Comment Francesca et Sarah se réconcilièrent... presque.
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2016 dans la catégorie Plus on est
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Comment Francesca et Sarah se réconcilièrent... presque.
Bonjour à tous et à toutes, désolé d'avoir mis tant de temps à écrire cette histoire, mais ces derniers temps, j'ai eu très peu de temps pour moi, et cette histoire est longue, j'ai donc eu du mal à faire vite. J'espère que vous apprécierez ce récit !
Un jeudi matin, le premier du mois d'Octobre, alors que j'étais en cours, je reçus un SMS. En sentant mon portable vibrer, j'eus un frisson d'espoir : j'espérais que ce serait Francesca. En effet, depuis vendredi dernier, j'avais beau envoyer SMS sur SMS à la belle italienne, elle ne me répondait pas. Elle devait sans aucun doute me faire la tête : vendredi dernier, je m'étais envoyé en l'air avec sa voisine, Sarah, et dans le feu de l'action, cette dernière m'avait obligé à traiter Francesca de pute, ce que l'italienne avait entendu. Depuis, j'avais beau avoir envoyé au moins vingt fois mes excuses, Francesca ne me répondait pas.
Voilà pourquoi, lorsque mon portable vibra, je le sortis avec un soupçon de frénésie, espérant que ce serait Francesca qui me disait qu'elle acceptait mes excuses. Je ne pus m'empêcher d'être un peu déçu en voyant que c'était Sarah.
« Salut ! Me disait elle dans son message. Ca te dit de venir chez moi ce soir ? J'ai une petite revanche à prendre sur toi il me semble... »
En temps normal, cette proposition m'aurait excité au plus haut point : Sarah était une vraie bombe, de taille moyenne, un beau visage, une poitrine alléchante (95c), des fesses à tomber, elle avait tout ce qu'il fallait pour ravir un homme, d'autant plus qu'elle savait utiliser ses charmes, et était terriblement douée au lit. L'idée de passer dans son lit m'aurait donc normalement réjoui.
Seulement, depuis un mois, Francesca et Sarah se livraient une vraie guerre de voisinage, chacune s'amusant à s'envoyer en l'air le plus bruyamment possible pour faire enrager l'autre. C'était en baisant avec moi que Francesca avait déclenché (sans le vouloir) les hostilités, Sarah avait ensuite « répliqué » par une bruyante et délicieuse partie de jambe en l'air, et ainsi de suite? Dans ce délicieux conflit, j'étais une arme utilisée par les deux belles pour faire enrager l'autre, jusqu'à vendredi dernier, où Sarah m'avait obligé en plein acte à traiter Francesca de pute? Et j'avais la nette impression que cette fois, les choses étaient allées trop loin, alors je n'avais plus très envie de prolonger ce conflit? Je répondis donc à Sarah :
« Ecoute, écrivis-je, moi je demande pas mieux que de m'envoyer en l'air avec toi, mais je me sens gêné pour Francesca, j'ai l'impression qu'elle me fait la gueule depuis la dernière fois, alors je préférerais qu'on s'abstienne de la provoquer cette fois? »
La réponse ne se fit pas attendre :
« En fait quand je te parle de « chez moi », je veux dire chez moi dans ma maison, pas dans ma chambre étudiante. Y a personne chez moi ce soir, donc autant en profiter pour faire autant de bruit qu'on veut non ?:D »
Je frissonnai de joie : ça faisait six jours que j'essayais de me réconcilier avec Francesca, sans succès. Me défouler sur Sarah paraissait un excellent remède à la frustration que j'éprouvais ! J'acceptai donc son invitation avec enthousiasme, et passai le reste de la journée à attendre le soir avec une impatience grandissante.
Après les cours, je pris le train, et après un long trajet, je descendis à la gare que Sarah m'avait indiquée. Le trajet avait été long, pas étonnant qu'elle ait pris une chambre étudiante à deux pas du campus !
Sarah m'attendait devant la gare, malgré la fraîcheur du soir d'octobre, elle était vêtue d'un t-shirt gris, et d'un jean, assez moulants tous les deux, et je me sentis encore plus excité à la voir comme ça? Elle avait attaché ses longs cheveux en chignon, ce qui dégageait son beau visage, et ses yeux marrons m'observaient, avec impatience eux aussi? La soirée s'annonçait très épicée !
« C'était long ! Dit elle d'un ton boudeur. »
« Désolé, c'est pas ma faute si t'habites à l'autre bout du monde... »
Nous nous mîmes en marche vers sa maison qui était au bout de la rue. Sarah répliqua :
« Ouais bah pas le choix : j'ai fait une trêve avec Francesca, alors maintenant c'est chez moi ou chez toi qu'on fera nos galipettes?. »
« Ah vous avez fait une trêve Francesca et toi ? »
« Oui, on a décidé d'enterrer la hache de guerre? Mais par contre, avec toi je suis toujours en guerre : je compte bien te faire payer ce que tu m'as fait la dernière fois ! »
« C'est ce qu'on verra? lui répondis-je provocateur. »
Sarah avait un tempérament dominateur, la dernière fois, elle avait cherché à me soumettre? et c'était elle qui avait fini soumise. J'avais même été jusqu'à la sodomiser. Pas étonnant donc qu'elle ait des envies de revanche, mais je l'attendais de pied ferme? D'autant que moi aussi j'avais des comptes à régler avec elle... »
Nous entrâmes dans sa maison, une sympathique petite demeure, que je n'avais cependant pas envie de visiter... Aussitôt entré, je demandais :
« Où est ta chambre ? »
Sarah eut un sourire narquois :
« Tu as hâte de te faire corriger ? Ma chambre est à l'étage, viens avec moi. »
Elle m'entraîna dans les escaliers, et je la suivis jusqu'au palier.
« Tu te fais des idées tu sais ? Lui répondis-je. Je vais encore une fois te prendre comme j'en ai envie, tu vas prendre sacrément cher, crois moi ! »
Arrivée devant la porte de sa chambre, elle se retourna et me dit d'un ton doucereux :
« Non, là je suis sure de moi : j'ai amené du renfort... »
Elle ouvrit la porte, et entra dans sa chambre. Je la suivis, intrigué, et compris aussitôt de quoi elle parlait : sur le lit, se trouvait Francesca. Elle était vêtue d'un débardeur blanc qui mettait en valeur sa belle poitrine (90c), et d'un jean moulant. Ses cheveux noirs bouclés encadraient parfaitement son merveilleux visage, ses yeux marrons plus sombres que ceux de Sarah m'observaient avec intensité, tandis qu'elle souriait de sa bouche pulpeuse qui donnait tellement d'idées?
« Qu'est ce que tu fais là ? Demandai-je surpris. »
Elle me répondit avec son accent italien si craquant :
« Eh bien avec Sarah on a discuté, et on est tombées d'accord pour dire qu'il fallait qu'on arrête de se chamailler comme on le faisait. »
« Et surtout, renchérit Sarah, on est tombées d'accord pour dire que ce qui était arrivé n'était pas notre faute. »
« Oui, poursuivit Francesca. On a décidé que le coupable? c'était toi. »
« Et c'est donc toi qui vas être puni, conclut Sarah avec un sourie diabolique. »
Je restai un moment muet et stupéfait. La situation prenait un tournant complètement inattendu, et je n'osais croire ce qu'elles me proposaient. Je répliquai alors pour me donner une contenance :
« Et pourquoi votre guerre de voisinage serait de ma faute ? Je n'ai été qu'un outil, je n'y suis pour rien. »
Sarah secoua la tête.
« Non. On en a discuté, et on est arrivées à la conclusion que c'était de ta faute. T'es pas là pour te défendre, mais pour te faire corriger. »
Il n'y avait pas vraiment de justice là dedans, mais honnêtement je ne me souciai pas beaucoup de plaider mon innocence? Ce qui m'intéressait surtout, c'était de savoir si elles me proposaient bien ce que je pensais qu'elles me proposaient : je n'osais imaginer me faire baiser par ces deux magnifiques créatures en même temps. J'étais indécis, et dans un grand état de fébrilité : j'avais besoin de savoir si j'allais être mangé à une sauce si délicieuse. D'un ton provocateur je répliquai :
« Et vous croyez vraiment que vous arriverez à me punir ? »
Francesca eut un léger sourire :
« Au cas où tu saurais pas compter, on est deux contre un? Je crois pas que tu puisses échapper à ta punition... »
Je retins à grande peine un frisson d'excitation : il allait bien se passer ce que je n'aurais jamais imaginé, j'allais bel et bien vivre un plan à trois avec Francesca et Sarah.
Comme si tout était dit, Francesca se leva du lit, et s'approcha de moi. Avec Sarah, elles m'attrapèrent par le pantalon, et me jetèrent sur le lit. Mon pouls battait très fort, et je sentais mon corps entier s'embraser sous l'effet de l'excitation. Debout devant le lit où j'étais étalé, les deux belles me toisaient d'un air supérieur. Sarah dit :
« Maintenant regarde tes deux maîtresses se donner du plaisir, et ne bouge pas. »
Sur ce, elle se tourna vers Francesca, lui attrapa doucement le menton, et langoureusement, l'embrassa à pleine bouche. Francesca lui rendit son baiser avec passion, et les deux belles se mirent à s'embrasser sur un tempo très rapide, comme si elles cherchaient à s'entre dévorer. Sarah tenait fermement la tête de Francesca, tandis que celle ci avait enroulé ses bras autour de la française, et la serrait contre elle autant que possible. Difficile de croire que moins d'une semaine plus tôt, elles ne pouvaient pas se sentir ! Quant à moi, j'étais bouche bée devant ce spectacle à couper le souffle. Je ne pus rester inactif plus longtemps, j'avais envie de participer, et surtout, je n'étais pas disposé à me laisser soumettre sans résister.
Je vins derrière Sarah, et me collai à son dos, lui embrassant la nuque avec passion. Surprises, les deux belles se lâchèrent, et je pus enlacer Sarah à ma guise, la collant contre moi. Je l'enserrai alors, et me mis à masser sa poitrine avec vigueur tout en continuant à lui dévorer la nuque. Sarah se mit à gémir, et je redoublai l'intensité de mon massage. Puis, aussi soudainement que j'avais commencé, je m'arrêtai, et la jetai sur le lit. Je lui dis avec négligence :
« Je m'occuperai de toi après, pour l'instant à la suivante ! »
J'avais dit ces derniers mots en regardant Francesca, et je vis briller dans ses yeux une petite lueur d'excitation. Visiblement, elle aimait me voir prendre les choses en mains. Je la tirai par la ceinture de son jean, et la collai contre moi. Tout en la tenant par les hanches, je l'embrassai avec passion, lui faisant perdre le souffle. Après quoi, je la poussai sur le lit, pour qu'elle y rejoigne Sarah. Les deux étaient sur le lit, comme offertes à ma personne sur un plateau? J'eus cependant un bref instant d'hésitation : par laquelle devais je « attaquer » ? Sarah avait un tempérament très dominateur, et si je ne la calmais pas très vite, les choses allaient déraper? D'un autre côté, Francesca pouvait se transformer en véritable tigresse lorsqu'elle était excitée, et si je m'occupais de Sarah en la laissant toute seule, c'est ce qui risquait de se passer? Pendant quelques secondes, j'hésitais donc, car je ne savais pas sur qui me jeter.
Ce bref instant d'hésitation me « coûta cher », si l'on peut dire. Francesca m'attrapa soudainement par le pantalon, et me fit tomber sur le lit, m'étalant de tout mon long. Pendant que Sarah venait derrière moi, et me tenait les mains, Francesca s'installait sur moi, un sourire coquin aux lèvres. La belle italienne recommença à m'embrasser, mais cette fois ci, je ne pouvais la toucher : Sarah me tenait fermement par les poignets, et sa comparse italienne en profitait pour prendre possession de mes lèvres, de mon cou, et d'un peu près tout mon visage sans que je puisse répliquer. Elle me regardait droit dans les yeux, et me souriait d'un air narquois, se réjouissant de mon impuissance. Un léger sentiment de découragement me prenait : je ne voyais pas comment reprendre le dessus.
Pendant que je me décourageais, Francesca s'affairait à retirer mon pantalon, tandis que Sarah m'embrassait doucement par au-dessus. Lorsque Francesca m'eut enlevé le pantalon, je vis soudain une occasion de reprendre le dessus. Je saisis l'italienne avec mes jambes, et l'emprisonna dans mon étreinte. En même temps, je tirai Sarah par les cheveux, et l'obligeais à se dégager de ma bouche. Alors, je me dégageai et renversai Francesca m'installant à califourchon sur elle. Puis, tenant Sarah par les cheveux d'une main, par le t-shirt de l'autre main, je l'obligeai à s'allonger à côté de sa complice. Les deux se débattirent furieusement, mais Francesca était prisonnière de mon poids, et ne pouvait pas faire grand-chose. Quant à Sarah, elle fut un peu plus difficile à étaler, mais tenue par les cheveux, elle ne pouvait pas beaucoup se débattre et à la force des bras, je parvins à l'allonger de force aux côtés de Francesca . Je la maintenais d'une main, posée sur sa poitrine. Je pris une ou deux secondes pour savourer le résultat : elles étaient toutes les deux sous moi, à ma merci, je prenais l'ascendant !
