Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (7)
Récit érotique écrit par Fandefist34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Fandefist34 ont reçu un total de 22 146 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 549 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Comment j'ai aimé devenir la salope d'un arabe (7)
Comment j’ai aimé devenir la salope d’un arabe (7)
Je monte dans sa voiture, je suis en survêtement noir, j’ai un sac avec du matériel habituel plus quelques consignes spécifiques « trouve toi une cagoule, inutile qu’on te reconnaisse après, trouve aussi un de ces slips qui laisse les fesses découvertes et cache la bite, trouve une grosse boite de capotes et du gel pour ton cul en grosse quantité ». J’ai dû prévenir ma femme que j’arriverai très tard voire dans la nuit parce que je dois aller à une réunion dans une ville à deux cents kilomètres de la nôtre. En fait on reste dans notre ville mais je gagne ainsi du temps de libre.
Assez rapidement on file dans un quartier périphérique et on rentre en voiture dans une cours intérieure d’un grand bâtiment qui a pu être un lycée dans les année cinquante. On va vers le bout du parking et là je reçois mes ordres « tu te déshabilles, intégralement, tu mets la cagoule, le slip spécial, ton collier, les bracelets au poignets et chevilles. Enferme tes fringues dans ton sac, inutile de tenter le diable. Pendant que je prépare mon sac, il s’approche de moi et je constate qu’il a une longue laisse qu’il clippe à un des anneaux de mon collier. « Marche derrière moi, et je ne veux pas t’entendre quoi qu’il se passe ». Puis on traverse en diagonale le parking et on se dirige vers une double porte qui donne dans un grand escalier assez large. Au fur a mesure qu’on avance on croise quelques mecs qui se retournent sur nous et s’arrêtent. Arrivé dans la cage d’escalier, il ne s’arrête pas et on commence à monter. Certains des mecs que l’on croise commencent à nous suivent. On arrive au quatrième et il enfile un long couloir assez sombre. Au milieu du couloir, il ouvre une porte avec une clé. On rentre.
Une chambre assez vaste se présente, deux fenêtres sans rideau, sur un coté décalé du mur d’un mètre un lit d’une place en métal. On dirait un lit de l’armée, dans un coin, on aperçoit une cuvette de WC, un lavabo. Le matelas du lit est recouvert d’un drap noir et lorsque je m’allongerai je découvrirai que c’est un drap plastifié.
« Allonge toi sur le ventre je vais t’attacher, tu vas accepter tout le monde. Quand tu en as assez, tu dis « assez, arrête » et je verrai ce que je décide ». Je m’allonge et j’écarte mes bras et mes jambes, chacun est attaché aux quatre coins du lit. Il glisse sous mon bassin plusieurs cousins et je sens que mes fesses se dressent bien sur le lit. Il enfile un gant de latex et me met de l’huile de silicone en enfonçant bien les doigts pour que le cul soit bien préparé. « Voilà, tu es prête », dit- il me donne une bonne baffe sur les fesses. « Je vais aller voir s’il y a des clients mais cela m’étonnerai qu’il n’y ait personne vu le style de notre arrivée ».
Il sort, et revient quelques minutes plus tard accompagné d’un black. « Voila, il est à toi pour un quart d’heure, ne traine pas trop. Capote obligatoire, pas la peine de la chauffer, il aime ça et tu peux y aller, tu ne lui casseras pas le cul ». Le mec s’assoit sur le bord du lit et passe ses mains sur mon cul, mes fesses, le bas du dos. Il enlève ses pompes, ouvre sa braguette et révèle une belle queue, de belle section, trapue. Je le voie s’enfiler une capote et Il s’allonge sur moi et positionne sa bite face à mon trou. Il donne un coup de rein et rentre d’un seul coup. J’ai dû en prendre pour plus de 10 cms en une poussée. Il commence à aller et venir en cherchant de plus en plus la profondeur., il change les axes de sa queue ce qui me laboure assez bien. Je m’ouvre, je sens la chaleur arriver. Maintenant je tends mes fesses vers lui, les fesses vont à la rencontre de sa queue et de son pubis.
