Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (1)

- Par l'auteur HDS Fandefist34 -
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Récit libertin : Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (1)
Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (1)
J’ai 49 ans, je ne les fais pas, j’ai un corps musclé, 173, 75 kg, brun, lunettes. Je me rase le corps intégralement tous les 3 jours et suis quasiment imberbe sauf la tête. Je suis marié à une femme qui sait que je suis bi et quasiment homo, vu les faibles rapports que nous avons où au fil des ans la tendresse a remplacé la sexualité. Ma femme sait que je drague, que j’ai des rapports avec des hommes. Parfois je négocie des nuits d’absence que je passe ailleurs, des après-midis ou je vais en sauna… Elle ignore simplement l’intensité de certains plans que je souhaite et accepte. Elle m’a fait faire deux seules promesses : me protéger toujours et n’accepter aucun rapport sans protection et ne jamais recevoir de plan chez nous. Du coup j’ai eu des amants réguliers, des maitres aussi, j’ai des plans plus ou moins longs, des plans d’un ou quelques coups. Je vais vous raconter comment tout s’est déglingué et comment je suis devenu la pute d’un mec, qu’il soit arabe n’est pas primordial.
Ça a commencé par hasard. Un vendredi soir, j’avais une réunion à18 h et le trajet compris il me restait une demi-heure à perdre. Je me branche sur COCO.FR pour voir si je peux chater un peu. Arrivé sur le site au bout de quelque secondes je reçois un message d’un ARABECHABAISER qui me demande ou je suis dans la ville, qu’il est libre et qu’on peut se voir quand je veux. Après quelques phrases je sais qu’il est marié, qu’il ne peut pas recevoir, moi non plus car ma femme m’a fait jurer de ne jamais recevoir « mes plans dragues » à la maison. On est donc dans une impasse, on parle de se voir dans un hôtel mais il faut prendre rendez-vous, trouver un hôtel sans réception…
Soudain il me propose que nous nous rencontrions en ville « pour voir au moins si ça collera entre nous ». Je lui ai dit que j’étais pressé, que je n’ai qu’un quart d’heure mais comme nous ne sommes pas trop loin j’accepte. On échange nos numéros de téléphone. Et on se donne rendez-vous sur une place a quelques minutes de chez moi.
Quand j’arrive sur la place, j’appelle et je vois à quelques mètres de moi, un gars qui décroche. On se salut, il me propose de m’assoir à côté de lui mais je préfère marcher avec lui pour aller vers le lieu de ma réunion et gagner ainsi quelques minutes. Je lui demande pourquoi il drague en affirmant qu’il est « arabe », ce n’est pas sa première qualité, il est un mec bien proportionné de 175 cms, pas de surpoids, cheveux noirs, lunettes très larges…. Il me répond aussi sec. « Il y a des mecs qui ne veulent pas un arabe. On fait peur. Je préfère prévenir ». Il me plait bien mais hélas je n’ai pas le temps, je lui dis qu’on se reverra que je vais chercher un hôtel. Il marche à côté de moi sur l’esplanade et au bout il y a un petit jardin après un pont qui l’isole. Il me demande d’y passer faire un tour pour voir si on peut s’isoler. Je le suis en lui disant qu’on ne pourra rien faire, qu’il y a trop de monde. Quand on rentre dans le jardin on croise un couple qui en sort, et le jardin est sombre car les lumières n’ont pas pris le relai et la luminosité est entre « chien et loup ». On prend une petite allée qui nous isole et on passe derrière un bosquet. Arrivé-là, je l’embrasse à brule pourpoint et il répond à mon baiser, un grand palot. Il met ses mains sur mes épaules les masses, les descend dans mon dos et arrive sur mes fesses et attire mon corps vers le sien, fortement. Ma main cherche sa braguette, je sens sa queue bien dure dessous, je défais un, puis deux boutons… et la lumière explose. Les lampes s’allument dans le jardin et on entend des voix. Je sors de derrière le bosquet et je reviens vers le centre du jardin pour voir à quarante mètres deux policiers municipaux qui raccompagne deux couples. Il m’a rejoint marche à mon côté, on passe devant les policiers qui s’étonnent de ne pas nous avoir vu mais qui ne font aucune remarque quand on passe devant eux.