Je savais que si je m'occupai de seulement l'une des deux, l'autre en profiterait pour essayer de me soumettre. Je leur ordonnai donc du ton le plus autoritaire que je pouvais :
« Embrassez vous toutes les deux ! »
Francesca tourna aussitôt la tête vers Sarah, prête à s'exécuter, mais Sarah, me regardant d'un air de défi répondit :
« Et si je refuse ? »
« Fais pas la bête, répliqua-je, tu sais très bien que t'en as envie. Ici c'est moi le chef, si tu fais pas ce que je dis, je ne baiserai que Francesca pendant que toi tu te contenteras de nous mâter? C'est ça que tu veux ? »
Je laissai ma menace planer un moment. Je vis Sarah réfléchir un temps, sa fierté combattant son désir, mais finalement, elle se résigna. Elle prit Francesca par la nuque, et toutes deux partagèrent un délicieux baiser. Couchées sur le côté, elles s'embrassaient à pleine bouche, avec passion et sauvagerie. Mais elles n'étaient pas libres de leurs mouvements, car je ne me contentais pas d'observer cette merveilleuse scène, je la contrôlais. Je les tenais par la nuque et par les cheveux, et c'est moi qui décidais laquelle des deux donnait le ton du baiser, et je m'amusais à alterner, donnant parfois l'avantage à Francesca, parfois à Sarah. C'est moi aussi qui décidais du rythme et de l'intensité de leur baiser. Lorsque l'une menait le rythme du baiser (c'était souvent Sarah), je lui tirais les cheveux d'une main, et de l'autre pressait la deuxième, l'encourageant à intensifier son baiser. Lorsque le rythme était trop lent à mon goût, je les pressais l'une contre l'autre, les tenant par la nuque, lorsqu'elles allaient trop vite et que je souhaitais les voir ralentir, je les tirais par les cheveux pour leur faire comprendre qu'elles devaient aller moins vite. J'étais on ne peut plus satisfait : j'avais le contrôle total sur ces deux bombes, c'est moi qui tirais les ficelles ! Je savais toutefois qu'à la première occasion, elles pouvaient très bien se retourner contre moi et chercher à me soumettre. Je me faisais l'impression d'un dompteur, entrain de dresser deux panthères et qui savait qu'au moindre faux pas, les choses pouvaient déraper?
Je me méfiais surtout de Sarah : c'était elle qui supportait le moins ma prise de contrôle, et je savais qu'elle se révolterait à la première occasion. Francesca elle supporterait beaucoup mieux que je dirige les préliminaires, mais je savais que pendant l'acte, au plus fort de l'excitation et du plaisir, elle deviendrait tout aussi (voire plus) difficile à contrôler?
Je décidai donc de passer à une position qui me permettrait de neutraliser Sarah à coup sur. J'interrompis leur baiser, les séparant en les tirant toutes les deux par les cheveux. Francesca eut un petit sourire devant ma sauvagerie, mais Sarah elle eut l'air de vouloir reprendre le dessus. Seulement, je la tenais fermement.
« Mesdemoiselles, on va passer à la vitesse supérieure. »
Toujours au dessus de Sarah, je fis signe à Francesca de me rejoindre, et l'installai à califourchon sur sa complice, moi, serrant l'italienne par derrière. Je la saisis par la nuque, et la forçai à embrasser Sarah, ce qu'elle fit avec grand plaisir. Les deux belles recommencèrent à s'embrasser avec une passion nouvelle. Comme tout à l'heure, c'est moi qui dirigeais, me servant de Francesca comme d'une marionnette. Elle embrassait Sarah là où je le voulais, avec le rythme et l'intensité que je voulais. Après qu'elles aient partagé une baiser passionné, je fis descendre Francesca sur le cou de Sarah qu'elle embrassa avec avidité. De même, c'est moi qui mis les mains de Francesca sur la poitrine de sa complice, et lui fis comprendre qu'elle devait les masser, ce qu'elle fit sans se faire prier. Sarah haletait, gémissait et se tordait de plaisir. Par dessus la tête de Francesca, je toisai Sarah d'un air supérieur et lui dis :
« Eh bien ? Je croyais que vous alliez me punir ? Visiblement même à deux vous êtes incapables de me soumettre, la prochaine fois, mettez vous y à trois ou quatre ! »
Les deux belles étaient incapables de me répondre, l'une trop occupée à embrasser avec passion l'autre, qui ne pouvait que gémir son plaisir. Dans cette position, aucune des deux ne pouvait se révolter, j'en étais ravi. Toutefois, les préliminaires n'avaient que trop duré, j'étais collé aux fesses bien rondes de Francesca, et ce contact, plus le spectacle qui s'offrait à mes yeux, plus l'excitation de tout contrôler rendait mon sexe si tendu que ça en devenait douloureux.
Je renversai Francesca, et la fis s'allonger sur le dos. Tenant fermement Sarah par les poignets, je la fis se mettre au dessus de sa complice italienne. Elle se débattit et refusa de s'exécuter, mais je le tenais fermement et c'est par la force que je la fis s'exécuter. Je l'installai à califourchon sur Francesca. Puis, d'un ton autoritaire je lui ordonnai :
« Maintenant déshabille ta copine. »
« Et si je refuse ? Dit Sarah sur ton de défi. »
« Arrête de vouloir te rebeller, répliquai-je. Ta copine t'a lâché, elle a pas envie de me dominer, tout ce qu'elle veut c'est se faire baiser, et elle sait que ça sera mieux avec moi au commande? T'es toute seule, t'as déjà perdu, alors soit tu m'obéis, soit je t'attache dans un coin pendant que je baise Francesca sous ton nez? A toi de choisir. »
Une fois de plus, Sarah parut hésiter entre son désir et sa fierté, mais elle choisit son désir. Elle saisit le débardeur de Francesca et le retira, avant d'embrasser goulûment le corps de l'italienne, léchant son buste et son ventre plat. Pendant ce temps, je retirai son t-shirt, et massai ses volumineux seins encore retenus par son soutif, tout en lui embrassant la nuque. Après quoi je m'attaquai à son jean, tandis que Sarah faisait de même avec celui de Francesca. Je retirai mon t-shirt, et ainsi, nous fûmes tous trois en sous-vêtement. Je retirai le shorty de Sarah, et la pénétrai d'un coup vigoureux, lui arrachant un petit gémissement. Je me mis ensuite à la baiser sauvagement en levrette, allant d'avant en arrière à un grand rythme, tandis que Francesca et elle s'embrassaient passionnément. Décidé à dompter Sarah, je n'hésitais pas à lui tirer les cheveux, à lui claquer les fesses, ou encore à lui tenir les bras, afin de bien lui faire comprendre qui était le patron. Francesca en profitait pour l'embrasser avec d'autant plus de passion, ainsi, Sarah était baisée par nous deux. La « pauvre » gémissait et se tortillait de plaisir, mais elle semblait bien incapable de reprendre le dessus. Je m'imposais comme le maître de la situation. Lorsque je sentis Sarah bien assommée par le plaisir, je ralentis le rythme, laissant les deux belles s'entre dévorer avec passion. Sarah avait retiré le soutif de Francesca, et lui embrassait les seins avec avidité, tandis que l'italienne lui maintenait la tête dans sa poitrine. Cette vision m'excita au plus haut point, et je me remis à baiser Sarah sauvagement, la limant avec vigueur. La tête enfouie dans les seins de Francesca, elle gémit très fort, tandis que Francesca me souriait d'un air encourageant. Je me dis alors que la levrette avait suffisamment duré, et décidai de changer de position.
Je pensais pénétrer Francesca cette fois, mais alors que je sortis de Sarah, celle si retourna, et chercha à me renverser : elle n'était toujours pas mâtée. Je lui saisis les poignets, et la plaquai contre le matelas. Elle se débattit un peu, mais je la tenais fermement. Francesca n'avait pas fait un geste, ni pour aider Sarah, ni pour m'aider moi. Visiblement, elle n'avait pas l'intention de prendre parti. En attendant, Sarah était maîtrisée, mais pas définitivement domptée, la levrette n'avait pas suffi à la calmer.
Je fis signe à Francesca de venir s'installer sur Sarah. Elle se mit à califourchon sur le visage de la belle, comme pour faire un 69, sauf que seule Sarah léchait Francesca. Moi pendant ce temps, je pénétrai à nouveau Sarah, et lui relevant les jambes, je la baisai en enclume.
Une fois de plus, je la baisais le plus sauvagement possible, mon but était de l'assommer afin qu'elle ne se révolte plus. Francesca pendant ce temps se faisait lécher, et gémissait en se tortillant, comme si elle était sur des charbons ardents. Tout en démontant Sarah, je regardai Francesca droit dans les yeux, et de temps en temps, elle se penchait vers moi pour m'embrasser. Tout en baisant Sarah avec de plus en plus de sauvagerie, j'embrassai les seins de Francesca, admirant leur rondeur et leur fermeté. J'accélérais progressivement le rythme, me mettant à la pilonner presque violemment. Francesca pendant ce temps dansait sur son visage de plus en vite, gémissant à pleine voix. Rapidement, je sentis que Sarah était en proie à un grand plaisir, son corps se raidissait, et elle frissonnait régulièrement. Je compris qu'elle était proche de l'orgasme, et me mis à accélérer encore le rythme, la baisant avec une passion accrue. Mes coups de reins m'emmenaient de plus en plus loin en elle, et elle finit par lâcher un grand gémissement, tout en étant secouée par une puissant décharge de plaisir : elle avait eu son orgasme. Je fis signe à Francesca de descendre du visage de Sarah. Il était temps que je m'occupe de l'italienne.
« Hmm ça va être mon tour d'avoir ta queue ? Dit elle visiblement ravie. »
« Oui, mais je vais être sur que Sarah se tiendra tranquille pendant ce temps. »
La belle était étendue sur le lit, la respiration sifflante. Elle semblait sonnée par le plaisir qu'elle venait de prendre. Mais je restais méfiant.
« Si tu veux, dit Francesca, je peux l'attacher, j'ai des menottes. Elle voulait qu'on s'en serve sur toi? Mais vu que c'est toi le chef ici, à toi de dire. »
Je trouvai l'idée excellente. Francesca me donna ses menottes, et j'attachai Sarah, en lui disant :
« Alors comme ça tu voulais me menotter ? Eh bien tu vois, c'est toi qui finis attachée. Comme ça je suis sur que tu resteras tranquille... »
Une fois Sarah neutralisée, je m'occupai de Francesca. Nous nous embrassâmes avec vigueur, chacun se caressant le corps de l'autre. Francesca finit par rompre notre baiser et dire :
« J'adorerais sucer ta queue. Laisse moi m'en occuper s'il te plaît ! »
J'hésitais un peu : bien sur j'avais toutes les raisons de vouloir que Francesca me suce, elle était très douée dans ce domaine. Mais ne risquait elle pas de profiter de mon plaisir pour reprendre le dessus ? En voyant ses yeux briller d'impatience, je me dis qu'il serait criminel de lui refuser son plaisir : je me mis debout devant le lit, et lui tendis mon sexe, gonflé au maximum. Avec un air avide, elle le prit en main et se mit à le sucer. Elle démarra sa fellation sur un rythme immédiatement élevé, me pompant comme une folle. Je frémis de plaisir, et lâchai un gémissement, tandis que Francesca me léchait le gland à grands coups de langue.
« C'est tellement bon ce que tu me fais ! T'arrête pas surtout ! »
Fière d'elle, Francesca redoubla d'ardeur, besognant ma queue avec sa bouche, ne me laissant pas un instant de répit. Elle enchaînait ses va-et-viens avec sa bouche, sur un rythme implacable, ne s'arrêtant que pour m'administrer ses coups de langue dévastateurs, qui me firent bientôt trembler sur mes jambes. Tout en me suçant, elle me lançait des regards brûlants qui me faisaient presque autant vibrer que le reste. Elle s'acharnait sur ma queue avec une opiniâtreté qui ne pouvait signifier qu'une chose : elle était décidée à me faire jouir. Décidé à rester maître de la situation, et de mon plaisir, je serrai les dents, et tâchai de me contenir. Mais Francesca y mettait une telle passion, que je compris bien vite que je ne pourrai supporter ce rythme bien longtemps. Bien que je prenais un pied énorme, je décidai donc d'interrompre la fellation de Francesca. Je la tirai par les cheveux, et lui dis :
« C'est moi qui décide quand je jouis, pas toi. »
« C'est ce que tu crois, me répliqua-t-elle sur un ton de défi. »
Je compris qu'elle avait besoin de la même leçon que Sarah. Je me jetai sur elle, et la maîtrisant, je la pris en missionnaire. Je me mis à lui administrer de puissants coups de reins, mais n'eus pas beaucoup de temps pour la baiser : elle m'agrippa avec ses jambes, et me fis tomber du lit, se retrouvant sur moi. Elle se mit à se déhancher sur mon sexe, me donnant de terribles coups de reins. Je voulus la renverser, mais elle me saisit les poignets, et me les plaqua contre le torse, m'immobilisant. Ses coups de reins, qui allaient crescendo m'empêchaient de me débattre, et elle put ainsi continuer à me baiser comme elle l'entendait. Le plaisir devint vite insupportable, ma vision se brouillait, et je compris que Francesca allait avoir raison de ma résistance et me faire jouir sous peu?
