Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (2)

Récit érotique écrit par Fandefist34 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (2)
Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (2)
Le Samedi je ne cesse de penser à lui. Je me branle deux fois en pensant à notre baise, je m’enfile un plug que je garde pendant deux heures en vaquant à mes occupations sans que rien n’en transparaisse bien sûr. Je vais marcher avec ma femme et j’organise une assez longue marche pour que je sois sûr qu’elle décline à l’idée d’aller marcher le dimanche.
Le Dimanche en allant chercher le pain, j’envoie un texto à Ahmed, comme convenu il rappelle dix minutes après. Je lui dis que je peux être libre trois heures dans l’après-midi et que je peux venir dans sa commune. Rendez-vous est pris au terminus du tram.
Je pars de chez moi habillé d’un jeans, d’un sweat et d’un petit blouson, rien dessous et au pied des mocassins que je peux enlever et enfiler rapidement. Demi-heure de tram et j’arrive à l’arrêt et Ahmed est là. Son simple regard me transcende. On marche pendant quelques minutes pour rejoindre les bois qui longe un cours d’eau qui sépare nos communes. On s’enfonce dans un chemin, puis des sentiers. Ce n’est pas la sécurité absolue loin s’en faut, on a croisé un couple en marchant et une famille avec deux enfants. Mais on va en sens contraire. En marchand dans un sentier, il me prend par la main, je sens la chaleur de sa pomme contre la mienne et j’aime ça. Il me tire dans des bosquets, il y a des ronces mais on s’isole. Là dans des fourrés, on s’enlace et on s’embrasse longuement. Baisé baveux, lèvres humides et glaireuses, sa bouche glisse de temps en temps dans mon cou, il veut me montrer qu’il a compris que j’aimai les baisers profonds. Ses mains me caressent partout épaules, dos, fesses, raie, cuisses, sexe, ses mains glissent sous mon sweat et il me pince longuement les seins, ce qui me fait bander instantanément. Puis il défait le bouton central de mon jeans, baisse la fermeture éclair de ma braguette. Comme je n’ai rien dessous, ma queue apparait, il descend le jeans, dégage mes fesses, mes cuisses, mes genoux, il s’agenouille et le jeans passe mes mollets et je l’aide en quittant mes pompes. Il m’enlève le jeans et ses mains remontent vers mon Cul. Ma queue est face à sa bouche mais il ne la prend pas, il ne la suce pas, l’évite même. Il se relève, et déjà ses doigts travaillent mon anus. J’ai mis de l’huile de silicone avant de partir et deux doigts glissent dedans. J’hésite, est-on vraiment en sécurité. Je craque et j’enlève mon blouson et mon sweat. Je suis intégralement à poil, lui est habillé, il dégage sa queue, enfile une capote en me regardant avec un sourire qui ferait se damner un ecclésiastique. Je me tourne, je m’agenouille, les feuilles mortes font un tapis souple, je dresse mon Cul et je baisse ma tête, mon corps, j’attends mon homme. Il rentre très lentement, centimètre par centimètre, non que mon Cul lui résiste mais j’entends à son souffle qu’il veut bien graver dans son esprit la sensation de pénétrer un trou chaud et humide. 36 heures se sont passées depuis notre première rencontre mais mon Cul semble se souvenir de la joie provoquée, il veut revivre ça, il s’ouvre, se dilate, appelle la puissance. Lui derrière commence à me défoncer comme la dernière fois, d’abord lentement pour bien faire son chemin, puis de plus en plus puissamment, et enfin férocement. Ses couilles viennent claquer contre les miennes de plus en plus fort, sa queue tape au fond de l’ampoule anale, parfois selon l’angle, ça fait même un peu mal, mais de nouveau la chaleur arrive, mon Cul mouille et la jouissance qui vient, qui monte, qui me submerge. Lui il m’enfile, il me défonce, il m’ouvre en plusieurs morceaux qui tous appellent son jus, son sperme et n’auront rien de cela mais recevront une explosion. Il s’écroule sur mon dos quelques secondes et se redresse rapidement pour enfiler ses deux pouces dans mon Cul. Il les écarte et teste ainsi la souplesse de mon anus. « Tu es vraiment très ouvert, c’est surprenant … et agréable comme dans une femme ». S’il savait, comme j’aime prendre du gros, me faire fister, mais ça je ne lui dirais pas avant longtemps. Je renfile mon pantalon, remet mes chaussures et me tourne vers lui, il jette sa capote et rentre sa queue dans son pantalon, il ne s’est absolument pas dévêtu. Je le lui demande « tu n’aimes pas te déshabiller ? ». « Non, c’est bon pour toi, tu aimes t’exhiber, pas vrai ? moi je n’ai besoin que de ma queue pour faire plaisir ». Je souris, enfile mon sweat, ma veste et l’embrasse à nouveau. Il a un geste de rejet mais se laisse aller. On reprend le sentier et on va vers le tram. « Tu es pressé, tu dois rentrer chez toi ? On n’a pas le temps pour parler, se connaitre un peu ? ». « Je suis assez pressé et j’ai pris un risque en venant te voir. J’aime comment tu me baises, tu me plais mais je ne peux pas tout de donner d’entrée ». « Pourquoi, on se plait tu aimes ce que je te donne, pourquoi on ne peut pas aller plus loin. Moi, je suis libre jusqu’à demain matin. Ma femme ne me dira rien, elle acceptera et toi … ». « Nous n’avons pas les mêmes femmes, la mienne compte pour moi, je ne veux pas lui faire de mal, lui imposer… ». « Bon, bon, mais il faut qu’on ait plus de temps pour se voir. Je veux te baiser plusieurs fois, je veux te faire hurler de plaisir, tu vas devenir ma femme qui en demandera toujours plus. Tu vas être à moi, m’obéir… ». « Je souris devant cette déclaration, il me veut vraiment… ». Ce désir puissant m’attire, me plait. « Ok, je vais chercher une chambre dans un hôtel. Tu veux pour jeudi après-midi ? ». « Pourquoi si loin ? Pourquoi pas demain, ou mardi ? ». « Ecoute je vais voir pour le plus tôt possible, lundi ce n’est pas bon, je suis pris en fin d’après-midi et on n’aurait que deux heures. Mardi, je peux toute l’après-midi de 14 h à 18 h. On aura du temps, tu me baiseras, on parlera, j’apporterai à boire… ». « Bien va pour mardi, j’attends ton message ».
En repartant dans le tram, je repense à la rencontre. Son désir, sa puissance me plaisent énormément. Il sait ce qu’il veut et son envie brute me transporte. J’aime moi son rapport aux femmes, phallocrate sans retenu. Il est doux et puissant et quand il s’est imposé je suis prêt à tout lui donner.
Le lendemain je trouve trois hôtels sans réception ou l’on peut réserver une chambre par Internet avec un simple carte bleue. J’en prend une pour le mardi à partir de 14 heures pas loin d’une ligne de tram. Pour lui il faudra qu’il change de ligne pour venir mais comme il dit être dispo.
Je lui envoie un message « Ahmed bonjour » et il rappelle un quart d’heure plus tard. « Alors tu as trouvé ? j’ai très envie de te revoir, tu me manques, j’aime bien ton cul… ». « Oui j’ai trouvé pour demain après-midi, c’est réservé et payé. J’aurai la chambre des 14 heures et tu m’appelles pour que je te donne le numéro de la chambre. C’est à l’Hôtel Formule 1 du Millénaire. Il te faut prendre la ligne de tram un puis le trois. ». « T’inquiète, je trouverai, c’est bien ça, tu as vraiment envie de me revoir alors. Tu aimes ce que je te donne, tu aimes ma queue hein, dis-le que tu aimes ma queue ». « Bien sûr que je l’aime ta queue, elle me donne du plaisir, elle me fait du bien, j’adore. Et toi dis que tu aimes mon Cul de salope ». Dix secondes de silence, puis « J’aime ton Cul, sa chaleur, je le remplirai avec mon jus… J’aime ton Cul, j’aime tes cuisses, ton dos, tes épaules, tes fesses… » Il n’a pas nommé ma queue et mes couilles, l’idée passe vite dans ma tête. Il me traite de femme. Mais il ajoute « Pourquoi tu ne te branles pas, pourquoi tu ne t’en sers pas de ta queue ? ». « On en parlera plus tard Ahmed, à demain porte toi bien ».
Je réfléchis longuement sur la tenue que je vais adopter pour le recevoir ? Est-ce que je le reçois habillé comme quand on s’est rencontré dans la rue et les parcs. Est que je me mets intégralement à poil ? Est-ce que je ne me déshabille que partiellement, le haut nu et le pantalon en place ? L’inverse pas de pantalon et le sweat conservé sur mon torse. Est-ce que j’enlève tout sous-vêtement ? Je pourrai enfiler un jockstrap qui masque ma queue mais laisse mes fesses intégralement nues. Il ne doit pas connaitre ce type de vêtement, c’est intéressant de le surprendre. J’opte donc pour le jockstrap et le sweat, montrer qu’on est disponible mais ne pas trop le provoquer.
Le mardi j’arrive à l’hôtel vers 13 h 30, je paye ma chambre et je m’installe. J’ai amené une bouteille de vin, une bouteille d’eau, des dattes et deux verres. J’ai plein de capotes, de l’huile de silicone, une bouteille de poppers (mais je ne sais pas si le la sortirai, on avisera). J’allume la télévision et je cherche une émission musicale pour fond sonore. J’envoie un texto pour donner le numéro de la chambre à mon amant.