Mais je n’ai pas joui au premier, ni aux suivants. C’est le cinquième baiseur qui m’a surpris. Pourtant sa queue n’était ni plus grosse que les autres, ni plus longue. C’est son rythme qui m’a emporté, il baisait comme s’il dansait. Nos corps se sont accordés. Et quand son plaisir est arrivé le mien a suivi. Le baiseur c’est rendu compte de ma jouissance, lorsqu’il s’est arraché, retiré de mon cul, il est venu s’accroupir à la tête du lit et il m’a caressé la nuque, ses yeux riaient et derrière mais je souriais. Ahmed l’a compris et il a eu un geste de jalousie, pendant que le mec sortait il m’a donné une fessée, intense et assez forte, une dizaine de coups sur mes fesses, elles ont dû rougir fortement.
Mais cela n’a rien changé, un nouveau mec c’est présenté et m’a baissé sans plaisir pour moi si l’on excepte les réactions de mon anus et de l’arrière de ma queue qui parfois me chatouillaient.
J’en ai pris près d’une vingtaine dans l’après-midi à raison d’un par quart d’heure avec une pose, le droit de me lever, de marcher un peu dans la chambre avec Ahmed qui me regardait, et m’a ensuite réattaché. Entre chaque mec, il me lavait le cul avec une serviette éponge qu’il passait sous l’eau à chaque fois. Il s’appliquait à bien me la passer dans la raie des fesses, bien nettoyer l’anus. Cela donnait une sensation de fraicheur agréable.
Dans le flux des mecs il y en a deux qui sont passé ensemble. Pendant que l’un me besognait l’autre filmé avec son téléphone, et vice versa. Comme j’avais ma cagoule je n’ai rien dit, pire mon exhibitionnisme m’a fait rebander alors que les précédents n’avaient que mon cul à disposition ma queue étant au repos. Cela n’a pas échappé à Ahmed qui m’a dit « salope, tu aimes qu’on te filme, et tu m’avais caché ça. On en reparlera ».
Dans l’après-midi, j’ai joui trois fois et j’ai eu aussi beaucoup de plaisir à me donner. Dans la dernière heure j’ai eu une crampe anale assez douloureuse. J’ai repris deux mecs ensuite mais je n’étais plus réceptif et Ahmed l’a compris. Je ne crois pas qu’il en avait prévu beaucoup plus. Sinon il m’aurait fallu me supporter mieux, me faire respirer des poppers régulièrement, me passer une crème anesthésiante sur l’anus, ou me donner diverses drogues de l’amour. Je ne lui ai rien dit mais je préfère qu’il n’ait pas pensé à ce type de solution.
En me détachant après le dernier, il m’a dit « tu es assez étonnant. C’est ton corps qui commande, s’il en a assez, mieux vaut s’arrêter. Tu veux que je te ramène chez toi ou on attend un peu ». J’avais enlevé ma cagoule, je me suis laissé glisser face à lui et j’ai appuyé ma bouche contre sa queue. Il bandait. J’ai farfouillé dans sa braguette, franchit son boxer et je l’ai sucé longuement, profondément, en faisant aller loin au fond de ma gorge sa queue. Il a joui dans ma bouche, j’ai gardé son sperme et je l’ai ouverte pour bien lui montrer son sperme et j’ai avalé avec plaisir.
