Comment Eliane devint une salope
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment Eliane devint une salope
Elle n'avait pas une vie difficile, on pouvait même qualifier sa vie de confortable; mais sa vie était terne, insipide, sans saveur. Parfois elle se demandait si elle existait, si elle n'était pas invisible. A son travail, derrière son ordinateur, elle n'avait aucun contact. Depuis longtemps ses voisins ne lui adressaient plus la parole, il est vrai que perdue dans ses programmes sur son téléphone portable au début elle ne leur répondait pas,alors ils avaient cessé de la saluer. Dans les commerces alimentaires elle se servait dans les rayons et payait avec sa carte bleue.
Puis un jour, un accident, renversée par une voiture, transportée à l'hôpital, elle venait de se réveiller après une opération qui semblait s'être bien passée.
Mais là, tout était différent, tout le monde lui demandait comment elle allait, un infirmier lui refaisait tous les jours son pensement sur son fémur. Elle portait une sorte de chemise longue de l'hôpital et se savait entièrement nue dessous. Il était dans l'obligation de retrousser cette chemise et avait donc une vue directe sur son sexe, et elle en était excitée!
Elle sentait ses petites lèvres s'humidifier, et dès la fin des soins elle ne pouvait s'empêcher de se caresser le clitoris.
L'autre moment d'excitation était la toilette. Une aide soignante venait la laver avec un gant de toilette, elle lui ôtait la grande chemise, et elle se retrouvait entièrement nue. L'aide soignante lui abandonnait le gant de toilette pour les zones intimes, et excitée, elle se branlait avant de se rincer la chatte.
L'élément déclencheur avait peut être été le brancardier. Pour aller aux toilettes elle devait sonner, un brancardier venait et l'aidait à faire son transfert sur son fauteuil roulant. Avec celui ci il la conduisait à la salle de bain, lui demandait de retrousser sa chemise, et du fauteuil l'aidait à passer sur la cuvette des WC.
Le fait de retrousser la chemise et donc de montrer son bassin, ses fesses et son sexe à cet inconnu la troublait, le fait aussi que dans toutes ces manipulations il lui effleurait souvent les seins l'excitait. Elle qui avait une vie sexuelle vide se prenait à souhaiter tous ces instants. Et de retour dans son lit, elle se branlait.
Un matin l'infirmier lui annonça "on va enlever un point sur deux, et le kiné va commencer à intervenir".
Pour retirer les points il eut besoin de déposer un récipient en forme de haricot entre ses cuisses, elle avait donc les jambes écartées, il était très méticuleux, très doux, et elle sentait son entre jambe s'humidifier et son clitoris se durcir. Pour se calmer elle se disait "des chattes il en voit tous les jours, il n'y fait même plus attention", mais dès le dernier point posé dans le récipient elle eut l'impression d'avoir un orgasme. Devant l'intensité de son soupir l'infirmier lui dit "voilà, c'est fini, vous n'avez pas eu trop mal?" Elle lui fit non de la tête, incapable d'articuler quelque chose de cohérent. Mais dès que l'infirmier fut reparti avec son matériel, une fois le drap remonté elle termina de se branler à la main, et là, aucun doute, elle se fit jouir.
A partir de ce jour, pour tous ses transferts du lit au fauteuil et du fauteuil à la cuvette des WC, lorsque le brancardier lui passait les mains sous les aisselles pour l'aider, elle lui saisissait les poignets pour poser les mains sur ses seins. C'est donc avec ses avants bras sous les aisselles qu'il l'aidait au transfert tout en lui malaxant sa poitrine (qui était ferme et généreuse). Et de retour dans le lit elle se masturbait de nouveau, et presqu'à chaque fois elle obtenait un orgasme.
Puis vint le kiné qui lui fit faire ses premiers mouvements en restant couchée. Il s'étonna de l'absence de sous-vêtements et elle lui dit que les pompiers avaient dû lui couper son jean's et sa culotte pour la mener aux urgences.
Elle fit donc ses premiers mouvements de pédalage dans le vide la chatte à l'air. Et c'est hyper excitée qu'elle termina sa séance, alors elle sonna le brancardier pour être conduite aux toilettes. L'homme habitué aux caprices de cette femme lui caressa généreusement les seins. Arrivés aux toilettes, le transfert sur la cuvette effectuée, elle lui dit "restez!" et elle se masturba en le regardant dans les yeux. L'homme ne résista pas longtemps et sortit son sexe en érection pour se branler devant son visage. Sans hésiter elle le prit dans sa bouche, mais n'ayant aucune pratique de la fellation elle s'avéra maladroite. Alors c'est lui qui, lui tenant la tête à deux mains, lui baisa la bouche avec des mouvements du bassin. Elle savait qu'il y allait avoir une éjaculation, mais elle ne s'attendait pas à la quantité, elle en avala la plus grande partie mais quelques gouttes coulèrent sur le menton.
