Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (6) - histoire érotique

Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (6)
Le mardi suivant je l‘attends à une station de tram habillé léger, jeans, sweat, blouson et mocassins, rien dessous, avec l’ensemble de mon matériel de soumission dans mon sac à dos. Il m’emmène dans un sauna qu’’il ne connait pas et que je n’ai pas visité depuis plus d’un an. J’espère que les pratiques n’ont pas trop changées. Quand je monte dans la voiture il me dit « Comment vas-tu ma petite salope ? J’espère qu’on va bien s’amuser et que tu ne vas pas me décevoir ». Arrivé à l’autoroute, i ajoute « je t’aurai bien dit de te déshabiller dans la voiture et d’enfiler ton collier, mais arrivé à...... Il faudrait que tu te rhabilles, donc ce n’est pas marrant ».
Arrivé à l’entrée du sauna, je m’approche de la caisse et je règle deux entrées. Le patron qui nous accueille dit soudain « Je te reconnais toi, tu as été l’attraction de plusieurs nuits des samedis chez nous l’année dernière. Bons souvenirs. Malheureusement, les mardis après-midi sont en général bien plus calmes ». Ahmed qui est à coté dit « l’après-midi c’est le hors d’œuvre. On va rester jusqu’à la fermeture cette nuit. Et j’ai l’intention de voir si ce sauna est à la hauteur de sa réputation. Xavier est ma salope et je veux voir jusqu’où elle peut aller. ». Le patron se penche regarde Ahmed, souris et dis « je vais voir ce que je peux faire mais en début de semaine ce ne va pas être facile ».
On rentre, rien n’a changé, les vestiaires sont peu occupés, juste deux personnes en train de se préparer et nous. Comme d’habitude je me dessape totalement, je mets mon collier de cuir et mes bracelets aux poignets et aux chevilles, j’ajoute des mousquetons aux anneaux qui sont inclus dans mes bracelets et collier. Lui a enfilé un improbable bermuda qui ne lui va pas du tout. Mais il ne sera pas dit que quelqu’un pourrait l’avoir vu nu et surtout pas moi. Son torse est légèrement poilu mais pas buissonnant. Je porte mon sac à dos qui contient capotes, gants, gels, huile de silicone, bout de corde, bâillon-boule, pinces à seins. Mais il le prend et le met sur son dos, nous avons convenu que c’est lui qui gérera la sécurité.
On rentre dans les salles su sauna et on les visite une après l’autre. La grande salle ou un seul sling est installé alors que pour les soirées il y en a plusieurs, des télévisions qui diffusent des films pornos, des bans de bois assez long où on peut s’allonger ou s’assoir à plusieurs. Une allée qui est formée par une dizaine de box tous sur le même modèle. Un matelas d’une place posé sur une plateforme de bois, un mec peut s’y assoir et en sucer un autre et bien sûr baiser dans toutes les positions imaginables protégé par une porte qui fermée ou laissé ouverte pour appâter le client. Il y a des mecs qui s’installent sur le lit, à quatre pattes, le cul graissé, sur le dos les jambes dressées, les genoux aux épaules pour bien présenter leur trou. Parfois certains passent des heures à attendre qu’un baiseur veille les défoncer. Ceux-ci passent de box en box, regardent les mecs exposés et choisissent leur bonheur. Il y a d’ailleurs deux mecs déjà en place dans leur box, à quatre pattes les deux, le cul dressé et tendu. Au fond du couloir, il y a une backroom mais on n’entend aucun bruit dedans donc il n’y a vraisemblablement personne. On revient vers la grande salle et dans le mur d’en face il y a une porte ouverte qui communique avec une salle qui contient une piscine d’eau chaude. Sans doute quinze mètres de superficie avec une profondeur ne dépassant pas 1,20 m de profondeur.