Ahmed répond par un texto qui balaye toute mes hésitations vestimentaires. « J’arrive dans dix minutes, je tape à ta porte tu ouvres, mais tu laisses la porte poussée. Tu as une minute pour t’allonger sur le ventre nu sur le lit. Je ne veux pas que tu me regardes, ferme les yeux ».
Ainsi dit, ainsi fait. J’enlève mes deux fringues, mais je garde le cocring qui m’enserre les couilles et la queue. Je prépare le lit en tirant les couvertures et je ne conserve qu’un drap. Il frappe, je vais entre-ouvrir la porte et je m’allonge que le ventre la tête posée face contre le drap. Je suis très ému, il me faut lui faire totalement confiance. Il rentre, ferme la porte, ce qui me rassure un peu, enlève une grosse veste. Et il s’assied sur le lit. Il est resté habillé. Il prend mes bras qui étaient le long du corps et les allongent vers le haut, ce qui me fait me cambrer. Il dit « Un jour je t’attacherai au lit pour que tu sois totalement mienne ». Il me caresse la nuque, les épaules les fesses, écarte mes jambes. Il passe un doigt le long du cocring, passe sa main sous moi et tire un peu mes couilles pour bien les dégager. Il insiste avec ses doigts sur mon anus, il monte en s’agenouillant sur le lit entre mes jambes. Et là il se penche et me suce le cul avec sa langue, ses lèvres. Il laisse de la salive en place car je me sens tout mouillé. J’entends qu’il ouvre sa braguette, et il présente son gland face à mon anus. Je lève ma tête tout de suite « Non Ahmed je ne veux pas sans capote. ». Il appui avec une main sur mon dos, m’empêche de me relever. « Pourquoi tu ne veux pas. Tu es à moi maintenant, tu ne risques rien et c’est bien plus bon sans capote ». « Je sais Ahmed que ce serait meilleur ». Et puis j’ajoute une concession pour le calmer « C’est trop tôt, ça viendra quand on se connaitre mieux ». « Comme tu veux … salope ». C’est la première fois qu’il m’appelle ainsi et je ne crois pas que ce soit son vocabulaire habituel. Plus tard je me souviendrai que c’est moi qui lui ai dit le premier que j’étais une salope et que j’aime qu’on me dénomme ainsi. J’entends qu’il déchire un papier, il bouge légèrement sur le lit j’en déduise qu’il enfile une capote. Il se penche sa queue vient taper contre mon anus. J’expire fort tellement j’ai envie. « Tu la veux ma queue, tu mouilles comme ma femme ». Et d’un seul coup il s’enfonce au point que je sens ses couilles sur les miennes. Bien au fond, il ne bouge plus comme la dernière fois, puis je sens qu’il bouge son bassin pour bien me faire sentir son poignard. Son pantalon qui est un ancien pantalon militaire est rêche. Il gratte mes fesses, mes cuisses. Je m’en fous, je suis un trou avide, un Cul qui attend son maitre, une chienne qui veut se donner. IL se déchaine brusquement me pistonnant avec une forte énorme. Le lit crie misère. Ça me chauffe, ça me brule presque et ça dure plus de cinq minutes. Je gémi mais encore une fois sa main vient sur ma bouche. Ça dure, je pars dans ma jouissance, ma queue se bande, je crois que j’ai éjaculé dans ma jouissance et lui se vide avec des bruits d’un homme qui force. Ensuite il ne bouge pas durant quelques minutes et se sent même sa queue devenir mole dans mon Cul. Je commence à penser que la capote peut se vider quand il bascule sur le côté se retirant. Je lève la tête et je le regard. Il a un sourire radieux, il est fier de lui, il me jette un coup d’œil et semble dire « Ça va, t’en a eu pour ton compte ». Il lève une main et frappe mon cul assez fortement. Puis on reste près d’un quart d’heure allongé lui a demi sur moi, moi n’osant pas bouger et contant de recevoir la chaleur de cet homme. Quand il commence à bouger un peu, je me dégage de sous lui, je me redresse et je m’assoie sur le lit en posant mes pieds par terre. Je me lève vais vers la bouteille de vin que j’ai ouverte en arrivant. Je prends un verre, je me retourne vers lui et je l’interroge « Tu veux boire du vin ou de l’eau ? ». « Donne-moi du vin, j’en bois pas souvent mais j’aime ça ». Je lui sers un verre et un pour moi aussi. Et je m’assoie à côté de lui.