On revient sur l’esplanade. Il me dit, « reste un peu on va trouver un lieu pour ... ; ». Ma réunion est importante je ne peux pas la rater. Il me questionne. « Elle est où cette réunion ? Tu fini vers quelle heure ? Je peux t’attendre ? Tu dois rentrer chez ta femme avant quelle heure ? ». Je fini vers 20 heures c’est dans tel quartier et il y a un parc municipal mais qui sera fermé vu l’heure. « T’occupe, je vais chercher comment y rentrer ».
Deux heures plus tard, je sors de ma réunion. Après les au revoir d’usage, je pars à pied pour rentrer chez moi. Je longe les grilles du parc cet j’appelle Ahmed, puisqu’il m’a donné ce prénom. Il décroche immédiatement et me dit « tu es où ? ». Comme je lui explique, il m’arrête vite en disant « revient en arrière l’entrée que j’ai trouvé est dans la rue derrière ». On se retrouve et on arrive aux bouts des grilles, en montant sur le parapet d’un pont on peut se glisser derrière la grille, revenir derrière et se retrouver dans le parc qui n’est plus éclairé. On y va, on avance dans le parc dans l’ombre plus personne ne doit nous voir. On trouve un bosquet avec un centre dégagé, on est totalement isolé et tranquille sauf s’il y a des gardes de nuit, ce que je ne crois pas. On se saute dessus, on s’embrasse, il recommence à me caresser les épaules, le dos, les fesses, mais là, il insiste avec ses doigts en m’écartant les fesses et en passant un doigt bien dans ma raie. Moi je l’embrasse avec avidité, je caresse sa queue à travers le pantalon, je recommence à défaire la braguette. Trois boutons sautent et je farfouille derrière, écarte un slip et voilà madame qui sort et se dressant bien. Ni une ni deux, je m’agenouille et je l’avale d’un seul coup. Elle sent bon, elle semble propre, elle est bonne et va bien dans ma bouche et le début de ma gorge. Très vite, elle frappe au fond et j’ai des larmes aux yeux, mais c’est bon et je continue à sucer. Il m’arrête au bout de moins d’une minute, me fais me redresser et me parler face à moi, nos deux têtes à quelques centimètres l’une de l’autre « Tu aimes ça mon ami, tu aimes ça. J’ai des capotes, tu veux que je t’encule ? » Sans répondre, je me retourne, j’enlève ma veste que je pose sur l’herbe, je relève mon pull et je défais ma ceinture et laisse glisser mon pantalon. Je suis à poil dessous car je mets rarement des boxers ou slip. Je suis de trois quart face à lui. Il se penche et déchire une protection de capote qu’il essaie d’enfiler. Je m’agenouille devant lui et je l’aide à dérouler la capote sur sa queue bien dure avec ma langue je parcours sa queue jusqu’à son gland, que j’aspire deux ou trois fois. Il passe ses mains sous mes bras et me relève. Il me fait me tourner et avec sa main cherche mon trou. Il pointe sa queue et rentre d’un seul coup vif et puissant. J’en pousse un petit cri et il me met une main sur la bouche pour éviter que je ne me manifeste une autre fois. Mais je n’ai plus envie de crier. Sa queue est bien en place dans mon trou, il ne bouge pas, il prend bien sa place et commence à me parler doucement. « Tu aimes ça, hein, tu l’aimes bien ma queue de male, tu vas voir elle va te faire beaucoup de bien, beaucoup de plaisir, tu vas voir, tu m’en redemanderas, et je vais t’aimer comme tu ne l’as jamais été ». En chuchotant, il commence à bouger, au début lentement, puis de plus en plus puissamment. Il me tient le bassin avec une main, l’autre est restée sur ma bouche et il commence à me pistonner sur toute la longueur de sa queue. Je sens qu’il se retire jusqu’à