réprimande :
-Quelle sournoise, tu fais ! Écarte les cuisses, idiote, et laisse-toi faire, tu ne vois pas qu’il est excité ? C’est ton jour de chance, chérie.
Incité par le mari, Odile s’ouvre, jusqu’à tendre l’élastique de son slip. Emporté par l’excitation, je lance ma main pour peigner les poils, arrachant un frisson à Odile. Hervé poursuit :
- Montre-lui ton cul !
Elle se couche sur le divan et ramène ses genoux contre sa poitrine, les talons posés à plat sur les coussins.
-Ça te va comme ça ?
Pour toute réponse il me fait signe de toucher. Alors je me mets à palper les chairs moites. Sous l’action de mes doigts, comme plus tôt, son sexe se met à bâiller.
- Ça T’excite Hervé ?
-Tu ne peux pas savoir à quel point !
Je pousse mon doigt dans le vagin mouillé de sa femme. Cette dernière grimace et pousse des soupirs.
Hervé met à l’air sa queue. Il l’encercle de ses doigts et dégage le gland. De son pouce replié, il se masse le bout que l’humidité rend soyeux. Il empaume ses couilles et les serre très fort, déclenchant un hoquet.
- Tu vois dans l’état que je suis… ça grâce à vous !
Odile, les yeux voilés, me fait un sourire.
-Montre-nous la tienne fils… me sollicite Hervé.
Je m’exécute. Odile se penche pour mieux voir.
- Quelle cochonne tu fais, chérie !
-Hervé, un peu de tenue…
-Elle te plaît, sa queue toute jeune, hein ? Alors, suce-la, lui ordonne-t-il.
Pour la forme, elle a un sursaut d’indignation et papillote des paupières.
- Mais… tu sais bien… je n’aime pas ça !
-Ça suffit, fais ce que je te dis ! Je me fiche de ce que tu aimes ou pas !
Alors qu’il fronce les sourcils, Odile insidieuse fait la moue en s’agenouillant sur le tapis du sol. Sa main se referme sur la queue. Elle regarde son mari en grimaçant, mais devant mon expression sévère, elle se penche, résignée, et sa bouche gobe mon gland.
- Allez, pipe-le...
Elle commence lentement. Je suis plus que jamais excité à la vue de ses joues déformées par mon gland. De ma main dans ses cheveux, je lui impose un rythme soutenu. Au bout d’un moment, elle se dégage, comme paniquée. Elle mérite une palme !
- Mais… il va…
Incapable de me contenir, je lui fourre ma queue dans la bouche avant qu’elle est fini sa phrase et l’oblige à continuer jusqu’à ce que j’entende ses cris étouffés, sous les yeux ravis du mari.
- Elle suce bien ma femme ? Me questionne-t-il…
-Oui…
-Ne te prive pas…va jusqu’au bout… m’incite Hervé…
Et je ne m’en prive pas. Les yeux dans le vague, je vacille en râlant. Pour la forme, Odile se redresse, affolée, les joues gonflées, les lèvres brillantes. Elle recrache dans un mouchoir mon plaisir liquide.
-Tu serais capable d’enculer Odile ? Me fait-il, tout en se branlant.
-Je ne sais pas Hervé…
-Essaye… je suis sûr qu’elle n’est pas contre…
-Hervé, voyons… tu vas trop loin à présent…
Il pousse sa femme sur le divan, lui faisant prendre la position adéquat. Elle a l’air à la fois malheureux et excité, et se lèche les lèvres de plus belle.
- C’est vraiment ce que tu veux ? Se plaint-elle d’une voix geignarde. Je le fais parce que c’est toi, tu sais…
Le mari la presse de s’exécuter. Elle proteste encore pour la forme.
-Vas-y gamin… je compte sur toi…
Je guide ma queue.
-C’est bien comme ça que tu veux mon chérie ? Demande-t-elle. Comme ça tu pourras tout voir, ajoute-t-elle.
Et le bout s’enfonce, facilement dans son cul, comme un gros suppositoire. La précédente enculade n’est pas étrangère à cette accessibilité.