Il est marocain, travaille dans le bâtiment ou l’agriculture en période de ramassage des fruits et légumes. Il est marié, quatre enfants, trois filles et un garçon. Il n’a pas d’emploi en ce moment donc il s’ennuie à la maison. Du moins est ce tout ce qu’il m’a déclaré. Je lui parle de ma femme, je lui dis que j’ai des activités qui me prennent pas mal de temps mais que je peux me rendre libre. On bavarde une demi-heure environ. Brusquement il écarte ses cuisses et me dit « nettoie moi la queue avec ta bouche, elle est plein de jute ». Je me lève je m’agenouille, je m’enfonce dans ses cuisses écartées et je cherche dans sa braguette sa queue qui est grosse mais non bandée. Il y a de la crème en effet, je penche ma tête et j’y passe ma langue. Je sens le gout de la capote et je la suce et bien sûr devinez ce qu’il advint, elle se dresse fière et droite. J’y enfile une capote
Alors je me relève, je mets une de mes jambes pliées d’un côté de son corps, je passe mes mains derrière son torse et je plie l’autre jambe que je monte sur la sienne. Nous sommes face à face je me tiens à lui, je détends un peu mes genoux et je présente mon Cul face à sa queue, je descends dessus, il me regarde avec un gros sourire. Je m’empale sur lui je remonte et redescend une ou deux fois. Puis je me redresse et attrape une capote. J’ouvre l’étui et je la présente face à sa queue. « Ça m’étonnait, tu as envie mais tu n’oses pas. Tu es une allumeuse Xavier. Ça ne va pas durer longtemps, un jour je vais te violer et tu auras mon jus dedans ». « Un jour oui, en attendant… »je reprends ma position et je laisse retomber mon cul sur sa queue. Elle rentre comme dans du beurre. Elle est bien profonde. Je monte et je descends, c’est moi qui me baise, lui recule son torse appui ses deux bras derrière sur le lit. Sa tête s’éloigne et regarde ma queue monter redescendre et deviner mon Cul qui s’empale sur lui. « Tu es formidable, tu as toujours envie, c’est formidable. ». Je le chevauche pendant trois à quatre minutes le temps de voir sur son visage la jouissance se dessiner. Mais il m’arrête, il n’en peut plus il veut bouger. « Descend et met toi à quatre pattes sur le bord du lit. Je m’exécute et il se lève pour passer derrière moi. Sa queue revient au bercail et il m’agrippe aux hanches et me pistonne violemment. A nouveau on jouit, lui avec des cris rauques et moi en gémissant et disant ma litanie de petite phrases existantes « oui, Ouiii, c’est bon, donne-moi, donne-moi va y défonce moi, j’en veux, j’en veux… » Quand je sens qu’il se vide, je bascule et m’allonge, lui me suit et pèse de tout son poids sur moi. Je suis bien. Avant de débander, il se retire, attrape sa capote et me la présente devant le nez « Tiens si tu aimes … » Mais je ne donne pas suite.
On a dépassé 17 heures et je lui dis qu’il va falloir que je parte. Il dit « Non reste, je suis sûr que je vais pouvoir te baiser une autre fois encore. Donne-moi quelques minutes, ça va revenir ». Comme je suis encore allongé sur le ventre il se recouche sur moi et déclare « D’ailleurs c’est moi qui commande et je ne te laisse pas partir. Ses mains enserrent mes bras j’ai du mal à bouger sous son poids. Je gigotte mais je sens bien que je n’y arriverai pas physiquement. « Je sais que tu es plus fort que moi. Je peux rester une heure de plus maximum ». Il s’est levé, m’a dit d’en faire autant, m’amène devant la glace qui est fixée au mur dans la chambre m’a dit de lever les bras de m’appuyer sur la glace, m’a dit de reculer mes jambes et de les écarter. « Regarde la glace, je vais te baiser puissamment pour que tu saches comment ça se passe quand je te baiserai dans les bois ou les parcs ». Ceci dit, ceci fut fait. Il m’a enculé puissamment puisque certaines fois ses coups de queue faisait décoller mes pieds du sol, ça a duré plus d’un quart d’heure, au bout de cinq minutes j’avais mal au fond du Cu tant sa bite tapait fort. Mais je n’ai rien dit, c’était supportable. Ses yeux étaient plantés dans les miens au travers du miroir. Et la jouissance vint.
A la fin, pendant que je me rhabillai, il m’a donné un cadeau, une petite boite empaquetée dans une grosse enveloppe. « Tu l’ouvriras pour la prochaine fois. Je veux que tu les mettes et que tu les porte lors de notre prochaine rencontre. Je veux aussi que tu entrouvres la porte dès que je t’envoi le texto, tu t’installes sur le lit et tu ne bouges pas. Si je mets du temps à arriver, tu attends porte entrebâillée. Si quelqu’un d’autre rentre avant moi tu ne bouges pas. De toute façon j’arriverai assez vite. Compris ? » J’acquiesçais et il rajouta « On se voit vendredi après-midi, ça peut être ici, ou une autre chambre c’est ton problème ». Je l’avais compris et vendredi me convenait.
Le Samedi je ne cesse de penser à lui. Je me branle deux fois en pensant à notre baise, je m’enfile un plug que je garde pendant deux heures en vaquant à mes occupations sans que rien n’en transparaisse bien sûr. Je vais marcher avec ma femme et j’organise une assez longue marche pour que je sois sûr qu’elle décline à l’idée d’aller marcher le dimanche.