Soudain, je la sentis partir en arrière, comme si quelqu'un la tirait. Surpris, j'ouvris les yeux, et vis que c'était Sarah, qui étalait Francesca par terre. Mystérieusement, elle avait réussi à retirer ses menottes. Désormais, elle plaquait Francesca au sol, et s'assit sur son visage.
« Allez lèche moi sale collabo ! Lui intima-t-elle. »
Sonné par les coups de rein de Francesca, je ne me sentais pas d'intervenir, et préférai profiter du spectacle : Sarah, dansant sur le visage de Francesca, prenant son pied sous les coups de langue de l'italienne.
« Hmmm continue, lèche moi ! Ca t'apprendra à t'associer avec l'ennemi ! »
« La pauvre, dis je, elle a rien fait de mal, en plus elle a essayé de me soumettre, alors tu lui reproches quoi ? »
« Tais toi, toi, je m'occuperai de ton cas après. Elle a voulu me mettre hors jeu, elle va le payer, après ce sera ton tour. »
Mais Francesca dut lui donner un coup de langue plus délicieux que les autres, car elle poussa soudain un grand gémissement. L'italienne en profita pour la faire tomber, et reprendre le dessus. Elle lui prit les mains, et les lui plaqua contre le sol. Les deux belles auraient continué de se bagarrer entre elle, mais je n'en pouvais plus, et désirai me joindre à elles. Je me levai, mais aussitôt Francesca se leva elle aussi, bientôt imitée par Sarah.
« On réglera nos comptes avec dit Sarah le souffle court. D'abord il faut qu'on s'occupe de celui là. »
« C'est ce que j'étais entrain de faire avant que tu m'interrompes. Répliqua Francesca. »
« Sauf que tu le voulais pour toi toute seule? Là, il faut qu'on le mâte nous deux... »
Je ressentis un brin de nervosité : cette fois, j'étais le dompteur qui avait perdu tout contrôle sur ses panthères et allait les voir se jeter sur lui? J'en ressentais de l'excitation, mais aussi un peu d'appréhension. Décidé à prendre les devants, je me ruai sur Sarah. Je la saisis pas les hanches, et la collai contre moi, cherchant à l'immobiliser. Elle m'enserra contre elle à son tour, et m'embrassa avec passion. Francesca pendant ce temps chercha à me pousser sur le sol, mais je résistai. Je repoussai Sarah, avant de saisir Francesca, de la forcer à se retourner, collant son dos contre moi, et malaxant ses seins avec passion. La belle frémit de plaisir, tout en frottant ses fesses nues contre mon sexe, me branlant délicieusement. Mais Sarah n'avait pas l'intention de rester en dehors, elle m'attrapa par les cheveux, et me tira de force vers elle. Francesca et elle, unirent leur force, et parvinrent à me pousser jusque sur le lit, et m'obligèrent à m'étaler dessus. Là, Sarah fouilla dans sa table de nuit, avant d'en sortir une nouvelle paire de menottes, avec lesquelles elle m'attacha aux barreaux de son lit. J'eus beau me débattre, les belles s'y mirent à deux pour m'attacher, et je ne pus leur résister. J'étais cuit, elles allaient faire de moi ce qu'elles voudraient? Je ne sus si j'en étais désespéré ou ravi?
« Et voilà, dit Sarah m'adressant un sourire narquois. Cette fois tu vas peut être te tenir tranquille ? »
Elle se mit à embrasser mon torse doucement, comme pour bien marquer son territoire. Puis elle se tourna vers Francesca et dit :
« Maintenant, je vais t'apprendre à jouer les collabos ! »
Elle attrapa Francesca, et la plaqua contre le matelas. Puis, se jeta sur son intimité, et lui fit un délicieux cuni, qui arracha très vite des gémissements de plaisir à Francesca. Sarah lui dévorait son minou, ne s'interrompant que pour lancer à Francesca :
« C'est bien gémis ! Subis ce que je te fais, et apprends ce qu'il en coûte de s'allier avec l'ennemi ! »
Et elle reprenait ses coups de langues dévastateurs. Mais Francesca n'avait pas dit son dernier mot. Elle enroula ses jambes autour de la tête de Sarah, et d'un coup de rein, la retourna, inversant la situation. Francesca se trouvait à présent assise sur le visage de Sarah, et celle ci ne pouvait plus que lécher l'italienne comme elle le désirait. Francesca se déhanchait sur le visage de Sarah, et appuyait dessus pour bien lui faire comprendre qui était la patronne. Elle prenait un pied énorme, se caressait les cheveux, tout en fermant les yeux à moitié et disant :
« Hmmm c'est boon ! Continue de me lécher avec ta langue de vipera ! Allez continue ma soumise ! »
Mais elle avait sous estimé Sarah. Bien qu'elle eut l'air soumise, elle n'avait pas capitulé. Elle saisit les jambes de Francesca, et fit tomber l'italienne sur le lis. Après quoi, elle la saisit par les hanches, et la fit se mettre à quatre pattes, comme pour la prendre en levrette. Seulement, Sarah se contenta de doigter Francesca, avec cependant une telle vivacité que Francesca se mit à crier comme si un énorme sexe la besognait. Sarah la fit se déplacer de sorte que le visage de l'italienne soit juste en face du mien. Je pus ainsi admirer le beau visage de Francesca décomposé par le plaisir, alors qu'elle subissait les assauts doigtiers de Sarah. Celle ci n'hésitait pas à tirer les cheveux de Francesca, ou à lui donner des claques sur les fesses, afin de la brusquer d'avantage.
Mais Francesca n'entendait pas se laisser faire. Elle se redressa, se retourna, et plaqua Sarah contre le matelas. Elle voulut la chevaucher, frottant son sexe contre celui de Sarah, mais cette dernière ne voulait définitivement pas se laisser mener. Elle renversa Sarah, mais ne parvint pas à s'installer sur elle : les deux belles en furent réduites à s'entre baiser en ciseaux, chacune cherchant vainement à prendre le pas sur l'autre. Le plaisir qu'elles éprouvaient était en revanche évident : elles gémissaient l'une et l'autre à pleine voix, tout en se frottant avec énergie contre l'autre. Aucune ne parvenait à l'emporter, et il arriva ce qu'il devait arriver : les deux belles eurent un merveilleux orgasme en même temps.
Essoufflées et toutes rouges, elles se regardèrent un moment, puis Francesca dit en me désignant :
« Plus tôt que de se bagarrer entre nous, on ferait mieux de s'occuper de lui. »
« Ok, acquiesça Sarah. »
Elles vinrent vers moi, et j'eus un petit frisson d'impatience.
« Je le suce, et toi tu te mets sur lui pour qu'il te lèche ? Proposa Sarah. »
« Ok, dit Francesca, ça me va. »
L'italienne vint sur moi, et s'assit sur mon visage :
« Allez lèche moi tesoro, dit elle. »
N'ayant pas le choix, je me mis à lécher Francesca du mieux que je pouvais. La belle se mit aussitôt à gémir, et à se tortiller comme pour me baiser la bouche. Au même moment, je sentis un délicieux frisson de plaisir me parcourir, partant de ma bite : je compris que Sarah s'était mise à me sucer. Le plaisir me fit bien vite perdre la tête, je me tortillais sous Francesca, et celle ci s'agitait d'autant plus pour mieux profiter de ma langue qui ne s'arrêtait jamais de la lécher avidement.
Au bout d'un moment, je sentis quelque chose de différent se passer au niveau de ma bite : Sarah venait de la caler entre ses seins. Je sentis mon sexe coulisser délicieusement dans la poitrine, et j'eus un nouveau frisson de plaisir. Au même moment, Francesca descendit de mon visage, et je pus admirer Sarah en pleine branlette espagnole. Elle tenait ses deux seins, et comprimaient ma queue avec, me branlant avec vigueur, elle n'y allait pas de main morte, et se donnait à fond. Francesca observait la scène avec intérêt. Un petit sourire moqueur aux lèvres, Sarah lui dit :
« T'admires le travail d'une pro ? »
« Bof, répliqua Francesca, je suis sure que je le fais mieux que toi ! »
« J'ai de plus gros seins que toi, fit remarquer Sarah. Je le fais jouir avant toi ! »
« Pari tenu ! »
Alors, les deux belles se mirent à alterner, l'une après l'autre, elles me branlèrent avec leur merveilleuse poitrine, chacune cherchant à me faire jouir. Elles avaient des techniques différentes, Sarah y allait fort, me branlant vigoureusement, tandis que Francesca était plus subtile, et jouait avec mes nerfs alternant rythme lent et rythme rapide. Je me prêtai au jeu, et tâchai de résister, mais je sentais ma vigueur décliner progressivement, et compris que je ne pourrai pas tenir plus longtemps. Après une énième branlette vigoureuse de Sarah, j'étais au porte de la jouissance, et me dis que Francesca allait gagner. Elle cala mon sexe dans sa poitrine, et se mit à partir sur un rythme élevé, avant de soudain ralentir. Elle me regardait droit dans les yeux, se délectant de ma frustration, avant de reprendre son rythme rapide soudainement. Je crus bien que j'allai jouir cette fois, mais parvint à résister. Francesca ralentit encore le rythme, avant de soudainement le réaccélérer sans que je m'y attende. Le plaisir monta brusquement en moi, et je compris qu'encore une ou deux minutes, et Francesca allait avoir raison de ma résistance? Mais son temps imparti était écoulé. C'était autour de Sarah d'essayer de me faire jouir. Fidèle à sa technique, elle se mit à me branler avec ses seins à un rythme effréné, faisant monter le plaisir en moi en une vague irrésistible? Je serrai les dents, et fis tous les efforts possibles pour contenir la jouissance : je ne voulais pas que Sarah me fasse jouir, elle vivrait ça comme une victoire contre moi et Francesca et serait insupportable de prétention après? Je voulais vraiment donner la victoire à Francesca, et défiant Sarah du regard, je me retins de jouir. Sarah se mit à accélérer, ses seins écrasant mon sexe et le caressant vigoureusement de haut en bas, sur un rythme tellement élevé? Mon visage se décomposa sous le plaisir, et Sarah eut un sourire de triomphe? Mais je n'avais pas encore joui, je n'avais plus que quelques secondes à tenir, avant que Francesca ne prenne la relève, je pouvais le faire? Comme si Sarah lisait dans mes pensées, elle se mit encore à accélérer, c'était tellement fou ce qu'elle me faisait? Le jeu de regard se poursuivait, on se défiait du regard, le plaisir était toujours très élevé, et je devais me retenir très fort de jouir? Mais je sentais que Sarah donnait ses derniers coups, encore un ou deux allers-retours de ses merveilleux seins, et elle devrait donner la place à Francesca, l'italienne et moi allions gagner? Et soudain, Sarah tout en continuant sa branlette me donna un coup de langue juste sous le gland, (un point très sensible) alors que mon sexe jallissait au dessus de ses seins. Ce fut le coup de grâce : sous un sourire triomphant de Sarah, ma bite explosa de jouissance, inondant sa poitrine.
« J'ai gagné ! S'exclama-t-elle. »
« T'as utilisé ta langue ! T'as triché. dit Francesca. »
« Elle a raison, intervins je. »
« Soyez pas mauvais joueurs tous les deux. Le coup de langue ça fait partie de la branlette espagnole, je t'ai fait jouir, donc j'ai gagné? Ma récompense ce sera : de m'empaler sur ta queue ! »
Et sans plus argumenter, elle s'empala net sur mon sexe encore tendu, poussant un gémissement. Doucement, elle se mit à faire des va-et-viens, n'augmentant le rythme que progressivement, allant d'abord lentement, avant d'augmenter la cadence progressivement. Au bout de quelques minutes, elle allait à un rythme fou me donnant de puissants coups de reins, qui faisaient trembler le lit et m'arrachait des cris de plaisir. Francesca pendant ce temps, s'était mise derrière Sarah, et lui léchait la nuque, lui embrassait les épaules, et lui massait les seins avec vigueur. Sarah gémissait à chacun de ses allers retours, et semblait apprécier le traitement que lui réservait Francesca. Elle se mit à se déhancher de gauche à droite sur mon pieu dressé, gémissant de plus en plus fort, et allant de plus en plus vite. « Ta queue est tellement bonne ! Hmmm j'adore ça ! » gémit elle tout en poursuivant ses assauts. Francesca se mit à lui titiller le clito tout en se frottant à elle dans son dos, augmentant ses gémissements. Elle se mit à donner des coups de reins encore plus fort, jusqu'à pousser un grand cri : elle avait eu un délicieux orgasme, qui la laissa écroulée sur le matelas.
« C'est tellement bon, soupira Sarah. J'ai eu ma dose, à ton tour Francesca. »
Celle ci fit mine de s'empaler sur moi, mais Sarah l'interrompit.