-Enfonce-toi bien profond, Alain…
Elle déglutit et lance :
- Mets-la-moi. Hervé n’attend que cela… enfonce-toi, comme… oui…oui comme ça…
Elle râle. Ma queue s’engouffre dans le conduit. Hervé n’en a pas assez. Il aboie un ordre. La femme saisit ses fesses à pleines mains et les écarte, tandis que je ressors ma queue. Fais aller mon gland le long de sa raie. Puis je m’engouffre de nouveau, sans tâtonner, plongeant dans le cul brûlant qui s’ouvre sous mon introduction. Pendant ce temps là Hervé
Se masturbe toujours, les yeux exorbités. Il se branle avec brutalité.
Dans ces conditions il m’est impossible de ne pas jouir.
Après cet épisode, j’ai pris un peu de distance avec le couple. Jusqu’à ce que j’apprenne de la bouche de ma mère le décès d’Hervé. Très affecté par cette disparition, je reste tout de même comblé de lui avoir offert un dernier grand plaisir…
-Tu veux que je t’aide ? Fais-je.
-Non… je veux que tu ne bouge pas !
Elle dégrafe sa jupe et la laisse glisser le long de ses jambes. Elle la ramasse, la plie à son tour, la pose sur le corsage. Enfin elle quitte ses mules que se penchant, et demeure quelques instants tête baissée. Je balade mon regard du soutien-gorge blanc, au porte-jarretelles en dentelle. Finalement je pose mes rétines sur la culotte de soie.
-Alors ? Comment me trouves-tu ?
-Excitante.
-Je l’ai acheté à la Redoute spécialement pour toi.
Elle fait les quelques pas qui la sépare de moi et colle son sexe enveloppé de soie sur ma bouche. Elle m’étouffe, aplatissant sa chatte comme une crêpe sur son visage.
-Allez, enfile-moi… au boulot ! Tu vois bien que je n’en peux plus… Il est tant de donner à boire à ma chatte… n’est-ce pas pour cela que tu es là ?
Lui rendant la monnaie de sa pièce, pour m’avoir demandé de ne pas bouger, je la regarde avec un air idiot.
- Je t’en pris, Alain ! Aller… maintenant, viens… je ne tiens plus…
Elle se cambre, fait tomber son slip en soie le long de ses jambes. Je me place derrière. Je fais descendre ma main et le plonge dans sa touffe humide.
-Oui, gémit-elle, en écartant impudiques les cuisses pour mieux se laisser fouillé.
-Tu aimes ça, hein,? Tu aimes que je te tripote la chatte.
Mes doigts traversent la jungle odorante et l’explore minutieusement les tendres replis charnus. Sans hâte, ils s’aventurent à l’intérieur du calice dilaté et brûlant, s’emparent de la crête durcie du clitoris.
Je ne la fais pas attendre plus longtemps. Empaumant le buisson velu, écrasant et broyant le clitoris. Je replis mon index et mon médium et les enfourche d’un coup, violemment à l’intérieur du vagin. Puis tout en vissant mes deux doigts dans les chairs distendues.
L’odeur épicée de la chatte bien fournie en poils, en chair et en suc me transmette une envie folle de lui bouffer la foufoune.
Je me laisse tomber à genoux devant elle, et colle ma bouche sur son buisson. Tout de suite je sens des coulées me dégouliner dans la bouche. Mes narines baignent dans une senteur forte aux relents épicés. J’écarte les cuisses et passe par-dessous. Les replis de chair intimes pendent entre les poils. Je la lèche par-dessous à grand bruit de langue. Odile geint d’émotion et agrippe ma tête à deux mains pour la coller contre sa fente.
Je désire maintenant l’anus. Je le flaire à plusieurs reprises, pour enfin le lécher du bout de la langue. Elle se penche en avant. Prend appui sur l’accoudoir du divan à l’aide des paumes. J’écarte les fesses pour faire apparaître l’œillet brun, remarquablement froncé.