Pour repartir j’ai eu le droit d’enfiler mon survêtement et mes pompes mais pendant qu’on faisait le trajet jusqu’à la voiture, il y a de nombreux mecs qui m’ont dévisagé, certains souriant, d’autres le visage fermé, désapprobateurs. On n’est jamais revenu sur ce site, c’était une étape un point c’est tout. Ahmed m’a dit qu’il avait bien gagné son après-midi. J’ai osé demander « combien tu fais payer chaque mec ? » « Pas très cher, vingt à quarante euros selon les mecs. Mais j’ai aussi des frais, la chambre n’était pas gratuite. T’inquiètes, ce n’est pas gagner de l’argent que je cherche. Ce que m’intéresse, c’est de savoir jusqu’où on peut aller avec toi. Je veux savoir jusqu’où on peut aller. Et aujourd’hui j’ai découvert un autre aspect de toi, tu ne veux pas qu’on te reconnaisse mais tu bandes quand on te filme, avoue que c’est intéressant à suivre ». J’ai répondu « moi aussi je cherche mes limites et j’aime ce que tu me fais faire ». « T’inquiète salope, t’inquiète, on explore, on explore. »
Le mardi suivant il me prend à une station de Tram et je monte dans sa voiture. On roule quelques kilomètres dans la banlieue et il s’arrête devant une assez grande maison dans un parc. Il connait bien les lieux et il me dirige dans le parc. « Prend ton collier, tu le mettras dans l’escalier de la maison ». On rentre dans la maison, on monte des escaliers assez monumentaux. En montant j’attache mon collier. On se trouve sur un palier assez large et il tape à une porte. Quelqu’un répond dans une langue que je ne connais pas et que je ne peux donc identifier. Il ouvre la porte et on rentre dans un grand salon décoré par des meubles orientaux, de grands sofas, d’immenses tapis.
Au milieu de la pièce, il y a un homme plus vieux que lui habillé d’une djellaba blanche. Il s’approche de lui et lui prend la main qu’il embrasse la tête bien courbée. Ils parlent entre eux dans la langue inconnue de moi. J’ai l’impression de me retrouver dans mon adolescence, quand mon oncle de famille modeste m’amenait me présenter chaque année durant les vacances d’été chez un oncle fortuné. Ils se retournent et viennent vers moi et s’arrêtent à quelques mètres. « Déshabille-toi, baisse la tête et reste immobile ». Je me suis déjà exhibé dans des saunas, dans des bars cuirs, je suis même monté sur des slings dans des caves de bars, les fameuses backrooms. J’adore m’exhiber. Mais là, je sens comme une gêne. J’ai l’impression d’être une pute qu’on exhibe, voire un esclave. Mais j’obéis, je me dessape assez vite. Et je regarde mes pieds et j’ai l’impression de n’avoir jamais être aussi nu. L’homme en djellaba fait le tour de moi, il parle à Ahmed. « Tu as les bas, mets-les, mets aussi tes bracelets aux poignets. Met aussi le baillon boule, il n’est pas question que tu parles ». Je me penche, farfouille dans mon sac et je m’équipe. J’attache mes mains dans mon dos avec un mousqueton passé dans les anneaux des poignets.
L’homme s’est reculé, ses yeux sont puissants comme des radars. Une fois que je suis prêt, il se rapproche, passe derrière moi et passe ses mains sur mes fesses, il les écarte et je sens même un doigt qui force mon anus. Ils parlent entre eux. « Mets-toi à genoux ». L’homme passe devant moi et soulève son vêtement pour libérer une belle queue bien dressée. Il l’approche de ma bouche et je comprends qu’il faut que je suce. Ça dure plusieurs minutes, je suce, je pompe puis je reçois une baffe et « baisse ta tête contre le sol et dresse bien ton Cu ». L’homme passe derrière moi et je sens trois doigts qui me fouille sans ménagement. Heureusement que j’ai comme d’habitude mis de l’huile de silicone. Il retire les doigts et sa queue se pointe.
Ahmed est à quelques mètres il me regarde et souris. Je dis « capote !? ». Et il dit « ça ce n’est pas possible avec lui. C’est un chef de tribu, il fait ce qu’il veut et je ne peux rien lui demander. Si tu l’arrêtes tu vas te prendre une branlée énorme. Il te battra ou te feras battre avec des verges ».