Le Dimanche en allant chercher le pain, j’envoie un texto à Ahmed, comme convenu il rappelle dix minutes après. Je lui dis que je peux être libre trois heures dans l’après-midi et que je peux venir dans sa commune. Rendez-vous est pris au terminus du tram.
Je pars de chez moi habillé d’un jeans, d’un sweat et d’un petit blouson, rien dessous et au pied des mocassins que je peux enlever et enfiler rapidement. Demi-heure de tram et j’arrive à l’arrêt et Ahmed est là. Son simple regard me transcende. On marche pendant quelques minutes pour rejoindre les bois qui longe un cours d’eau qui sépare nos communes. On s’enfonce dans un chemin, puis des sentiers. Ce n’est pas la sécurité absolue loin s’en faut, on a croisé un couple en marchant et une famille avec deux enfants. Mais on va en sens contraire. En marchand dans un sentier, il me prend par la main, je sens la chaleur de sa pomme contre la mienne et j’aime ça. Il me tire dans des bosquets, il y a des ronces mais on s’isole. Là dans des fourrés, on s’enlace et on s’embrasse longuement. Baisé baveux, lèvres humides et glaireuses, sa bouche glisse de temps en temps dans mon cou, il veut me montrer qu’il a compris que j’aimai les baisers profonds. Ses mains me caressent partout épaules, dos, fesses, raie, cuisses, sexe, ses mains glissent sous mon sweat et il me pince longuement les seins, ce qui me fait bander instantanément. Puis il défait le bouton central de mon jeans, baisse la fermeture éclair de ma braguette. Comme je n’ai rien dessous, ma queue apparait, il descend le jeans, dégage mes fesses, mes cuisses, mes genoux, il s’agenouille et le jeans passe mes mollets et je l’aide en quittant mes pompes. Il m’enlève le jeans et ses mains remontent vers mon Cul. Ma queue est face à sa bouche mais il ne la prend pas, il ne la suce pas, l’évite même. Il se relève, et déjà ses doigts travaillent mon anus. J’ai mis de l’huile de silicone avant de partir et deux doigts glissent dedans. J’hésite, est-on vraiment en sécurité. Je craque et j’enlève mon blouson et mon sweat. Je suis intégralement à poil, lui est habillé, il dégage sa queue, enfile une capote en me regardant avec un sourire qui ferait se damner un ecclésiastique. Je me tourne, je m’agenouille, les feuilles mortes font un tapis souple, je dresse mon Cul et je baisse ma tête, mon corps, j’attends mon homme. Il rentre très lentement, centimètre par centimètre, non que mon Cul lui résiste mais j’entends à son souffle qu’il veut bien graver dans son esprit la sensation de pénétrer un trou chaud et humide. 36 heures se sont passées depuis notre première rencontre mais mon Cul semble se souvenir de la joie provoquée, il veut revivre ça, il s’ouvre, se dilate, appelle la puissance. Lui derrière commence à me défoncer comme la dernière fois, d’abord lentement pour bien faire son chemin, puis de plus en plus puissamment, et enfin férocement. Ses couilles viennent claquer contre les miennes de plus en plus fort, sa queue tape au fond de l’ampoule anale, parfois selon l’angle, ça fait même un peu mal, mais de nouveau la chaleur arrive, mon Cul mouille et la jouissance qui vient, qui monte, qui me submerge. Lui il m’enfile, il me défonce, il m’ouvre en plusieurs morceaux qui tous appellent son jus, son sperme et n’auront rien de cela mais recevront une explosion. Il s’écroule sur mon dos quelques secondes et se redresse rapidement pour enfiler ses deux pouces dans mon Cul. Il les écarte et teste ainsi la souplesse de mon anus. « Tu es vraiment très ouvert, c’est surprenant … et agréable comme dans une femme ». S’il savait, comme j’aime prendre du gros, me faire fister, mais ça je ne lui dirais pas avant longtemps. Je renfile mon pantalon, remet mes chaussures et me tourne vers lui, il jette sa capote et rentre sa queue dans son pantalon, il ne s’est absolument pas dévêtu. Je le lui demande « tu n’aimes pas te déshabiller ? ». « Non, c’est bon pour toi, tu aimes t’exhiber, pas vrai ? moi je n’ai besoin que de ma queue pour faire plaisir ». Je souris, enfile mon sweat, ma veste et l’embrasse à nouveau. Il a un geste de rejet mais se laisse aller. On reprend le sentier et on va vers le tram. « Tu es pressé, tu dois rentrer chez toi ? On n’a pas le temps pour parler, se connaitre un peu ? ». « Je suis assez pressé et j’ai pris un risque en venant te voir. J’aime comment tu me baises, tu me plais mais je ne peux pas tout de donner d’entrée ». « Pourquoi, on se plait tu aimes ce que je te donne, pourquoi on ne peut pas aller plus loin. Moi, je suis libre jusqu’à demain matin. Ma femme ne me dira rien, elle acceptera et toi … ». « Nous n’avons pas les mêmes femmes, la mienne compte pour moi, je ne veux pas lui faire de mal, lui imposer… ». « Bon, bon, mais il faut qu’on ait plus de temps pour se voir. Je veux te baiser plusieurs fois, je veux te faire hurler de plaisir, tu vas devenir ma femme qui en demandera toujours plus. Tu vas être à moi, m’obéir… ». « Je souris devant cette déclaration, il me veut vraiment… ». Ce désir puissant m’attire, me plait. « Ok, je vais chercher une chambre dans un hôtel. Tu veux pour jeudi après-midi ? ». « Pourquoi si loin ? Pourquoi pas demain, ou mardi ? ». « Ecoute je vais voir pour le plus tôt possible, lundi ce n’est pas bon, je suis pris en fin d’après-midi et on n’aurait que deux heures. Mardi, je peux toute l’après-midi de 14 h à 18 h. On aura du temps, tu me baiseras, on parlera, j’apporterai à boire… ». « Bien va pour mardi, j’attends ton message ».