J’écrase mon visage entre ses fesses. Elle a tellement transpiré de ce côté-là, que son orifice est lubrifié. Son anus a un petit goût amer. Il sent ce qu’il doit sentir. Et j’avoue, une fois de plus que j’aime son odeur. D’ailleurs j’y plonge ma langue avec avidité. Je lèche bien le pourtour. Je parcoure les tries marquées. Je nettoie les poils qui ceinturent le trou. Je pousse ma langue au centre du cratère pour l’enfoncer. Comme à son habitude Odile est dans tous les états.
Son trou de balle s’élargie avec une belle aisance. Je me mets à le bouffer en grognant. J’envoie ma main droite au contact de sa chatte, et enfile deux doigts dans le vagin. Tout en limant son antre, je retire ma langue de son anus. Il est dilaté et béant. Je me lève et fais disparaître mon gland dans l’orifice.
- Entre tout, a-t-elle presque hurlé Odile.
Alors j’ai tout mis. La coquine remue à chaque mouvement. Sa tête balance de droite à gauche. Son cul va au-devant de mes coups de boutoirs pour ingérer mon pénis au maximum.
-Alain, Alain, je, je… ooh !
Une vague de chaleur m’empoigne les reins, tandis que nos deux corps semblent fusionner. Odile gémit tandis que je me déverse en elle, encore et encore. Nous nous retrouvons, bouche contre bouche, ventre contre fesses, à-demi allongés sur le divan. Je bande toujours, mais mon sexe est devenu si sensible que je bouge plus.
Odile se défait, et s’allonge sur le divan. J’en fais de même. Je contemple émerveillé ce corps étendu, offert à mon regard. Odile de son côté lorgne d’un air gourmand cette ma verge qui ne daigne toujours pas baisser la tête. Elle le caresse tout d’abord d’une main distraite, puis, dépose un petit baiser sur le gland rubicond.
Un sourire extasié fleurit sur ses lèvres gourmandes et, ses yeux rivés aux miens, se redresse, m’enjambe et guide ma queue dans son vagin d’un geste des plus naturels. Elle monte et descend, en appui sur ses jambes repliées. Ses mains en coupe caressent les deux collines de sa poitrine qu’elle semble m’offrir, les yeux brillants. Je ne bouge pas, fasciné de voir ma verre apparaître et disparaître, de plus en plus vite. Odile gémit, ralentis le rythme de sa cavalcade. Je sens ses muscles internes se contracter autour de moi, tandis qu’elle jouit.
Je reste en elle, tandis qu’elle s’abat sur mon torse et c’est moi qui prends le relais, la soulevant à demi, je m’enfonce en elle d’une seule poussée puis ressors complètement. Je caresse de mon gland l’entrée de sa chatte serrée et repars à l’assaut. Encore et encore, Odile en redemande, m’embrasse, me mord la langue lorsque de nouveau je me répands en elle.
Nous restons enlacés de longues minutes, silencieux, épuisés.
Alors que je sors du hall, je tombe sur Hervé, le mari.
-Mais dis-moi, me fait-il, toi ici. J’espère que tu ne rends pas une visite à ma femme pendant mon absence.
-Où vas-tu chercher ça Hervé. Je rendais une visite à un ami.
-Un ami dans cette gage d’escalier ! Il n’y vit que des vieux !
Connaissant un peu les locataires, je lui sors un nom à la volé.
- Oui je reconnais qu’il est sympa. Mais dis-moi, il ne se trouve pas en ce moment dans le midi chez son fils ? Par contre il y a sa femme. C’est ça ?
-Non…non !
-Elle n’est pas aussi belle qu’Odile, mais bon !
-Sûr…
-Tu es d’accord avec moi ?
-Oui…
-Tiens, tu la trouves comment ma femme ?
Je garde le silence ne sachant que dire.
-Aller je t’écoute. Je reconnais qu’elle a un certain âge. Mais bon, comme dit le dicton, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Tu n’es pas d’accord avec moi ?
-Oui, peut-être…
-Tiens accompagne-moi jusqu’à la maison.
