Comme un garçon
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Comme un garçon
Cette fille me plaisait.
Elle était grande et costaude, sa démarche un peu country faisait penser à Clint Eastwood dans Pour pour quelques dollars de plus. On était dans un film de Sergio Léone et la musique lancinante de l'harmonica me transportait dans un autre siècle dans un autre pays, loin à l'ouest d'ici.
Son cache-poussière de daim clair sale lui faisait silhouette longiligne et traînait au sol, ouvert sur son poitrail plat de garçon.
Les deux Colt battaient ses hanches et l'on comprenait parfaitement qu'elle saurait s'en servir et les faire exploser pour abattre un éventuel importun de deux coups de feu, chacun léthal.
C'étaient ses cheveux blonds longs qui assumaient le rôle de la dire femelle. Ils volaient derrière sa tête quand elle galopait à travers les plaines.
Mais sitôt qu'on l'approchait on comprenait qu'elle n'était que peu fille et se préférait dans la peau d'un gars, déterminée à atteindre le but sans concession aucune. Quitte à marcher sur les cadavres de ses contradicteurs.
Cette fille aimait la castagne.
Dans l'Ouest, ceci est langage que l'on comprend. Clairement.
Moi, je matais ses épaules larges et le chemisier de coton clair couvrant son devant parfaitement plat et son absence de protubérences nibaresques.
Moi je pensais, cette fille est un garçon. Et ses couilles, ses deux couilles sont les barillets de ses six coups.
Et je me disais, six coups est jolie performance. Saurais-je tenir la distance ?
Elle portait une jupe longue qui habillait ses jambes immensément longues. Quand elle marchait, l'étoffe vrappait la minceur de ses cuisses de reinette. Quand elle chevauchait, l'étoffe pendait de part et d'autre sur les flancs de l'animal et l'on se perdait à imaginer l'effet du cuir de la selle sur son dindon ruisselant et sa languette exacerbée, gland minuscule dégagé frottant en cadence de galop ou de trot, lui procurant les félicités espérées.
Moi, je pensais, saurai-je être maestro et lui donner envie d'être couverte, d'ouvrir les cuisses et de monter ses guiboles au ciel flamboyant du coucher de soleil sur l'Ouest ?
Moi, je pensais, et je lui donnerai tout ce que j'ai à donner. À longues saccades généreuses. Derrière les rochers ocres d'Arch Valley, près de la source d'eaux actives ever back.
Ever back, eaux fluorescentes la nuit, lumineuses, actives de pechblende qui font fondre le cœur des filles en dégorgements suaves et visqueux et accueillants. Pour des enfants à venir un peu décalés, à coup sûr au QI hypertrophié.
Ma bandaison était totale. Déterminée. Et je mis la main à son col pour la choper et la prendre et l'attirer à moi. Et elle est venue, consentante et fluette. Et sa main à elle était déjà à mon paquet serré dans le Lewis Strauss de denim tanné. Empaumante comme propriétaire plus qu'exploratrice. Cette fille était en terrain conquis.
Ni l'un ni l'autre ne parlions. Non plus que nous ne nous regardions. Nos gestes étaient parfaitement éloquents et nous savions l'aboutissement.
Elle a dénoué la bride de son destrier et, un pied à l'étrier et la main à la crinière, s'est élancée pour enfourcher l'animal. À peine en selle elle a battu des talons et a filé dans un nuage de poussière ocre.
Il m'a fallu en précipitation sauter sur ma propre monture pour la poursuivre en direction du canyon où elle s'échappait.
Mon bitos était malmené par ce galop en poursuite et je m'inquiétait de ma capacité à résister à tant de contraintes à tant de frottements dans l'état d'esprit qui était le mien de rattraper cette fille et ses boucles blondes qui flottaient dans le vent.
La rattraper pour la coucher dans les herbes hautes, la trousser et la mettre.
Je savais qu'elle n'attendait que ça. Sa main sur ma bite, sur mes couilles, avait été parfaitement explicite.
Les galops ne durent jamais bien longtemps et les bêtes sont rapidement en sueur exténuées. Sa jument à changé d'allure et je suis arrivé à sa hauteur. Elle a contourné un énorme rocher et, sautant au sol, a noué la bride au tronc d'un arbre.
Je lui ai tendu la main et l'ai happée pour l'asseoir devant moi sur ma propre selle.
Quatre boutons de laiton à défaire et sa jupe à relever et j'étais planté en elle cambrée. Sa figure noyée dans la crinière, ses bras serrant l'encolure, ses cuisses nues crispées sur les flancs suants de l'animal et son cul haut levé tout ouvert à ma visite.
Ma monture restait immobile, en conversation avec son homologue, tandis que je besognais longuement ma conquête.
Tandis que je sentais monter en moi l'aboutissement, elle s'est brusquement dégagée et de deux mains en arrière a ouvert son fondement pour me happer en totalité en son cul. L'étroiture du lieu a déclenché mes giclées et aussi ses félicités à elle comme volonté de me garder en elle à tout jamais.
Tout en apaisement, j'ai passé mes mains sur son buste. Sous la camisole claire il y avait deux tétons durs et saillants mais rien de plus. Rien de rond, rien de mou, rien de tendre à peloter.
Elle m'a dit, au fond, je suis un garçon.