En repartant dans le tram, je repense à la rencontre. Son désir, sa puissance me plaisent énormément. Il sait ce qu’il veut et son envie brute me transporte. J’aime moi son rapport aux femmes, phallocrate sans retenu. Il est doux et puissant et quand il s’est imposé je suis prêt à tout lui donner.
Le lendemain je trouve trois hôtels sans réception ou l’on peut réserver une chambre par Internet avec un simple carte bleue. J’en prend une pour le mardi à partir de 14 heures pas loin d’une ligne de tram. Pour lui il faudra qu’il change de ligne pour venir mais comme il dit être dispo.
Je lui envoie un message « Ahmed bonjour » et il rappelle un quart d’heure plus tard. « Alors tu as trouvé ? j’ai très envie de te revoir, tu me manques, j’aime bien ton cul… ». « Oui j’ai trouvé pour demain après-midi, c’est réservé et payé. J’aurai la chambre des 14 heures et tu m’appelles pour que je te donne le numéro de la chambre. C’est à l’Hôtel Formule 1 du Millénaire. Il te faut prendre la ligne de tram un puis le trois. ». « T’inquiète, je trouverai, c’est bien ça, tu as vraiment envie de me revoir alors. Tu aimes ce que je te donne, tu aimes ma queue hein, dis-le que tu aimes ma queue ». « Bien sûr que je l’aime ta queue, elle me donne du plaisir, elle me fait du bien, j’adore. Et toi dis que tu aimes mon Cul de salope ». Dix secondes de silence, puis « J’aime ton Cul, sa chaleur, je le remplirai avec mon jus… J’aime ton Cul, j’aime tes cuisses, ton dos, tes épaules, tes fesses… » Il n’a pas nommé ma queue et mes couilles, l’idée passe vite dans ma tête. Il me traite de femme. Mais il ajoute « Pourquoi tu ne te branles pas, pourquoi tu ne t’en sers pas de ta queue ? ». « On en parlera plus tard Ahmed, à demain porte toi bien ».
Je réfléchis longuement sur la tenue que je vais adopter pour le recevoir ? Est-ce que je le reçois habillé comme quand on s’est rencontré dans la rue et les parcs. Est que je me mets intégralement à poil ? Est-ce que je ne me déshabille que partiellement, le haut nu et le pantalon en place ? L’inverse pas de pantalon et le sweat conservé sur mon torse. Est-ce que j’enlève tout sous-vêtement ? Je pourrai enfiler un jockstrap qui masque ma queue mais laisse mes fesses intégralement nues. Il ne doit pas connaitre ce type de vêtement, c’est intéressant de le surprendre. J’opte donc pour le jockstrap et le sweat, montrer qu’on est disponible mais ne pas trop le provoquer.
Le mardi j’arrive à l’hôtel vers 13 h 30, je paye ma chambre et je m’installe. J’ai amené une bouteille de vin, une bouteille d’eau, des dattes et deux verres. J’ai plein de capotes, de l’huile de silicone, une bouteille de poppers (mais je ne sais pas si le la sortirai, on avisera). J’allume la télévision et je cherche une émission musicale pour fond sonore. J’envoie un texto pour donner le numéro de la chambre à mon amant.
Ahmed répond par un texto qui balaye toute mes hésitations vestimentaires. « J’arrive dans dix minutes, je tape à ta porte tu ouvres, mais tu laisses la porte poussée. Tu as une minute pour t’allonger sur le ventre nu sur le lit. Je ne veux pas que tu me regardes, ferme les yeux ».