Puis ce furent les derniers points qui lui furent retirés. Elle était un peu triste de savoir qu'elle ne montrerait plus sa chatte à l'infirmier. Aussi elle sonna le brancardier, et après la fellation elle lui dit "branles moi!" Et le brancardier, après l'avoir remise sur son fauteuil, la branla avec un, puis deux doigts.
Et c'est ainsi qu'elle s'offrit cinq à six orgasmes par vingt-quatre heures.
Les radios étaient favorables, elle put se déplacer avec un déambulateur, puis avec des cannes anglaises. N'ayant aucune famille qui pouvait lui apporter des vêtements elle se fit livrer des vêtements via internet.
Des chemisiers dont les décolletés prouvaient l'absence de soutien gorge, et des jupes, toutes mini, certaines hyper moulantes et laissant apparaitre le pli fessier, d'autres plissées que le moindre courant d'air pouvait faire voleter découvrant facilement la totalité des fesses. Elle avait consenti à acheter des strings, les médecins lui ayant indiqué que la longueur de ses jupes et la présence de cardiaques dans l'hôpital ne pouvait la dispenser de tout sous-vêtements.
Et c'est ainsi qu'elle quitta l'hôpital en mini jupe appuyée sur des cannes anglaises. Le VSL la déposa devant chez elle, comme elle ne pouvait porter son sac de linge à cause de ses béquilles elle attendit qu'un de ses voisins arrive, ce fut lui qui lui proposa son aide, elle accepta très volontier, c'était le voisin de l'étage au-dessus du sien. Il s'arrêta donc pour l'aider à ouvrir sa porte, ramasser le courrier glissé dessous pendant son absence.
Elle fit semblant de perdre l'équilibre, il la rattrapa par la taille. Elle lui murmura "embrassez moi", ce qu'il fit avec beaucoup de sensualité. Elle n'eut pas besoin de lui dire "baisez moi", il la baisa à plusieurs reprises et dans plusieurs positions.
Il la quitta en lui promettant de repasser dans la journée, elle s'installa dans un fauteuil en se disant que l'accident n'était pas une catastrophe et que la vie avait un goût agréable.
Puis un jour, un accident, renversée par une voiture, transportée à l'hôpital, elle venait de se réveiller après une opération qui semblait s'être bien passée.
Mais là, tout était différent, tout le monde lui demandait comment elle allait, un infirmier lui refaisait tous les jours son pensement sur son fémur. Elle portait une sorte de chemise longue de l'hôpital et se savait entièrement nue dessous. Il était dans l'obligation de retrousser cette chemise et avait donc une vue directe sur son sexe, et elle en était excitée!
Elle sentait ses petites lèvres s'humidifier, et dès la fin des soins elle ne pouvait s'empêcher de se caresser le clitoris.
L'autre moment d'excitation était la toilette. Une aide soignante venait la laver avec un gant de toilette, elle lui ôtait la grande chemise, et elle se retrouvait entièrement nue. L'aide soignante lui abandonnait le gant de toilette pour les zones intimes, et excitée, elle se branlait avant de se rincer la chatte.
L'élément déclencheur avait peut être été le brancardier. Pour aller aux toilettes elle devait sonner, un brancardier venait et l'aidait à faire son transfert sur son fauteuil roulant. Avec celui ci il la conduisait à la salle de bain, lui demandait de retrousser sa chemise, et du fauteuil l'aidait à passer sur la cuvette des WC.
Le fait de retrousser la chemise et donc de montrer son bassin, ses fesses et son sexe à cet inconnu la troublait, le fait aussi que dans toutes ces manipulations il lui effleurait souvent les seins l'excitait. Elle qui avait une vie sexuelle vide se prenait à souhaiter tous ces instants. Et de retour dans son lit, elle se branlait.
Un matin l'infirmier lui annonça "on va enlever un point sur deux, et le kiné va commencer à intervenir".