l’orée de son gland et puis s’enfonce. Au début c’est une sensation de chaleur dans mon cul, mais il rentre de plus en plus vite et puissamment et la chaleur se transforme en plaisir, je sens que je vais jouir, je commence à gémir et je mets moi aussi une main sur sa main qui me bâillonne. Je salive dans sa main car j’aime ça sentir mes lèvres se frotter à la chaleur du corps. Je gémis, il me pistonne et la jouissance viens. Oh putain que c’est bon. Derrière moi je sens que la queue explose, les derniers coups de rein d’Ahmed sont plein de puissance, il appuie sa tête sur mon dos, il se vide. On reste quelques instants immobiles puis, il se retire. Son préservatif pend au bout de sa queue, bien plein. Il l’arrache pendant que je remonte mon pantalon. Il m’arrête en disant « attend, il passe sa main sur mon torse, descend vers ma queue qui est grosse mais pas dressée, et il passe ma main sur mes couilles, mon pubis. « Tu n’as pas de poil, tu te rases où tu t’épiles ? ». « Rasage tous les trois jours, je n’aime pas les poils ». Il sourit et dit « ça ne m’étonne pas ». Je remonte mon pantalon, ferme ma braguette et je remets mon sweat en place. « Ça t’a plu hein, ça t’a plu. Tu as aimé ». Je ne réponds pas de suite, j’enfile ma veste, je cherche à effacer la trace d’herbe ou de terre. Puis je me retourne vers lui et je l’embrasse a pleine bouche, je lui donne ma langue, ma salive, ma jouissance. Il me recaresse le dos, les épaules. « Tu n’a pas joui, ta queue n’a pas craché, tu veux que je te branle ? » C’est rare cette attention à l’autre après avoir joui. Je le rassure « Si j’ai joui, j’ai joui du Cul et ma queue est bien moins importante que la tienne, qui est une vraie bénédiction. Tu es bon Ahmed. Tu m’as donné beaucoup de plaisir, j’ai très envie de toi, de te revoir, de recommencer. T’inquiètes, on va se revoir.
En revenant vers la grille il marche derrière moi et soudain il m’attrape passe ses bras devant moi m’arrête, se colle à moi par derrière corps contre corps, mes fesses face à son pubis et son sexe, il me serre contre lui, ne dit rien, me serre très fort et là j’ai pensé brusquement « je suis à lui et pour lui je suis une femme ».
On repasse la grille et on revient à pied vers mon domicile. Je ne veux pas qu’il me raccompagne jusqu’à chez moi, car je veux qu’il ignore où j’habite. Chemin faisant on discute de comment s’organiser, de comment se contacter et des possibles rencontres dans le futur. Il est marié, a des enfants, habite dans une commune voisine périphérique de ma ville donc à une dizaine de kilomètres mais oh chance, c’est au terminus d’un tram. Il ne peut pas me recevoir, on peut aller dans des bois qui longe un cours d’eau ou il connait des endroits très calme. Ça ne m’enthousiasme pas. Je lui parle de se retrouver dans un hôtel. Je vais chercher, je sens ses réticences qui disparaissent lorsque je lui dis « je paierai ». Pour le téléphone, il ne faut pas que je sois explicite. Je dois laisser des textos du style « bonjour Ahmed » et il me rappellera dans le quart d’heure. Ne rien écrire qui peut être lu par sa femme ou un enfant. Il est libre souvent, il travaille irrégulièrement. Il est libre le Week end et sa femme ne s’étonne pas s’il passe des nuits dehors car il peut aller dans la famille. Il suffit qu’il prévienne.
On se sépare et on s’appellera. Dans le reste du chemin, je trouve que j’ai beaucoup de chance, il est doux, attentionné, puissant, il a envie de baiser et est en manque, je vais me régaler avec lui. J’ai hâte de le retrouver, de le retrouver nu sur moi, moi sur lui, lui dans moi, moi le suçant. Je sens que je flache un max. Je rentre chez moi et le quotidien reprend ses droits pour deux jours.

Les avis des lecteurs

Un excellent début!

Histoire Erotique
J'adore cette histoire. Merci



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