« Non attends? Ne faisons pas tout le boulot, à lui d'agir un peu : il va te prendre en levrette. »
Francesca eut un petit sourire ravi, et Sarah me détacha en me prévenant :
« Au premier geste de rébellion, je punirai tellement sévèrement que tu ne t'en remettras jamais... »
C'était tentant, mais je dois dire que je n'avais plus du tout envie de me rebeller, juste de me laisser faire par ces deux là. Francesca se mit à quatre pattes devant moi, et une fois détaché, je fis mine de la saisir par les hanches pour la pénétrer, mais Sarah vint derrière moi, et me tint les mains me les mettant dans le dos.
« Tu baises Francesca sans les mains, dit elle. Et discute pas, c'est moi qui commande. »
Je pénétrai Francesca d'un coup de rein, puis me mit à la culbuter aussi fort que possible. La baise n'était pas aisée, sans les mains, je ne pouvais maintenir Francesca, et l'italienne avait beau être prise en levrette, elle donnait presque autant le ton que moi, m'administrant des coups de reins par derrière, en bougeant son magnifique postérieur. Je me débrouillais bien cependant, et donnais à Francesca des coups de reins suffisants pour la faire gémir à pleine voix. Derrière moi, Sarah me tenait les mains, et me disait :
« Allez ! Dépêche toi, baise Francesca plus vite ! Plus vite je t'ai dit ! Allez ! Tu peux pas faire mieux ? »
Je tâchai de lui obéir, et d'aller plus vite, mais sans les mains, ce n'était pas facile. Francesca continuait de donner de puissants coups de reins si bien que parfois c'était elle qui dirigeait la levrette et pas moi. Même si la plupart du temps, c'est moi qui à force d'efforts et de gros coups de reins donnais le ton, Sarah se moquait de moi en me murmurant à l'oreille :
« Hmm, c'est ta chienne qui te baise, faut croire que tu manies mal le bâton? Baise la plus vite sinon elle va te mordre... »
Alors que Francesca venait de me donner un coup de rein particulièrement bon, m'arrachant un gémissement. Haletant, je répliquai à Sarah :
« Si tu veux que je la baise, libère moi les mains ! »
Je m'attendais à ce qu'elle refuse, mais à ma grande surprise, elle me lâcha les mains. Je pus alors saisir Francesca par les hanches, et je me mis à la baiser plus fort que jamais. Je lui assénai de puissants coups de reins, la baisant comme un métronome, sans répit et sans relâche, lui cognant le fond de son intimité. Francesca se mit à gémir à flot continu, frémissant des pieds à la tête. Elle n'était plus du tout en état de me donner des coups de reins, j'étais redevenu le maître. Je lui tirai les cheveux pour l'obliger à me regarder dans les yeux, tout en continuant de la baiser puissamment je la sentis se raidir sous le plaisir que je lui infligeais, j'accélérai encore le rythme, son visage se décomposa littéralement, et dans un grand frisson elle eut un orgasme qui lui arracha un petit gémissement, et qui la laissa effondrée sur le lit, sonnée.
« Tu vois ? Dis je à Sarah, je sais très bien manier le bâton finalement... »
« Hmm apparemment? A moi d'y goûter : viens me baiser ! »
Elle se mit allongée sur le côté, me lançant une invitation sans équivoque. Je vins derrière elle, et la pris en cuillère, tandis que Francesca nous observait. Décidé à lui montrer de quoi j'étais capable (et peut être à reprendre le dessus ?), je me mis à la baiser avec force, lui donnant de puissants coups de reins. Je la tenais serrée contre moi, lui massant les seins avec force, la baisant avec sauvagerie, tout en lui malmenant le clito avec mes deux doigts. Sarah, en proie à un intense plaisir se démenait entre mes bras, mais je la maintenais fermement, tout en continuant à la baiser sans cesse plus vite. La belle se mit à gémir très fort, et je me mis à accélérer, histoire d'enfoncer le clou. « Alors, je le manie pas bien mon bâton ? » lui dis je d'un ton provocateur. Sans répondre, Sarah se servant de ses jambes me retourna, et me fit m'étaler sur le dos, avant de s'installer sur moi. Elle me tournait le dos, m'offrant une magnifique vision sur son postérieur rebondi. Elle s'empala sur mon sexe, m'arrachant un petit cri de plaisir.
« Je reconnais que tu sais bien te servir de ta bite, mais c'est mieux quand j'en fais mon jouet. »
Elle se mit à se déhancher de gauche à droite, sur un rythme élevé, son fessier s'agitant sous mon nez, me rendant fou. Francesca pendant ce temps, vint au dessus de mon visage, et m'embrassa langoureusement à l'envers comme dans spider man. Je lui attrapai la nuque, et lui rendis son baiser, sur un rythme passionné. Sarah pendant ce temps continuait de se déchaîner sur ma queue, allant et venant à un rythme très élevé, me faisant vibrer de plaisir, et poussant de petits gémissements de temps à autre. Francesca interrompit notre baiser, et vint se mettre devant Sarah, lui dévorant les seins, et l'embrassant sauvagement. Sarah elle se mit à me baiser avec encore plus de vigueur, allant de haut en bas, bondissant littéralement sur mon sexe. Je lui saisis les hanches pour accompagner le mouvement, mais elle me prit les mains, et me les retira, le message était clair : la patronne c'était elle. Tandis que Francesca était occupée à enfouir sa tête dans les seins de Sarah, celle ci se remit à se déhancher sur mon sexe, m'hypnotisant à l'aide de son fessier qui s'agitait sous mes yeux, et déclenchant de puissantes vagues de plaisir, qui montaient et montaient en moi sans que je puisse les refréner. Elle eut bien vite raison de moi : j'explosai à nouveau dans un délicieux orgasme qui me laissa étourdi sur le lit. Sarah eut son orgasme en même temps, et elle s'écroula à son tour.
Pas encore rassasiées, Sarah et Francesca s'embrassèrent plus furieusement que jamais. Sarah vint derrière Francesca, et lui embrassa la nuque et lui lécha l'épaule, ce qui eut le don de me redonner aussitôt ma vigueur? Je vins devant Francesca, et me mis à lui dévorer les seins avec avidité, elle frémit de la tête aux pieds, et dit en rigolant :
« En voilà un qui récupère vite ! A mon tour de le baiser, peut être que j'arriverais à la calmer... »
Et sur ce, elle vint sur moi, et s'empala sur mon sexe. Je restai en position assise, si bien que Francesca enroula ses jambes autour de ma taille, et se mit à me baiser en position du lotus. Elle dansait sur mon sexe, faisant des allers-retours d'avant en arrière, me faisant frémir d'aise. J'aidais le mouvement en la tenant par les hanches, augmentant encore le plaisir chez nous deux. Francesca me tenait par la nuque, et maintenait mon visage à quelques centimètres du mien, me regardant droit dans les yeux, tout en bougeant magnifiquement, et de plus en plus vite. J'en perdais complètement la tête, et je participai de moins en moins, me laissant baiser par Francesca. Sarah vint derrière moi, et me prit les mains, m'empêchant de garder un minimum de contrôle. Pleinement maîtresse de la situation, Francesca se déchaîna plus que jamais, allant si vite et me faisant tellement de bien, que ma vue se brouilla et que des étoiles se mirent à danser devant mes yeux. Sarah elle, se mit à me mordiller l'oreille, avant de prendre ma tête, et de la fourrer par derrière dans sa poitrine, tandis que Francesca faisait de même par devant, me prenant ainsi en sandwich dans ces deux merveilleuses paires de seins, me faisant croire que j'étais au paradis. Francesca se mit encore à accélérer le rythme, criant à pleine voix son plaisir, et elle finit par avoir un nouvel orgasme qui la fit pousser un petit cri suraigu.
Elle se retira de ma queue, haletante.
« Comment tu veux qu'on le finisse ? Demanda Sarah. »
« Je veux ma revanche : la première qui le fait jouir en le suçant a gagné, ça te dit ? Proposa Francesca. »
« Pari tenu, répliqua Sarah. Mais je veux qu'on l'attache. »
Les deux belles me firent me lever, et m'attachèrent aussitôt aux barreaux du lit. Je me laissai faire, trop heureux d'être une énième fois l'objet de leur rivalité. Les deux tirèrent au sort pour savoir qui devait commencer, et Sarah l'emporta. Avec une petit air supérieur, elle s'approcha de ma queue, et aussitôt se mit à me sucer comme une sauvage, me gobant le sexe et se mettant à me pomper avec une avidité sans pareille. Elle allait et venait à un grand rythme, inondant ma verge de salive, ce qui lui permettait d'aller sans cesse plus vite. Le plaisir augmenta brutalement en moi, mais je parvins aisément à ne pas jouir. L'air un peut dépité, Sarah laissa sa place à Francesca au bout de quelques brûlantes minutes.
A son tour, Francesca approcha sa bouche de mon sexe. Elle se mit à me lécher de bas en haut, s'attardant sur les extrémités donnant de grands coups de langues à la base et sous le gland, me faisant trembler comme jamais. Ensuite, elle me goba le sexe, et fit de lents va-et-viens, me faisant progressivement découvrir d'exquises sensations. Elle se mit soudainement à accélérer, et je sentis tout mon corps se cambrer sous l'effet du plaisir. Je sentis une vague brûlante de plaisir me submerger, mais je parvins à contenir la jouissance qui montait en moi, mais de justesse. Francesca dut ensuite laisser sa place à Sarah, qui un sourire aux lèvres s'approcha de ma queue.
Elle se remit à me sucer sauvagement comme une folle, me pompant à un rythme très élevé, allant de haut en bas si vite, que ses cheveux tombaient en cascade devant son visage, et s'agitaient en tout sens au rythme de ses assauts. A nouveau le plaisir monta en moi, je serrai les dents et m'agrippai aux draps pour tenir le choc, Sarah se mit à me mitrailler de coups de langue un peu partout, mais je parvins à tenir le coup.
Je pensais pouvoir tenir encore deux trois tours ainsi, car je me sentais très vaillant. Francesca s'avança, un sourire confiant aux lèvres.
« C'était une super baise, mais il est temps de conclure. »
« Tu rêves ! Répliqua Sarah. Il peut tenir le coup, c'est moi qui vais le faire jouir après. »
« Elle a raison, je peux tenir dis je. Et d'ailleurs elle me fera pas jouir le coup d'après, alors toi? aucune chance que t'y arrives ce coup là ! »
« C'est ce qu'on va voir? Répliqua Francesca. »
Elle fit courir lentement sa langue sur mon sexe, de la base au sommet. Je frémis, mais j'étais très loin de la jouissance.
« C'est avec ça que tu veux le faire jouir ? Railla Sarah. »
Sans répondre, Francesca reprit son manège une fois, deux fois, et encore une fois. A chaque fois je frémissais, mais j'étais très loin de l'orgasme. Et soudain, Francesca se mit à donner les mêmes coups de langue, mais beaucoup plus vite, comme un chien qui boit de l'eau, elle enchaînait avec sa langue, comme si elle était un moulin. Je me mis à gémir comme jamais, et à trembler de tout mon corps, mais Francesca n'en n'avait pas fini avec moi. Elle se mit à me donner les mêmes coups de langue, mais uniquement à la base de mon sexe, déclenchant un raz de marée de plaisir en moi. Elle répéta son manège, mais mitraillant cette fois ci mon gland, transformant le raz de marée en tsunami. Je poussai un véritable hurlement d'extase, et compris que je ne pourrais pas tenir plus longtemps.
« Et maintenant, le coup final ! Annonça Francesca »
Elle me goba la bite d'un coup sec, et se mit à me sucer très rapidement, comme une furie. Je ne pus tenir le choc, et jouis à grands flot sur son visage et dans sa bouche dans un délicieux orgasme.
« Gagné ! Dit Francesca avec un sourire de triomphe, les lèvres barbouillées de blanc. »
« Ok maugréa Sarah, je reconnais que tu te débrouilles bien avec ta bouche. »
Les deux belles vinrent se pelotonner contre moi. Epuisés et ravis par cet armistice mouvementé mais ô combien délicieux, nous ne tardâmes pas à nous endormir.
Autant que je sache, elles n'eurent plus d'ennuis de voisinage. Dés que l'une s'envoyait en l'air dans sa chambre étudiante, l'autre la rejoignait aussitôt, ainsi, personne ne se dérangeait. Cependant, les « malheureux » garçons qui firent les frais de cet arrangement furent toujours un objet de compétition entre les deux belles? Certaines choses ne s'arrangent pas, même avec les meilleurs accords du monde, mais parfois, c'est peut être une très bonne chose.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère que vous l'avez appréciée, si c'est le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire pour le dire, ça me fait toujours plaisir ! Je vous encourage aussi à donner votre avis sur les personnages, l'action, ou le scénario, ça m'est toujours utile ! Si cette histoire vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager avec les autres, je vous en prie, n'hésitez pas !
Par ailleurs, quelques personnes m'ont envoyé des mails ces derniers mois, et à chaque fois ils me demandaient si ça me dérangeait. Je le précise donc une bonne fois pour toutes : ça me fait très plaisir de recevoir des mails de lecteurs et de lectrices, n'hésitez donc pas ! Si vous avez des questions à me poser, envie de me parler d'une histoire ou d'un personnage ou tout simplement du temps qu'il fait, mon adresse mail est là pour ça !