La première heure, il n’y a pas grand monde et Ahmed ne sait pas trop quoi me faire faire. Après hésitation, il opte pour la piscine. Il s’assoit sur le bord, les pied dans l’eau et il me dit « vas-y suce moi ». Je descends dans l’eau et ma bouche cherche sa queue qui trouve toute seule la sortie de la braguette. Je le suce en faisant de amples mouvements et j’enfonce sa queue loin dans ma bouche et le début de ma gorge. Ma main droite rentre dans la braguette et malaxe ses couilles doucement ce sont plus des caresses que des serrements. Il m’appuie sur la tête quand j’avale sa queue. C’est bon et savoureux. Au bout de quelques minutes je sens que son corps commence à se raidir, attitude qui ne trompe pas. Il me prend la tête entre ses deux mains et accompagne mes mouvements, il se cambre, commence à grogner et soudain je reçois son éjaculation au fond de la gorge et une partie de son sperme passe dans ma fosse nasale et coule le long d’une de mes narines. Il redresse ma tête et me parle les yeux dans les yeux. « Ne t’essuie pas tu es magnifique comme ça. Attache-toi les mains dans le dos avec le mousqueton ». Sitôt dit sitôt fait. Et quand il libère ma tête, je constate que deux mecs sont assis sur le bord de la piscine juste à côté. Ils sont à poil et leurs queues montre qu’ils n’ont rien perdu du spectacle. « Tu vas les sucer l’un après l’autre mais tu vas leur demander un billet, 10 ou 20 euros, rien ne doit être gratuit ». Je lui dit qu’on ne peut pas faire cela dans un sauna mais il me fait une grimace autoritaire. Je m’approche du premier gars et je le regarde droit dans les yeux « vous avez entendu mon maitre ? Vous devez me payer pour que je vous suce ». « Vas-y suce, je te paierai ensuite... » Je regarde mon maitre et l’interroge de mes yeux, il répond « Non, je veux voir l’argent avant ». Les gars se lèvent en rouméguant et reviennent quelques minutes après mais ils sont accompagnés du gérant du sauna. « Pas de prostitution dans le sauna, sinon on aura des ennuis avec les flics et c’est tout le monde qui en patira. Si vous voulez baiser pour du fric vous sortez, vous allez ailleurs mais pas ici ». Il m’a parlé à moi. Je regarde Ahmed, qui me fais une grimace et dit « ok, on laisse tomber. ». Ambiguë comme expression, le gérant s’en va et les mecs tournent autour de la piscine. Ahmed leur dit « On ne va pas vous laisser bander pour rien, profitez-en, elle en veut et elle est à votre disposition ». Les mecs s’assoient sur le bord de la piscine et les queues se redressent.
Je les ai toutes sucé, une à une, avalé leur sperme quand il y en avait. Parfois un mec arrivait pendant que je suçai, il descendait dans l’eau, se mettait derrière moi et m’enculai. Au premier, j’ai regardé Ahmed et j’ai dit » occupe-toi des préservatifs », mais il n’y a pas eu de problème, ils étaient tous gainés.
A la fin, « il m’a dit tu as été courageuse, on va te récompenser, va te mettre sur la balançoire... » il parlait du sling qui trônait sur une estrade au fond de la salle sous les télévisions qui diffusaient des films pornos. Je me lève et je m’installe sur le sling. Il fouille dans mon sac, trouve les gants, les capotes et une bouteille d’huile de silicone. Il les pose sur une table qui est à côté. Je mets mes poignets sous ma tête et je laisse mes fesses et mon cul au bord du cuir. Il s’approche, enfile deux gants et se verse de l’huile sur les mains. J’ai compris, je souris et je plante mes yeux dans les siens. Il s’approche et dit « tu as compris salope, tu sais ce que je vais faire». Il se met face à moi et il commence à glisser des doigts dans mon cul, il enfile assez vite deux doigts de chaque main, puis trois et il étire mon anus en écartant mes fesses. Après deux ou trois minutes il me montre un poing fermé et il dit « On va y aller direct, tu vas avaler le poing ». Il le présente bien fermé mais légèrement de biais et je pousse sur mon anus pour qu’il rentre sans rien casser. Je pousse, il pousse et je sens mon cul qui s’ouvre et accueille son poing. Ça rentre sans très grande difficulté, il tourne le poing et je sens une vague de sensations superbes. Je découvre qu’autour de nous il y a de nombreux regards qui sont fixés sur mon gouffre, nombre de mecs bandent et certains même se branlent, je reviens à son regard et je sourie de plaisir, il rentre, il sort, il s’enfonce en tournant et moi aussi je commence à bander ferme. Il tourne, tourne, mon cul s’élargit, je dis « ah que j’aime ça, va y baise moi, fait de moi ta salope, j’aime que tu me défonce, j’aime t’appartenir... Je délire un peu et ma queue crache sans que je la touche. « Vous avez vu s’il aime ça la salope, il jouit sans se toucher. Bon quelqu’un veut l’enculer ? ». Je fais une grimace car je suis plus chaude... heureusement personne ne réagit, voir leur a suffit.
Je me relève, pose les pieds par terre et je regarde tout le monde. La séance est finie, il tend la main vers un des anneaux de mon collier et il m’oblige à le suivre en disant « allez salope on a fini, on remballe ». On va se rhabiller et on quitte le sauna.
Quand on est dans la voiture il dit « Bon ici c’était un de tes territoires, la prochaine fois je t’emmène dans un des miens, on ira dans un squat. On a passé une bonne après-midi, tu n’as vraiment pas de limites. En fait tu aimes tout, je vais faire de toi une gagneuse ». J’ai peur de comprendre. Dans la voiture, durant le retour je passe tout le temps du retour allongé avec sa queue dans ma bouche, elle durcit, elle devient souple, elle redurcit... bref un régal...