« Je ne suis pas d’accord, chef ou pas chef, il met une capote où il ne me baisera pas ». Je relève ma tête et mon corps et je prends une baffe monumentale. Elle m’envoie valdinguer et je suis allongé par terre mon corps sur le côté. Les mains attachées dans le dos m’empêchent de retrouver rapidement mon équilibre. Quand je redresse mon corps je prends plusieurs baffes encore qui bousculent ma tête et mon corps dans tous les sens. Mais je ne cède pas. A genoux, je redresse ma tête et je regarde le salaud dans ses yeux. Il prend ma tête entre ses mains et fixe ses yeux dans les miens. Nos regards sont des poignards. Le premier qui cède saura que l’autre le dominera. Ça dure plus d’une éternité mais je regarde ses yeux de glaces sans ciller. Je ne reculerai pas même si je dois en mourir. Ça dure, Ça dure mais c’est lui qui cède en parlant dans sa langue que je ne comprends pas. Ahmed s’approche de moi, me prend par les épaules et m’aide à me relever. « Tu as de la chance salope, il n’a plus envie de toi mais il m’autorise à t’envoyer rencontrer ses ouvriers. » Je m’en fous de son autorisation, pour la première fois j’ai eu très peur, et Ahmed ne m’a pas défendu. Il est en train de s’éloigner de moi. A me vendre, il perd le fil de notre relation. On quitte la maison, une fois sortie de la grande salle, sur le palier, Ahmed a détaché mon mousqueton et je me suis débarrassé de mes instruments de soumission, me suis habillé et on marche vers la voiture. « Ahmed, c’est la première fois que tu me trahis, tu ne m’as pas protégé, tu m’as livré à cet homme comme un objet, animal que tu as dressé... ». Il reste silencieux, il me jette des coups d’œil rapides, en évitant que nos regards ne se croisent vraiment.
Dans la voiture durant le retour il y a un très long silence. Je ne veux rien dire dans l’instant, je veux réfléchir, penser jusqu’où je veux aller. Lui aussi se tait. On se quitte juste avec une formule de politesse du style « passe une bonne soirée », il n’est pas temps de se donner un nouveau rendez-vous, les téléphones suppléeront s’il y a lieu.
Je monte dans sa voiture, je suis en survêtement noir, j’ai un sac avec du matériel habituel plus quelques consignes spécifiques « trouve toi une cagoule, inutile qu’on te reconnaisse après, trouve aussi un de ces slips qui laisse les fesses découvertes et cache la bite, trouve une grosse boite de capotes et du gel pour ton cul en grosse quantité ». J’ai dû prévenir ma femme que j’arriverai très tard voire dans la nuit parce que je dois aller à une réunion dans une ville à deux cents kilomètres de la nôtre. En fait on reste dans notre ville mais je gagne ainsi du temps de libre.
Assez rapidement on file dans un quartier périphérique et on rentre en voiture dans une cours intérieure d’un grand bâtiment qui a pu être un lycée dans les année cinquante. On va vers le bout du parking et là je reçois mes ordres « tu te déshabilles, intégralement, tu mets la cagoule, le slip spécial, ton collier, les bracelets au poignets et chevilles. Enferme tes fringues dans ton sac, inutile de tenter le diable. Pendant que je prépare mon sac, il s’approche de moi et je constate qu’il a une longue laisse qu’il clippe à un des anneaux de mon collier. « Marche derrière moi, et je ne veux pas t’entendre quoi qu’il se passe ». Puis on traverse en diagonale le parking et on se dirige vers une double porte qui donne dans un grand escalier assez large. Au fur a mesure qu’on avance on croise quelques mecs qui se retournent sur nous et s’arrêtent. Arrivé dans la cage d’escalier, il ne s’arrête pas et on commence à monter. Certains des mecs que l’on croise commencent à nous suivent. On arrive au quatrième et il enfile un long couloir assez sombre. Au milieu du couloir, il ouvre une porte avec une clé. On rentre.