Si tout se passe bien, on se retrouve très vite pour la prochaine histoire qui ne devrait pas être trop longue :)
Un jeudi matin, le premier du mois d'Octobre, alors que j'étais en cours, je reçus un SMS. En sentant mon portable vibrer, j'eus un frisson d'espoir : j'espérais que ce serait Francesca. En effet, depuis vendredi dernier, j'avais beau envoyer SMS sur SMS à la belle italienne, elle ne me répondait pas. Elle devait sans aucun doute me faire la tête : vendredi dernier, je m'étais envoyé en l'air avec sa voisine, Sarah, et dans le feu de l'action, cette dernière m'avait obligé à traiter Francesca de pute, ce que l'italienne avait entendu. Depuis, j'avais beau avoir envoyé au moins vingt fois mes excuses, Francesca ne me répondait pas.
Voilà pourquoi, lorsque mon portable vibra, je le sortis avec un soupçon de frénésie, espérant que ce serait Francesca qui me disait qu'elle acceptait mes excuses. Je ne pus m'empêcher d'être un peu déçu en voyant que c'était Sarah.
« Salut ! Me disait elle dans son message. Ca te dit de venir chez moi ce soir ? J'ai une petite revanche à prendre sur toi il me semble... »
En temps normal, cette proposition m'aurait excité au plus haut point : Sarah était une vraie bombe, de taille moyenne, un beau visage, une poitrine alléchante (95c), des fesses à tomber, elle avait tout ce qu'il fallait pour ravir un homme, d'autant plus qu'elle savait utiliser ses charmes, et était terriblement douée au lit. L'idée de passer dans son lit m'aurait donc normalement réjoui.
Seulement, depuis un mois, Francesca et Sarah se livraient une vraie guerre de voisinage, chacune s'amusant à s'envoyer en l'air le plus bruyamment possible pour faire enrager l'autre. C'était en baisant avec moi que Francesca avait déclenché (sans le vouloir) les hostilités, Sarah avait ensuite « répliqué » par une bruyante et délicieuse partie de jambe en l'air, et ainsi de suite? Dans ce délicieux conflit, j'étais une arme utilisée par les deux belles pour faire enrager l'autre, jusqu'à vendredi dernier, où Sarah m'avait obligé en plein acte à traiter Francesca de pute? Et j'avais la nette impression que cette fois, les choses étaient allées trop loin, alors je n'avais plus très envie de prolonger ce conflit? Je répondis donc à Sarah :
« Ecoute, écrivis-je, moi je demande pas mieux que de m'envoyer en l'air avec toi, mais je me sens gêné pour Francesca, j'ai l'impression qu'elle me fait la gueule depuis la dernière fois, alors je préférerais qu'on s'abstienne de la provoquer cette fois? »
La réponse ne se fit pas attendre :
« En fait quand je te parle de « chez moi », je veux dire chez moi dans ma maison, pas dans ma chambre étudiante. Y a personne chez moi ce soir, donc autant en profiter pour faire autant de bruit qu'on veut non ?:D »
Je frissonnai de joie : ça faisait six jours que j'essayais de me réconcilier avec Francesca, sans succès. Me défouler sur Sarah paraissait un excellent remède à la frustration que j'éprouvais ! J'acceptai donc son invitation avec enthousiasme, et passai le reste de la journée à attendre le soir avec une impatience grandissante.
Après les cours, je pris le train, et après un long trajet, je descendis à la gare que Sarah m'avait indiquée. Le trajet avait été long, pas étonnant qu'elle ait pris une chambre étudiante à deux pas du campus !
Sarah m'attendait devant la gare, malgré la fraîcheur du soir d'octobre, elle était vêtue d'un t-shirt gris, et d'un jean, assez moulants tous les deux, et je me sentis encore plus excité à la voir comme ça? Elle avait attaché ses longs cheveux en chignon, ce qui dégageait son beau visage, et ses yeux marrons m'observaient, avec impatience eux aussi? La soirée s'annonçait très épicée !
« C'était long ! Dit elle d'un ton boudeur. »
« Désolé, c'est pas ma faute si t'habites à l'autre bout du monde... »
Nous nous mîmes en marche vers sa maison qui était au bout de la rue. Sarah répliqua :
« Ouais bah pas le choix : j'ai fait une trêve avec Francesca, alors maintenant c'est chez moi ou chez toi qu'on fera nos galipettes?. »
« Ah vous avez fait une trêve Francesca et toi ? »
« Oui, on a décidé d'enterrer la hache de guerre? Mais par contre, avec toi je suis toujours en guerre : je compte bien te faire payer ce que tu m'as fait la dernière fois ! »
« C'est ce qu'on verra? lui répondis-je provocateur. »
Sarah avait un tempérament dominateur, la dernière fois, elle avait cherché à me soumettre? et c'était elle qui avait fini soumise. J'avais même été jusqu'à la sodomiser. Pas étonnant donc qu'elle ait des envies de revanche, mais je l'attendais de pied ferme? D'autant que moi aussi j'avais des comptes à régler avec elle... »
Nous entrâmes dans sa maison, une sympathique petite demeure, que je n'avais cependant pas envie de visiter... Aussitôt entré, je demandais :
« Où est ta chambre ? »
Sarah eut un sourire narquois :
« Tu as hâte de te faire corriger ? Ma chambre est à l'étage, viens avec moi. »
Elle m'entraîna dans les escaliers, et je la suivis jusqu'au palier.
« Tu te fais des idées tu sais ? Lui répondis-je. Je vais encore une fois te prendre comme j'en ai envie, tu vas prendre sacrément cher, crois moi ! »
Arrivée devant la porte de sa chambre, elle se retourna et me dit d'un ton doucereux :
« Non, là je suis sure de moi : j'ai amené du renfort... »
Elle ouvrit la porte, et entra dans sa chambre. Je la suivis, intrigué, et compris aussitôt de quoi elle parlait : sur le lit, se trouvait Francesca. Elle était vêtue d'un débardeur blanc qui mettait en valeur sa belle poitrine (90c), et d'un jean moulant. Ses cheveux noirs bouclés encadraient parfaitement son merveilleux visage, ses yeux marrons plus sombres que ceux de Sarah m'observaient avec intensité, tandis qu'elle souriait de sa bouche pulpeuse qui donnait tellement d'idées?
« Qu'est ce que tu fais là ? Demandai-je surpris. »
Elle me répondit avec son accent italien si craquant :
« Eh bien avec Sarah on a discuté, et on est tombées d'accord pour dire qu'il fallait qu'on arrête de se chamailler comme on le faisait. »
« Et surtout, renchérit Sarah, on est tombées d'accord pour dire que ce qui était arrivé n'était pas notre faute. »
« Oui, poursuivit Francesca. On a décidé que le coupable? c'était toi. »
« Et c'est donc toi qui vas être puni, conclut Sarah avec un sourie diabolique. »
Je restai un moment muet et stupéfait. La situation prenait un tournant complètement inattendu, et je n'osais croire ce qu'elles me proposaient. Je répliquai alors pour me donner une contenance :
« Et pourquoi votre guerre de voisinage serait de ma faute ? Je n'ai été qu'un outil, je n'y suis pour rien. »
Sarah secoua la tête.
« Non. On en a discuté, et on est arrivées à la conclusion que c'était de ta faute. T'es pas là pour te défendre, mais pour te faire corriger. »
Il n'y avait pas vraiment de justice là dedans, mais honnêtement je ne me souciai pas beaucoup de plaider mon innocence? Ce qui m'intéressait surtout, c'était de savoir si elles me proposaient bien ce que je pensais qu'elles me proposaient : je n'osais imaginer me faire baiser par ces deux magnifiques créatures en même temps. J'étais indécis, et dans un grand état de fébrilité : j'avais besoin de savoir si j'allais être mangé à une sauce si délicieuse. D'un ton provocateur je répliquai :
« Et vous croyez vraiment que vous arriverez à me punir ? »
Francesca eut un léger sourire :
« Au cas où tu saurais pas compter, on est deux contre un? Je crois pas que tu puisses échapper à ta punition... »
Je retins à grande peine un frisson d'excitation : il allait bien se passer ce que je n'aurais jamais imaginé, j'allais bel et bien vivre un plan à trois avec Francesca et Sarah.
Comme si tout était dit, Francesca se leva du lit, et s'approcha de moi. Avec Sarah, elles m'attrapèrent par le pantalon, et me jetèrent sur le lit. Mon pouls battait très fort, et je sentais mon corps entier s'embraser sous l'effet de l'excitation. Debout devant le lit où j'étais étalé, les deux belles me toisaient d'un air supérieur. Sarah dit :
« Maintenant regarde tes deux maîtresses se donner du plaisir, et ne bouge pas. »
Sur ce, elle se tourna vers Francesca, lui attrapa doucement le menton, et langoureusement, l'embrassa à pleine bouche. Francesca lui rendit son baiser avec passion, et les deux belles se mirent à s'embrasser sur un tempo très rapide, comme si elles cherchaient à s'entre dévorer. Sarah tenait fermement la tête de Francesca, tandis que celle ci avait enroulé ses bras autour de la française, et la serrait contre elle autant que possible. Difficile de croire que moins d'une semaine plus tôt, elles ne pouvaient pas se sentir ! Quant à moi, j'étais bouche bée devant ce spectacle à couper le souffle. Je ne pus rester inactif plus longtemps, j'avais envie de participer, et surtout, je n'étais pas disposé à me laisser soumettre sans résister.
Je vins derrière Sarah, et me collai à son dos, lui embrassant la nuque avec passion. Surprises, les deux belles se lâchèrent, et je pus enlacer Sarah à ma guise, la collant contre moi. Je l'enserrai alors, et me mis à masser sa poitrine avec vigueur tout en continuant à lui dévorer la nuque. Sarah se mit à gémir, et je redoublai l'intensité de mon massage. Puis, aussi soudainement que j'avais commencé, je m'arrêtai, et la jetai sur le lit. Je lui dis avec négligence :
« Je m'occuperai de toi après, pour l'instant à la suivante ! »
J'avais dit ces derniers mots en regardant Francesca, et je vis briller dans ses yeux une petite lueur d'excitation. Visiblement, elle aimait me voir prendre les choses en mains. Je la tirai par la ceinture de son jean, et la collai contre moi. Tout en la tenant par les hanches, je l'embrassai avec passion, lui faisant perdre le souffle. Après quoi, je la poussai sur le lit, pour qu'elle y rejoigne Sarah. Les deux étaient sur le lit, comme offertes à ma personne sur un plateau? J'eus cependant un bref instant d'hésitation : par laquelle devais je « attaquer » ? Sarah avait un tempérament très dominateur, et si je ne la calmais pas très vite, les choses allaient déraper? D'un autre côté, Francesca pouvait se transformer en véritable tigresse lorsqu'elle était excitée, et si je m'occupais de Sarah en la laissant toute seule, c'est ce qui risquait de se passer? Pendant quelques secondes, j'hésitais donc, car je ne savais pas sur qui me jeter.
Ce bref instant d'hésitation me « coûta cher », si l'on peut dire. Francesca m'attrapa soudainement par le pantalon, et me fit tomber sur le lit, m'étalant de tout mon long. Pendant que Sarah venait derrière moi, et me tenait les mains, Francesca s'installait sur moi, un sourire coquin aux lèvres. La belle italienne recommença à m'embrasser, mais cette fois ci, je ne pouvais la toucher : Sarah me tenait fermement par les poignets, et sa comparse italienne en profitait pour prendre possession de mes lèvres, de mon cou, et d'un peu près tout mon visage sans que je puisse répliquer. Elle me regardait droit dans les yeux, et me souriait d'un air narquois, se réjouissant de mon impuissance. Un léger sentiment de découragement me prenait : je ne voyais pas comment reprendre le dessus.
Pendant que je me décourageais, Francesca s'affairait à retirer mon pantalon, tandis que Sarah m'embrassait doucement par au-dessus. Lorsque Francesca m'eut enlevé le pantalon, je vis soudain une occasion de reprendre le dessus. Je saisis l'italienne avec mes jambes, et l'emprisonna dans mon étreinte. En même temps, je tirai Sarah par les cheveux, et l'obligeais à se dégager de ma bouche. Alors, je me dégageai et renversai Francesca m'installant à califourchon sur elle. Puis, tenant Sarah par les cheveux d'une main, par le t-shirt de l'autre main, je l'obligeai à s'allonger à côté de sa complice. Les deux se débattirent furieusement, mais Francesca était prisonnière de mon poids, et ne pouvait pas faire grand-chose. Quant à Sarah, elle fut un peu plus difficile à étaler, mais tenue par les cheveux, elle ne pouvait pas beaucoup se débattre et à la force des bras, je parvins à l'allonger de force aux côtés de Francesca . Je la maintenais d'une main, posée sur sa poitrine. Je pris une ou deux secondes pour savourer le résultat : elles étaient toutes les deux sous moi, à ma merci, je prenais l'ascendant !