-C’est que Hervé…
-Monte je te dis.
Bien sûr arrivé chez lui, j’ai salué Odile comme si je ne l’avais pas vue auparavant.
-Tu sais ce qui m’a dit Alain ;
-Non…non… ! Fait Odile.
-Que tu ne le laissais pas indifférent.
-Eh bien si je m’attendais à ça. Surtout venant de la bouche d’un si beau jeune homme comme toi.
-Puisque tu aimes les femmes mûres, tu tombes bien, cette cochonne adore montrer ses fesses aux jeunes hommes. N’est-ce pas Odile ?
- Euh… voyant Hervé…
-Ne dit pas le contraire ma chéri ! Avoue-le !
-Oui, Alain, glousse-t-elle, interloquée.
Les questions d’Hervé n’admettent que des réponses positives de la part de sa femme. Il lui fait même soulever l’ourlet de sa jupe. Odile la remonte au-dessus de son ventre. Son slip m’apparait. Pas celle en soie vue un peu plus. Celle qu’elle porte est brodée de petites fleurs.
- Regarde, Alain, elle est belle sa culotte ?
Sans quitter des yeux les dessous affriolants d’Odile, j’hoche la tête.
- Alors Alain, profites-en, rince-toi l’œil.
Je n’en crois pas ses yeux, ni ses oreilles. Devant mon hésitation, Hervé demande à sa femme de s’exhiber davantage.
- Déboutonne ton chemiser, et montre-lui tes nichons.
-Hervé…
-Quoi Hervé…je suis sûre qu’il demande que ça de reluquer tes mamelles.
Si bien qu’Odile s’exécute, et m’exhibe une fois encore deux obus de chair.
- Tu peux toucher Alain ? Je suis un peu près certain que c’est le souhait d’Odile…N’est-ce pas chéri ?
Poussé à la consommation, j’agace les bouts. Hervé halète, en apercevant mes mains crispées sur les nichons tièdes de sa femme. L’époux m’incite :
- Tu peux les téter, elle aime ça.
Je crois rêver. Sous ses encouragements, je passe de l’un à l’autre. Je salive goulûment sur les tétons dardés. Hervé ne lâche rien, au point de dire :
-La culotte, maintenant chéri. Allez, pas de manière, montre-lui tout.
-Hervé tu exagères… c’est tout de même le fils de…
-Foutaise ! Fais ce que je te dis :
Avec sa fourberie que je lui connais, Odile fait durer le plaisir. Sans cesser de me fixer, les cuisses serrées, elle abaisse l’élastique de son slip sous son nombril puis, soulevant son derrière, le fait glisser à ses genoux.
-Aller Alain, sers-toi ! Lâche-toi bon Dieu…fait Hervé.
Fou de désir, j’ose malgré la présence du mari, de glisser ma main entre les genoux joints d’Odile, entravés par sa culotte. Elle me repousse maladroitement. Hervé la réprimande :
-Quelle sournoise, tu fais ! Écarte les cuisses, idiote, et laisse-toi faire, tu ne vois pas qu’il est excité ? C’est ton jour de chance, chérie.
Incité par le mari, Odile s’ouvre, jusqu’à tendre l’élastique de son slip. Emporté par l’excitation, je lance ma main pour peigner les poils, arrachant un frisson à Odile. Hervé poursuit :
- Montre-lui ton cul !
Elle se couche sur le divan et ramène ses genoux contre sa poitrine, les talons posés à plat sur les coussins.
-Ça te va comme ça ?
Pour toute réponse il me fait signe de toucher. Alors je me mets à palper les chairs moites. Sous l’action de mes doigts, comme plus tôt, son sexe se met à bâiller.
- Ça T’excite Hervé ?
-Tu ne peux pas savoir à quel point !
Je pousse mon doigt dans le vagin mouillé de sa femme. Cette dernière grimace et pousse des soupirs.
