Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (3)

- Par l'auteur HDS Fandefist34 -
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Récit libertin : Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (3)
Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (3)
Le mardi j’arrive à l’hôtel vers 13 h 30, je paye ma chambre et je m’installe. J’ai amené une bouteille de vin, une bouteille d’eau, des dattes et deux verres. J’ai plein de capotes, de l’huile de silicone, une bouteille de poppers (mais je ne sais pas si le la sortirai, on avisera). J’allume la télévision et je cherche une émission musicale pour fond sonore. J’envoie un texto pour donner le numéro de la chambre à mon amant.
Ahmed répond par un texto qui balaye toute mes hésitations vestimentaires. « J’arrive dans dix minutes, je tape à ta porte tu ouvres, mais tu laisses la porte poussée. Tu as une minute pour t’allonger sur le ventre nu sur le lit. Je ne veux pas que tu me regardes, ferme les yeux ».
Ainsi dit, ainsi fait. J’enlève mes deux fringues, mais je garde le cocring qui m’enserre les couilles et la queue. Je prépare le lit en tirant les couvertures et je ne conserve qu’un drap. Il frappe, je vais entre-ouvrir la porte et je m’allonge que le ventre la tête posée face contre le drap. Je suis très ému, il me faut lui faire totalement confiance. Il rentre, ferme la porte, ce qui me rassure un peu, enlève une grosse veste. Et il s’assied sur le lit. Il est resté habillé. Il prend mes bras qui étaient le long du corps et les allongent vers le haut, ce qui me fait me cambrer. Il dit « Un jour je t’attacherai au lit pour que tu sois totalement mienne ». Il me caresse la nuque, les épaules les fesses, écarte mes jambes. Il passe un doigt le long du cocring, passe sa main sous moi et tire un peu mes couilles pour bien les dégager. Il insiste avec ses doigts sur mon anus, il monte en s’agenouillant sur le lit entre mes jambes. Et là il se penche et me suce le cul avec sa langue, ses lèvres. Il laisse de la salive en place car je me sens tout mouillé. J’entends qu’il ouvre sa braguette, et il présente son gland face à mon anus. Je lève ma tête tout de suite « Non Ahmed je ne veux pas sans capote. ». Il appui avec une main sur mon dos, m’empêche de me relever. « Pourquoi tu ne veux pas. Tu es à moi maintenant, tu ne risques rien et c’est bien plus bon sans capote ». « Je sais Ahmed que ce serait meilleur ». Et puis j’ajoute une concession pour le calmer « C’est trop tôt, ça viendra quand on se connaitre mieux ». « Comme tu veux … salope ». C’est la première fois qu’il m’appelle ainsi et je ne crois pas que ce soit son vocabulaire habituel. Plus tard je me souviendrai que c’est moi qui lui ai dit le premier que j’étais une salope et que j’aime qu’on me dénomme ainsi. J’entends qu’il déchire un papier, il bouge légèrement sur le lit j’en déduise qu’il enfile une capote. Il se penche sa queue vient taper contre mon anus. J’expire fort tellement j’ai envie. « Tu la veux ma queue, tu mouilles comme ma femme ». Et d’un seul coup il s’enfonce au point que je sens ses couilles sur les miennes. Bien au fond, il ne bouge plus comme la dernière fois, puis je sens qu’il bouge son bassin pour bien me faire sentir son poignard. Son pantalon qui est un ancien pantalon militaire est rêche. Il gratte mes fesses, mes cuisses. Je m’en fous, je suis un trou avide, un Cul qui attend son maitre, une chienne qui veut se donner. IL se déchaine brusquement me pistonnant avec une forte énorme. Le lit crie misère. Ça me chauffe, ça me brule presque et ça dure plus de cinq minutes. Je gémi mais encore une fois sa main vient sur ma bouche. Ça dure, je pars dans ma jouissance, ma queue se bande, je crois que j’ai éjaculé dans ma jouissance et lui se vide avec des bruits d’un homme qui force. Ensuite il ne bouge pas durant quelques minutes et se sent même sa queue devenir mole dans mon Cul. Je commence à penser que la capote peut se vider quand il bascule sur le côté se retirant. Je lève la tête et je le regard. Il a un sourire radieux, il est fier de lui, il me jette un coup d’œil et semble dire « Ça va, t’en a eu pour ton compte ». Il lève une main et frappe mon cul assez fortement. Puis on reste près d’un quart d’heure allongé lui a demi sur moi, moi n’osant pas bouger et contant de recevoir la chaleur de cet homme. Quand il commence à bouger un peu, je me dégage de sous lui, je me redresse et je m’assoie sur le lit en posant mes pieds par terre. Je me lève vais vers la bouteille de vin que j’ai ouverte en arrivant. Je prends un verre, je me retourne vers lui et je l’interroge « Tu veux boire du vin ou de l’eau ? ». « Donne-moi du vin, j’en bois pas souvent mais j’aime ça ». Je lui sers un verre et un pour moi aussi. Et je m’assoie à côté de lui.