Je savais que si je m'occupai de seulement l'une des deux, l'autre en profiterait pour essayer de me soumettre. Je leur ordonnai donc du ton le plus autoritaire que je pouvais :
« Embrassez vous toutes les deux ! »
Francesca tourna aussitôt la tête vers Sarah, prête à s'exécuter, mais Sarah, me regardant d'un air de défi répondit :
« Et si je refuse ? »
« Fais pas la bête, répliqua-je, tu sais très bien que t'en as envie. Ici c'est moi le chef, si tu fais pas ce que je dis, je ne baiserai que Francesca pendant que toi tu te contenteras de nous mâter? C'est ça que tu veux ? »
Je laissai ma menace planer un moment. Je vis Sarah réfléchir un temps, sa fierté combattant son désir, mais finalement, elle se résigna. Elle prit Francesca par la nuque, et toutes deux partagèrent un délicieux baiser. Couchées sur le côté, elles s'embrassaient à pleine bouche, avec passion et sauvagerie. Mais elles n'étaient pas libres de leurs mouvements, car je ne me contentais pas d'observer cette merveilleuse scène, je la contrôlais. Je les tenais par la nuque et par les cheveux, et c'est moi qui décidais laquelle des deux donnait le ton du baiser, et je m'amusais à alterner, donnant parfois l'avantage à Francesca, parfois à Sarah. C'est moi aussi qui décidais du rythme et de l'intensité de leur baiser. Lorsque l'une menait le rythme du baiser (c'était souvent Sarah), je lui tirais les cheveux d'une main, et de l'autre pressait la deuxième, l'encourageant à intensifier son baiser. Lorsque le rythme était trop lent à mon goût, je les pressais l'une contre l'autre, les tenant par la nuque, lorsqu'elles allaient trop vite et que je souhaitais les voir ralentir, je les tirais par les cheveux pour leur faire comprendre qu'elles devaient aller moins vite. J'étais on ne peut plus satisfait : j'avais le contrôle total sur ces deux bombes, c'est moi qui tirais les ficelles ! Je savais toutefois qu'à la première occasion, elles pouvaient très bien se retourner contre moi et chercher à me soumettre. Je me faisais l'impression d'un dompteur, entrain de dresser deux panthères et qui savait qu'au moindre faux pas, les choses pouvaient déraper?
Je me méfiais surtout de Sarah : c'était elle qui supportait le moins ma prise de contrôle, et je savais qu'elle se révolterait à la première occasion. Francesca elle supporterait beaucoup mieux que je dirige les préliminaires, mais je savais que pendant l'acte, au plus fort de l'excitation et du plaisir, elle deviendrait tout aussi (voire plus) difficile à contrôler?
Je décidai donc de passer à une position qui me permettrait de neutraliser Sarah à coup sur. J'interrompis leur baiser, les séparant en les tirant toutes les deux par les cheveux. Francesca eut un petit sourire devant ma sauvagerie, mais Sarah elle eut l'air de vouloir reprendre le dessus. Seulement, je la tenais fermement.
« Mesdemoiselles, on va passer à la vitesse supérieure. »
Toujours au dessus de Sarah, je fis signe à Francesca de me rejoindre, et l'installai à califourchon sur sa complice, moi, serrant l'italienne par derrière. Je la saisis par la nuque, et la forçai à embrasser Sarah, ce qu'elle fit avec grand plaisir. Les deux belles recommencèrent à s'embrasser avec une passion nouvelle. Comme tout à l'heure, c'est moi qui dirigeais, me servant de Francesca comme d'une marionnette. Elle embrassait Sarah là où je le voulais, avec le rythme et l'intensité que je voulais. Après qu'elles aient partagé une baiser passionné, je fis descendre Francesca sur le cou de Sarah qu'elle embrassa avec avidité. De même, c'est moi qui mis les mains de Francesca sur la poitrine de sa complice, et lui fis comprendre qu'elle devait les masser, ce qu'elle fit sans se faire prier. Sarah haletait, gémissait et se tordait de plaisir. Par dessus la tête de Francesca, je toisai Sarah d'un air supérieur et lui dis :
« Eh bien ? Je croyais que vous alliez me punir ? Visiblement même à deux vous êtes incapables de me soumettre, la prochaine fois, mettez vous y à trois ou quatre ! »
Les deux belles étaient incapables de me répondre, l'une trop occupée à embrasser avec passion l'autre, qui ne pouvait que gémir son plaisir. Dans cette position, aucune des deux ne pouvait se révolter, j'en étais ravi. Toutefois, les préliminaires n'avaient que trop duré, j'étais collé aux fesses bien rondes de Francesca, et ce contact, plus le spectacle qui s'offrait à mes yeux, plus l'excitation de tout contrôler rendait mon sexe si tendu que ça en devenait douloureux.
Je renversai Francesca, et la fis s'allonger sur le dos. Tenant fermement Sarah par les poignets, je la fis se mettre au dessus de sa complice italienne. Elle se débattit et refusa de s'exécuter, mais je le tenais fermement et c'est par la force que je la fis s'exécuter. Je l'installai à califourchon sur Francesca. Puis, d'un ton autoritaire je lui ordonnai :
« Maintenant déshabille ta copine. »
« Et si je refuse ? Dit Sarah sur ton de défi. »
« Arrête de vouloir te rebeller, répliquai-je. Ta copine t'a lâché, elle a pas envie de me dominer, tout ce qu'elle veut c'est se faire baiser, et elle sait que ça sera mieux avec moi au commande? T'es toute seule, t'as déjà perdu, alors soit tu m'obéis, soit je t'attache dans un coin pendant que je baise Francesca sous ton nez? A toi de choisir. »
Une fois de plus, Sarah parut hésiter entre son désir et sa fierté, mais elle choisit son désir. Elle saisit le débardeur de Francesca et le retira, avant d'embrasser goulûment le corps de l'italienne, léchant son buste et son ventre plat. Pendant ce temps, je retirai son t-shirt, et massai ses volumineux seins encore retenus par son soutif, tout en lui embrassant la nuque. Après quoi je m'attaquai à son jean, tandis que Sarah faisait de même avec celui de Francesca. Je retirai mon t-shirt, et ainsi, nous fûmes tous trois en sous-vêtement. Je retirai le shorty de Sarah, et la pénétrai d'un coup vigoureux, lui arrachant un petit gémissement. Je me mis ensuite à la baiser sauvagement en levrette, allant d'avant en arrière à un grand rythme, tandis que Francesca et elle s'embrassaient passionnément. Décidé à dompter Sarah, je n'hésitais pas à lui tirer les cheveux, à lui claquer les fesses, ou encore à lui tenir les bras, afin de bien lui faire comprendre qui était le patron. Francesca en profitait pour l'embrasser avec d'autant plus de passion, ainsi, Sarah était baisée par nous deux. La « pauvre » gémissait et se tortillait de plaisir, mais elle semblait bien incapable de reprendre le dessus. Je m'imposais comme le maître de la situation. Lorsque je sentis Sarah bien assommée par le plaisir, je ralentis le rythme, laissant les deux belles s'entre dévorer avec passion. Sarah avait retiré le soutif de Francesca, et lui embrassait les seins avec avidité, tandis que l'italienne lui maintenait la tête dans sa poitrine. Cette vision m'excita au plus haut point, et je me remis à baiser Sarah sauvagement, la limant avec vigueur. La tête enfouie dans les seins de Francesca, elle gémit très fort, tandis que Francesca me souriait d'un air encourageant. Je me dis alors que la levrette avait suffisamment duré, et décidai de changer de position.
Je pensais pénétrer Francesca cette fois, mais alors que je sortis de Sarah, celle si retourna, et chercha à me renverser : elle n'était toujours pas mâtée. Je lui saisis les poignets, et la plaquai contre le matelas. Elle se débattit un peu, mais je la tenais fermement. Francesca n'avait pas fait un geste, ni pour aider Sarah, ni pour m'aider moi. Visiblement, elle n'avait pas l'intention de prendre parti. En attendant, Sarah était maîtrisée, mais pas définitivement domptée, la levrette n'avait pas suffi à la calmer.
Je fis signe à Francesca de venir s'installer sur Sarah. Elle se mit à califourchon sur le visage de la belle, comme pour faire un 69, sauf que seule Sarah léchait Francesca. Moi pendant ce temps, je pénétrai à nouveau Sarah, et lui relevant les jambes, je la baisai en enclume.
Une fois de plus, je la baisais le plus sauvagement possible, mon but était de l'assommer afin qu'elle ne se révolte plus. Francesca pendant ce temps se faisait lécher, et gémissait en se tortillant, comme si elle était sur des charbons ardents. Tout en démontant Sarah, je regardai Francesca droit dans les yeux, et de temps en temps, elle se penchait vers moi pour m'embrasser. Tout en baisant Sarah avec de plus en plus de sauvagerie, j'embrassai les seins de Francesca, admirant leur rondeur et leur fermeté. J'accélérais progressivement le rythme, me mettant à la pilonner presque violemment. Francesca pendant ce temps dansait sur son visage de plus en vite, gémissant à pleine voix. Rapidement, je sentis que Sarah était en proie à un grand plaisir, son corps se raidissait, et elle frissonnait régulièrement. Je compris qu'elle était proche de l'orgasme, et me mis à accélérer encore le rythme, la baisant avec une passion accrue. Mes coups de reins m'emmenaient de plus en plus loin en elle, et elle finit par lâcher un grand gémissement, tout en étant secouée par une puissant décharge de plaisir : elle avait eu son orgasme. Je fis signe à Francesca de descendre du visage de Sarah. Il était temps que je m'occupe de l'italienne.
« Hmm ça va être mon tour d'avoir ta queue ? Dit elle visiblement ravie. »
« Oui, mais je vais être sur que Sarah se tiendra tranquille pendant ce temps. »
La belle était étendue sur le lit, la respiration sifflante. Elle semblait sonnée par le plaisir qu'elle venait de prendre. Mais je restais méfiant.
« Si tu veux, dit Francesca, je peux l'attacher, j'ai des menottes. Elle voulait qu'on s'en serve sur toi? Mais vu que c'est toi le chef ici, à toi de dire. »
Je trouvai l'idée excellente. Francesca me donna ses menottes, et j'attachai Sarah, en lui disant :
« Alors comme ça tu voulais me menotter ? Eh bien tu vois, c'est toi qui finis attachée. Comme ça je suis sur que tu resteras tranquille... »
Une fois Sarah neutralisée, je m'occupai de Francesca. Nous nous embrassâmes avec vigueur, chacun se caressant le corps de l'autre. Francesca finit par rompre notre baiser et dire :
« J'adorerais sucer ta queue. Laisse moi m'en occuper s'il te plaît ! »
J'hésitais un peu : bien sur j'avais toutes les raisons de vouloir que Francesca me suce, elle était très douée dans ce domaine. Mais ne risquait elle pas de profiter de mon plaisir pour reprendre le dessus ? En voyant ses yeux briller d'impatience, je me dis qu'il serait criminel de lui refuser son plaisir : je me mis debout devant le lit, et lui tendis mon sexe, gonflé au maximum. Avec un air avide, elle le prit en main et se mit à le sucer. Elle démarra sa fellation sur un rythme immédiatement élevé, me pompant comme une folle. Je frémis de plaisir, et lâchai un gémissement, tandis que Francesca me léchait le gland à grands coups de langue.
« C'est tellement bon ce que tu me fais ! T'arrête pas surtout ! »
Fière d'elle, Francesca redoubla d'ardeur, besognant ma queue avec sa bouche, ne me laissant pas un instant de répit. Elle enchaînait ses va-et-viens avec sa bouche, sur un rythme implacable, ne s'arrêtant que pour m'administrer ses coups de langue dévastateurs, qui me firent bientôt trembler sur mes jambes. Tout en me suçant, elle me lançait des regards brûlants qui me faisaient presque autant vibrer que le reste. Elle s'acharnait sur ma queue avec une opiniâtreté qui ne pouvait signifier qu'une chose : elle était décidée à me faire jouir. Décidé à rester maître de la situation, et de mon plaisir, je serrai les dents, et tâchai de me contenir. Mais Francesca y mettait une telle passion, que je compris bien vite que je ne pourrai supporter ce rythme bien longtemps. Bien que je prenais un pied énorme, je décidai donc d'interrompre la fellation de Francesca. Je la tirai par les cheveux, et lui dis :
« C'est moi qui décide quand je jouis, pas toi. »
« C'est ce que tu crois, me répliqua-t-elle sur un ton de défi. »
Je compris qu'elle avait besoin de la même leçon que Sarah. Je me jetai sur elle, et la maîtrisant, je la pris en missionnaire. Je me mis à lui administrer de puissants coups de reins, mais n'eus pas beaucoup de temps pour la baiser : elle m'agrippa avec ses jambes, et me fis tomber du lit, se retrouvant sur moi. Elle se mit à se déhancher sur mon sexe, me donnant de terribles coups de reins. Je voulus la renverser, mais elle me saisit les poignets, et me les plaqua contre le torse, m'immobilisant. Ses coups de reins, qui allaient crescendo m'empêchaient de me débattre, et elle put ainsi continuer à me baiser comme elle l'entendait. Le plaisir devint vite insupportable, ma vision se brouillait, et je compris que Francesca allait avoir raison de ma résistance et me faire jouir sous peu?