Pour retirer les points il eut besoin de déposer un récipient en forme de haricot entre ses cuisses, elle avait donc les jambes écartées, il était très méticuleux, très doux, et elle sentait son entre jambe s'humidifier et son clitoris se durcir. Pour se calmer elle se disait "des chattes il en voit tous les jours, il n'y fait même plus attention", mais dès le dernier point posé dans le récipient elle eut l'impression d'avoir un orgasme. Devant l'intensité de son soupir l'infirmier lui dit "voilà, c'est fini, vous n'avez pas eu trop mal?" Elle lui fit non de la tête, incapable d'articuler quelque chose de cohérent. Mais dès que l'infirmier fut reparti avec son matériel, une fois le drap remonté elle termina de se branler à la main, et là, aucun doute, elle se fit jouir.
A partir de ce jour, pour tous ses transferts du lit au fauteuil et du fauteuil à la cuvette des WC, lorsque le brancardier lui passait les mains sous les aisselles pour l'aider, elle lui saisissait les poignets pour poser les mains sur ses seins. C'est donc avec ses avants bras sous les aisselles qu'il l'aidait au transfert tout en lui malaxant sa poitrine (qui était ferme et généreuse). Et de retour dans le lit elle se masturbait de nouveau, et presqu'à chaque fois elle obtenait un orgasme.
Puis vint le kiné qui lui fit faire ses premiers mouvements en restant couchée. Il s'étonna de l'absence de sous-vêtements et elle lui dit que les pompiers avaient dû lui couper son jean's et sa culotte pour la mener aux urgences.
Elle fit donc ses premiers mouvements de pédalage dans le vide la chatte à l'air. Et c'est hyper excitée qu'elle termina sa séance, alors elle sonna le brancardier pour être conduite aux toilettes. L'homme habitué aux caprices de cette femme lui caressa généreusement les seins. Arrivés aux toilettes, le transfert sur la cuvette effectuée, elle lui dit "restez!" et elle se masturba en le regardant dans les yeux. L'homme ne résista pas longtemps et sortit son sexe en érection pour se branler devant son visage. Sans hésiter elle le prit dans sa bouche, mais n'ayant aucune pratique de la fellation elle s'avéra maladroite. Alors c'est lui qui, lui tenant la tête à deux mains, lui baisa la bouche avec des mouvements du bassin. Elle savait qu'il y allait avoir une éjaculation, mais elle ne s'attendait pas à la quantité, elle en avala la plus grande partie mais quelques gouttes coulèrent sur le menton.
Puis ce furent les derniers points qui lui furent retirés. Elle était un peu triste de savoir qu'elle ne montrerait plus sa chatte à l'infirmier. Aussi elle sonna le brancardier, et après la fellation elle lui dit "branles moi!" Et le brancardier, après l'avoir remise sur son fauteuil, la branla avec un, puis deux doigts.
Et c'est ainsi qu'elle s'offrit cinq à six orgasmes par vingt-quatre heures.
Les radios étaient favorables, elle put se déplacer avec un déambulateur, puis avec des cannes anglaises. N'ayant aucune famille qui pouvait lui apporter des vêtements elle se fit livrer des vêtements via internet.
Des chemisiers dont les décolletés prouvaient l'absence de soutien gorge, et des jupes, toutes mini, certaines hyper moulantes et laissant apparaitre le pli fessier, d'autres plissées que le moindre courant d'air pouvait faire voleter découvrant facilement la totalité des fesses. Elle avait consenti à acheter des strings, les médecins lui ayant indiqué que la longueur de ses jupes et la présence de cardiaques dans l'hôpital ne pouvait la dispenser de tout sous-vêtements.
Et c'est ainsi qu'elle quitta l'hôpital en mini jupe appuyée sur des cannes anglaises. Le VSL la déposa devant chez elle, comme elle ne pouvait porter son sac de linge à cause de ses béquilles elle attendit qu'un de ses voisins arrive, ce fut lui qui lui proposa son aide, elle accepta très volontier, c'était le voisin de l'étage au-dessus du sien. Il s'arrêta donc pour l'aider à ouvrir sa porte, ramasser le courrier glissé dessous pendant son absence.
Elle fit semblant de perdre l'équilibre, il la rattrapa par la taille. Elle lui murmura "embrassez moi", ce qu'il fit avec beaucoup de sensualité. Elle n'eut pas besoin de lui dire "baisez moi", il la baisa à plusieurs reprises et dans plusieurs positions.
Il la quitta en lui promettant de repasser dans la journée, elle s'installa dans un fauteuil en se disant que l'accident n'était pas une catastrophe et que la vie avait un goût agréable.
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