Il est marocain, travaille dans le bâtiment ou l’agriculture en période de ramassage des fruits et légumes. Il est marié, quatre enfants, trois filles et un garçon. Il n’a pas d’emploi en ce moment donc il s’ennuie à la maison. Du moins est ce tout ce qu’il m’a déclaré. Je lui parle de ma femme, je lui dis que j’ai des activités qui me prennent pas mal de temps mais que je peux me rendre libre. On bavarde une demi-heure environ. Brusquement il écarte ses cuisses et me dit « nettoie moi la queue avec ta bouche, elle est plein de jute ». Je me lève je m’agenouille, je m’enfonce dans ses cuisses écartées et je cherche dans sa braguette sa queue qui est grosse mais non bandée. Il y a de la crème en effet, je penche ma tête et j’y passe ma langue. Je sens le gout de la capote et je la suce et bien sûr devinez ce qu’il advint, elle se dresse fière et droite. J’y enfile une capote
Alors je me relève, je mets une de mes jambes pliées d’un côté de son corps, je passe mes mains derrière son torse et je plie l’autre jambe que je monte sur la sienne. Nous sommes face à face je me tiens à lui, je détends un peu mes genoux et je présente mon Cul face à sa queue, je descends dessus, il me regarde avec un gros sourire. Je m’empale sur lui je remonte et redescend une ou deux fois. Puis je me redresse et attrape une capote. J’ouvre l’étui et je la présente face à sa queue. « Ça m’étonnait, tu as envie mais tu n’oses pas. Tu es une allumeuse Xavier. Ça ne va pas durer longtemps, un jour je vais te violer et tu auras mon jus dedans ». « Un jour oui, en attendant… »je reprends ma position et je laisse retomber mon cul sur sa queue. Elle rentre comme dans du beurre. Elle est bien profonde. Je monte et je descends, c’est moi qui me baise, lui recule son torse appui ses deux bras derrière sur le lit. Sa tête s’éloigne et regarde ma queue monter redescendre et deviner mon Cul qui s’empale sur lui. « Tu es formidable, tu as toujours envie, c’est formidable. ». Je le chevauche pendant trois à quatre minutes le temps de voir sur son visage la jouissance se dessiner. Mais il m’arrête, il n’en peut plus il veut bouger. « Descend et met toi à quatre pattes sur le bord du lit. Je m’exécute et il se lève pour passer derrière moi. Sa queue revient au bercail et il m’agrippe aux hanches et me pistonne violemment. A nouveau on jouit, lui avec des cris rauques et moi en gémissant et disant ma litanie de petite phrases existantes « oui, Ouiii, c’est bon, donne-moi, donne-moi va y défonce moi, j’en veux, j’en veux… » Quand je sens qu’il se vide, je bascule et m’allonge, lui me suit et pèse de tout son poids sur moi. Je suis bien. Avant de débander, il se retire, attrape sa capote et me la présente devant le nez « Tiens si tu aimes … » Mais je ne donne pas suite.
On a dépassé 17 heures et je lui dis qu’il va falloir que je parte. Il dit « Non reste, je suis sûr que je vais pouvoir te baiser une autre fois encore. Donne-moi quelques minutes, ça va revenir ». Comme je suis encore allongé sur le ventre il se recouche sur moi et déclare « D’ailleurs c’est moi qui commande et je ne te laisse pas partir. Ses mains enserrent mes bras j’ai du mal à bouger sous son poids. Je gigotte mais je sens bien que je n’y arriverai pas physiquement. « Je sais que tu es plus fort que moi. Je peux rester une heure de plus maximum ». Il s’est levé, m’a dit d’en faire autant, m’amène devant la glace qui est fixée au mur dans la chambre m’a dit de lever les bras de m’appuyer sur la glace, m’a dit de reculer mes jambes et de les écarter. « Regarde la glace, je vais te baiser puissamment pour que tu saches comment ça se passe quand je te baiserai dans les bois ou les parcs ». Ceci dit, ceci fut fait. Il m’a enculé puissamment puisque certaines fois ses coups de queue faisait décoller mes pieds du sol, ça a duré plus d’un quart d’heure, au bout de cinq minutes j’avais mal au fond du Cu tant sa bite tapait fort. Mais je n’ai rien dit, c’était supportable. Ses yeux étaient plantés dans les miens au travers du miroir. Et la jouissance vint.
A la fin, pendant que je me rhabillai, il m’a donné un cadeau, une petite boite empaquetée dans une grosse enveloppe. « Tu l’ouvriras pour la prochaine fois. Je veux que tu les mettes et que tu les porte lors de notre prochaine rencontre. Je veux aussi que tu entrouvres la porte dès que je t’envoi le texto, tu t’installes sur le lit et tu ne bouges pas. Si je mets du temps à arriver, tu attends porte entrebâillée. Si quelqu’un d’autre rentre avant moi tu ne bouges pas. De toute façon j’arriverai assez vite. Compris ? » J’acquiesçais et il rajouta « On se voit vendredi après-midi, ça peut être ici, ou une autre chambre c’est ton problème ». Je l’avais compris et vendredi me convenait.

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