Soudain, je la sentis partir en arrière, comme si quelqu'un la tirait. Surpris, j'ouvris les yeux, et vis que c'était Sarah, qui étalait Francesca par terre. Mystérieusement, elle avait réussi à retirer ses menottes. Désormais, elle plaquait Francesca au sol, et s'assit sur son visage.
« Allez lèche moi sale collabo ! Lui intima-t-elle. »
Sonné par les coups de rein de Francesca, je ne me sentais pas d'intervenir, et préférai profiter du spectacle : Sarah, dansant sur le visage de Francesca, prenant son pied sous les coups de langue de l'italienne.
« Hmmm continue, lèche moi ! Ca t'apprendra à t'associer avec l'ennemi ! »
« La pauvre, dis je, elle a rien fait de mal, en plus elle a essayé de me soumettre, alors tu lui reproches quoi ? »
« Tais toi, toi, je m'occuperai de ton cas après. Elle a voulu me mettre hors jeu, elle va le payer, après ce sera ton tour. »
Mais Francesca dut lui donner un coup de langue plus délicieux que les autres, car elle poussa soudain un grand gémissement. L'italienne en profita pour la faire tomber, et reprendre le dessus. Elle lui prit les mains, et les lui plaqua contre le sol. Les deux belles auraient continué de se bagarrer entre elle, mais je n'en pouvais plus, et désirai me joindre à elles. Je me levai, mais aussitôt Francesca se leva elle aussi, bientôt imitée par Sarah.
« On réglera nos comptes avec dit Sarah le souffle court. D'abord il faut qu'on s'occupe de celui là. »
« C'est ce que j'étais entrain de faire avant que tu m'interrompes. Répliqua Francesca. »
« Sauf que tu le voulais pour toi toute seule? Là, il faut qu'on le mâte nous deux... »
Je ressentis un brin de nervosité : cette fois, j'étais le dompteur qui avait perdu tout contrôle sur ses panthères et allait les voir se jeter sur lui? J'en ressentais de l'excitation, mais aussi un peu d'appréhension. Décidé à prendre les devants, je me ruai sur Sarah. Je la saisis pas les hanches, et la collai contre moi, cherchant à l'immobiliser. Elle m'enserra contre elle à son tour, et m'embrassa avec passion. Francesca pendant ce temps chercha à me pousser sur le sol, mais je résistai. Je repoussai Sarah, avant de saisir Francesca, de la forcer à se retourner, collant son dos contre moi, et malaxant ses seins avec passion. La belle frémit de plaisir, tout en frottant ses fesses nues contre mon sexe, me branlant délicieusement. Mais Sarah n'avait pas l'intention de rester en dehors, elle m'attrapa par les cheveux, et me tira de force vers elle. Francesca et elle, unirent leur force, et parvinrent à me pousser jusque sur le lit, et m'obligèrent à m'étaler dessus. Là, Sarah fouilla dans sa table de nuit, avant d'en sortir une nouvelle paire de menottes, avec lesquelles elle m'attacha aux barreaux de son lit. J'eus beau me débattre, les belles s'y mirent à deux pour m'attacher, et je ne pus leur résister. J'étais cuit, elles allaient faire de moi ce qu'elles voudraient? Je ne sus si j'en étais désespéré ou ravi?
« Et voilà, dit Sarah m'adressant un sourire narquois. Cette fois tu vas peut être te tenir tranquille ? »
Elle se mit à embrasser mon torse doucement, comme pour bien marquer son territoire. Puis elle se tourna vers Francesca et dit :
« Maintenant, je vais t'apprendre à jouer les collabos ! »
Elle attrapa Francesca, et la plaqua contre le matelas. Puis, se jeta sur son intimité, et lui fit un délicieux cuni, qui arracha très vite des gémissements de plaisir à Francesca. Sarah lui dévorait son minou, ne s'interrompant que pour lancer à Francesca :
« C'est bien gémis ! Subis ce que je te fais, et apprends ce qu'il en coûte de s'allier avec l'ennemi ! »
Et elle reprenait ses coups de langues dévastateurs. Mais Francesca n'avait pas dit son dernier mot. Elle enroula ses jambes autour de la tête de Sarah, et d'un coup de rein, la retourna, inversant la situation. Francesca se trouvait à présent assise sur le visage de Sarah, et celle ci ne pouvait plus que lécher l'italienne comme elle le désirait. Francesca se déhanchait sur le visage de Sarah, et appuyait dessus pour bien lui faire comprendre qui était la patronne. Elle prenait un pied énorme, se caressait les cheveux, tout en fermant les yeux à moitié et disant :
« Hmmm c'est boon ! Continue de me lécher avec ta langue de vipera ! Allez continue ma soumise ! »
Mais elle avait sous estimé Sarah. Bien qu'elle eut l'air soumise, elle n'avait pas capitulé. Elle saisit les jambes de Francesca, et fit tomber l'italienne sur le lis. Après quoi, elle la saisit par les hanches, et la fit se mettre à quatre pattes, comme pour la prendre en levrette. Seulement, Sarah se contenta de doigter Francesca, avec cependant une telle vivacité que Francesca se mit à crier comme si un énorme sexe la besognait. Sarah la fit se déplacer de sorte que le visage de l'italienne soit juste en face du mien. Je pus ainsi admirer le beau visage de Francesca décomposé par le plaisir, alors qu'elle subissait les assauts doigtiers de Sarah. Celle ci n'hésitait pas à tirer les cheveux de Francesca, ou à lui donner des claques sur les fesses, afin de la brusquer d'avantage.
Mais Francesca n'entendait pas se laisser faire. Elle se redressa, se retourna, et plaqua Sarah contre le matelas. Elle voulut la chevaucher, frottant son sexe contre celui de Sarah, mais cette dernière ne voulait définitivement pas se laisser mener. Elle renversa Sarah, mais ne parvint pas à s'installer sur elle : les deux belles en furent réduites à s'entre baiser en ciseaux, chacune cherchant vainement à prendre le pas sur l'autre. Le plaisir qu'elles éprouvaient était en revanche évident : elles gémissaient l'une et l'autre à pleine voix, tout en se frottant avec énergie contre l'autre. Aucune ne parvenait à l'emporter, et il arriva ce qu'il devait arriver : les deux belles eurent un merveilleux orgasme en même temps.
Essoufflées et toutes rouges, elles se regardèrent un moment, puis Francesca dit en me désignant :
« Plus tôt que de se bagarrer entre nous, on ferait mieux de s'occuper de lui. »
« Ok, acquiesça Sarah. »
Elles vinrent vers moi, et j'eus un petit frisson d'impatience.
« Je le suce, et toi tu te mets sur lui pour qu'il te lèche ? Proposa Sarah. »
« Ok, dit Francesca, ça me va. »
L'italienne vint sur moi, et s'assit sur mon visage :
« Allez lèche moi tesoro, dit elle. »
N'ayant pas le choix, je me mis à lécher Francesca du mieux que je pouvais. La belle se mit aussitôt à gémir, et à se tortiller comme pour me baiser la bouche. Au même moment, je sentis un délicieux frisson de plaisir me parcourir, partant de ma bite : je compris que Sarah s'était mise à me sucer. Le plaisir me fit bien vite perdre la tête, je me tortillais sous Francesca, et celle ci s'agitait d'autant plus pour mieux profiter de ma langue qui ne s'arrêtait jamais de la lécher avidement.
Au bout d'un moment, je sentis quelque chose de différent se passer au niveau de ma bite : Sarah venait de la caler entre ses seins. Je sentis mon sexe coulisser délicieusement dans la poitrine, et j'eus un nouveau frisson de plaisir. Au même moment, Francesca descendit de mon visage, et je pus admirer Sarah en pleine branlette espagnole. Elle tenait ses deux seins, et comprimaient ma queue avec, me branlant avec vigueur, elle n'y allait pas de main morte, et se donnait à fond. Francesca observait la scène avec intérêt. Un petit sourire moqueur aux lèvres, Sarah lui dit :
« T'admires le travail d'une pro ? »
« Bof, répliqua Francesca, je suis sure que je le fais mieux que toi ! »
« J'ai de plus gros seins que toi, fit remarquer Sarah. Je le fais jouir avant toi ! »
« Pari tenu ! »
Alors, les deux belles se mirent à alterner, l'une après l'autre, elles me branlèrent avec leur merveilleuse poitrine, chacune cherchant à me faire jouir. Elles avaient des techniques différentes, Sarah y allait fort, me branlant vigoureusement, tandis que Francesca était plus subtile, et jouait avec mes nerfs alternant rythme lent et rythme rapide. Je me prêtai au jeu, et tâchai de résister, mais je sentais ma vigueur décliner progressivement, et compris que je ne pourrai pas tenir plus longtemps. Après une énième branlette vigoureuse de Sarah, j'étais au porte de la jouissance, et me dis que Francesca allait gagner. Elle cala mon sexe dans sa poitrine, et se mit à partir sur un rythme élevé, avant de soudain ralentir. Elle me regardait droit dans les yeux, se délectant de ma frustration, avant de reprendre son rythme rapide soudainement. Je crus bien que j'allai jouir cette fois, mais parvint à résister. Francesca ralentit encore le rythme, avant de soudainement le réaccélérer sans que je m'y attende. Le plaisir monta brusquement en moi, et je compris qu'encore une ou deux minutes, et Francesca allait avoir raison de ma résistance? Mais son temps imparti était écoulé. C'était autour de Sarah d'essayer de me faire jouir. Fidèle à sa technique, elle se mit à me branler avec ses seins à un rythme effréné, faisant monter le plaisir en moi en une vague irrésistible? Je serrai les dents, et fis tous les efforts possibles pour contenir la jouissance : je ne voulais pas que Sarah me fasse jouir, elle vivrait ça comme une victoire contre moi et Francesca et serait insupportable de prétention après? Je voulais vraiment donner la victoire à Francesca, et défiant Sarah du regard, je me retins de jouir. Sarah se mit à accélérer, ses seins écrasant mon sexe et le caressant vigoureusement de haut en bas, sur un rythme tellement élevé? Mon visage se décomposa sous le plaisir, et Sarah eut un sourire de triomphe? Mais je n'avais pas encore joui, je n'avais plus que quelques secondes à tenir, avant que Francesca ne prenne la relève, je pouvais le faire? Comme si Sarah lisait dans mes pensées, elle se mit encore à accélérer, c'était tellement fou ce qu'elle me faisait? Le jeu de regard se poursuivait, on se défiait du regard, le plaisir était toujours très élevé, et je devais me retenir très fort de jouir? Mais je sentais que Sarah donnait ses derniers coups, encore un ou deux allers-retours de ses merveilleux seins, et elle devrait donner la place à Francesca, l'italienne et moi allions gagner? Et soudain, Sarah tout en continuant sa branlette me donna un coup de langue juste sous le gland, (un point très sensible) alors que mon sexe jallissait au dessus de ses seins. Ce fut le coup de grâce : sous un sourire triomphant de Sarah, ma bite explosa de jouissance, inondant sa poitrine.
« J'ai gagné ! S'exclama-t-elle. »
« T'as utilisé ta langue ! T'as triché. dit Francesca. »
« Elle a raison, intervins je. »
« Soyez pas mauvais joueurs tous les deux. Le coup de langue ça fait partie de la branlette espagnole, je t'ai fait jouir, donc j'ai gagné? Ma récompense ce sera : de m'empaler sur ta queue ! »
Et sans plus argumenter, elle s'empala net sur mon sexe encore tendu, poussant un gémissement. Doucement, elle se mit à faire des va-et-viens, n'augmentant le rythme que progressivement, allant d'abord lentement, avant d'augmenter la cadence progressivement. Au bout de quelques minutes, elle allait à un rythme fou me donnant de puissants coups de reins, qui faisaient trembler le lit et m'arrachait des cris de plaisir. Francesca pendant ce temps, s'était mise derrière Sarah, et lui léchait la nuque, lui embrassait les épaules, et lui massait les seins avec vigueur. Sarah gémissait à chacun de ses allers retours, et semblait apprécier le traitement que lui réservait Francesca. Elle se mit à se déhancher de gauche à droite sur mon pieu dressé, gémissant de plus en plus fort, et allant de plus en plus vite. « Ta queue est tellement bonne ! Hmmm j'adore ça ! » gémit elle tout en poursuivant ses assauts. Francesca se mit à lui titiller le clito tout en se frottant à elle dans son dos, augmentant ses gémissements. Elle se mit à donner des coups de reins encore plus fort, jusqu'à pousser un grand cri : elle avait eu un délicieux orgasme, qui la laissa écroulée sur le matelas.
« C'est tellement bon, soupira Sarah. J'ai eu ma dose, à ton tour Francesca. »
Celle ci fit mine de s'empaler sur moi, mais Sarah l'interrompit.
« Non attends? Ne faisons pas tout le boulot, à lui d'agir un peu : il va te prendre en levrette. »
Francesca eut un petit sourire ravi, et Sarah me détacha en me prévenant :
« Au premier geste de rébellion, je punirai tellement sévèrement que tu ne t'en remettras jamais... »
C'était tentant, mais je dois dire que je n'avais plus du tout envie de me rebeller, juste de me laisser faire par ces deux là. Francesca se mit à quatre pattes devant moi, et une fois détaché, je fis mine de la saisir par les hanches pour la pénétrer, mais Sarah vint derrière moi, et me tint les mains me les mettant dans le dos.