Ainsi dit, ainsi fait. J’enlève mes deux fringues, mais je garde le cocring qui m’enserre les couilles et la queue. Je prépare le lit en tirant les couvertures et je ne conserve qu’un drap. Il frappe, je vais entre-ouvrir la porte et je m’allonge que le ventre la tête posée face contre le drap. Je suis très ému, il me faut lui faire totalement confiance. Il rentre, ferme la porte, ce qui me rassure un peu, enlève une grosse veste. Et il s’assied sur le lit. Il est resté habillé. Il prend mes bras qui étaient le long du corps et les allongent vers le haut, ce qui me fait me cambrer. Il dit « Un jour je t’attacherai au lit pour que tu sois totalement mienne ». Il me caresse la nuque, les épaules les fesses, écarte mes jambes. Il passe un doigt le long du cocring, passe sa main sous moi et tire un peu mes couilles pour bien les dégager. Il insiste avec ses doigts sur mon anus, il monte en s’agenouillant sur le lit entre mes jambes. Et là il se penche et me suce le cul avec sa langue, ses lèvres. Il laisse de la salive en place car je me sens tout mouillé. J’entends qu’il ouvre sa braguette, et il présente son gland face à mon anus. Je lève ma tête tout de suite « Non Ahmed je ne veux pas sans capote. ». Il appui avec une main sur mon dos, m’empêche de me relever. « Pourquoi tu ne veux pas. Tu es à moi maintenant, tu ne risques rien et c’est bien plus bon sans capote ». « Je sais Ahmed que ce serait meilleur ». Et puis j’ajoute une concession pour le calmer « C’est trop tôt, ça viendra quand on se connaitre mieux ». « Comme tu veux … salope ». C’est la première fois qu’il m’appelle ainsi et je ne crois pas que ce soit son vocabulaire habituel. Plus tard je me souviendrai que c’est moi qui lui ai dit le premier que j’étais une salope et que j’aime qu’on me dénomme ainsi. J’entends qu’il déchire un papier, il bouge légèrement sur le lit j’en déduise qu’il enfile une capote. Il se penche sa queue vient taper contre mon anus. J’expire fort tellement j’ai envie. « Tu la veux ma queue, tu mouilles comme ma femme ». Et d’un seul coup il s’enfonce au point que je sens ses couilles sur les miennes. Bien au fond, il ne bouge plus comme la dernière fois, puis je sens qu’il bouge son bassin pour bien me faire sentir son poignard. Son pantalon qui est un ancien pantalon militaire est rêche. Il gratte mes fesses, mes cuisses. Je m’en fous, je suis un trou avide, un Cul qui attend son maitre, une chienne qui veut se donner. IL se déchaine brusquement me pistonnant avec une forte énorme. Le lit crie misère. Ça me chauffe, ça me brule presque et ça dure plus de cinq minutes. Je gémi mais encore une fois sa main vient sur ma bouche. Ça dure, je pars dans ma jouissance, ma queue se bande, je crois que j’ai éjaculé dans ma jouissance et lui se vide avec des bruits d’un homme qui force. Ensuite il ne bouge pas durant quelques minutes et se sent même sa queue devenir mole dans mon Cul. Je commence à penser que la capote peut se vider quand il bascule sur le côté se retirant. Je lève la tête et je le regard. Il a un sourire radieux, il est fier de lui, il me jette un coup d’œil et semble dire « Ça va, t’en a eu pour ton compte ». Il lève une main et frappe mon cul assez fortement. Puis on reste près d’un quart d’heure allongé lui a demi sur moi, moi n’osant pas bouger et contant de recevoir la chaleur de cet homme. Quand il commence à bouger un peu, je me dégage de sous lui, je me redresse et je m’assoie sur le lit en posant mes pieds par terre. Je me lève vais vers la bouteille de vin que j’ai ouverte en arrivant. Je prends un verre, je me retourne vers lui et je l’interroge « Tu veux boire du vin ou de l’eau ? ». « Donne-moi du vin, j’en bois pas souvent mais j’aime ça ». Je lui sers un verre et un pour moi aussi. Et je m’assoie à côté de lui.