Une chambre assez vaste se présente, deux fenêtres sans rideau, sur un coté décalé du mur d’un mètre un lit d’une place en métal. On dirait un lit de l’armée, dans un coin, on aperçoit une cuvette de WC, un lavabo. Le matelas du lit est recouvert d’un drap noir et lorsque je m’allongerai je découvrirai que c’est un drap plastifié.
« Allonge toi sur le ventre je vais t’attacher, tu vas accepter tout le monde. Quand tu en as assez, tu dis « assez, arrête » et je verrai ce que je décide ». Je m’allonge et j’écarte mes bras et mes jambes, chacun est attaché aux quatre coins du lit. Il glisse sous mon bassin plusieurs cousins et je sens que mes fesses se dressent bien sur le lit. Il enfile un gant de latex et me met de l’huile de silicone en enfonçant bien les doigts pour que le cul soit bien préparé. « Voilà, tu es prête », dit- il me donne une bonne baffe sur les fesses. « Je vais aller voir s’il y a des clients mais cela m’étonnerai qu’il n’y ait personne vu le style de notre arrivée ».
Il sort, et revient quelques minutes plus tard accompagné d’un black. « Voila, il est à toi pour un quart d’heure, ne traine pas trop. Capote obligatoire, pas la peine de la chauffer, il aime ça et tu peux y aller, tu ne lui casseras pas le cul ». Le mec s’assoit sur le bord du lit et passe ses mains sur mon cul, mes fesses, le bas du dos. Il enlève ses pompes, ouvre sa braguette et révèle une belle queue, de belle section, trapue. Je le voie s’enfiler une capote et Il s’allonge sur moi et positionne sa bite face à mon trou. Il donne un coup de rein et rentre d’un seul coup. J’ai dû en prendre pour plus de 10 cms en une poussée. Il commence à aller et venir en cherchant de plus en plus la profondeur., il change les axes de sa queue ce qui me laboure assez bien. Je m’ouvre, je sens la chaleur arriver. Maintenant je tends mes fesses vers lui, les fesses vont à la rencontre de sa queue et de son pubis.
Mais je n’ai pas joui au premier, ni aux suivants. C’est le cinquième baiseur qui m’a surpris. Pourtant sa queue n’était ni plus grosse que les autres, ni plus longue. C’est son rythme qui m’a emporté, il baisait comme s’il dansait. Nos corps se sont accordés. Et quand son plaisir est arrivé le mien a suivi. Le baiseur c’est rendu compte de ma jouissance, lorsqu’il s’est arraché, retiré de mon cul, il est venu s’accroupir à la tête du lit et il m’a caressé la nuque, ses yeux riaient et derrière mais je souriais. Ahmed l’a compris et il a eu un geste de jalousie, pendant que le mec sortait il m’a donné une fessée, intense et assez forte, une dizaine de coups sur mes fesses, elles ont dû rougir fortement.
Mais cela n’a rien changé, un nouveau mec c’est présenté et m’a baissé sans plaisir pour moi si l’on excepte les réactions de mon anus et de l’arrière de ma queue qui parfois me chatouillaient.
J’en ai pris près d’une vingtaine dans l’après-midi à raison d’un par quart d’heure avec une pose, le droit de me lever, de marcher un peu dans la chambre avec Ahmed qui me regardait, et m’a ensuite réattaché. Entre chaque mec, il me lavait le cul avec une serviette éponge qu’il passait sous l’eau à chaque fois. Il s’appliquait à bien me la passer dans la raie des fesses, bien nettoyer l’anus. Cela donnait une sensation de fraicheur agréable.
Dans le flux des mecs il y en a deux qui sont passé ensemble. Pendant que l’un me besognait l’autre filmé avec son téléphone, et vice versa. Comme j’avais ma cagoule je n’ai rien dit, pire mon exhibitionnisme m’a fait rebander alors que les précédents n’avaient que mon cul à disposition ma queue étant au repos. Cela n’a pas échappé à Ahmed qui m’a dit « salope, tu aimes qu’on te filme, et tu m’avais caché ça. On en reparlera ».