« Tu baises Francesca sans les mains, dit elle. Et discute pas, c'est moi qui commande. »
Je pénétrai Francesca d'un coup de rein, puis me mit à la culbuter aussi fort que possible. La baise n'était pas aisée, sans les mains, je ne pouvais maintenir Francesca, et l'italienne avait beau être prise en levrette, elle donnait presque autant le ton que moi, m'administrant des coups de reins par derrière, en bougeant son magnifique postérieur. Je me débrouillais bien cependant, et donnais à Francesca des coups de reins suffisants pour la faire gémir à pleine voix. Derrière moi, Sarah me tenait les mains, et me disait :
« Allez ! Dépêche toi, baise Francesca plus vite ! Plus vite je t'ai dit ! Allez ! Tu peux pas faire mieux ? »
Je tâchai de lui obéir, et d'aller plus vite, mais sans les mains, ce n'était pas facile. Francesca continuait de donner de puissants coups de reins si bien que parfois c'était elle qui dirigeait la levrette et pas moi. Même si la plupart du temps, c'est moi qui à force d'efforts et de gros coups de reins donnais le ton, Sarah se moquait de moi en me murmurant à l'oreille :
« Hmm, c'est ta chienne qui te baise, faut croire que tu manies mal le bâton? Baise la plus vite sinon elle va te mordre... »
Alors que Francesca venait de me donner un coup de rein particulièrement bon, m'arrachant un gémissement. Haletant, je répliquai à Sarah :
« Si tu veux que je la baise, libère moi les mains ! »
Je m'attendais à ce qu'elle refuse, mais à ma grande surprise, elle me lâcha les mains. Je pus alors saisir Francesca par les hanches, et je me mis à la baiser plus fort que jamais. Je lui assénai de puissants coups de reins, la baisant comme un métronome, sans répit et sans relâche, lui cognant le fond de son intimité. Francesca se mit à gémir à flot continu, frémissant des pieds à la tête. Elle n'était plus du tout en état de me donner des coups de reins, j'étais redevenu le maître. Je lui tirai les cheveux pour l'obliger à me regarder dans les yeux, tout en continuant de la baiser puissamment je la sentis se raidir sous le plaisir que je lui infligeais, j'accélérai encore le rythme, son visage se décomposa littéralement, et dans un grand frisson elle eut un orgasme qui lui arracha un petit gémissement, et qui la laissa effondrée sur le lit, sonnée.
« Tu vois ? Dis je à Sarah, je sais très bien manier le bâton finalement... »
« Hmm apparemment? A moi d'y goûter : viens me baiser ! »
Elle se mit allongée sur le côté, me lançant une invitation sans équivoque. Je vins derrière elle, et la pris en cuillère, tandis que Francesca nous observait. Décidé à lui montrer de quoi j'étais capable (et peut être à reprendre le dessus ?), je me mis à la baiser avec force, lui donnant de puissants coups de reins. Je la tenais serrée contre moi, lui massant les seins avec force, la baisant avec sauvagerie, tout en lui malmenant le clito avec mes deux doigts. Sarah, en proie à un intense plaisir se démenait entre mes bras, mais je la maintenais fermement, tout en continuant à la baiser sans cesse plus vite. La belle se mit à gémir très fort, et je me mis à accélérer, histoire d'enfoncer le clou. « Alors, je le manie pas bien mon bâton ? » lui dis je d'un ton provocateur. Sans répondre, Sarah se servant de ses jambes me retourna, et me fit m'étaler sur le dos, avant de s'installer sur moi. Elle me tournait le dos, m'offrant une magnifique vision sur son postérieur rebondi. Elle s'empala sur mon sexe, m'arrachant un petit cri de plaisir.
« Je reconnais que tu sais bien te servir de ta bite, mais c'est mieux quand j'en fais mon jouet. »
Elle se mit à se déhancher de gauche à droite, sur un rythme élevé, son fessier s'agitant sous mon nez, me rendant fou. Francesca pendant ce temps, vint au dessus de mon visage, et m'embrassa langoureusement à l'envers comme dans spider man. Je lui attrapai la nuque, et lui rendis son baiser, sur un rythme passionné. Sarah pendant ce temps continuait de se déchaîner sur ma queue, allant et venant à un rythme très élevé, me faisant vibrer de plaisir, et poussant de petits gémissements de temps à autre. Francesca interrompit notre baiser, et vint se mettre devant Sarah, lui dévorant les seins, et l'embrassant sauvagement. Sarah elle se mit à me baiser avec encore plus de vigueur, allant de haut en bas, bondissant littéralement sur mon sexe. Je lui saisis les hanches pour accompagner le mouvement, mais elle me prit les mains, et me les retira, le message était clair : la patronne c'était elle. Tandis que Francesca était occupée à enfouir sa tête dans les seins de Sarah, celle ci se remit à se déhancher sur mon sexe, m'hypnotisant à l'aide de son fessier qui s'agitait sous mes yeux, et déclenchant de puissantes vagues de plaisir, qui montaient et montaient en moi sans que je puisse les refréner. Elle eut bien vite raison de moi : j'explosai à nouveau dans un délicieux orgasme qui me laissa étourdi sur le lit. Sarah eut son orgasme en même temps, et elle s'écroula à son tour.
Pas encore rassasiées, Sarah et Francesca s'embrassèrent plus furieusement que jamais. Sarah vint derrière Francesca, et lui embrassa la nuque et lui lécha l'épaule, ce qui eut le don de me redonner aussitôt ma vigueur? Je vins devant Francesca, et me mis à lui dévorer les seins avec avidité, elle frémit de la tête aux pieds, et dit en rigolant :
« En voilà un qui récupère vite ! A mon tour de le baiser, peut être que j'arriverais à la calmer... »
Et sur ce, elle vint sur moi, et s'empala sur mon sexe. Je restai en position assise, si bien que Francesca enroula ses jambes autour de ma taille, et se mit à me baiser en position du lotus. Elle dansait sur mon sexe, faisant des allers-retours d'avant en arrière, me faisant frémir d'aise. J'aidais le mouvement en la tenant par les hanches, augmentant encore le plaisir chez nous deux. Francesca me tenait par la nuque, et maintenait mon visage à quelques centimètres du mien, me regardant droit dans les yeux, tout en bougeant magnifiquement, et de plus en plus vite. J'en perdais complètement la tête, et je participai de moins en moins, me laissant baiser par Francesca. Sarah vint derrière moi, et me prit les mains, m'empêchant de garder un minimum de contrôle. Pleinement maîtresse de la situation, Francesca se déchaîna plus que jamais, allant si vite et me faisant tellement de bien, que ma vue se brouilla et que des étoiles se mirent à danser devant mes yeux. Sarah elle, se mit à me mordiller l'oreille, avant de prendre ma tête, et de la fourrer par derrière dans sa poitrine, tandis que Francesca faisait de même par devant, me prenant ainsi en sandwich dans ces deux merveilleuses paires de seins, me faisant croire que j'étais au paradis. Francesca se mit encore à accélérer le rythme, criant à pleine voix son plaisir, et elle finit par avoir un nouvel orgasme qui la fit pousser un petit cri suraigu.
Elle se retira de ma queue, haletante.
« Comment tu veux qu'on le finisse ? Demanda Sarah. »
« Je veux ma revanche : la première qui le fait jouir en le suçant a gagné, ça te dit ? Proposa Francesca. »
« Pari tenu, répliqua Sarah. Mais je veux qu'on l'attache. »
Les deux belles me firent me lever, et m'attachèrent aussitôt aux barreaux du lit. Je me laissai faire, trop heureux d'être une énième fois l'objet de leur rivalité. Les deux tirèrent au sort pour savoir qui devait commencer, et Sarah l'emporta. Avec une petit air supérieur, elle s'approcha de ma queue, et aussitôt se mit à me sucer comme une sauvage, me gobant le sexe et se mettant à me pomper avec une avidité sans pareille. Elle allait et venait à un grand rythme, inondant ma verge de salive, ce qui lui permettait d'aller sans cesse plus vite. Le plaisir augmenta brutalement en moi, mais je parvins aisément à ne pas jouir. L'air un peut dépité, Sarah laissa sa place à Francesca au bout de quelques brûlantes minutes.
A son tour, Francesca approcha sa bouche de mon sexe. Elle se mit à me lécher de bas en haut, s'attardant sur les extrémités donnant de grands coups de langues à la base et sous le gland, me faisant trembler comme jamais. Ensuite, elle me goba le sexe, et fit de lents va-et-viens, me faisant progressivement découvrir d'exquises sensations. Elle se mit soudainement à accélérer, et je sentis tout mon corps se cambrer sous l'effet du plaisir. Je sentis une vague brûlante de plaisir me submerger, mais je parvins à contenir la jouissance qui montait en moi, mais de justesse. Francesca dut ensuite laisser sa place à Sarah, qui un sourire aux lèvres s'approcha de ma queue.
Elle se remit à me sucer sauvagement comme une folle, me pompant à un rythme très élevé, allant de haut en bas si vite, que ses cheveux tombaient en cascade devant son visage, et s'agitaient en tout sens au rythme de ses assauts. A nouveau le plaisir monta en moi, je serrai les dents et m'agrippai aux draps pour tenir le choc, Sarah se mit à me mitrailler de coups de langue un peu partout, mais je parvins à tenir le coup.
Je pensais pouvoir tenir encore deux trois tours ainsi, car je me sentais très vaillant. Francesca s'avança, un sourire confiant aux lèvres.
« C'était une super baise, mais il est temps de conclure. »
« Tu rêves ! Répliqua Sarah. Il peut tenir le coup, c'est moi qui vais le faire jouir après. »
« Elle a raison, je peux tenir dis je. Et d'ailleurs elle me fera pas jouir le coup d'après, alors toi? aucune chance que t'y arrives ce coup là ! »
« C'est ce qu'on va voir? Répliqua Francesca. »
Elle fit courir lentement sa langue sur mon sexe, de la base au sommet. Je frémis, mais j'étais très loin de la jouissance.
« C'est avec ça que tu veux le faire jouir ? Railla Sarah. »
Sans répondre, Francesca reprit son manège une fois, deux fois, et encore une fois. A chaque fois je frémissais, mais j'étais très loin de l'orgasme. Et soudain, Francesca se mit à donner les mêmes coups de langue, mais beaucoup plus vite, comme un chien qui boit de l'eau, elle enchaînait avec sa langue, comme si elle était un moulin. Je me mis à gémir comme jamais, et à trembler de tout mon corps, mais Francesca n'en n'avait pas fini avec moi. Elle se mit à me donner les mêmes coups de langue, mais uniquement à la base de mon sexe, déclenchant un raz de marée de plaisir en moi. Elle répéta son manège, mais mitraillant cette fois ci mon gland, transformant le raz de marée en tsunami. Je poussai un véritable hurlement d'extase, et compris que je ne pourrais pas tenir plus longtemps.
« Et maintenant, le coup final ! Annonça Francesca »
Elle me goba la bite d'un coup sec, et se mit à me sucer très rapidement, comme une furie. Je ne pus tenir le choc, et jouis à grands flot sur son visage et dans sa bouche dans un délicieux orgasme.
« Gagné ! Dit Francesca avec un sourire de triomphe, les lèvres barbouillées de blanc. »
« Ok maugréa Sarah, je reconnais que tu te débrouilles bien avec ta bouche. »
Les deux belles vinrent se pelotonner contre moi. Epuisés et ravis par cet armistice mouvementé mais ô combien délicieux, nous ne tardâmes pas à nous endormir.
Autant que je sache, elles n'eurent plus d'ennuis de voisinage. Dés que l'une s'envoyait en l'air dans sa chambre étudiante, l'autre la rejoignait aussitôt, ainsi, personne ne se dérangeait. Cependant, les « malheureux » garçons qui firent les frais de cet arrangement furent toujours un objet de compétition entre les deux belles? Certaines choses ne s'arrangent pas, même avec les meilleurs accords du monde, mais parfois, c'est peut être une très bonne chose.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère que vous l'avez appréciée, si c'est le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire pour le dire, ça me fait toujours plaisir ! Je vous encourage aussi à donner votre avis sur les personnages, l'action, ou le scénario, ça m'est toujours utile ! Si cette histoire vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager avec les autres, je vous en prie, n'hésitez pas !
Par ailleurs, quelques personnes m'ont envoyé des mails ces derniers mois, et à chaque fois ils me demandaient si ça me dérangeait. Je le précise donc une bonne fois pour toutes : ça me fait très plaisir de recevoir des mails de lecteurs et de lectrices, n'hésitez donc pas ! Si vous avez des questions à me poser, envie de me parler d'une histoire ou d'un personnage ou tout simplement du temps qu'il fait, mon adresse mail est là pour ça !
Si tout se passe bien, on se retrouve très vite pour la prochaine histoire qui ne devrait pas être trop longue :)
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