Il est marocain, travaille dans le bâtiment ou l’agriculture en période de ramassage des fruits et légumes. Il est marié, quatre enfants, trois filles et un garçon. Il n’a pas d’emploi en ce moment donc il s’ennuie à la maison. Du moins est ce tout ce qu’il m’a déclaré. Je lui parle de ma femme, je lui dis que j’ai des activités qui me prennent pas mal de temps mais que je peux me rendre libre. On bavarde une demi-heure environ. Brusquement il écarte ses cuisses et me dit « nettoie moi la queue avec ta bouche, elle est plein de jute ». Je me lève je m’agenouille, je m’enfonce dans ses cuisses écartées et je cherche dans sa braguette sa queue qui est grosse mais non bandée. Il y a de la crème en effet, je penche ma tête et j’y passe ma langue. Je sens le gout de la capote et je la suce et bien sûr devinez ce qu’il advint, elle se dresse fière et droite. J’y enfile une capote
Alors je me relève, je mets une de mes jambes pliées d’un côté de son corps, je passe mes mains derrière son torse et je plie l’autre jambe que je monte sur la sienne. Nous sommes face à face je me tiens à lui, je détends un peu mes genoux et je présente mon Cul face à sa queue, je descends dessus, il me regarde avec un gros sourire. Je m’empale sur lui je remonte et redescend une ou deux fois. Puis je me redresse et attrape une capote. J’ouvre l’étui et je la présente face à sa queue. « Ça m’étonnait, tu as envie mais tu n’oses pas. Tu es une allumeuse Xavier. Ça ne va pas durer longtemps, un jour je vais te violer et tu auras mon jus dedans ». « Un jour oui, en attendant… »je reprends ma position et je laisse retomber mon cul sur sa queue. Elle rentre comme dans du beurre. Elle est bien profonde. Je monte et je descends, c’est moi qui me baise, lui recule son torse appui ses deux bras derrière sur le lit. Sa tête s’éloigne et regarde ma queue monter redescendre et deviner mon Cul qui s’empale sur lui. « Tu es formidable, tu as toujours envie, c’est formidable. ». Je le chevauche pendant trois à quatre minutes le temps de voir sur son visage la jouissance se dessiner. Mais il m’arrête, il n’en peut plus il veut bouger. « Descend et met toi à quatre pattes sur le bord du lit. Je m’exécute et il se lève pour passer derrière moi. Sa queue revient au bercail et il m’agrippe aux hanches et me pistonne violemment. A nouveau on jouit, lui avec des cris rauques et moi en gémissant et disant ma litanie de petite phrases existantes « oui, Ouiii, c’est bon, donne-moi, donne-moi va y défonce moi, j’en veux, j’en veux… » Quand je sens qu’il se vide, je bascule et m’allonge, lui me suit et pèse de tout son poids sur moi. Je suis bien. Avant de débander, il se retire, attrape sa capote et me la présente devant le nez « Tiens si tu aimes … » Mais je ne donne pas suite.
On a dépassé 17 heures et je lui dis qu’il va falloir que je parte. Il dit « Non reste, je suis sûr que je vais pouvoir te baiser une autre fois encore. Donne-moi quelques minutes, ça va revenir ». Comme je suis encore allongé sur le ventre il se recouche sur moi et déclare « D’ailleurs c’est moi qui commande et je ne te laisse pas partir. Ses mains enserrent mes bras j’ai du mal à bouger sous son poids. Je gigotte mais je sens bien que je n’y arriverai pas physiquement. « Je sais que tu es plus fort que moi. Je peux rester une heure de plus maximum ». Il s’est levé, m’a dit d’en faire autant, m’amène devant la glace qui est fixée au mur dans la chambre m’a dit de lever les bras de m’appuyer sur la glace, m’a dit de reculer mes jambes et de les écarter. « Regarde la glace, je vais te baiser puissamment pour que tu saches comment ça se passe quand je te baiserai dans les bois ou les parcs ». Ceci dit, ceci fut fait. Il m’a enculé puissamment puisque certaines fois ses coups de queue faisait décoller mes pieds du sol, ça a duré plus d’un quart d’heure, au bout de cinq minutes j’avais mal au fond du Cu tant sa bite tapait fort. Mais je n’ai rien dit, c’était supportable. Ses yeux étaient plantés dans les miens au travers du miroir. Et la jouissance vint.
A la fin, pendant que je me rhabillai, il m’a donné un cadeau, une petite boite empaquetée dans une grosse enveloppe. « Tu l’ouvriras pour la prochaine fois. Je veux que tu les mettes et que tu les porte lors de notre prochaine rencontre. Je veux aussi que tu entrouvres la porte dès que je t’envoi le texto, tu t’installes sur le lit et tu ne bouges pas. Si je mets du temps à arriver, tu attends porte entrebâillée. Si quelqu’un d’autre rentre avant moi tu ne bouges pas. De toute façon j’arriverai assez vite. Compris ? » J’acquiesçais et il rajouta « On se voit vendredi après-midi, ça peut être ici, ou une autre chambre c’est ton problème ». Je l’avais compris et vendredi me convenait.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vite la suite, très très vite même !!!
Le troisième chapitre devrait être publié le 31 mars. Patience pour tous les lecteurs potentiels.
Merci pour vos encouragements. J'ai déposé six autres chapitres mais ils n'ont pas encore été examinés par les organisateurs du site. Apres réflexion je pense que j'ai fait une erreur. J'aurai du m'arrêter a "Comment j'ai aimé devenir une salope". Avoir rajouté "d'un arabe" est ambiguë. Certes c'etait la vérité mais ça peut être mal interprété. Mon maitre m'a fait vivre de très belles aventures.
En tout cas il y a plusieurs chapitres à suivre.
En tout cas il y a plusieurs chapitres à suivre.
Très belle suite , je suis tout excité , vivement la troisième partie que j'imagine coriace !!!
J'adore que cela du Etre bon