Hervé met à l’air sa queue. Il l’encercle de ses doigts et dégage le gland. De son pouce replié, il se masse le bout que l’humidité rend soyeux. Il empaume ses couilles et les serre très fort, déclenchant un hoquet.
- Tu vois dans l’état que je suis… ça grâce à vous !
Odile, les yeux voilés, me fait un sourire.
-Montre-nous la tienne fils… me sollicite Hervé.
Je m’exécute. Odile se penche pour mieux voir.
- Quelle cochonne tu fais, chérie !
-Hervé, un peu de tenue…
-Elle te plaît, sa queue toute jeune, hein ? Alors, suce-la, lui ordonne-t-il.
Pour la forme, elle a un sursaut d’indignation et papillote des paupières.
- Mais… tu sais bien… je n’aime pas ça !
-Ça suffit, fais ce que je te dis ! Je me fiche de ce que tu aimes ou pas !
Alors qu’il fronce les sourcils, Odile insidieuse fait la moue en s’agenouillant sur le tapis du sol. Sa main se referme sur la queue. Elle regarde son mari en grimaçant, mais devant mon expression sévère, elle se penche, résignée, et sa bouche gobe mon gland.
- Allez, pipe-le...
Elle commence lentement. Je suis plus que jamais excité à la vue de ses joues déformées par mon gland. De ma main dans ses cheveux, je lui impose un rythme soutenu. Au bout d’un moment, elle se dégage, comme paniquée. Elle mérite une palme !
- Mais… il va…
Incapable de me contenir, je lui fourre ma queue dans la bouche avant qu’elle est fini sa phrase et l’oblige à continuer jusqu’à ce que j’entende ses cris étouffés, sous les yeux ravis du mari.
- Elle suce bien ma femme ? Me questionne-t-il…
-Oui…
-Ne te prive pas…va jusqu’au bout… m’incite Hervé…
Et je ne m’en prive pas. Les yeux dans le vague, je vacille en râlant. Pour la forme, Odile se redresse, affolée, les joues gonflées, les lèvres brillantes. Elle recrache dans un mouchoir mon plaisir liquide.
-Tu serais capable d’enculer Odile ? Me fait-il, tout en se branlant.
-Je ne sais pas Hervé…
-Essaye… je suis sûr qu’elle n’est pas contre…
-Hervé, voyons… tu vas trop loin à présent…
Il pousse sa femme sur le divan, lui faisant prendre la position adéquat. Elle a l’air à la fois malheureux et excité, et se lèche les lèvres de plus belle.
- C’est vraiment ce que tu veux ? Se plaint-elle d’une voix geignarde. Je le fais parce que c’est toi, tu sais…
Le mari la presse de s’exécuter. Elle proteste encore pour la forme.
-Vas-y gamin… je compte sur toi…
Je guide ma queue.
-C’est bien comme ça que tu veux mon chérie ? Demande-t-elle. Comme ça tu pourras tout voir, ajoute-t-elle.
Et le bout s’enfonce, facilement dans son cul, comme un gros suppositoire. La précédente enculade n’est pas étrangère à cette accessibilité.
-Enfonce-toi bien profond, Alain…
Elle déglutit et lance :
- Mets-la-moi. Hervé n’attend que cela… enfonce-toi, comme… oui…oui comme ça…
Elle râle. Ma queue s’engouffre dans le conduit. Hervé n’en a pas assez. Il aboie un ordre. La femme saisit ses fesses à pleines mains et les écarte, tandis que je ressors ma queue. Fais aller mon gland le long de sa raie. Puis je m’engouffre de nouveau, sans tâtonner, plongeant dans le cul brûlant qui s’ouvre sous mon introduction. Pendant ce temps là Hervé
Se masturbe toujours, les yeux exorbités. Il se branle avec brutalité.
Dans ces conditions il m’est impossible de ne pas jouir.
Après cet épisode, j’ai pris un peu de distance avec le couple. Jusqu’à ce que j’apprenne de la bouche de ma mère le décès d’Hervé. Très affecté par cette disparition, je reste tout de même comblé de lui avoir offert un dernier grand plaisir…
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