Dans l’après-midi, j’ai joui trois fois et j’ai eu aussi beaucoup de plaisir à me donner. Dans la dernière heure j’ai eu une crampe anale assez douloureuse. J’ai repris deux mecs ensuite mais je n’étais plus réceptif et Ahmed l’a compris. Je ne crois pas qu’il en avait prévu beaucoup plus. Sinon il m’aurait fallu me supporter mieux, me faire respirer des poppers régulièrement, me passer une crème anesthésiante sur l’anus, ou me donner diverses drogues de l’amour. Je ne lui ai rien dit mais je préfère qu’il n’ait pas pensé à ce type de solution.
En me détachant après le dernier, il m’a dit « tu es assez étonnant. C’est ton corps qui commande, s’il en a assez, mieux vaut s’arrêter. Tu veux que je te ramène chez toi ou on attend un peu ». J’avais enlevé ma cagoule, je me suis laissé glisser face à lui et j’ai appuyé ma bouche contre sa queue. Il bandait. J’ai farfouillé dans sa braguette, franchit son boxer et je l’ai sucé longuement, profondément, en faisant aller loin au fond de ma gorge sa queue. Il a joui dans ma bouche, j’ai gardé son sperme et je l’ai ouverte pour bien lui montrer son sperme et j’ai avalé avec plaisir.
Pour repartir j’ai eu le droit d’enfiler mon survêtement et mes pompes mais pendant qu’on faisait le trajet jusqu’à la voiture, il y a de nombreux mecs qui m’ont dévisagé, certains souriant, d’autres le visage fermé, désapprobateurs. On n’est jamais revenu sur ce site, c’était une étape un point c’est tout. Ahmed m’a dit qu’il avait bien gagné son après-midi. J’ai osé demander « combien tu fais payer chaque mec ? » « Pas très cher, vingt à quarante euros selon les mecs. Mais j’ai aussi des frais, la chambre n’était pas gratuite. T’inquiètes, ce n’est pas gagner de l’argent que je cherche. Ce que m’intéresse, c’est de savoir jusqu’où on peut aller avec toi. Je veux savoir jusqu’où on peut aller. Et aujourd’hui j’ai découvert un autre aspect de toi, tu ne veux pas qu’on te reconnaisse mais tu bandes quand on te filme, avoue que c’est intéressant à suivre ». J’ai répondu « moi aussi je cherche mes limites et j’aime ce que tu me fais faire ». « T’inquiète salope, t’inquiète, on explore, on explore. »
Le mardi suivant il me prend à une station de Tram et je monte dans sa voiture. On roule quelques kilomètres dans la banlieue et il s’arrête devant une assez grande maison dans un parc. Il connait bien les lieux et il me dirige dans le parc. « Prend ton collier, tu le mettras dans l’escalier de la maison ». On rentre dans la maison, on monte des escaliers assez monumentaux. En montant j’attache mon collier. On se trouve sur un palier assez large et il tape à une porte. Quelqu’un répond dans une langue que je ne connais pas et que je ne peux donc identifier. Il ouvre la porte et on rentre dans un grand salon décoré par des meubles orientaux, de grands sofas, d’immenses tapis.
Au milieu de la pièce, il y a un homme plus vieux que lui habillé d’une djellaba blanche. Il s’approche de lui et lui prend la main qu’il embrasse la tête bien courbée. Ils parlent entre eux dans la langue inconnue de moi. J’ai l’impression de me retrouver dans mon adolescence, quand mon oncle de famille modeste m’amenait me présenter chaque année durant les vacances d’été chez un oncle fortuné. Ils se retournent et viennent vers moi et s’arrêtent à quelques mètres. « Déshabille-toi, baisse la tête et reste immobile ». Je me suis déjà exhibé dans des saunas, dans des bars cuirs, je suis même monté sur des slings dans des caves de bars, les fameuses backrooms. J’adore m’exhiber. Mais là, je sens comme une gêne. J’ai l’impression d’être une pute qu’on exhibe, voire un esclave. Mais j’obéis, je me dessape assez vite. Et je regarde mes pieds et j’ai l’impression de n’avoir jamais être aussi nu. L’homme en djellaba fait le tour de moi, il parle à Ahmed. « Tu as les bas, mets-les, mets aussi tes bracelets aux poignets. Met aussi le baillon boule, il n’est pas question que tu parles ». Je me penche, farfouille dans mon sac et je m’équipe. J’attache mes mains dans mon dos avec un mousqueton passé dans les anneaux des poignets.