Elle était grande et costaude, sa démarche un peu country faisait penser à Clint Eastwood dans Pour pour quelques dollars de plus. On était dans un film de Sergio Léone et la musique lancinante de l'harmonica me transportait dans un autre siècle dans un autre pays, loin à l'ouest d'ici.
Son cache-poussière de daim clair sale lui faisait silhouette longiligne et traînait au sol, ouvert sur son poitrail plat de garçon.
Les deux Colt battaient ses hanches et l'on comprenait parfaitement qu'elle saurait s'en servir et les faire exploser pour abattre un éventuel importun de deux coups de feu, chacun léthal.
C'étaient ses cheveux blonds longs qui assumaient le rôle de la dire femelle. Ils volaient derrière sa tête quand elle galopait à travers les plaines.
Mais sitôt qu'on l'approchait on comprenait qu'elle n'était que peu fille et se préférait dans la peau d'un gars, déterminée à atteindre le but sans concession aucune. Quitte à marcher sur les cadavres de ses contradicteurs.
Cette fille aimait la castagne.
Dans l'Ouest, ceci est langage que l'on comprend. Clairement.
Moi, je matais ses épaules larges et le chemisier de coton clair couvrant son devant parfaitement plat et son absence de protubérences nibaresques.
Moi je pensais, cette fille est un garçon. Et ses couilles, ses deux couilles sont les barillets de ses six coups.
Et je me disais, six coups est jolie performance. Saurais-je tenir la distance ?
Elle portait une jupe longue qui habillait ses jambes immensément longues. Quand elle marchait, l'étoffe vrappait la minceur de ses cuisses de reinette. Quand elle chevauchait, l'étoffe pendait de part et d'autre sur les flancs de l'animal et l'on se perdait à imaginer l'effet du cuir de la selle sur son dindon ruisselant et sa languette exacerbée, gland minuscule dégagé frottant en cadence de galop ou de trot, lui procurant les félicités espérées.
Moi, je pensais, saurai-je être maestro et lui donner envie d'être couverte, d'ouvrir les cuisses et de monter ses guiboles au ciel flamboyant du coucher de soleil sur l'Ouest ?
Moi, je pensais, et je lui donnerai tout ce que j'ai à donner. À longues saccades généreuses. Derrière les rochers ocres d'Arch Valley, près de la source d'eaux actives ever back.
Ever back, eaux fluorescentes la nuit, lumineuses, actives de pechblende qui font fondre le cœur des filles en dégorgements suaves et visqueux et accueillants. Pour des enfants à venir un peu décalés, à coup sûr au QI hypertrophié.
Ma bandaison était totale. Déterminée. Et je mis la main à son col pour la choper et la prendre et l'attirer à moi. Et elle est venue, consentante et fluette. Et sa main à elle était déjà à mon paquet serré dans le Lewis Strauss de denim tanné. Empaumante comme propriétaire plus qu'exploratrice. Cette fille était en terrain conquis.
Ni l'un ni l'autre ne parlions. Non plus que nous ne nous regardions. Nos gestes étaient parfaitement éloquents et nous savions l'aboutissement.
Elle a dénoué la bride de son destrier et, un pied à l'étrier et la main à la crinière, s'est élancée pour enfourcher l'animal. À peine en selle elle a battu des talons et a filé dans un nuage de poussière ocre.
Il m'a fallu en précipitation sauter sur ma propre monture pour la poursuivre en direction du canyon où elle s'échappait.
Mon bitos était malmené par ce galop en poursuite et je m'inquiétait de ma capacité à résister à tant de contraintes à tant de frottements dans l'état d'esprit qui était le mien de rattraper cette fille et ses boucles blondes qui flottaient dans le vent.
La rattraper pour la coucher dans les herbes hautes, la trousser et la mettre.
Je savais qu'elle n'attendait que ça. Sa main sur ma bite, sur mes couilles, avait été parfaitement explicite.
Les galops ne durent jamais bien longtemps et les bêtes sont rapidement en sueur exténuées. Sa jument à changé d'allure et je suis arrivé à sa hauteur. Elle a contourné un énorme rocher et, sautant au sol, a noué la bride au tronc d'un arbre.
Je lui ai tendu la main et l'ai happée pour l'asseoir devant moi sur ma propre selle.
Quatre boutons de laiton à défaire et sa jupe à relever et j'étais planté en elle cambrée. Sa figure noyée dans la crinière, ses bras serrant l'encolure, ses cuisses nues crispées sur les flancs suants de l'animal et son cul haut levé tout ouvert à ma visite.
Ma monture restait immobile, en conversation avec son homologue, tandis que je besognais longuement ma conquête.
Tandis que je sentais monter en moi l'aboutissement, elle s'est brusquement dégagée et de deux mains en arrière a ouvert son fondement pour me happer en totalité en son cul. L'étroiture du lieu a déclenché mes giclées et aussi ses félicités à elle comme volonté de me garder en elle à tout jamais.
Tout en apaisement, j'ai passé mes mains sur son buste. Sous la camisole claire il y avait deux tétons durs et saillants mais rien de plus. Rien de rond, rien de mou, rien de tendre à peloter.
Elle m'a dit, au fond, je suis un garçon.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe, j'entends la musique ;-)
MaîtreChat
MaîtreChat