L’homme s’est reculé, ses yeux sont puissants comme des radars. Une fois que je suis prêt, il se rapproche, passe derrière moi et passe ses mains sur mes fesses, il les écarte et je sens même un doigt qui force mon anus. Ils parlent entre eux. « Mets-toi à genoux ». L’homme passe devant moi et soulève son vêtement pour libérer une belle queue bien dressée. Il l’approche de ma bouche et je comprends qu’il faut que je suce. Ça dure plusieurs minutes, je suce, je pompe puis je reçois une baffe et « baisse ta tête contre le sol et dresse bien ton Cu ». L’homme passe derrière moi et je sens trois doigts qui me fouille sans ménagement. Heureusement que j’ai comme d’habitude mis de l’huile de silicone. Il retire les doigts et sa queue se pointe.
Ahmed est à quelques mètres il me regarde et souris. Je dis « capote !? ». Et il dit « ça ce n’est pas possible avec lui. C’est un chef de tribu, il fait ce qu’il veut et je ne peux rien lui demander. Si tu l’arrêtes tu vas te prendre une branlée énorme. Il te battra ou te feras battre avec des verges ».
« Je ne suis pas d’accord, chef ou pas chef, il met une capote où il ne me baisera pas ». Je relève ma tête et mon corps et je prends une baffe monumentale. Elle m’envoie valdinguer et je suis allongé par terre mon corps sur le côté. Les mains attachées dans le dos m’empêchent de retrouver rapidement mon équilibre. Quand je redresse mon corps je prends plusieurs baffes encore qui bousculent ma tête et mon corps dans tous les sens. Mais je ne cède pas. A genoux, je redresse ma tête et je regarde le salaud dans ses yeux. Il prend ma tête entre ses mains et fixe ses yeux dans les miens. Nos regards sont des poignards. Le premier qui cède saura que l’autre le dominera. Ça dure plus d’une éternité mais je regarde ses yeux de glaces sans ciller. Je ne reculerai pas même si je dois en mourir. Ça dure, Ça dure mais c’est lui qui cède en parlant dans sa langue que je ne comprends pas. Ahmed s’approche de moi, me prend par les épaules et m’aide à me relever. « Tu as de la chance salope, il n’a plus envie de toi mais il m’autorise à t’envoyer rencontrer ses ouvriers. » Je m’en fous de son autorisation, pour la première fois j’ai eu très peur, et Ahmed ne m’a pas défendu. Il est en train de s’éloigner de moi. A me vendre, il perd le fil de notre relation. On quitte la maison, une fois sortie de la grande salle, sur le palier, Ahmed a détaché mon mousqueton et je me suis débarrassé de mes instruments de soumission, me suis habillé et on marche vers la voiture. « Ahmed, c’est la première fois que tu me trahis, tu ne m’as pas protégé, tu m’as livré à cet homme comme un objet, animal que tu as dressé... ». Il reste silencieux, il me jette des coups d’œil rapides, en évitant que nos regards ne se croisent vraiment.
Dans la voiture durant le retour il y a un très long silence. Je ne veux rien dire dans l’instant, je veux réfléchir, penser jusqu’où je veux aller. Lui aussi se tait. On se quitte juste avec une formule de politesse du style « passe une bonne soirée », il n’est pas temps de se donner un nouveau rendez-vous, les téléphones suppléeront s’il y a lieu.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Fandefist34
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

